La Bruffière — Wikipédia

La Bruffière
La Bruffière
La Bruffière vue du ciel.
Blason de La Bruffière
Blason
La Bruffière
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Vendée
Arrondissement La Roche-sur-Yon
Intercommunalité Terres de Montaigu, communauté d'agglomération
Maire
Mandat
Jean-Michel Bregeon
2020-2026
Code postal 85530
Code commune 85039
Démographie
Gentilé Bruffiérois
Population
municipale
4 044 hab. (2021 en augmentation de 3,69 % par rapport à 2015)
Densité 99 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 00′ 50″ nord, 1° 11′ 47″ ouest
Altitude 75 m
Min. 28 m
Max. 103 m
Superficie 40,66 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine La Bruffière
(ville isolée)
Aire d'attraction Montaigu-Vendée
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mortagne-sur-Sèvre
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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La Bruffière
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Liens
Site web Site officiel
La place et l'église, au début du XXe siècle.

La Bruffière est une commune française située dans le département de la Vendée, en région Pays de la Loire.

Avant la création des départements en 1789, La Bruffière faisait partie des marches communes à la Bretagne et au Poitou sur le plan temporel, et de la Bretagne (diocèse de Nantes) sur le plan spirituel.

Ses habitants sont appelés Bruffièriens et Bruffièriennes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Le territoire municipal de La Bruffière s’étend sur 4 066 hectares. L’altitude moyenne de la commune est de 75 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 35 et 77 mètres[1],[2].

La commune de La Bruffière se situe au croisement des départements de la Vendée, de Maine-et-Loire et de la Loire-Atlantique. C'est au lieu-dit des Trois-Provinces, à 3 km du bourg, que les anciennes provinces de la Bretagne, de l'Anjou et du Poitou se rejoignent.

La Bruffière est située à 47 km de Nantes, 30 km de Cholet et 54 km de La Roche-sur-Yon. La commune s'étend sur 4 044 ha de bocage au nord-est de la Vendée. Elle est bordée par la Sèvre Nantaise, rivière qui se jette dans la Loire à Nantes.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 823 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St-Fulgent_sapc », sur la commune de Saint-Fulgent à 18 km à vol d'oiseau[5], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 815,9 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

La Bruffière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Bruffière, une unité urbaine monocommunale[12] de 3 943 habitants en 2017, constituant une ville isolée[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montaigu-Vendée, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 8 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (96,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,1 %), zones agricoles hétérogènes (22,1 %), prairies (19,9 %), zones urbanisées (3,9 %), forêts (1,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,8 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Sous le nom de « Brefer » apparaît la première mention du bourg dans une charte en 1287.

En poitevin, la commune est appelée La Brfére[18].

Le dialecte local est traditionnellement de langue d'oil (influence du poitevin, gallo et angevin).

Histoire[modifier | modifier le code]

Durant le haut Moyen Âge d'incessantes querelles opposent Bretons, Francs et Wisigoths. Elles aboutissent, en 983, à la création de zones « tampons » : Marches Bretagne-Poitou. Entre Bretagne et Poitou, les hautes marches communes sont constituées de Cugand, Boussay, Gétigné et la Bruffière, leur capitale jusqu'à la Révolution française de 1789[19].

En 1287, le village s'articule alors autour de la demeure[Laquelle ?], toujours présente, des « de Coucy ». Sur le linteau d'une de ses portes est gravé le blason des anciennes Marches communes. Un seigneur de la Bruffière de Coucy accompagne Gilles de Rais dans l'épopée de la Jeanne d'Arc.

Saint-Symphorien (à 4 km au sud du bourg), jadis lieu de pèlerinage et d'une foire importante, voit se développer un prieuré, administré par les moines de l'ordre de Saint Augustin de Geneston, où un hospice pour les pauvres y est annexé. Seul le portail d'entrée nous est parvenu après la Guerre de Vendée ; le hameau est en effet dévasté par les troupes de Kléber, au cours de la bataille des 5 et .

La Guerre de Vendée et les Colonnes infernales saignent cruellement la commune (3 000 habitants avant les événements, 726 seulement en 1826). Pendant le conflit, les habitants rejoignent l'armée vendéenne du Centre, sous les ordres de Sapinaud et Royand. En , le général Charrette est amené dans un traquenard au logis de "la Grange" (demeure du XVIe siècle), au nord du bourg, d'où il s'échappe après de lourdes pertes humaines.

La Bruffière est de nouveau éprouvée dans ses forces vives par les deux conflits mondiaux : 133 morts pendant la Première Guerre mondiale et 11 pendant la Seconde..

Depuis 1945, les performances de l'agriculture locale, le dynamisme de l'artisanat et de l'industrie, avec, notamment, le groupe Defontaine (leader mondial de la couronne automobile), et la richesse de la vie associative font de La Bruffière une ville dynam'ique.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1810 dans l'arrondissement de La Roche-sur-Yon du département de la Vendée. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la quatrième circonscription de la Vendée.

