Orbec — Wikipédia

Orbec
Orbec
L'église Notre-Dame d'Orbec.
Blason de Orbec
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Lisieux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Lisieux Normandie
Maire
Mandat
Etienne Cool
2020-2026
Code postal 14290
Code commune 14478
Démographie
Population
municipale
1 950 hab. (2021 en diminution de 9,39 % par rapport à 2015)
Densité 192 hab./km2
Population
agglomération
3 294 hab. (2016)
Géographie
Coordonnées 49° 01′ 18″ nord, 0° 24′ 24″ est
Altitude Min. 90 m
Max. 193 m
Superficie 10,14 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Livarot-Pays-d'Auge
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Orbec
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Liens
Site web www.orbec.fr

Orbec est une commune française située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 1 950 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune d'Orbec est arrosée par l'Orbiquet, affluent de la Touques, et la Vespière.

Orbec se situe à 73 km de la préfecture qui est Caen, à 20 km de la sous-préfecture de Lisieux, 15 km du Sap et à 35 km de L'Aigle.

La ville côtière la plus proche est Trouville-sur-Mer à 50 km.

La commune héberge l'usine de camembert de la marque Lanquetot.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Côtes de la Manche orientale » et « Normandie (Cotentin, Orne) »[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 825 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Ticheville à 16 km à vol d'oiseau[4], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 826,1 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Orbec est une commune rurale[Note 2],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10].

Elle appartient à l'unité urbaine d'Orbec, une agglomération intra-départementale regroupant deux communes[11] et 3 212 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[12],[13].

La commune est en outre hors attraction des villes[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (58,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (47,4 %), forêts (30,2 %), zones urbanisées (12,3 %), terres arables (5,5 %), zones agricoles hétérogènes (4,6 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme latinisée Orbeccus en 1090[17], puis Orbec en 1172[18].

La nature du second élément -bec fait l'unanimité chez les toponymistes, il s'agit de l'appellatif toponymique normand bec, issu du vieux norrois bekkr « ruisseau, cours d'eau » très fréquent en Normandie et qui a servi à dénommer des petits cours d'eau et ceux d'importance moyenne (le Robec, le Sébec, etc.) par la suite, également des localités qui se sont développées sur leurs cours (cf. Bolbec, Caudebec, etc.)[19],[20],[21],[22],[23].

En revanche, la nature du premier élément Or- divise davantage :

  • le vieux haut allemand uro « auroch, taureau sauvage », tout comme Orbais, Orbey, Urbès et Urbeis[21] ;
  • un nom commun germanique comme ort « lieu »[24] ;
  • l'ancien scandinave aurr « graviers, cailloux »[25],[22] ou plutôt « boue, limon ».

Remarque : une combinaison de bekkr avec un terme germanique (ou vieux haut allemand), entendre « germanique occidental et continental », est peu vraisemblable : les nombreux hydronymes et toponymes en -bec ne sont en principe jamais associés au germanique continental, ensuite pour justifier cette thèse, il faudrait que le vieux bas francique *baki « ruisseau », qui a donné les terminaisons -bais, -baix, -bet(s) au nord de la France, ait fait place au scandinave -bekkr ce que ne confirment pas les formes anciennes. Il est possible d'y voir également le substantif roman or qui convient aussi bien que l'ancien scandinave aurr, les noms en -bec étant parfois combinés à des éléments romans (cf. Drubec), d'où le sens global de « ruisseau des graviers ou boueux » ou « ruisseau doré ». Orbec possède peut-être un homonyme au Danemark : Ørbæk[22].

Le nom du ruisseau l'Orbiquet qui traverse la commune devait porter le nom primitif d’Orbec, mais il a été suffixé en -et pour éviter la confusion avec le nom du village d'où l'hydronyme *Orbeket, *Orbecquet (becquet signifiant précisément « petit ruisseau » en ancien normand) devenu Orbiket, attesté en 1243[24].

Histoire[modifier | modifier le code]

Bien que des objets datant de la préhistoire et de la période gallo-romaine aient été trouvés dans la région proche d’Orbec et qu’une voie romaine (reliant Harfleur au Mans) passant dans la vallée est attestée, le site, propice à l’implantation humaine, n'a été exploité régulièrement qu’à partir de la période normande [26].

