Manom — Wikipédia

Manom
Manom
La mairie.
Blason de Manom
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Moselle
Arrondissement Thionville
Intercommunalité Communauté d'agglomération Portes de France-Thionville
Maire
Mandat
Marie-Laurence Herfeld
2020-2026
Code postal 57100
Code commune 57441
Démographie
Gentilé Manomois
Population
municipale
3 010 hab. (2021 en augmentation de 13,97 % par rapport à 2015)
Densité 290 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 22′ 11″ nord, 6° 11′ 20″ est
Altitude Min. 148 m
Max. 245 m
Superficie 10,39 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Thionville
(banlieue)
Aire d'attraction Luxembourg (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Yutz
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Manom
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Manom
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Manom
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Manom

Manom [manɔm] est une commune française située dans le département de la Moselle, en Lorraine, dans la région administrative Grand Est.

Géographie[modifier | modifier le code]

Manom est limitrophe de Thionville, son chef-lieu d'arrondissement. La commune est bordée par la Moselle.

Accès[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

  • la Grange, qui comprend un château et une ferme, les maisons situées sur la route départementale et les maisons situées sur la rue de la Barrière.
  • Maison-Rouge, situé sur la route de Luxembourg, entre la Grange et Hettange-Grande.
  • Ferme-château Sainte-Marie.
Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Moselle, la Moselle canalisée, le ruisseau la Kiesel et le ruisseau de la Grange[Carte 1].

La Moselle, d’une longueur totale de 560 kilomètres, dont 315 kilomètres en France, prend sa source dans le massif des Vosges au col de Bussang et se jette dans le Rhin à Coblence en Allemagne[1].

La Moselle canalisée, d'une longueur totale de 135,2 km, prend sa source dans la commune de Pont-Saint-Vincent et se jette dans la Moselle à Kœnigsmacker, après avoir traversé 61 communes[2].

Le ruisseau la Kiesel, d'une longueur totale de 18,7 km, prend sa source dans la commune de Kanfen et se jette dans la Moselle à Cattenom, après avoir traversé cinq communes[3].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Manom.

La qualité des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment de la Moselle, de la Moselle canalisée et du ruisseau la Kiesel, peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité. Ainsi en 2020, dernière année d'évaluation disponible en 2022, l'état écologique de la Moselle était jugé moyen (jaune)[Carte 2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 816 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Malancourt », sur la commune d'Amnéville à 13 km à vol d'oiseau[6], est de 10,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 884,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17,9 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Manom est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Thionville, une agglomération intra-départementale regroupant 12 communes[14] et 133 991 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Luxembourg (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (47,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (43,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (31,1 %), terres arables (29,5 %), prairies (11,9 %), zones urbanisées (11,5 %), eaux continentales[Note 4] (7,7 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,5 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Manom[modifier | modifier le code]

Ancien noms[20],[21]: Monheim en 1050, Munchem en 1270, Monheim en 1290 Monheim proche Thionville en 1290, Munheim au XIIIe siècle, Manhefen en 1341, Monehem et Monhem au XIVe siècle, Monheim en 1448, Moenhem en 1473, Moenheym en 1501, Manhem en 1525, Monhem en 1537, Monchem, Monchen et Mounhoffen en 1544, Monhoven en 1572, Manome en 1582, Manhovven au XVIIe siècle, Manhoffen en 1606, Manome en 1676, Monem et Monom en 1681, Monhoffen au XVIIIe siècle, Manum en 1706, Manom en 1793.

  • En francique lorrain : Munnowen[22] et Munnuewen dans les villages situés plus au nord de Thionville[21].
  • En luxembourgeois : Munhowen (qu'on trouve comme nom de famille, notamment au Grand-Duché de Luxembourg).
  • En allemand : Munhoven[20], Monhofen (1871-1918).

la Grange[modifier | modifier le code]

Anciens noms[23] : Scheuren en 1340, la Grange-es-Luxembourk en 1350, Schuren en 1382, Schure en 1388, Schuren en 1440, Grangia en 1453, Schueren en 1459, Scheuwren en 1466, Schüren en 1581, Scheueren en 1589, Scheu-Ren en 1592, Scheuren en 1621, Scheuern, Scheueren et Scheuren au XVIIe siècle.
La forme française La Grange ou Lagrange apparaît à partir du XVe siècle.
À la suite de l'annexion, le hameau retrouve son nom germanique de Scheuern qu'il reperd en 1918.
Le toponyme Scheuern vient de l'allemand Scheuer (la grange). La forme du moyen-haut-allemand Schiure et celle du vieux-haut-allemand Sciura expliquent bien les anciennes formes du Moyen Âge.