Après avoir été fugacement le chef-lieu du canton de La Bruffiere en 1793, la commune a été rattachée en 1801 au canton de Montaigu[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Mortagne-sur-Sèvre[21].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la communauté de communes Terres-de-Montaigu, créée en 2002 et qui succédait au district de Montaigu créée en 1969.

Dans le cadre des prescriptions de la loi NOTRe du , le gouvernement élève à 15 000 habitants le seuil minimal des intercommunalités à fiscalité propre dans le but d’obtenir des territoires plus cohérents, adaptés aux « bassins de vie » et dotés d’une capacité de mutualisation plus importante, la petite communauté de communes du Canton-de-Rocheservière fusionne avec les Terres de Montaigu, formant le une nouvelle structure dénommée Terres-de-Montaigu, communauté de communes Montaigu-Rocheservière, dont La Bruffière est désormais membre.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[22],[23]
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1965 mars 1977 Vincent Ansquer UDR
puis RPR
Industriel
Ministre (1974 → 1977)
Député de la Vendée (4e circ.) (1962 → 1974 puis 1978 → 1986)
Conseiller général de Montaigu (1969 → 1987)
mars 1977 juin 1995 Michel Filliodeau DVD Maire honoraire
juin 1995 25 mars 2001 Gilbert Roger   Agent immobilier
25 mars 2001 28 mars 2014[28] Denis Moinet[29] DVD Cadre
28 mars 2014[30] 25 mai 2020 André Boudaud DVD Cadre bancaire retraité
Vice-président de la CC Terres-de-Montaigu (2014 → 2016)
25 mai 2020[31] En cours Jean-Michel Brégeon DVD Cadre technique en menuiserie industrielle
Premier adjoint au maire (2014 → 2020)
8e vice-président de la CA Terres de Montaigu (2020 → )

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

En 2021, la commune comptait 4 044 habitants[Note 3], en augmentation de 3,69 % par rapport à 2015 (Vendée : +4,91 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
7261 6132 2872 3502 3862 3802 4092 4952 609
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
2 6962 8132 8312 8972 9593 0573 1153 0002 872
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
2 8162 6422 5192 5332 5652 5212 5052 3442 624
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
2 7592 9742 9862 9803 1013 3423 3783 7943 943
2021 - - - - - - - -
4 044--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,9 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 981 hommes pour 1 991 femmes, soit un taux de 50,13 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,16 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,3 
6,2 
75-89 ans
8,3 
13,0 
60-74 ans
14,4 
20,6 
45-59 ans
19,3 
22,0 
30-44 ans
20,7 
15,7 
15-29 ans
13,4 
21,9 
0-14 ans
22,7 
Pyramide des âges du département de la Vendée en 2020 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,2 
8,5 
75-89 ans
11 
20 
60-74 ans
20,8 
20 
45-59 ans
19,4 
17,7 
30-44 ans
16,9 
14,9 
15-29 ans
13,2 
18,1 
0-14 ans
16,4 
Château d'eau. Déconstruction, été 2022

Économie et industrie[modifier | modifier le code]

