Rue Chauveau-Lagarde — Wikipédia

8e arrt
Rue Chauveau-Lagarde
Voir la photo.
La rue Chauveau-Lagarde en 2021.
Voir la plaque.
Situation
Arrondissement 8e
Quartier Madeleine
Début 21, place de la Madeleine
Fin Boulevard Malesherbes
Morphologie
Longueur 163 m
Largeur 10 m
Historique
Création 1824
Dénomination 1824
Géocodification
Ville de Paris 1945
DGI 1955
Géolocalisation sur la carte : Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
Rue Chauveau-Lagarde
Géolocalisation sur la carte : 8e arrondissement de Paris
(Voir situation sur carte : 8e arrondissement de Paris)
Rue Chauveau-Lagarde
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La rue Chauveau-Lagarde est une voie du 8e arrondissement de Paris.

Situation et accès[modifier | modifier le code]

Elle commence au 21, place de la Madeleine et se termine boulevard Malesherbes.

Le quartier est desservi par les lignes 8, 12 et 14 à la station Madeleine.

Origine du nom[modifier | modifier le code]

Claude François Chauveau-Lagarde.

Elle doit son nom à Claude François Chauveau-Lagarde (1756-1841), avocat qui fut le défenseur, sous la Révolution française, de Marie-Antoinette, de Madame Élisabeth et de Charlotte Corday.

Historique[modifier | modifier le code]

Cette voie est ouverte sous sa dénomination actuelle, entre la place de la Madeleine et la rue de l'Arcade, par une ordonnance royale du  :

« il sera ouvert du côté septentrional de la place de la Madeleine, à gauche et dans la largeur de 10 mètres, une rue sous la dénomination de « rue Chauveau-Lagarde », aboutissant au nouveau boulevard Malesherbes ».

Une autre ordonnance, du , décida que cette rue s'arrêterait à celle de la Madeleine. Cependant elle ne fut exécutée que jusqu'à la rue de l'Arcade et fut livrée à la circulation dans le courant de .
En 1844 la rue Chauveau-Lagarde est prolongée jusqu'à la rue de la Madeleine puis entre la rue de l'Arcade et le boulevard Malesherbes par décret du .

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire[modifier | modifier le code]

Plaque de la rue.
No 12.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Les attentats contre des diplomates et des hommes politiques en France depuis 1973 », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  2. Frédéric Encel, « Les vengeurs de Munich », L'Histoire n°306, février 2006, p. 28-29.
  3. Rochegude, op. cit., p. 12.
  4. a et b Protections patrimoniales, 8e arrondissement, Ville de Paris, Règlement du PLU, tome 2, annexe VI, p. 237 à 432.

Bibliographie générale[modifier | modifier le code]

Annexes[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]