Chaintreaux — Wikipédia

Chaintreaux
Chaintreaux
Blason de Chaintreaux
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Fontainebleau
Intercommunalité Communauté de communes Gâtinais-Val de Loing
Maire
Mandat
Alexis Kerlo
2020-2026
Code postal 77460
Code commune 77071
Démographie
Gentilé Chanterelliens
Population
municipale
831 hab. (2021 en diminution de 9,48 % par rapport à 2015)
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 12′ 01″ nord, 2° 49′ 14″ est
Altitude Min. 88 m
Max. 133 m
Superficie 23,92 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nemours
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Liens
Site web chaintreaux.fr

Chaintreaux est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est située à environ 5,3 km par la route, au nord-ouest d'Égreville et à 7 km à l'est de Souppes-sur-Loing[1],[Note 1]. Elle est limitrophe avec le département du Loiret.

Localisation de la commune de Chaintreaux dans le département de Seine-et-Marne.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

L'altitude de la commune varie de 88 mètres à 133 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 123 mètres d'altitude (mairie)[2]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune n’est traversée par aucun cours d'eau[4].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 729 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Nemours à 12 km à vol d'oiseau[7], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 690,3 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[11],[12],[13].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Chaintreaux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[14],[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17],[18].

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

La commune compte 152 lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés consultables ici[19] dont :

  • Lepuy, Fraville, la Brosse, Sonville, Lagerville, Chancery, Chamault, Pesiottes, la Malosse, Floé, Hautefeuille, la Rue Chaude, la Grillonnerie, la Grande Borde.
  • Le lieu-dit la Petite Borde a été supprimé lors du remembrement de 2004, il se situait au sud-ouest de la Grande Borde. Il ne subsiste que quelques murs, vestige d'une ancienne ferme.

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (82,9% ), forêts (14,6% ), zones urbanisées (2,2% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,3 %)[20].

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[21],[22],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

Planification[modifier | modifier le code]

La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Nemours Gâtinais, approuvé le et porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Nemours-Gâtinais[23].

La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[24]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le géoportail de l'urbanisme[Carte 3].

Logement[modifier | modifier le code]

En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 425 dont 99,3 % de maisons et 0,5 % d’appartements.

Parmi ces logements, 80,9 % étaient des résidences principales, 11,5 % des résidences secondaires et 7,5 % des logements vacants.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 90,7 % contre 8,1 % de locataires et 1,2 % logés gratuitement[25] -[Note 5].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

Carte des réseaux hydrographique et routier de Chaintreaux.

La commune dispose de 30 kilomètres de voirie communale et est traversée par l’autoroute A6 (aire de repos de Sonville et de Floée) et le départ de l’autoroute A77[26].

Transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la ligne d'autocars No 10 (Bransles – Saint-Pierre-les-Nemours) du réseau de bus Vallée du Loing - Nemours.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Chanterella en 1189[27] ; Parrochia de Chanterello en 1227[28] ; Chantriaus juxta Ferrerias en 1239[29] ; Cheyntriaus en 1244[30] ; Chintriaus vers 1250[31] ; Cheintriaus en 1253[32] ; Chaintraus en 1265[33] ; E. de Chiemtrellis en 1295[34] ; Chintreaulx en 1491[35] ; Chentaulx en 1522[36] ; Chantereaulx en 1575[37] ; Chinteraulx en 1599[38],[31].

Chaintreaux pourrait tirer son nom du terme chaintre signifiant « limite », cette commune se trouvant en limite des seigneuries de Dordives, Mez le Maréchal, Loiret, du Boulay, de Néronville et de Villebéon[26].

Histoire[modifier | modifier le code]

La commune regroupe les anciennes paroisses de Chaintreaux et de Lagerville, cette dernière ayant été absorbée en 1842[39].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1989 mars 2014 Pierre Boyer   Agriculteur
mars 2014 mars 2020 Marie-Claude Souque   Professeur
mars 2020 En cours Alexis Kerlo    

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Équipements et services[modifier | modifier le code]

Eau et assainissement[modifier | modifier le code]

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [40],[41].

Assainissement des eaux usées[modifier | modifier le code]

En 2020, la commune de Chaintreaux ne dispose pas d'assainissement collectif[42],[43].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[44]. Le SIVOM du plateau du Sud Bocage (PSB) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à la SAUR, dont le contrat arrive à échéance le [42],[45].

