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DeutschMichel Ringeval (rugby à XV) — Wikipédia
Cet article concerne le joueur et entraîneur de rugby à XV. Pour l'homme d'affaires, voir Michel Ringeval.
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| Naissance | Lourdes (France) |
|---|---|
| Taille | 1,70 m (5′ 7″) |
| Surnom | Migraine |
| Poste | demi de mêlée, ailier, centre |
| Période | Équipe | M (Pts)a |
|---|---|---|
| ????-1966 1966-1972 | FC Lourdes AS Montferrand | ? (?) 58 (35)[1] |
| Période | Équipe | |
|---|---|---|
| 1971-1987 1987-1988 1988-1989 1989-1995 1998-2001 2002-2003 2004-2005 2005-2007 2007-2008 2008-2020 | AS Montferrand RC Vichy US Bressane FC Grenoble FC Grenoble RC Cannes Mandelieu FCS Rumilly Rugby Roma Olimpic Amatori Catane SO Chambéry |
a Compétitions nationales et continentales officielles uniquement.
Michel Ringeval, surnommé migraine[2], né le à Lourdes, est un joueur et entraîneur de rugby à XV évoluant principalement au poste de demi de mêlée mais pouvant jouer également comme ailier ou centre[1].
Il est conseiller sportif au SO Chambéry club de Nationale depuis la saison 2020-2021[3].
Biographie[modifier | modifier le code]
Il joue demi de mêlée au FC Lourdes où son club remporte le Challenge Yves du Manoir en 1966 et à l'AS Montferrand, mais blessé[4], ne participe pas à l'épopée du club jusqu'à la finale du championnat en 1970[5].
À la fin de sa carrière de joueur, il devient entraîneur et officie notamment avec l'AS Montferrand et son « monstre à seize pattes »[6] où il atteint une finale du championnat de France en 1978[1].
Il rejoint ensuite le RC Vichy, puis l'US Bressane.
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Il entraîne par la suite le FC Grenoble sous l'ère des Mammouths de Grenoble[8] avec notamment Jacques Fouroux avec qui il atteint deux demi-finales en 1992 et 1994, et est privé du titre de champion de France en 1993[9], défait 14 à 11[10] par le Castres olympique dans des conditions rocambolesques[11].
Le , il est invité pour entraîner le XV du Président face aux Barbarians français pour le Centenaire du rugby à Grenoble[12].
Après avoir quitté Grenoble en 1995, il y revient en 1999, où Grenoble dispute une autre demi-finale du championnat, en s'appuyant sur un gros pack de « bulldozers »[13] son équipe s'incline à 4 minutes de la fin du match contre l'AS Montferrand[14].
Michel Ringeval est aussi l'entraîneur principal du Stade olympique de Chambéry de 2008 à 2020[15].
Carrière[modifier | modifier le code]
Carrière de joueur[modifier | modifier le code]
- -1966 : FC Lourdes
- 1966-1971 : AS Montferrand
Carrière d'entraîneur[modifier | modifier le code]
- 1971-1987 : AS Montferrand
- 1987-1988 : RC Vichy[16]
- 1988-1989 : US Bressane
- 1989-1995 puis 1998-2001 : FC Grenoble[17]
- 2002-2003 : RC Cannes Mandelieu
- 2004-2005 : FCS Rumilly
- 2005-2007 : Rugby Roma Olimpic[18]
- 2007-2008 : Amatori Catane
- 2008-2020 : SO Chambéry[19]
Palmarès[modifier | modifier le code]
En tant que joueur[modifier | modifier le code]
- Champion de France Reichel en 1960 (FC Lourdes)[20]
- Vainqueur du Challenge Yves du Manoir en 1966 (FC Lourdes)
- Vice-champion de France en 1970 (AS Montferrand)
En tant qu'entraîneur[modifier | modifier le code]
- Vice-champion de France en 1978 (AS Montferrand) et 1993[21] (FC Grenoble)
- Demi-finaliste du Championnat de France en 1992, 1994 et 1999 (FC Grenoble)
- Vainqueur du Challenge Yves du Manoir en 1976 et 1986 (AS Montferrand)
- Finaliste du Challenge Yves du Manoir en 1972, 1979 et 1985 (AS Montferrand) et 1990 (FC Grenoble)
- Vainqueur du Trophée Jean Prat en 2016 (SO Chambery)
- Champion de France de Fédérale 2 en 2013 (SO Chambery)
Distinction[modifier | modifier le code]
- Oscar Midi olympique de Bronze en 1999 (FC Grenoble)
Notes et références[modifier | modifier le code]
- « Michel Ringeval », sur cybervulcans.net (consulté le ).
- Ph. A., « Au royaume des surnoms », sur ladepeche.fr, La Dépêche du Midi, (consulté le ).
- « Michel Ringeval : « Il ne faut pas avoir de regrets » », sur ledauphine.com.
- « Un jour - une finale : 1970, La Voulte sans le pied des Camberabero », sur lequipe.fr, (consulté le ).
- « La Voulte 3-0 Montferrand », sur cybervulcans.net (consulté le ).
- « Historique du club », sur cybervulcans.net, .
- « Pour Olivier Merle, en 1993, Grenoble était "peut-être l’un des plus gros paquets d’avants du monde" », sur ledauphine.com.
- Nicolas Zanardi, « En 1993, les mammouths grenoblois victimes d'une polémique en finale », Midi olympique, .
- « Grenoble 92/93 dur dur d’être un mammouth », sur rucknmaul.wordpress.com, (consulté le ).
- « Souvenir de match : Finale perdue de 1993 », sur fcgrenoble.com, (consulté le ).
- Loïc Colombié, « #SportStory – Rugby / (EP1) M.Ringeval : Entretien avec «la migraine ». », sur le-mag-sport.com, (consulté le ).
- « BARBARIANS VS XV du Président 92 - 34 », sur barbarianrugbyclub.fr.
- « Les bulldozers du Pacifique », sur grenoblecmieux.com (consulté le ).
- Serge Manificat, « L'ASM sur le poteau... », sur cybervulcans.net, (consulté le ).
- « De Clermont à Chambéry, revivez l'immense carrière de Michel Ringeval en images », sur ledauphine.com.
- « Liste des entraîneurs », sur vichyrugby.free.fr, RC Vichy (consulté le ).
- « Histoire du Club. - 2e Partie - 1946 / 2000 », sur fcgrugby.com, FC Grenoble (consulté le ).
- (it) « SERIE A: MICHEL RINGEVAL LASCIA LA RUGBY ROMA », sur grafica.ws, Rugby Roma Olimpic, (consulté le ).
- « Ringeval à Chambéry », sur rugbyrama.fr, Midi olympique, (consulté le ).
- « 22 mai 1960, date doublement historique », sur nrpyrenees.fr.
- Clément Garioud, « Ces sombres affaires qui ont entaché la réputation du rugby français », sur actu.fr, (consulté le ).
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Stéphane Pulze (préf. Serge Blanco), Les heures de gloire du FC Grenoble, Éditions Le Dauphiné libéré, , 191 p. (ISBN 978-2-916272-00-9)
- Jacques Gauthier (préf. Max Micoud et Marc Chérèque), La Fabuleuse Histoire Du Football Club De Grenoble Rugby, Association des Amis de l'histoire du Pays vizillois, , 448 p.
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Ressource relative au sport :
