Massacre de l'hôpital psychiatrique de Verceil — Wikipédia

Le mémorial au pont de Greggio.

Le massacre de l'hôpital psychiatrique de Verceil est l'exécution sommaire, par quelques résistants de la 182e brigade Garibaldi « Pietro Camana », d'un groupe de miliciens de la République sociale italienne enlevés dans le stade de Novare, utilisé alors comme camp de prisonniers.

Selon les différentes sources, les miliciens tués étaient entre 51 et 64[1].

Le massacre eut lieu en partie sur la commune de Verceil et en partie sur celle de Greggio entre les 12 et .

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. La Préfecture de police de Verceil a publié une liste de 51 noms de fascistes tués : c'est le nombre retenu par le journaliste et écrivain Raffaello Uboldi dans son livre Una guerra civile en 1991. L'historien Cesare Bermani estime à 62 le nombre de fascistes sortis du camp de Novare, laissant supposer que tous ont été tués. Enfin, Giampaolo Pansa avance le chiffre de 65 victimes.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]