Maison-Rouge[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Archéologie[modifier | modifier le code]

  • Vestiges de faune périglaciaire contemporaine de l'homme du Paléolithique (molaire et fragment de défense de Mammuthus Primigenius, prémolaire de Caelodonta Antiquitatis).
  • Paléosol du Néolithique ancien danubien avec herminette en pierre polie.
  • Gisement du Néolithique ancien (dominant) avec céramique rubanée, outils en silex taillé, fragment de meule.
  • Paléosol de l'âge du Bronze, foyer d'essartage, fosse et trous de poteaux (structure du Bronze final 1 A), épingle en bronze...
  • Chemin protohistorique.
  • Céramiques des deux âges du fer. Sépultures laténiennes avec fer de lance.
  • Urnes cinéraires de période indéterminée.
  • Sépultures mérovingiennes.

Histoire récente[modifier | modifier le code]

Jusqu'en 1659 (Traité des Pyrénées), le village dépendait du duché de Luxembourg (souvent qualifié de « province » au sein des Pays-Bas espagnols) et faisait partie de la seigneurie de Meilbourg.

Le château de la Grange fut le siège d'une seigneurie luxembourgeoise : la seigneurie de la Grange encore appelée seigneurie de Manom. Celle-ci comprenait la cense de Weltershof ou Schauwenburg, actuellement incluse dans la commune de Hettange-Grande, une partie du village de Manom, le château et la ferme de la Grange, une partie du village de Garche ainsi que la cense de Freihof à Elange.
La seigneurie de la Grange apparaît à l'origine partie intégrante de la seigneurie de Meilbourg et restera longtemps e à celle-ci. Ce n'est qu'en 1467 qu'elle deviendra une seigneurie à part entière du Duché de Luxembourg. Le premier seigneur de la Grange connu est Guillaume de Scura dit Von Schure ou Scheure, cité en 1106. Le nom de la Grange apparaît à cette époque sous sa forme germanique ancienne Scura ou encore Scuria/Schure.

Au lieu-dit Maison-Rouge, dans la nuit de 17 au , un détachement de la garnisson de Metz alla surprendre un poste de cosaques. Huit hommes et l'officier qui commandaient le poste furent sabrés. Sept autres furent ramenés prisonniers.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
novembre 1919 septembre 1926 Jean de Bertier de Sauvigny URL Ancien officier
Sénateur de la Meuse (1922-1926)
Conseiller général du canton d'Yutz (1919-1926
193* mars 1945 François Captien    
1945 mars 1989 Sylvie de Selancy UDF-CDS  
mars 1989 mars 2008 Gilles Kuntz    
mars 2008 mai 2020 Jean Klop DVD Enseignant
mai 2020 En cours Marie-Laurence Herfeld    

Jumelages[modifier | modifier le code]

La commune de Manom est jumelée avec :

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[25].

En 2021, la commune comptait 3 010 habitants[Note 5], en augmentation de 13,97 % par rapport à 2015 (Moselle : +0,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871
5815996357138858488939031 051
1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921
8798749049471 0331 1181 2981 4011 390
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
1 5241 5871 6831 5841 6952 0622 0542 0651 806
1990 1999 2006 2007 2012 2017 2021 - -
2 6242 7212 6412 6302 5942 8723 010--
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

On constate une baisse de la population depuis le début des années 2000.

Vie locale[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

La commune a une pharmacie. Il y a deux médecins, deux kinésithérapeutes, un ergothérapeute, un diététicien, un dentiste et trois infirmières.[réf. nécessaire]

Sport[modifier | modifier le code]

Manom dispose de plusieurs clubs sportifs (football, tennis, gymnastique, aïkido, équitation, danse de salon...). Il y a aussi une salle de fitness et 2 Gymnases.Un boulodrome pour la pétanque.

