Saint-Mesmin (Vendée) — Wikipédia

Saint-Mesmin
Saint-Mesmin (Vendée)
Chapelle de l'Audrière.
Blason de Saint-Mesmin
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Vendée
Arrondissement Fontenay-le-Comte
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Pouzauges
Maire
Mandat
Anne Roy
2020-2026
Code postal 85700
Code commune 85254
Démographie
Gentilé Saint-Mesminois,
Mesminois
Population
municipale
1 754 hab. (2021 en augmentation de 0,11 % par rapport à 2015)
Densité 66 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 47′ 39″ nord, 0° 43′ 59″ ouest
Altitude 178 m
Min. 142 m
Max. 248 m
Superficie 26,46 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pouzauges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Herbiers
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web Site officiel saintmesmin.fr

Saint-Mesmin est une commune française située dans le département de la Vendée, en région Pays de la Loire.

Ses habitants sont appelés les Mesminois(es).

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Saint-Mesmin est située à l'est du département de la Vendée, proche de « la Gâtine » aux limites des Deux-Sèvres à 6 km de Cerizay au nord-est et à 8 km de Pouzauges à l'ouest.

Le territoire municipal de Saint-Mesmin s'étend sur 2 646 hectares dans le « Haut-Bocage » vendéen.

L'altitude allant de 142 mètres à 258 mètres sur le massif granitique de la commune, l'altitude moyenne est de 178 mètres[1],[2].

Les communes limitrophes sont Montravers, Cerizay et Saint-André-sur-Sèvre dans les Deux-Sèvres, et en Vendée, La Pommeraie-sur-Sèvre, Pouzauges et Montournais.

Selon le classement établi par l'INSEE en 1999[3], Saint-Mesmin est une commune rurale non polarisée, qui ne fait donc partie d’aucune aire urbaine, ni d’aucun espace urbain.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée » et « Poitou-Charentes »[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 846 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Cholet à 32 km à vol d'oiseau[6], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 772,5 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Mesmin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pouzauges, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (95,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (48 %), prairies (30,1 %), terres arables (17,2 %), zones urbanisées (3,4 %), forêts (1,3 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Saint-Mesmin, du latin « Sancti Maximini » voire « Sanctus Maximinus », comme il apparaît sur les cartes anciennes.

L'église porte le nom de Saint-Maximin. Le nom serait lié à Saint-Maximin, originaire de Silly, village situé à 70 kilomètres au nord-est, vers Loudun dans la Vienne et qui fut, vers 341/342, le cinquième évêque de Trèves, ville située sur la Moselle en Rhénanie-Palatinat.

Durant la Révolution, la commune porte le nom de Beauvallon-sur-Sèvre[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

XIIe siècle[modifier | modifier le code]

En 1179, apparaissent les noms des églises de Saint-Mesmin-le-Vieux « ecclesiam Sancti Maximini veteris » et de Saint-André-sur-Sèvre « ecclesiam Sancte Andree super separim » sur une liste parmi 127 autres églises, possessions confirmées dans une bulle pontificale du pape Alexandre III à destination de l'abbaye de Saint-Jouin-de-Marnes, du Diocèse de Poitiers.

XIIIe siècle[modifier | modifier le code]

La famille De Montfaucon est Seigneur de Saint-Mesmin et construit le château[modifier | modifier le code]

Le , il est fait pour la première fois mention de la famille De Montfaucon comme seigneur de Saint-Mesmin « en la cour de Jean de Montefalconis, militis, domini Sancti Maximini » se traduisant par « en la cour de Jean de Montfaucon, chevalier, Seigneur de Saint-Mesmin ».

Les armes de la famille de Montfaucon sont « Vert au lion d'or » vraisemblablement à cette date, puis « De sinople au lion d'or » à partir de l'apparition du sinople après le milieu du XIVe siècle.

La construction du château se situe au milieu du XIIIe siècle ; bien que le château n'ait pas de traits architecturaux de cette époque, les prélèvements archéologiques effectués sur les fondations s'apparentent au XIIIe siècle.

XIVe siècle[modifier | modifier le code]

La guerre de Cent Ans[modifier | modifier le code]

En 1360, au début du siècle de conflit entre les Plantagenêts et les Capétiens, pendant la guerre de Cent Ans qui opposa les Anglais et les Français, Jehan de Montfaucon, le , est dit chevalier et seigneur de la terre de Saint-Mesmin, et de la Fosse, dans la commune de Mouilleron-en-Pareds, bailliage de Vouvant et Mervent.

Ordonnance royale du 19 juillet 1367[modifier | modifier le code]

Une ordonnance royale du prescrit de fortifier les places fortes du Poitou.

Le château, dont la construction se situe au milieu du XIIIe siècle, s'élève véritablement sur cette place forte à consolider.

Fortification pour la guerre, mais aussi dans le but de repousser les mercenaires désœuvrés qui, en période de paix, se livrent au pillage dans les campagnes, violant et colportant des maladies en bandes organisées, attendant d'être au service d'une armée d'un roi qui reprendrait le conflit. Cinq souterrains refuges ont été inventoriés aux lieux-dits : Purchain, Montboisé, l'Audrière, la Grossière, la Limouzinière[17].

