Mattaincourt — Wikipédia

Mattaincourt
Mattaincourt
Basilique Saint-Pierre-Fourier.
Blason de Mattaincourt
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Vosges
Arrondissement Neufchâteau
Intercommunalité Communauté de communes de Mirecourt Dompaire
Maire
Mandat
Joris Huriot
2020-2026
Code postal 88500
Code commune 88292
Démographie
Gentilé Mattaincurtiens, Mattaincurtiennes
Population
municipale
800 hab. (2021 en diminution de 5,88 % par rapport à 2015)
Densité 134 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 16′ 47″ nord, 6° 08′ 01″ est
Altitude 284 m
Min. 267 m
Max. 375 m
Superficie 5,95 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Mirecourt
(banlieue)
Aire d'attraction Mirecourt
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mirecourt
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Mattaincourt
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Mattaincourt
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Mattaincourt

Mattaincourt est une commune française située dans le département des Vosges, en région Grand Est.

Ses habitants sont appelés les Mattaincurtiens.

Géographie[modifier | modifier le code]

Le village de Mattaincourt se situe au sud du plateau lorrain, à 278 mètres d'altitude, dans une partie de collines et de forêts qu'on appelle la Vôge. Le village est traversé par le Madon, une paisible rivière qui va rejoindre la Moselle à Pont-Saint-Vincent. Dans le village, sur un canal dévié du Madon, il y avait une scierie de planches, mue par une roue à aubes. Au hameau de Solenval, une petite turbine sur le Madon donnait de l'électricité et de la force motrice à un petit atelier de serrurerie.

La commune s'étend sur 6 km2 et compte 882 habitants depuis le dernier recensement de la population datant de 2007. Entouré par les communes d'Hymont, de Mirecourt et de Bazoilles-et-Ménil, Mattaincourt est située à 26 km au nord-ouest d'Épinal, la plus grande ville aux alentours.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le Madon, le ruisseau la Saule, le ruisseau de Vrouille, le ruisseau de Bazoilles et le ruisseau de Ravenel[1],[Carte 1].

Le Madon, d'une longueur totale de 96,9 km, prend sa source dans la commune de Vioménil et se jette dans la Moselle à Pont-Saint-Vincent, après avoir traversé 47 communes[2].

Le ruisseau la Saule, d'une longueur totale de 14 km, prend sa source dans la commune de La Neuveville-sous-Montfort et se jette dans le Madon sur la commune, après avoir traversé six communes[3].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Mattaincourt.

Gestion et qualité des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Nappe des Grès du Trias Inférieur ». Ce document de planification, dont le territoire comprend le périmètre de la zone de répartition des eaux[Note 1] de la nappe des Grès du trias inférieur (GTI), d'une superficie de 1 497 km2, est en cours d'élaboration. L’objectif poursuivi est de stabiliser les niveaux piézométriques de la nappe des GTI et atteindre l'équilibre entre les prélèvements et la capacité de recharge de la nappe. Il doit être cohérent avec les objectifs de qualité définis dans les SDAGE Rhin-Meuse et Rhône-Méditerranée. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental des Vosges[4].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 897 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mirecourt-inra », sur la commune de Mirecourt à 2 km à vol d'oiseau[7], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 824,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,5 °C, atteinte le [Note 2],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Mattaincourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[12],[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mirecourt, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[15] et 7 232 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mirecourt dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (57,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (28,9 %), terres arables (22,7 %), prairies (20,7 %), zones urbanisées (13,2 %), zones agricoles hétérogènes (8,5 %), cultures permanentes (6 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

La localité est attestée sous les formes Mathaincuria, Metencort en 1127, (prononcé métincôôôt), Maitheincourt en 1305, Mathaincourt, Mattincourt, Mattaincourt, Metencort en 1129, Mathencort en 1247, Mattoncort en 1276, Mataincuria en 1402 (DT) = anthroponyme germanique Matto(n) (NPAG, I, 166b) + ancien français cort, "ferme, domaine rural", du latin cohortem, "cour de ferme".

