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Deutsch6e division d'infanterie nord-africaine — Wikipédia
| 6e division d'infanterie nord-africaine | |
| Création | |
|---|---|
| Dissolution | |
| Pays |  France |
| Branche | Armée de terre |
| Type | Division d'infanterie nord-africaine |
| Rôle | Infanterie |
| Guerres | Seconde Guerre mondiale |
| Commandant historique | Joseph de Verdilhac |
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La 6e division d'infanterie nord-africaine (6e DINA) est une division d'infanterie de l'armée de terre française qui a participé à la Seconde Guerre mondiale.
Les chefs de la 6e DINA[modifier | modifier le code]
La division est commandée par le général Joseph de Verdilhac pendant toute la durée de son existence[1].
Composition[modifier | modifier le code]
- 9e régiment de tirailleurs marocains, de novembre 1939 à juin 1940
- 21e régiment de tirailleurs algériens, de novembre 1939 à juin 1940
- dont 13e compagnie de pionniers
- 24e demi-brigade de chasseurs, de novembre 1939 à avril 1940[2] :
- 11e régiment étranger d'infanterie, d'avril à juin 1940[3]
- 96e groupe de reconnaissance de division d'infanterie
- 6e régiment d'artillerie nord-africaine
- 10e batterie divisionnaire antichar (canons de 47)[2]
- 206e régiment d'artillerie lourde nord-africaine
- Parc d'artillerie divisionnaire no 96[2] :
- 96e compagnie d'ouvriers
- 96e section de munitions hippomobile
- 296e section de munitions automobile
- Compagnies de sapeurs-mineurs 96/1 et 96/2 (96e bataillon du génie avant le 16 novembre 1939)[2]
- Compagnie hippomobile du Train 96/15[2]
- Compagnie automobile du Train 196/15[2]
- Groupe d'exploitation divisionnaire 96/9 (intendance)[2]
- 96e groupe sanitaire divisionnaire[2]
Historique[modifier | modifier le code]
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La 6e DINA est créée le [2] dans la région de Chaumont-Porcien, Château-Porcien et Montcornet[1].
La 6e DINA est à l'est de la percée de Sedan lors de la percée allemande mi-mai 1940. À partir du 10 juin, la 6e DINA tente de se replier vers le Sud[4].
Elle est encerclée en Meurthe-et-Moselle[5] et se rend entre le (avec le groupement Dubuisson (sl)) et le 23 juin 1940 (derniers éléments, à Ochey)[1].
Notes et références[modifier | modifier le code]
- « Les troupes d'Afrique dans la guerre 39-40 », Historama, no HS 10 « Les Africains 1830-1960 »,
- GUF vol. 2, p. 927.
- Pierre Montagnon, Histoire de la Légion de 1831 à nos jours, Pygmalion, (ISBN 978-2-7564-0901-6, lire en ligne), « Le 11e REI »
- Éric de Fleurian, Parcours de guerre de la 6e division d'infanterie nord-africaine - 21e RTA, 6e RTM, , 9 p. (lire en ligne)
- Éric de Fleurian, Deuxième guerre mondiale, campagne de France 1939-1940 : participation des régiments de tirailleurs, (1re éd. 2014) (lire en ligne)
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Service historique de l'Armée, Les grandes unités françaises : historiques succincts (GUF), vol. 2, Imprimerie nationale, (lire en ligne).
Liens externes[modifier | modifier le code]
- « Armée de terre française de 1940 », sur atf40.fr (consulté le ).
- « Les tirailleurs d'hier et d'aujourd'hui », sur les-tirailleurs.fr (consulté le ).