Eau potable[modifier | modifier le code]

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SIVOM du plateau du Sud Bocage (PSB) qui en a délégué la gestion à la SAUR, dont le contrat expire le [42],[46],[47].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[49].

En 2021, la commune comptait 831 habitants[Note 6], en diminution de 9,48 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
5926245995857187879771 0371 101
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1341 1291 1241 1171 1001 0781 0791 1041 063
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 007973919765774770731685693
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
671576573576674783853854902
2015 2020 2021 - - - - - -
918842831------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[50].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école communale.

La commune dispose d'une école communale (1 classe maternelle et 3 classes primaires)[26].

Associations[modifier | modifier le code]

Association Sportive (tennis de table, gymnastique, atelier musique théâtre), club du troisième âge, association Astronomique, association des Anciens Combattants, société de Chasse[26] Nature et Vie Sud 77.

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 343, représentant 882 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 24 460 euros[51].

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2018 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 111, occupant 400 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 72,6 % contre un taux de chômage de 6,6 %. Les 20,8 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 8 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 7,2 % de retraités ou préretraités et 5,6 % pour les autres inactifs[52].

Secteurs d'activité[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de 53 dont 2 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 8 dans la construction, 12 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 4 dans l’Information et communication, 1 dans les activités financières et d'assurance, 10 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 3 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 13 étaient relatifs aux autres activités de services[53].

En 2020, 7 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 5 individuelles.

Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[54].

Agriculture[modifier | modifier le code]

L’agriculture représente l’activité principale avec une vingtaine d’exploitations de polyculture. Les céréales produites sont le blé, l’orge, le colza et sont collectées par la Coopérative TBG aux silos de Chaintreaux, les betteraves sucrières sont traitées à la sucrerie de Souppes[26].

Chaintreaux est dans la petite région agricole dénommée la « Bocage gâtinais », à l'extrême sud du département[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 7] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[55].

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[56]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 32 en 1988 à 17 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 83 ha en 1988 à 130 ha en 2010[55]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Chaintreaux, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l’agriculture à Chaintreaux entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[55],[Note 8]
Nombre d’exploitations (u) 32 25 17
Travail (UTA) 61 38 23
Surface agricole utilisée (ha) 2 641 2 946 2 206
Cultures[57]
Terres labourables (ha) 2 640 2 945 2 206
Céréales (ha) 1 838 1 969 1 446
dont blé tendre (ha) 1160 1334 776
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 142 86 s
Tournesol (ha) 277 16 25
Colza et navette (ha) 140 361 516
Élevage[55]
Cheptel (UGBTA[Note 9]) 203 427 448

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Chaintreaux Blason
Parti: au 1er d'argent à la croix ancrée de gueules, au 2e à trois lions léopardés d'argent, couronnés d'or, l'un au-dessus de l'autre; le tout sommé d'un chef d'azur chargé d'un huchet d'or accosté de deux fleurs de lys du même.
Détails

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Collectif d’historiens, Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Éditions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Chaintreaux », p. 191–193

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées par la voie routière à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  5. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  8. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
  9. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
  • Cartes
  1. « Chaintreaux - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  2. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  3. « Géoportail de l’urbanisme », sur geoportail-urbanisme.gouv.fr (consulté le ).
  4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. fr.distance.to, consulté le 11 octobre 2021
  2. « Chaintreaux » sur Géoportail. Carte IGN classique.
  3. « Plan séisme consulté le 11 octobre 2021 ».
  4. Site SIGES - Seine-Normandie consulté le 29 juin 2018
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Chaintreaux et Nemours », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Nemours » (commune de Nemours) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Nemours » (commune de Nemours) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Chaintreaux », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « Liste des ZNIEFF de la commune de Chaintreaux », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « Liste des espaces protégés sur la commune de Chaintreaux », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb, (consulté en ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  21. IAU Île-de-France, « Mode d'occupation du sol de l'Île-de-France », sur institutparisregion.fr (consulté le ).
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  23. « Le SCOT Nemours Gâtinais - Historique de l'élaboration », sur smep-nemours-gatinais.fr (consulté le ).
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  28. Richemond, Nemours, I, p. lxx.
  29. Histor. France, XXII, 607.
  30. Bibl. nat., ms. Latin 13892, n° 34.
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  34. de Charmasse, Cart. évêché d'Autun, 1880, p. 340.
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  47. « SIVOM du plateau du Sud Bocage (PSB) - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
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