Antiquité[modifier | modifier le code]

L’occupation du site de la commune semble fort ancienne. De nombreux vestiges certifient que dès l’époque de l’âge du fer des hommes s’y étaient établis (800 av. J.-C.). Le peuple gaulois des Leuques (fin de l’âge de fer) y créa un des premiers domaines agricoles. Cette thèse est toutefois contesté car pour certains cette occupation n’est réelle que depuis la fin du Ve siècle.

Lors de la colonisation romaine, la construction de la voie "Langres-Strasbourg", passant à deux kilomètres du village, permis à celui-ci de développer le commerce. Mais il faut attendre l'arrivée des Francs au VIe siècle pour que la région connaisse un réel peuplement.

Moyen Âge et Temps modernes[modifier | modifier le code]

Au cours du Moyen Âge, le fief passe de main en main entre les ducs de Lorraine et leurs vassaux fortunés.

Économiquement, les eaux du Madon étaient utilisées pour le foulage du drap. Les drapiers de Mattaincourt, Mirecourt et Poussay étaient regroupés en une puissante corporation qui achetait des laines venant de Francfort-sur-le-Main ou de Strasbourg. Sur chaque pièce de tissu était apposé la marque des tisserands. On peut voir encore, sur plusieurs portes du village, le chiffre "4" que l’on disait être celui des drapiers.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Au XIXe siècle Mattaincourt est un grand centre de la broderie. Environ 120 ouvrières œuvrent au métier ou à la main.

1832 : choléra - 90 décès
1841 : construction du couvent (1841 à 1892)
1868 : construction de fours à chaux produisant de la chaux hydraulique donnant du travail à environ 60 chaufourniers.
1870-1872 : invasion prussienne.
1888 : construction d’une école de filles
1897 : cérémonie de canonisation de Pierre Fourrier
1937 : construction de l’hôpital Ravenel
1940 : occupation allemande pendant 4 ans
1944 : libération le 14 septembre vers 15 h par la division Leclerc (bataille de Dompaire)

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

Par arrêté préfectoral du , la commune est retirée le de l'arrondissement d'Épinal et rattachée à l'arrondissement de Neufchâteau[21].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant mars 2001 mars 2008 Patrick Beisbardt (1947-2013) PS Médecin, conseiller général du canton de Mirecourt (1998-2004)
mars 2008 octobre 2016 Daniel Vinot PS Démissionnaire
9 novembre 2016 En cours
(au 9 novembre 2016)
Joris Huriot (°1992) PS Vice-président de la Communauté de Communes de Mirecourt Dompaire

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[23].

En 2021, la commune comptait 800 habitants[Note 5], en diminution de 5,88 % par rapport à 2015 (Vosges : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
8348999709359531 0159721 1231 025
1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
1 0311 0551 000990958951944937894
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
1 021894977922737902875779834
1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2021
895942975911858850874821800
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Industrie[modifier | modifier le code]

Usine Ekipa du groupe Parisot (P3G Industries)

Commerce et artisanat[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

La basilique et le cimetière de Mattaincourt en hiver.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La basilique[modifier | modifier le code]

Elle fut construite en 1853 par le chanoine Hadolen en vue de la canonisation de Pierre Fourier sur l'emplacement de l'ancienne église de Mattaincourt où il avait officié. C'est l'une des premières manifestations du style néogothique en France. La basilique (y compris sacristie et presbytère) fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 21 décembre 1984[26]. L'orgue réalisé par Jaquot-Jeanpierre en 1876 a été réparé par Jacquot-Lavergne en 1959[27].

La chapelle du Bon Saint-Pierre-Fourier

La chapelle[modifier | modifier le code]

  • 1834 : construction de la chapelle ronde par l’abbé Hadol. Elle est couverte par un dôme. Nouvelle couverture en cuivre réalisée dans les années soixante (plaques de cuivre martelées pour obtenir la forme sphérique de la coupole entière).

Le musée Saint-Pierre-Fourier[modifier | modifier le code]

À l'ombre de la basilique, près du puits du miracle, le musée s'abrite dans l'ancien presbytère qui fut celui de saint Pierre Fourier de 1597 à 1632.

