Brucamps — Wikipédia

Brucamps
Brucamps
L'ancienne école communale.
Blason de Brucamps
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Abbeville
Intercommunalité CC Ponthieu-Marquenterre
Maire
Mandat
Marcel Gamard
2020-2026
Code postal 80690
Code commune 80145
Démographie
Population
municipale
144 hab. (2021 en augmentation de 2,13 % par rapport à 2015)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 04′ 24″ nord, 2° 03′ 29″ est
Altitude Min. 54 m
Max. 115 m
Superficie 6,37 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Rue
Législatives 1re circonscription de la Somme
Localisation
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Brucamps
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Brucamps
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Brucamps

Brucamps est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

La Rue de Vauchelles se prolonge par la Grande Rue.

Brucamps est un village rural picard du Ponthieu situé dans une vallée sèche entaillant le plateau surplombant en rive droite la vallée de la Somme, à 5 km à l'est d'Ailly-le-Haut-Clocher, 18 km à l'est d'Abbeville et 30 km au nord-ouest d'Amiens.

Localisation[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 819 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bernaville à 10 km à vol d'oiseau[3], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 877,3 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Brucamps est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (88,6 %), prairies (5,9 %), zones urbanisées (4,1 %), forêts (1,4 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Burchamp en 1118 ; Burcampus au XIIIe siècle ; Bruncamp en 1289 ; Burcamp en 1301 ; Brucamps en 1337 ; Brusquant en 14.. ; Brucamp en 1507 ; Bruchamps en 1753 ; Boucamps en 1763[13].

Il s'agit d’une formation toponymique médiévale en -camp, forme normanno-picarde correspondant à champ en français central. Ce type de formation a subi l'influence de la syntaxe germanique qui veut que le déterminé soit toujours placé derrière le déterminant. L'identification du premier élément Bru- est plus problématique, Albert Dauzat qui ne cite pas de forme ancienne penche pour un anthroponyme germanique, c'est pourquoi il suggère Brun-[14] (il a dû avoir connaissance de la forme Bruncamp de 1289). Ernest Nègre préfère proposer un appellatif d’oïl bru « bruyère », d'où le sens global de « champs de bruyère »[15].

Histoire[modifier | modifier le code]

Des enclos antiques ont été retrouvés à Brucamps[16],[17],[18].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Abbeville du département de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton d'Ailly-le-Haut-Clocher[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Rue

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de la Somme.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Brucamps était membre de la petite communauté de communes du Haut-Clocher, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité fusionne avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes Ponthieu-Marquenterre, dont la commune est désormais membre.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
  mars 2001 Bernard Gamard    
mars 2001 2014 Odette Theval[20] NC Secrétaire
2014[21] En cours
(au 8 octobre 2020)
Marcel Gamard   Fils de Bernard Gamard
Réélu pour le mandat 2020-2026[22]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].

En 2021, la commune comptait 144 habitants[Note 3], en augmentation de 2,13 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
438437453462495495478461485
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
496500491455411414354367320
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
290282266202195194172198173
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
161159133124121109134137142
2017 2021 - - - - - - -
139144-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école intercommunale Victor Hugo a été édifiée à Ailly-le-Haut-Clocher en 2009. Elle scolarise 303 élèves au cours de l'année scolaire 2014-2015 et regroupe des écoliers d'Ailly-le-Haut-Clocher, Brucamps, Domqueur, Ergnies, Long, Mouflers, Yaucourt-Bussus[26].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Martin[27],[28]. L'édifice actuel date de 1902. L'ancienne église était située à un autre endroit du village, un peu plus en hauteur, comme l'atteste encore la rue de l'Église. Son implantation précise (à l'angle formé par cette rue et la rue du Four) est, bien entendu, visualisable sur le plan cadastral napoléonien de 1812[29]. La plaque de fondation en cuivre de cette ancienne église, datant de 1562, a été conservée[30]
L'église Saint-Martin.
  • L'école communale, désormais fermée[Note 4] pour des raisons de très faible effectif et de réduction de postes d'enseignants, est encore reconnaissable par son nom gravé en bandeau sur toute la largeur en haut du porche d'entrée de la cour. Sa particularité (et son intérêt au titre du |patrimoine local) est la présence d'un clocheton, sur le toit du bâtiment au fond de la cour de récréation, qui abrite encore sa cloche dont le mécanisme fonctionne encore[31]. L'instituteur, qui avait dû jadis être confronté à de fréquents problèmes de ponctualité de ses élèves, sonnait la cloche pour signaler aux enfants et à leurs parents, accaparés par les travaux à la ferme ou dans les champs, la reprise imminente de la classe.
  • Plusieurs imposants corps de fermes, en brique, avec bâtiments d'habitation présentant l'aspect de véritables maisons de maîtres (brique et pierre avec motifs décoratifs sculptés, dimensions et nombre de pièces, étage) témoignent de la richesse relative des exploitants agricoles et propriétaires au XIXe siècle[32] et jusqu'à la Seconde Guerre mondiale.
Le mur de l'ancienne mare et l'entrée « en arrondi » d'une ferme.