En 1370, Pierre de Montfaulcon, chevalier, épouse Jeanne de Bazoges ; leur fille, Ide, est l'épouse de Guillaume II d'Appelvoisin, chevalier de l'ordre du Tiercelet, seigneur d'Appelvoisin (Saint-Paul-en-Gâtine, 79) et du Bois Chapeleau (La Chapelle-Thireuil, 79) qui servit en 1385 dans la compagnie de Guillaume L'Archevêque, sire de Parthenay.

À la suite de l'ordonnance de 1367, Pierre De Montfaucon aurait entrepris d'importants travaux de fortification du château de Saint-Mesmin, entre 1372 et 1375.

Familles successives, Seigneurs de Saint-Mesmin et du château[modifier | modifier le code]

XVIe siècle[modifier | modifier le code]

En 1513 - Famille Du Plessis de la Bourgognière. Louise de Montfaucon, fille de Jacques De Montfaucon et de Marie de Feschal, se marie à Charles Du Plessis de la Bourgognière.

En 1575 - Famille De Vaudrey de Saint-Phal. La seigneurie passe par mariage dans la famille De Vaudrey de Saint-Phal, qui le conservera jusqu'en 1650.

XVIIe siècle[modifier | modifier le code]

En 1650 - Famille Petit de la Guierche. Le , Gilbert Petit, chevalier, conseiller du roi, acquiert la terre Saint-Mesmin auprès de Georges de Vaudrey de Saint-Phal.

XVIIIe siècle[modifier | modifier le code]

La famille Petit de la Guierche fait de Saint-Mesmin un Marquisat[modifier | modifier le code]

En 1705, Hardy Petit de la Guierche est, sans aucun doute, à l'origine du marquisat du château.

Alexis-Henry Petit est l'unique enfant de Marie et Hardy Petit. En 1717, dans une procuration d'hommage qu'il fait à la Chambre des Comptes de Paris, il déclare posséder le marquisat de Saint-Mesmin.

En 1755 - Famille De Vasselot. Alexis-Françoise Petit épouse Messire Jacques-René-François-Marie de Vasselot, chevalier et seigneur, marquis d'Anne-Marie.

Révolution française, Guerre de Vendée[modifier | modifier le code]

Passage des Colonnes Infernales de la seconde division à Saint-Mesmin[modifier | modifier le code]

Au cours de la guerre de Vendée, un courrier de Parthenay annonce que l'ennemi, les républicains qui sont surnommés les bleus, cerne la Chataîgneraie ; l'armée de la révolution s'est emparé de Réaumur, Montournay, Mouilleron, Chavaigne, Tillais et Saint-Mesmin.

La 2e division est commandée par Grignon, son second Lachenay en commande la quatrième colonne, partant de Bressuire pour arriver les 26 et .

Après la destruction de Saint-André-sur-Sèvre le , pendant la nuit, les patriotes de Saint-Mesmin apprennent que Lachenay a l'intention de faire massacrer tous les habitants de la commune à cinq heures du matin le . Cependant grâce à la prise de conscience de certains soldats de la colonne, les habitants parviennent à s'enfuir, seul un couple de personnes âgées et leur domestique sont sabrés.

Incendie du château[modifier | modifier le code]

Le , un détachement des Colonnes Infernales sous les ordres de Brisset, incendia le château, seule une vieille demoiselle de Vasselot qui l'occupait pendant la Révolution est tuée. L'armée de la révolution se dirige ensuite vers Pouzauges.

En 1796, Combat entre les Armées Républicaines et les Vendéens.[modifier | modifier le code]

Le , un combat entre les armées républicaines et les vendéens a de nouveau lieu à Saint-Mesmin et au château de Saint-Mesmin.Une quarantaine de Vendéens avec à leur tête Louis Péault, sergent, garde-chasse du marquisat de Saint-Mesmin, attaquent un détachement républicain comprenant 250 hommes commandés par l'adjudant général Cortez. À la suite d'une contre-attaque, Cortez tente d'encercler les Vendéens qui se replient vers le château de Saint-Mesmin où ils s'enferment pour résister.

Du 21 au , les assauts des troupes républicaines sont sans résultats probants. Mais par manque de vivres, les Vendéens acceptent de se rendre. On leur promet la vie sauve. La quarantaine de Vendéens est emmenée à la Châtaigneraie où le chef d'état-major ordonne à Bonnaire, de réunir un conseil militaire pour les juger et les fusiller, malgré la promesse de vie sauve qui leur avait été faite.

