Meyssac — Wikipédia

Meyssac
Meyssac
Vue générale du village.
Blason de Meyssac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Arrondissement Brive-la-Gaillarde
Intercommunalité Communauté de communes Midi Corrézien
Maire
Mandat
Christophe Caron
2020-2026
Code postal 19500
Code commune 19138
Démographie
Gentilé Meyssacois, Meyssacoises
Population
municipale
1 262 hab. (2021 en diminution de 2,47 % par rapport à 2015)
Densité 109 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 03′ 22″ nord, 1° 40′ 36″ est
Superficie 11,59 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Brive-la-Gaillarde
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Midi corrézien
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Meyssac
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Meyssac
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Meyssac
Liens
Site web meyssac.fr

Meyssac est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine.

Ses habitants sont appelés Meyssacois et Meyssacoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Meyssac se trouve à l’extrême sud de la Corrèze, à 20 km de Brive-la-Gaillarde. Quelques trésors d’architecture sont réunis autour de son église, ainsi que le long de ses ruelles bordées de belles maisons de grès rouge, aux façades parfois animées de treilles. La terre rouge, dite « terre de Collonges », se prête au travail de la poterie.

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte de la commune.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est dans une zone de transition entre les climats océaniques aquitain et montagnard[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 012 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Nespouls à 14 km à vol d'oiseau[4], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 836,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Meyssac est une commune rurale[Note 1],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brive-la-Gaillarde, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 80 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (68,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (29,5 %), forêts (27,2 %), prairies (26 %), zones urbanisées (9,5 %), cultures permanentes (7,8 %)[13].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Transport routier[modifier | modifier le code]

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Meyssac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Meyssac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 52,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 669 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 301 sont en aléa moyen ou fort, soit 45 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[16],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[17].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1999 et 2001. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2019 et 2020, par des mouvements de terrain en 1999 et 2001 et par des glissements de terrain en 1994[14].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe A[Note 3] disposant d'une retenue de 477 millions de mètres cubes[19]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[20].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Meyssac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[21].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de Meyssac vient sans doute du nom d’un propriétaire terrien gallo-romain. Marcel Villoutreix (Les noms de lieux du Limousin, T. A. L., 2002, p. 46) donne Maniciaco en 941 issu du nom attesté Mancius ; et Mensac, Maensac vers 1315.

La forme Maiçac correspond au nom de la commune en occitan limousin. Comme la totalité des communes (à l'exception de Turenne) du canton historique dont elle était le chef-lieu, Meyssac bénéficie, sur ses panneaux d'entrée, d'un double affichage.

Histoire[modifier | modifier le code]

Panneau d'entrée français-occitan de la ville de Meyssac.

Jusqu’en 1738, le castrum de Meyssac appartenait à la vicomté de Turenne. La famille de Touchebœuf en fut longtemps les seigneurs. Des fortifications ainsi qu’un fossé furent construits afin de protéger les habitants des pillards. Trois portes en permettaient l’accès : à l’est, la porte de Voussée (en direction de Beaulieu) ; au sud, la porte Grande (en direction de Martel) ; et enfin la porte de l’Auvitrie, située au nord (en direction de Tulle).

Au XVIIIe siècle, les ruines de ces murailles, devenues inutiles et gênantes, furent détruites. Comme dans beaucoup de villes françaises, elles furent remplacées par un large boulevard, une sorte de « périphérique ». Une fois franchie cette frontière entre le centre ancien et les « barris » (faubourgs) plus récents, on découvre de belles maisons entourant une église dont le clocher-porche roman ouvre sur un intérieur gothique.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Meyssac Blason
D'or à trois fasces ondées de gueules, au chef d'azur à trois étoiles d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2014 En cours Christophe Caron DVG  
2001 2014 Jacques Masson    
1995 2001 Bernard Blavignac    
1979 1995 René Puyjalon    
1971 1979 Maurice Pauty    
1954 1971 Louis Salvat    
1929 1954 Maurice Faige Radical Conseiller général (1928-1940)
1919 1929 Paul Ceyrac Conservateur Notaire, conseiller général (1910-1928)
1908 1919 Jean Pauty    
1905 1908 Ludovic Astruit    
1902 1905 Jean Sireyjol    
Les données manquantes sont à compléter.
1895 1896 Michel Mielvacque de Lacour Républicains progressistes Conseiller général
Député de la Corrèze de 1893 à 1898[22]
avant 1856 ? Jean Denis Argueyrolles   Propriétaire
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Meyssac est jumelée depuis 1995 avec la commune rurale allemande de Bettenhausen (Rhönblick), en Thuringe (750 habitants).

Établissements scolaires[modifier | modifier le code]

Meyssac compte une école maternelle, une école primaire et un collège (collège Léon-Dautrement) qui contient 8 classes.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[24].

