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DeutschWilliam Ward (graveur) — Wikipédia
Ne pas confondre avec son fils, William James Ward.
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| Parentèle | George Morland (beau-frère) |
William Ward, ARA, né en 1766 à Londres, et mort le , est un graveur anglais en manière noire et au pointillé.
Biographie[modifier | modifier le code]
William Ward naît en 1766 à Londres[1]. Il est le fils de James et Rachel Ward, et le frère aîné de James Ward, peintre.
Il est d'abord élève de J. Raphael Smith Smith, puis son collaborateur[1].
William Ward est nommé graveur du duc d'York, du prince de Galles, et devient un membre associé de la Royal Academy[2].
Le frère de William Ward, James Ward, était l'un des artistes les plus remarquables de l'époque, son style singulier et sa grande habileté le placent au-dessus de la plupart de ses contemporains, influençant de façon marquée la croissance de l'art britannique. Considéré comme l'un des grands peintres animaliers de son temps, James réalise des peintures historiques, des portraits, des paysages et des genres. Il a commencé comme graveur, formé par William, qui grava plus tard une grande partie de son travail. Le partenariat de William et James Ward produisit des œuvres d'une grande habileté technique et de grande qualité artistique[3].
Il est marié à Maria Morland, sœur de George Morland, avec qui il a deux enfants : Martin Theodore Ward, mort en 1874, et William James Ward, mort en 1840.
William Ward meurt subitement le [1].
- Manière noires de William Ward
-
Vente De Lapins (1796). -
Laborieux Des Propriétaires De Chalets (1801). -
Rhume Des Décideurs (1793). -
Les filles de Sir Bart Thomas Frankland (1797). -
Portrait de James Ferguson (1818).
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Notes et références[modifier | modifier le code]
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « William Ward (engraver) » (voir la liste des auteurs).
- Bénézit 1924, p. 1038.
- Chisholm 1911.
- (en) Julia Davis Frankau, William Ward, A.R.A., James Ward, R.A., their lives and works, Macmillan, .
Annexes[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- (en) Hugh Chisholm, « Ward, William », dans Encyclopædia Britannica, Cambridge University Press, (lire en ligne).
- Emmanuel Bénézit, « Ward (William), le vieux », dans Dictionnaire critique et documentaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs de tous les temps et de tous les pays, t. 3, Paris, Gründ, , 1160 p. (lire en ligne), p. 1038.
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Ressources relatives aux beaux-arts :
- Ressource relative à la musique :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