Au XIe siècle, les terres d’Orbec appartiennent aux ducs de Normandie et, en 1030, Robert Ier (père de Guillaume le Conquérant) cède Orbec et ses dépendances à son cousin Gilbert de Brionne et futur tuteur de Guillaume. Son fils Richard, seigneur d’Orbec, participe à la conquête de l’Angleterre et y reçoit d’importants domaines dans le Sufolk et le Kent, ses descendants prennent le titre de Comtes de Clare. Orbec devient alors le siège d’une vicomté. En 1153 Galéran IV de Meulan, qui usurpe le château de Montfort, alors qu'il se rend à une conférence à Bernai, sera enlevé et emprisonné dans le château d'Orbec par son neveu Robert de Montfort, jusqu'à ce que Galeran promettre de rendre Montfort à son neveu[27].

En 1354, à la suite du traité de Mantes, la ville est cédée par le roi de France Jean II le Bon à son gendre le roi Charles II de Navarre, avec de nombreuses autres terres normandes[28].

Possession anglaise, la ville est ravagée pendant la guerre de Cent Ans et le roi de France Charles V ordonne le démantèlement du château d'Orbec en 1379[29]. La paix revenue, Orbec prospère pour être élevé au rang de bailliage en 1583. Sa juridiction est alors la plus importante de Normandie et la petite bourgade attire lettrés et bourgeois qui y bâtissent de belles maisons à pans de bois. Son économie repose sur les moulins, les tanneries, les filatures et la poterie. Au XVIIe siècle, une nouvelle noblesse de robe construit des hôtels particuliers et participe activement au mouvement religieux de la Contre-Réforme. L’Hôtel-Dieu est rétabli, le prieuré des Augustines s’installe rue des Moulins (1632) et le couvent des Capucins route de Lillebonne (1644)[30]. Au cours du XVIIIe siècle, les quartiers de la Croix aux Lionnets et du Pont-Guernet se densifient. Des hôtels particuliers avec jardins à la française s’installent autour de la rue Grande, de la rue de Geôle ou de la rue des Trois-Croissants.

Orbec, rue Grande en 1908.

Les dernières grandes transformations urbaines ont lieu sous Louis-Philippe avec les créations de la rue de la République, de la place du Marché-aux-Veaux, du boulevard de Beauvais et le percement des rues de L’Aigle et de Livarot. Le long de ces nouvelles voies, les immeubles sont désormais construits en briques.

Dépeuplé par l’exode rural au début du XXe siècle, Orbec n'est pas épargnée par la Seconde Guerre mondiale. Dès 1943, plusieurs réseaux de résistants s'organisent dans la région[31] :

Orbec souffre des combats de la Libération. Le , les Canadiens du Queen’s Own Cameron Highlanders prennent la ville de nuit avec l’aide des Forces françaises de l'intérieur. Des unités de la 10. SS-Panzerdivision Frundsberg positionnées sur les hauteurs à l’est résistent cependant et tirent sur la ville. Ils lancent même une contre-attaque qui est repoussée par les Canadiens[32]. Le flot des réfugiés fuyant les combats trouve alors abri dans une carrière a usage de champignonnière[33].

Orbec se revitalise dans les années 1950 avec l’implantation de petites industries. La ville s’accroît en périphérie entraînant une désaffection du centre. En 1976, l’État lance une politique nationale de sauvegarde des centres anciens et la vieille ville est inscrite parmi les sites protégés en [34].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
[35] Eustache-Placide de la Croix   Docteur médecin[36],[37], président du Conseil d'arrondissement de Lisieux
Les données manquantes sont à compléter.
? janvier 1907
(révocation)
M. Lebarbé   Notaire
janvier 1907 ? Gustave Levillain    
ca. 1919   M. Godefroy    
ca. 1929   M. Leviplain    
1945 après 1961 Albert Morin RI Ingénieur horticole, conseiller général d'Orbec (1945 → 1964)
avant 1965
(décès)
Léon Mézières   Agriculteur
Marie-Thérèse Fortin   Enseignante
[38] [39]
(décès)
Guy Viquesnel DVD Exploitant agricole, conseiller général d'Orbec (1972 → 1987), conseiller régional de Basse-Normandie (1980 → 1986), président du district de l'agglomération orbecquoise (1977 → ?)
[40]
(décès)
Joseph Fleuret   Retraité, président du district de l'agglomération orbecquoise (1987 → 1990)
[41] Pierre Fosse   Enseignant
En cours Étienne Cool[42] DVD Kinésithérapeute

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[44].

