Nantouillet — Wikipédia

Nantouillet
Nantouillet
Entrée sud du village.
Blason de Nantouillet
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Meaux
Intercommunalité Communauté de communes Plaines et Monts de France
Maire
Mandat
Yannik Urbaniak
2020-2026
Code postal 77230
Code commune 77332
Démographie
Gentilé Nantolétains
Population
municipale
294 hab. (2021 en évolution de +6,14 % par rapport à 2015)
Densité 59 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 00′ 08″ nord, 2° 42′ 13″ est
Altitude Min. 63 m
Max. 118 m
Superficie 5,00 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mitry-Mory
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Nantouillet
Liens
Site web nantouillet.com

Nantouillet est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Géographie

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Localisation

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Le village se situe dans la petite région naturelle de la Goële, à 8,5 km à l'est de Mitry-Mory[Carte 1].

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Nantouillet
Thieux Juilly Montgé-en-Goële
Nantouillet Vinantes
Saint-Mesmes

Géologie et relief

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L'altitude varie de 63 mètres à 118 mètres pour le point le plus haut , le centre du bourg se situant à environ 85 mètres d'altitude (mairie)[1]. La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].

Hydrographie

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de Nantouillet.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de trois cours d'eau référencés :

  • la rivière Beuvronne ou ru de l’abîme (autre toponyme), longue de 23,90 km[3], affluent en rive droite de la Marne ;
    • le ru du Rossignol (ou ru de l'Arzillère), long de 5,40 km[4], affluent de la Beuvronne ;
    • le fossé 01 de Richebourg , 1,46 km[5], qui conflue avec la Beuvronne.

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 4,06 km[6].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Sud-ouest du bassin Parisien » et « Nord-est du bassin Parisien »[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 720 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Plessis-Belleville à 11 km à vol d'oiseau[9], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 661,7 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Milieux naturels et biodiversité

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Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[13],[14],[15].

Au , Nantouillet est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle est située hors unité urbaine[17]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[17]. Cette aire regroupe 1 929 communes[18],[19].

Lieux-dits et écarts

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La commune compte 44 lieux-dits administratifs[Note 2] répertoriés consultables ici[20].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (87,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86,8 %), forêts (7,6 %), zones agricoles hétérogènes (5,5 %)[21].

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[22],[23],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].

Planification

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La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Roissy Pays de France, approuvé le et porté par la communauté d’agglomération Roissy Pays de France[24].

La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme[25].

En 2014, le nombre total de logements dans la commune était de 106 (dont 96,2 % de maisons et 3,8 % d’appartements).

Parmi ces logements, 92,3 % étaient des résidences principales, 3,3 % des résidences secondaires et 4,4 % des logements vacants.

La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 79,6 % contre 16,3 % de locataires[26].

Voies de communication et transports

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La commune est desservie par la gare de Thieux - Nantouillet, située à Thieux sur la ligne de La Plaine à Hirson et Anor (frontière) et desservie par les trains de la ligne K du Transilien (Paris-Nord - Crépy-en-Valois).

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Nantoliolum vers 1161[27] ; J. de Nanteletto en 1207[28] ; Nantholiolum en 1264[29] ; G. de Nantolleto en 1265[30] ; Nantololium en 1266[31] ; Nantoletum en 1270[32] ; Nanthoilletum en 1275[33] ; Nantaulleium[34] et Nantouleium au XIIIe siècle[35] ; Nantollet[36], Nantoillet[37] et Nantoullet au XIVe siècle[38] et 1450[39] ; Nanthoillet en 1463[40] ; Nantoulleit en 1496[41] ; Nantouleit au XVe siècle[42] ; Nanthouillet en 1541[43].

Nantouillet : du celte nanto, voire Nanteuil avec une désinence diminutive[44], le « petit vallon humide ».

Anciennement Nantoletium, le fief appartient au début du XVIe siècle au cardinal Antoine Duprat, prélat et chancelier de François Ier, et auparavant son précepteur. Il y fit édifier l'église ainsi qu'un magnifique château de brique dans le style de la première Renaissance.

Politique et administration

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La mairie.

Tendances politiques et résultats

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Élections nationales

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2008 Dominique Trousselle   agent RATP
mars 2008 2012[46] Bruno Depardieu   Démissionnaire
2012 En cours
(au 16 février 2016)
Yannick Urbaniak   électricien
Vice-président de la CC Plaines et Monts de France (2014[47] → )
Réélu pour les mandats 2014-2020 et 2020-2026

Politique environnementale

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Équipements et services

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Eau et assainissement

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L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [48],[49].

Assainissement des eaux usées

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En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Nantouillet est assurée par la communauté de communes Plaines et monts de France (CCPMF) pour la collecte, le transport et la dépollution[50],[51],[52].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[53]. La communauté de communes Plaines et monts de France (CCPMF) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[50],[54].

Eau potable

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En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté de communes Plaines et monts de France (CCPMF) qui en a délégué la gestion à l'entreprise Suez, dont le contrat expire le [50],[55].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[57].