En haut du perron, sa chambre a gardé de cette époque l'alcôve chambre, bien que les boiseries aient été remplacées au XVIIIe siècle. Sont contemporains de saint Pierre Fourier : le plancher, les céramiques de la cheminée, les poutres, les murs de pierre…

À côté sont rassemblés :

  • les rares vestiges de l'ancienne église qui fut celle du curé Fourier : clé de voûte, chapiteaux et un dessus d'autel du XVIIIe siècle ;
  • une cloche de l'hôpital de Mattaincourt qui fut fondé à la fin du XVIIIe siècle, en partie sur une donation par héritage d'un neveu de saint Pierre Fourier.

À l'étage supérieur, c'est le musée proprement dit, sous une superbe charpente refaite en 1988 à la façon XVIIe siècle par un maître charpentier vosgien.

L’emplacement de la première école[modifier | modifier le code]

C’est là que sœur Alix Le Clerc revint en 1609 après un long séjour à Nancy pour y fonder une autre maison (maison un peu plus loin que le presbytère, sur le même trottoir en direction de Hymont).

Le Couvent jaune[modifier | modifier le code]

De l’autre côté de la basilique Saint-Pierre-Fourier, une maison achetée du vivant d'Alix Le Clerc

  • remaniée en 1720 (voir le porche à l’arrière de la maison)
  • en 1795, confiscation comme bien national
  • en 1834, remaniée par les frères Baillard : on construit l’aile ouest pour le futur pensionnat.
  • en 1866, occupée par la mairie, l’école des garçons, la poste.

Les petites fenêtres que l’on voit à l’étage supérieur éclairaient les cellules des sœurs.

L’hôpital de Mattaincourt[modifier | modifier le code]

Mentionné dès 1461, fut reconnu officiellement en 1710, sous le vocable de saint Sébastien que l’on invoquait contre la peste.

La source d'Heucheloup[modifier | modifier le code]

Captées près de Begnécourt depuis 1874, ses eaux sont amenées par une conduite de 9 km de longueur dans un petit parc de Bonzon entre Mattaincourt et Hymont. Elles sont reconnues par l’Académie de médecine en 1875 comme analogues à celle de Vittel et de Contrexéville, issues de sources sulfatées calciques.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Saint Pierre Fourier ( - ) est un religieux catholique et patriote lorrain. Il fut le curé de Mattaincourt à partir de 1597.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Mattaincourt Blason
D'azur aux trois bandes d'or, au chef d'argent chargé d'une tête de lion arrachée de gueules accostée de deux roses du même.
Détails
en août 2021, Mr Joris Huriot a précisé à Robert A LOUIS que le blason de Pierre Fourier attribué à la commune faisait partie de l'histoire de la cité [28]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Germain de Maidy, Léon. L'ancienne cloche de Mattaincourt 1723, Sidot Frères, Libraires-Éditeurs, Nancy 1898.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Une zone de répartition des eaux est une zone comprenant les bassins, sous-bassins, fractions de sous-bassins hydrographiques et systèmes aquifères définis dans le décret du 29 avril 1994, où sont constatées une insuffisance, autre qu'exceptionnelle des ressources par rapport aux besoins.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Mattaincourt » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Fiche communale de Mattaincourt », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  2. Sandre, « le Madon »
  3. Sandre, « la ruisseau la Saule »
  4. « SAGE Nappe des Grès du Trias Inférieur », sur gesteau.fr (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Mattaincourt et Mirecourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Mirecourt-inra », sur la commune de Mirecourt - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Mirecourt-inra », sur la commune de Mirecourt - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Unité urbaine 2020 de Mirecourt », sur insee.fr (consulté le ).
  16. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mirecourt », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. Préfecture de la région Grand Est, « Arrêté préfectoral no 2023/488 portant modification des limites territoriales des arrondissements du département des Vosges », Recueil des actes administratifs Édition du ,‎ , p. 71-83 (lire en ligne [PDF], consulté le )
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. « Basilique Saint-Pierre-Fourier », notice no PA00107199, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. Association d’Étude pour la Coordination des Activités Musicales (ASSECARM), Orgues de Lorraine : Vosges., Orgues Lorraine Vosges, Metz, Éditions Serpenoise, , 677 p. (ISBN 978-2-87692-093-4, LCCN 92160476)
    Présentation de l'orgue de la commune : pages 374 à 376
    .
  28. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.