En 2021, la commune comptait 1 950 habitants[Note 3], en diminution de 9,39 % par rapport à 2015 (Calvados : +1,02 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 0572 7043 0023 0003 2093 3573 3573 5193 441
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 2503 2663 2192 9813 0133 2173 2513 1513 000
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 9333 1012 9742 7002 7102 8372 8923 1803 053
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
2 8623 2113 3632 8322 6422 5642 4222 4002 248
2017 2021 - - - - - - -
2 0131 950-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Orbec est riche en maisons en pan de bois.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Naissances[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes d'Orbec

Les armes de la commune d'Orbec se blasonnent ainsi :

D'azur à la fleur de lys d'or, accompagnée de trois annelets du même[49].

Orbec dans les arts[modifier | modifier le code]

Claude Debussy a composé l'œuvre Jardins sous la pluie inspiré par le jardin, entraperçu de l'hôtel de Croisy[50], situé rue Grande, non loin de l'église Notre-Dame d'Orbec.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Orbec et Lieuvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Ticheville_sapc » (commune de Ticheville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Ticheville_sapc » (commune de Ticheville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 d'Orbec », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie. Dictionnaire des toponymes d'origine scandinave en Normandie, éditions OREP, 2009 (ISBN 978-2-915762-89-1), p. 42.
  18. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 509b.
  19. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 12 - 47.
  20. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses universitaires de Caen, 1996 (ISBN 2-905461-80-2), p. 192a.
  21. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit..
  22. a b et c Jean Renaud, op. cit..
  23. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne) [1].
  24. a et b Ernest Nègre, op. cit..
  25. René Lepelley, op. cit..
  26. Isabelle Audinet, « Orbec, le charme du Pays d'Auge, Patrimoine Normand n°30 (décembre 1999-janvier 2000) ».
  27. Anne-Marie Flambard Héricher (préf. Vincent Juhel), Le château de Vatteville et son environnement, de la résidence comtale au manoir de chasse royal, XIe – XVIe siècle, vol. Mémoire de la Société des antiquaires de Normandie, t. XLVIII, Caen, Société des antiquaires de Normandie, , 393 p. (ISBN 978-2-919026-27-2), p. 49.
  28. André Davy, Les barons du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits et introuvables du patrimoine Normand », , 319 p. (ISBN 978-2-91454-196-1), p. 169.
  29. « Les remparts d'Orbec (Calvados) », sur remparts-de-normandie.eklablog.com.
  30. « Orbec, terre de tradition (Circuit découverte, Office de tourisme) ».
  31. « Les réseaux de résistance dans la région d’Orbec) ».
  32. « Orbec, La Libération) ».
  33. R. Guiblais, Promenades dans le canton d'Orbec-en-Auge : Calvados, 1959 (Google books).
  34. Orbec, centre ancien, fiche DREAL N° 14090, septembre 2013.
  35. « 1800-1833 », sur archives.calvados.fr (consulté le ).
  36. Eustache-Placide Lacroix, La Croix de pierre dite croix au lyonnais, légende de Normandie, Lisieux, , 8 p. (lire en ligne).
  37. Eustache-Placide Lacroix, Essai sur la topographie médicale d'Orbec : comprenant les épidémies qui y ont régné, ainsi que dans les campagnes environnantes, depuis 1826 jusqu'en 1840 exclusivement, , 148 p. (lire en ligne).
  38. « Orbec : M. Viquesnel, conseiller général, est élu maire », Ouest-France,‎ .
  39. « Nécrologie : M. Guy Viquesnel conseiller général et maire d'Orbec », Ouest-France,‎ .
  40. Il meurt quelques jours avant la fin de son mandat.
  41. « Pierre Fosse, nouveau maire d'Orbec », Ouest-France,‎ .
  42. Réélection 2014 : « Orbec (14290) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  47. Notice no PA14000057, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  48. a et b Guy Le Hallé (préf. Hervé Morin, photogr. Yves Buffetaut), Châteaux forts de Basse-Normandie, t. II, Louviers, Ysec Éditions, , 160 p. (ISBN 978-284673-215-4), p. 68 (Orbec).
  49. « GASO, la banque du blason - Orbec Calvados »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).
  50. Propriété privée.