Fort heureusement, le général Hoche, commandant en chef des troupes de l'Ouest, prévenu de l'incident, exigea et obtint de ses subordonnés le respect des clauses de la capitulation. Les Vendéens furent alors dirigés vers Fontenay-le-Comte, puis vers Noirmoutier où ils restèrent jusqu'à la fin de la guerre.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
De sinople au lion d'or, au chef bastillé du même chargé d'un rencontre de bœuf de sable, accosté de deux marrons du même dans leurs bogues de sinople, feuillés du même.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le château de Saint-Mesmin, (situé sur la commune de Saint-André-sur-Sèvre) est une ancienne forteresse médiévale du XIIIe siècle munie d'un donjon de 28 mètres de haut construit au XVe siècle. Le château est ouvert au public l'été et des animations médiévales y sont organisées.
  • L'église Saint-Maximin
  • La mairie
  • La gare de Saint-Mesmin-le-Vieux (démolie en 2018)
  • Le plan d'eau des Morineaux


Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1959 Emile Delaroche    
1959 1979 Joseph Picard    
1980 1991 Joseph Soulard    
1993 Maxime Picard[20]    
André Biteau[21]   Enseignant

(démissionnaire)
Freddy Sarrazin[22],[23]   Technicien avicole
Philippe Paillat[24]   Agent technique dans une agence routière départementale
En cours Anne Roy[25]   Cadre territorial

Économie[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].

En 2021, la commune comptait 1 754 habitants[Note 3], en augmentation de 0,11 % par rapport à 2015 (Vendée : +4,91 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1005921 1541 2131 2201 1781 1961 3431 313
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3231 3601 4031 5381 6341 7221 8561 8901 872
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 8791 9021 8321 6641 6451 6501 6621 5771 583
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 6121 6361 6281 6821 8111 7471 8451 8581 788
2015 2020 2021 - - - - - -
1 7521 7501 754------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 32,3 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 889 hommes pour 872 femmes, soit un taux de 50,48 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,84 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,0 
90 ou +
1,8 
9,3 
75-89 ans
12,3 
20,3 
60-74 ans
19,9 
24,0 
45-59 ans
23,0 
17,1 
30-44 ans
14,8 
12,1 
15-29 ans
11,0 
16,2 
0-14 ans
17,2 
Pyramide des âges du département de la Vendée en 2020 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,2 
8,5 
75-89 ans
11 
20 
60-74 ans
20,8 
20 
45-59 ans
19,4 
17,7 
30-44 ans
16,9 
14,9 
15-29 ans
13,2 
18,1 
0-14 ans
16,4 

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Didier Guyvarc'h (dir.), Chemins d'historiens. Mélanges pour Robert Durand, Éditions Apogée, Rennes, 1999, en particulier les contributions d'Alain Croix, "Vivre à la Chaignais au XVIIIe siècle" (p. 57-82) dans laquelle sont publiés des documents d'époque et d'Alain Bergerat, "Nos villages" (p. 83-104). Ce livre a été publié par l'association Nantes-Histoire (Nantes).

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Commune 6690 », Géofla, version 2.2, base de données de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
  2. « Saint-Mesmin », Répertoire géographique des communes, fichier de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
  3. Page INSEE [1] « Copie archivée » (version du sur Internet Archive) ; cheminement : sur la petite carte de France, onglet Départements, puis choisir le département, puis menu déroulant Couches d'aide à la sélection
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Saint-Mesmin et Cholet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Cholet », sur la commune de Cholet - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Cholet », sur la commune de Cholet - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pouzauges », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  16. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. * Ses souterrains-refuges Begaud J.-M., Sarrazin J. & V. (2012), Souterrains-refuges du canton de Pouzauges, Vendée, édition ADANE, collections Archéologie des mondes souterrains, 162 p., (ISBN 978-2-9539407-3-2).
  18. Alphonse de Beauchamp, Histoire de la Guerre de la Vendée, ou tableau des guerres civiles de l'Ouest depuis 1792 jusqu'en 1815, Paris, 1820, p. 221 à 225. Dans cet ouvrage, l'auteur consacre un long passage à Vasselot. Il conte notamment sa carrière, son parcours militaire, la chute du château de Saint-Mesmin qui tint tête à 2000 soldats bleus avec seulement 50 défenseurs, la résistance de Vasselot après la mort de Charette, et son arrestation aussitôt suivie de son exécution. Beauchamp précise : "ce chef [Charette] alors aux abois, Vasselot et Grignon, qu'on peut nommer les derniers vendéens, eurent à soutenir tout le poids de la guerre."
  19. « Vendée : Jamy Gourmaud raconte son enfance passée à Montaigu », sur actu.fr (consulté le ).
  20. « Ils raccrochent », Ouest-France,‎ .
  21. « André Biteau nouveau maire », Ouest-France,‎ .
  22. « Freddy Sarrazin est élu maire », Ouest-France,‎ .
  23. « Saint-Mesmin : le maire Freddy Sarrazin a démissionné », Ouest-France,‎ .
  24. « Philippe Paillat, 51 ans, nouveau premier édile municipal », Ouest-France,‎ .
  25. « Saint-Mesmin. Anne Roy et son équipe engagées pour l’avenir », Ouest-France,‎ .
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Mesmin (85254) », (consulté le ).
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Vendée (85) », (consulté le ).