Il est à remarquer que plusieurs de ces fermes ont leur portail d'entrée encadré de part et d'autre de granges, d'étables ou d'écuries sans angle, mais en arrondi. Cela a été conçu, non dans un but esthétique ou pour une raison architecturale quelconque, mais pour un évident souci pratique et fonctionnel. Il s'agissait d'éviter au mieux les chocs répétés des chariots, de leurs roues et de leurs essieux contre les murs lors du passage des attelages par le portail. L'expérience avait montré en effet que, vu l'importance et la charge du chariot, la largeur de la rue, la maîtrise du charretier et la fougue de certains chevaux, l'emploi de simples chasse-roues ne pouvait suffire à préserver durablement l'intégrité du bâtiment à cet endroit.

Porche d'une ancienne fermette, témoin fragile et condamné d'un mode de vie rural aujourd'hui disparu.

Si ces bâtisses contrastent avec d'autres exploitations bien plus modestes (dans le village même ainsi que dans les environs) de type « fermettes » avec simples murs en torchis sur ossature de bois, elles sont vouées tout comme ces dernières à la disparition à plus ou moins long terme. Depuis les bouleversements du monde rural liés à la mécanisation, à l'agriculture intensive et à la réduction impressionnante du nombre d'actifs agricoles dès les années 1970, les équipements en locaux ne sont plus du tout adaptés. Si la fonction ne se justifie plus, et si le désir de préserver ce patrimoine architectural local ne se développe pas, au prix bien entendu de choix financiers non négligeables, une partie de l'identité du village sera définitivement perdue.

  • La mare traditionnelle des villages picards ne disposant pas de rivière, a été comblée et transformée en pelouse. Sa fonction principale d'abreuvoir pour le bétail et de réservoir en cas d'incendie a été jugée dépassée depuis l'installation de l'eau courante et des progrès divers (moyens de communications, motorisation et puissance des pompes, réorganisation des services de lutte contre les incendies). Contrairement à d'autres communes, la municipalité n'a pas jugé utile de maintenir sa mare en état et de la mettre en valeur par des plantations, des fleurs et des oiseaux en semi-liberté (canards, oies, cygnes). Pourtant, le mur qui l'entoure n'a pas été démonté et témoigne encore de son existence récente.
Colombier à l'abandon dans une cour de ferme.
  • Colombiers. Certains sont abandonnés et menacent ruine, d'autres sont restaurés et parfaitement mis en valeur, sans pour autant être rendus à leur vocation première.
  • Monument aux morts. Il se dresse sur une petite place, à l'angle de la Grande Rue et de la rue du Four.
Le monument aux morts.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de la commune se blasonnent ainsi[33] :

de sinople au lion d'or, armé et lampassé de gueules.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. L'école a été définitivement fermée pour la rentrée scolaire 2010.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Brucamps et Bernaville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Bernaville » (commune de Bernaville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Bernaville » (commune de Bernaville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique du département de la Somme, p. 175, tome 1, Archives départementales de la Somme (lire en ligne sur Gallica) [1].
  14. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 120b
  15. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations pré-celtiques, celtiques, romanes, Genève, Droz, , p. 264.
  16. Bertrand Le Boudec et Hélène Izembart, Atlas des paysages de la Somme, t. II : Six structures paysagères, Amiens, Direction régionale de l'environnement de Picardie, , 320 p. (lire en ligne [PDF]), p. 22.
  17. Archéologie aérienne : photographie de Roger Agache : « Deux enclos circulaires dont un avec fossé très large et petite couronne à l'intérieur. Plus au sud, autres enclos circulaires diffus », notice no ARR22_648022354ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  18. Archéologie aérienne : photographie de Roger Agache : « Grande villa gallo-romaine orientée au sud. Monnaies et céramique attestent une occupation au Haut-Empire », notice no ARR22_64802212ZA, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  19. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Olivier Bacquet, « L’ancien maire de Brucamps Odette Théval est décédée : Maire de Brucamps jusqu'en 2014, Odette Théval est décédée jeudi dernier, à l'âge de 72 ans », Le Journal d'Abbeville,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Maire de Brucamps jusqu’en 2014, Odette Théval était une figure du Haut-Clocher, impliquée dès sa création dans l’association des maires du canton, dont elle fut la première secrétaire (...) En 2014, son mari Christian avait tenté de lui succéder à la mairie. Mais c’est l’autre liste qui avait été élue, et c’est à Marcel Gamard (réélu dimanche dernier) qu’Odette Théval a transmis son écharpe de maire. Cette écharpe qu’elle avait reçu des mains d’un certain Bernard Gamard, père de l’actuel maire ».
  21. « Liste des maires de la Somme » [PDF], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  22. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Bulletin municipal de Long, juillet-août 2015.
  27. Clochers.org
  28. 40000clochers.com
  29. Plan consultable en ligne, sur le site des Archives Départementales.
  30. « Plaque commémorative de fondation », notice no PM80000381, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  31. Information recueillie sur place, en février 2011, auprès du propriétaire (ou locataire) actuel.
  32. La monographie rédigée vers 1900 par l'instituteur, M. Delhomel (consultable en ligne sur le site des Archives Départementales) mentionne cette aisance de plusieurs exploitants agricoles. « Le principal propriétaire possède 135 hectares, deux exploitations sont supérieures à 50 ha et cinq supérieures à 25 ha ... Il y a progrès dans l'outillage et les méthodes agricoles. Quelques fermes importantes possèdent des outils perfectionnés. »
  33. « 80 145 - BRUCAMPS », sur armorialdefrance.fr, (consulté le ).