En 2021, la commune comptait 294 habitants[Note 3], en évolution de +6,14 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
363367325299294263315285280
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
231226206217229212221233249
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
256287260258265250212235256
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
284294208179181264278267267
2015 2020 2021 - - - - - -
277293294------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[58] puis Insee à partir de 2006[59].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

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Enseignement

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La commune ne dispose pas d’école primaire publique (maternelle ou élémentaire)[60].

Revenus de la population et fiscalité

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En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 97, représentant 257 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 23 790 euros[61].

En 2014, le nombre total d’emploi dans la zone était de 41, occupant 149 actifs résidants (salariés et non-salariés) .

Le taux d’activité de la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 80,9 % contre un taux de chômage (au sens du recensement) de 5,1 %. Les inactifs se répartissent de la façon suivante : étudiants et stagiaires non rémunérés 10,8 %, retraités ou préretraités 3,1 %, autres inactifs 5,2 %[26].

Entreprises et commerces

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En 2015, le nombre d'établissements actifs était de 25 dont 2 dans l'agriculture-sylviculture-pêche, 4 dans l’industrie, 5 dans la construction, 13 dans le commerce-transports-services divers et 1 étaient relatifs au secteur administratif[62].

Ces établissements ont pourvu 13 postes salariés.

  • Z.A. du moulin de Toussac, un hectare.

Secteurs d'activité

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Agriculture

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Nantouillet est dans la petite région agricole dénommée la « Goële et Multien », regroupant deux petites régions naturelles, respectivement la Goële et le pays de Meaux (Multien)[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 4] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[63].

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[64]. Cette tendance n'est pas confirmée au niveau de la commune qui voit le nombre d'exploitations rester constant entre 1988 et 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations diminue, passant de 219 ha en 1988 à 219 ha en 2010[63]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Nantouillet, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l’agriculture à Nantouillet entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[63],[Note 5]
Nombre d’exploitations (u) 2 2 2
Travail (UTA) 6 6 7
Surface agricole utilisée (ha) 438 484 437
Cultures[65]
Terres labourables (ha) s s s
Céréales (ha) s s s
dont blé tendre (ha) s s s
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) s s
Tournesol (ha) s
Colza et navette (ha) s s s
Élevage[63]
Cheptel (UGBTA[Note 6]) 0 0 0

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Le château.
  • Le château (classé Monument historique[66]) édifié vers 1525 par Antoine Duprat est l'un des premiers châteaux Renaissance construit en Île-de-France. Son enceinte est flanquée de trois tours circulaires et entouré de fossés ; le portail monumental sculpté au décor de pilastres est surmonté d'un linteau sculpté portant des niches aujourd'hui dépourvues de statues sauf le dais central (statue mutilée de Jupiter tonnant avec une devise latine). Le corps de logis composé de trois ailes disposées autour de la cour d'honneur a conservé ses fenêtres à meneaux et des portes sculptées d'arabesques et de coquillages. L'ensemble de l'édifice est malheureusement dans un état assez dégradé.
Tympan du portail occidental de l'église.

Personnalités liées à la commune

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  5. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
  6. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
  7. Au centre du tympan, est rapportée une table de cadran solaire avec des lignes horaires absentes.
  • Cartes
  1. « Localisation de Nantouillet, » sur Géoportail (consulté le 31 mars 2020)..
  2. « Nantouillet - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  3. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Nantouillet » sur Géoportail. Carte IGN classique.
  2. « Plan séisme consulté le 16 mars 2020 ».
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Beuvronne (F6610600) ».
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru du Rossignol (F6611000) ».
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de Richebourg (F6611700) ».
  6. 77332 Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 22 janvier 2019
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Nantouillet et Le Plessis-Belleville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Plessis-belleville » (commune du Le Plessis-Belleville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Station Météo-France « Plessis-belleville » (commune du Le Plessis-Belleville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  13. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Nantouillet », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « Liste des ZNIEFF de la commune de Nantouillet », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « Liste des espaces protégés sur la commune de Nantouillet », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Nantouillet ».
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  20. « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb, (consulté en ).
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  27. Cartulaire Fontaines, fol. 95.
  28. Cartulaire Chaalis, fol. 201.
  29. Archives de l'Oise, H 322.
  30. Layettes Trésor, IV, p. 469.
  31. Bibl. nat., Picardie 314, n° 24.
  32. Archives nationales, S 343.
  33. Archives nationales, S 5186, fol. 33.
  34. Obit. prov. Sens, IV, p. 413.
  35. Obit. prov. Sens, IV, p. 412.
  36. Henri Stein et Jean Hubert, Dictionnaire topographique du département de la Seine-et-Marne, Paris, (lire en ligne), p. 414.
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  38. Bibl. Ville de Paris, nouv. acq. 86, fol. 263.
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  43. Archives nationales, S 986.
  44. Jacques Cellard, Éric Vial - 2017 - Trésors des noms de famille, des noms de villes et de villages - (ISBN 241001223X).
  45. Résultats de l’élection présidentielle 2017 sur le site du ministère de l’Intérieur
  46. Guénaèle Calant, « L’ancien maire condamné », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne).
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  67. « Église Saint-Denis », notice no PA00087161, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.