Première bataille de Landévant — Wikipédia

Bataille de Landévant

Informations générales
Date -
Lieu Landévant
Issue Victoire des Chouans
Belligérants
Drapeau de la France République française Chouans
Commandants
Jean-Louis Gaspard Josnet de Laviolais Vincent de Tinténiac
Georges Cadoudal
Paul de Lantivy-Kerveno
Forces en présence
1 000 hommes 2 500 à 5 000 hommes

Chouannerie

Coordonnées 47° 45′ 55″ nord, 3° 07′ 14″ ouest
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Bataille de Landévant
Géolocalisation sur la carte : Bretagne (région administrative)
(Voir situation sur carte : Bretagne (région administrative))
Bataille de Landévant
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(Voir situation sur carte : Morbihan)
Bataille de Landévant
Géolocalisation sur la carte : arrondissement de Lorient
(Voir situation sur carte : arrondissement de Lorient)
Bataille de Landévant

La bataille de Landévant se déroula pendant la Chouannerie, lors de l'expédition de Quiberon.

La bataille[modifier | modifier le code]

En 1795, à la suite du débarquement de Quiberon, une armée chouanne forte en tout d'au moins 12 000 hommes, commandée par le comte de Puisaye prit Auray ; une colonne dirigée par Tinténiac occupa Landévant et une autre, forte de 3 000 hommes, placée sous les ordres du comte de Vauban, stationna à Locoal-Mendon, avant d'être attaquée le par les troupes républicaines commandées par le général Hoche[1].

Le 30 juin les républicains passèrent à l'attaque Josnet de Laviolais à la tête de 1 000 soldats attaqua Landévant défendue par Tinténiac avec 2 500 à 5 000 hommes, alors qu'au même moment le général Hoche avec 2 000 hommes assaillait Auray défendue par me division de Bois-Berthelot. Les chouans n'avaient pas la discipline des soldats républicains et n'étaient pas à l'aise dans les batailles rangées, néanmoins l'avantage du nombre leur permit de résister aux bleus lors de la première journée.

Cependant malgré leur victoire les chouans restèrent inactifs car les émigrés refusaient toujours de bouger de Carnac. Pendant ce temps chez les républicains les renforts affluaient des autres départements.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Ernest Cunéo d'Ornano, « Hoche, sa vie, sa correspondance... », (consulté le ).