L'entreprise Defontaine, spécialisée dans la fabrication de composants pour les industries aéronautique et automobile (149M € CA, 700 p.)[37], est installée sur la commune.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le château d'eau
Au lieu-dit << Les Quatre Routes >>, se dressait l'un des plus hauts châteaux d'eau du monde. Prévu pour alimenter 72 communes, il s'élevait à 62 m. Sa cuve avait 30 m de profondeur pour un volume de 6 000 m3 et le diamètre de sa tour était de 19,50 m . Pendant sa construction cinq ouvriers décèdent lors d'un tragique accident. La construction se termine en 1960. À cette époque, le château d'eau de La Bruffière était le plus haut de France et le second plus haut d’Europe[38]. Il a été déconstruit en 2022.
  • L'église
L'église Sainte-Radegonde.
L'actuelle église Sainte-Radegonde fut construite en 27 mois et achevée en avril 1891 sous la conduite de l'architecte nantais René Michel Menard (1843-1895). Elle fut en grande partie financée et érigée par la cardinal Richard, de Paris, possédant le château de l'Echasserie. Elle appartient au style néo-roman mais l'intérieur de l'édifice pencherait plus vers le roman-byzantin par le choix des matériaux et de leur agencement. Les voûtes du chœur sont particulièrement remarquables[39].
Le premier seigneur connu de l'Echasserie, Guillaume Sauvage, cède ce domaine aux templiers, au début du XIIIe siècle. Ces derniers le revendent très vite aux Charbonneau qui l'occuperont pendant quinze dynasties, jusqu'en 1738. Ce château devient bientôt la résidence de Charles Serventeau, premier maire de la Bruffière, qui fut assassiné dans des circonstances obscures (probablement par les jeunes paysans de la commune exaspéré par le révolutionnaire qu'il était) le 11 mars 1793[41].
Louis François Richard de la Vergne achète l'Echasserie et les dépendances en 1806. Son plus jeune fils, François Richard de La Vergne, reçoit la calotte de cardinal de Paris en 1889 par le pape Léon XIII. Il achève la construction du Sacré-Cœur de Montmartre. Par héritages successifs, uniquement par les femmes, le château devient la propriété de Jeanne de Quatrebarbes, épouse du marquis Guy du Rosel de Saint-Germain, propriétaire actuelle
  • Le logis de La Grange
En février 1796, Charette y soutient l'un de ses derniers combats. Alors qu'il s'y repose avec ses troupes, il manque de peu d'y être capturé. Protégé par son arrière-garde (qui sera anéantie dans la fusillade), il parvient à s'échapper par une porte dérobée[réf. nécessaire].
  • Les 3 monuments aux morts : celui de la commune, qui compte 139 noms, au cimetière du bourg, de la paroisse, à l'église Sainte-Radégonde où sont répertoriés 116 noms, dont les prêtres, et au cimetière de Saint-Symphorien, qui comporte 24 noms. Ces monuments commémorent les Morts pour la France de la Première Guerre mondiale, de la Seconde, de la Guerre d'Indochine et de la Guerre d'Algérie[42]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Vincent Ansquer (1925-1987), maire de La Bruffière, conseiller général, député, président du conseil régional, membre du Parlement européen, fondateur du Prix national de l’art de Vivre, ministre du Commerce et de l’Artisanat de 1974 à 1976 sous le gouvernement Chirac puis ministre de la Qualité de la Vie de 1976 à 1977 sous le gouvernement Barre.
  • Le cardinal François-Marie-Benjamin Richard de La Vergne (1819-1908), archevêque de Paris à partir de 1886. Il achève la construction du Sacré-Cœur de Montmartre et le consacre. Il reçoit la calotte de cardinal des mains du pape Léon XIII en 1889.
  • L'abbé Hippolyte Boutin (1849-1901), prêtre, auteur d'ouvrages de piété et d'histoire locale.
  • Le chanoine Georges Duret (1887-1943), opposant à l'État Français, appelé par certains « un martyr de la résistance », écrivain, poète, philosophe, critique d'art et homme d'Église[43].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
D'azur aux trois macles d'or accompagnées de trois fleurs de lys du même mal ordonnées.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Commune 19846 », Géofla, version 2.2, base de données de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
  2. « La Bruffière », Répertoire géographique des communes, fichier de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre La Bruffière et Saint-Fulgent », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « St-Fulgent_sapc », sur la commune de Saint-Fulgent - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « St-Fulgent_sapc », sur la commune de Saint-Fulgent - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de La Bruffière », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Montaigu-Vendée », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Jean-Loïc Le Quellec, Dictionnaire des noms de lieux de la Vendée, La Crèche, Geste Éditions, coll. « Geste Poche » (no 14), , 3e éd. (1re éd. 1995), 443 p. (ISBN 2-84561-263-X), p. 68.
  19. Jean Ogée et A Marteville, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, t. 1, Mollies, , 1520 p. (présentation en ligne), p. 400.
  20. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. « Commune de La Bruffière (85039) », Géographie administrative et d’étude (Code officiel géographique), sur insee.fr, (consulté le ).
  22. « Les maires de Bruffière (La) », sur francegenweb.org (consulté le ).
  23. « Les maires de La Bruffière », sur Geneawiki (consulté le 22 janvier 2024).
  24. « Il y a 230 ans, le premier maire de cette commune de Vendée était abattu d’un coup de fusil », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  25. Archives de la Vendée, page de gauche
  26. « Pierre Théophile « Théophile » Plessy (1859-1951) », Aieux Morris (consulté le ).
  27. « Théophile Marie Marius « Théophile » Plessy (1892-1990) », Aieux Morris (consulté le ).
  28. « Le premier adjoint André Boudaud est tête de liste », Ouest France,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le maire, Denis Moinet, ne souhaitait pas renouveler son mandat. (...) Actuellement à la retraite du secteur bancaire ou j'ai exercé plusieurs postes de direction d'agence, j'ai la disponibilité pour mener à bien ce nouvel engagement au service des autres. J'ai été élu au conseil municipal en 2008, avec la responsabilité de premier adjoint ».
  29. Réélu en 2008 : [PDF] Site officiel de la préfecture de la Vendée - Liste des maires en 2008
  30. « André Boudaud prend ses nouvelles fonctions de maire », Ouest France,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le vote, sans surprise et à l'unanimité du conseil municipal, s'est déroulé vendredi, salle de l'Ehpad résidence l'Étoile du soir ».
  31. « La Bruffière. Jean-Michel Bregeon est le nouveau maire », Ouest France,‎ (lire en ligne).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Bruffière (85039) », (consulté le ).
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Vendée (85) », (consulté le ).
  37. « Cinq entreprises vendéennes bénéficiaires du Fonds de modernisation automobile et aéronautique », Les Échos,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  38. « PSS / Château d'eau de La Bruffière (La Bruffière, France) », sur pss-archi.eu (consulté le ).
  39. « L'église Sainte-Radegonde », notice no PA85000027, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  40. « Le Château de l'Échasserie », notice no PA00110061, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. « Généalogie de Charles André Augustin SERVANTEAU », sur Geneanet (consulté le ).
  42. « Réunis, les anciens combattants commémorent l'année 1914 », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  43. « Bibliothèque historique », sur Les archives de la Vendée (consulté le ).