En 2021, la commune comptait 1 262 habitants[Note 4], en diminution de 2,47 % par rapport à 2015 (Corrèze : −0,86 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 8812 0722 1752 2182 4472 5402 5612 6552 846
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 6392 5932 5901 9892 0331 9471 9491 8391 645
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5971 5481 5241 2521 2051 1411 0491 030983
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 0271 0461 0731 1031 1241 1001 2081 2361 280
2018 2021 - - - - - - -
1 2671 262-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Le canton conserve sa vocation agricole. La plupart des exploitations sont de taille moyenne (entre 10 et 35 ha). La production principale est la viande bovine limousine, et particulièrement le veau sous la mère - label développé dans tout le bassin de Brive. On produit également sur le territoire le vin « Mille et Une Pierres » de Branceilles, la noix Marbot de Saillac, les foie gras et confits, un peu de châtaignes, du fromage de chèvre, etc.

Autre activité économique, les touristes viennent mettre leurs pas dans ceux des pèlerins qui, dès le Xe siècle, se rendaient à Saint-Jacques-de-Compostelle et à Rocamadour. La riche et puissante vicomté de Turenne a fait fleurir manoirs, châteaux et autres maisons nobles.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le château de Marsac - Gite d'Hôtes 5 Épis
Mairie au fond, maison Verdès à gauche avec sa tour et clocher de l’église à droite.
Halle en grès rouge.
  • Les foires de Meyssac, une tradition millénaire :
L’origine de ces foires remonte au Moyen Âge. À l’époque, elles constituaient la richesse économique de la ville. On y trouvait vin de pays, chanvre, lin, céréales et huile de noix. Longtemps, les collines environnantes furent couvertes de vignobles. Touchés par le phylloxera entre 1880 et 1883, ils disparurent presque complètement et laissèrent place à des truffières, très prospères dans les années 1920. La manne s’étant peu à peu tarie, on se tourna vers l’élevage.
De nos jours, les foires de Meyssac sont spécialisées dans la vente de veau élevés sous la mère. L’appellation "veau de Meyssac" leur a été délivrée. Trois foires annuelles primées leur sont consacrées. Les marchés se tiennent chaque mardi et vendredi matin.
  • L’église Saint-Vincent-et-Saint-Roch :
L'église Saint-Vincent[27] : datant du XIIe, XVe et XVIe siècles a été inscrit aux monuments historiques en 1942. Construite sur un plan à nef unique, l’église est placée sous le vocable de saint Roch et saint Vincent, ce dernier, patron des vignerons, en raison du vignoble alentour, disparu à la fin du XIXe siècle. Avec ses voussures légèrement brisées, le portail ouest est un très bon modèle de portail roman limousin. À la fin du Moyen Âge, d’importants travaux modifièrent le bâtiment. Les attaques successives de la ville pendant la guerre de Cent Ans incitèrent les habitants à le fortifier en le dotant de hourds de bois à la manière d’un château fort. Les parties hautes furent remplacées par des voûtes en ogives. Les guerres de religion eurent pour conséquence le renforcement des défenses existantes, comme l’indiquent les meurtrières-canonnières situées à l’ouest ou la bretèche sur le mur sud. À l’intérieur, deux statues – une pietà et une Vierge à l’Enfant – rappellent l’importance du culte marial en Corrèze.
Située derrière l’église se trouve la halle aux grains du XVIIIe siècle, témoin de l’activité commerçante de Meyssac. Son imposante toiture d’ardoise coiffe une charpente en châtaignier que supportent des piliers et des colonnes de grès rouge. Aujourd’hui, elle abrite diverses manifestations, et les jeux des enfants du quartier.
  • La maison Verdès[29] à côté de l'église.

Vie locale active[modifier | modifier le code]

Meyssac compte nombre de commerces et de services, d’artisans, de structures publiques (écoles maternelle et élémentaire, collège, crèche et centre de loisirs, institut médico-éducatif, maison de retraite, soins à la personne, maison du département, marchés, etc.) ainsi que quelques entreprises plus importantes (unité de production Simah (produits de beauté) du Groupe Sothys, par exemple).

La commune propose également un point multimédia gratuit et dispose d’une médiathèque. Le 26 août 2023, la première Rencontre Littéraire de Meyssac est organisée, par Radio Vicomté[30].

Enfin, la ville de Meyssac est animée par plus d’une trentaine d’associations, actives dans tous les domaines.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Sources[modifier | modifier le code]

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Meyssac et Nespouls », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Brive-souillac » (commune de Nespouls) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Brive-souillac » (commune de Nespouls) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Meyssac », sur Géorisques (consulté le )
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  16. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  17. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Meyssac », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
  18. Article R214-112 du code de l’environnement
  19. « barrage de Bort-les-Orgues », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  21. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
  22. Journal municipal de Beynat la Clé des Champs N°19 page 16
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. « église Saint-Vincent », notice no PA00099806, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. « halle à grains », notice no PA00099807, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  29. Notice no PA00099808, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. « Une Cieuracoise à la Rencontre littéraire de Meyssac », sur ladepeche.fr (consulté le )

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[18].
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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