Culte[modifier | modifier le code]

La ville dispose de l'église de l'Assomption, rattachée au diocèse de Metz.

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les élèves de Manom relèvent de l'académie de Nancy-Metz, qui fait partie de la zone B.

La commune administre le groupe scolaire Moselly, composé d'une école maternelle et d'une école élémentaire. Une fois leur primaire terminée, les élèves de la commune se rendent, pour la plupart, au collège public Charlemagne à Thionville ou à d'autres collèges mais privés (comme Notre-Dame de la Providence ou bien Saint-pierre Chanel), les lycées les plus proches se situent aussi à Thionville.

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Église paroissiale de l'Assomption.
Le château de La Grange.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Édifices civils[modifier | modifier le code]

  • Le passage d’une voie romaine ;
  • Les traces d’un aqueduc dans le bois de la Grange ;
  • Le château de La Grange dont la façade et la toiture du pigeonnier sont inscrites et le château proprement dit classé au titre des monuments historiques par arrêté du [28] ;
  • Le Jardin des Prairiales qui entoure le château de La Grange, inauguré en 2009 ;
  • Le château Sainte-Marie : du château primitif construit au XVIIe siècle ne subsiste que le pigeonnier ; le corps de logis et les parties agricoles sont reconstruites au milieu du XIXe siècle ; laissés à l’abandon depuis le milieu du XXe siècle, tous les bâtiments sont aujourd’hui en ruines ;
  • Étang Sylvie, au lieu-dit Sainte-Marie ;
  • Le Mausolée au bois de Manom ;
  • La brasserie Saint-François, puis de la Grange ; établie en 1772 ; subsistent de cette époque le logement patronal, qui semble avoir succédé à un relais de poste, et l'entrepôt séchoir à houblon. Considérablement augmentée dans la 2e moitié du XIXe siècle par adjonction de trois cheminées d’usine en brique (détruites), d'une chaufferie et d'ateliers de fabrication (vestiges). L'usine est désaffectée depuis 1928. Un monte-charge (disparu) acheminait les fûts de bière depuis l’atelier de fabrication jusqu’aux caves (comblées en partie). Il existait une glacière sous l'atelier de fabrication.

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

  • église paroissiale de l'Assomption construite au XVe siècle dont il subsiste le chœur, la chapelle nord et l'ossuaire. Nef agrandie en 1752. Nef et transept reconstruits en 1868, néo-gothique : Vierge à l'Enfant XVIe siècle, confessionnaux XVIIe siècle.
  • ancien ossuaire, 4e quart XVIIe siècle inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du [29].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jean de Bertier de Sauvigny (1877-1926), militaire, maire de Manom élu en 1919 puis Sénateur en 1922. Sa fille, la comtesse Sylvie de Bertier sera élue maire de Manom en 1945 à l'âge de 25 ans, c'est la plus jeune maire de France et l'une des premières femmes à occuper ce poste.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Manom Blason
Parti : au 1er d'azur à trois fasces d'or, au 2e d'azur au lion d'argent
Détails

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Albert-Louis Piernet, Munnowen - Revue Hemechtsland a Sprooch, n° 1, Editions HaS, 1983, Manom
  • Alain Simmer, Le Nord du département de la Moselle à l'époque mérovingienne, in Revue Archéologique de l'Est et du Centre-Est, tome XXXVIII fasc. 3-4. Éditions du CNRS, 1987, Dijon.
  • Romain Wagner, Manom, un fer de lance laténien inédit, in Hënt, revue culturelle d'études du Luxembourg français, n° 2-3, Editions H a S, 1988, Manom.
  • Patrice Peiffer, Romain Wagner, Pré et Protohistoire dans le bassin de la Kieselbach, compte rendu des prospections et fouilles à Garche, Hettange-Grande, Kanfen, Manom, Œutrange, Sœtrich, Volmerange (Est), Zoufftgen (Sud), publication de la Société Nord-Mosellane de Pré et Protohistoire, 1997, Hettange-Grande.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Manom » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Sandre, « la Moselle »
  2. Sandre, « la Moselle canalisée »
  3. Sandre, « le ruisseau la Kiesel »
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Manom et Amnéville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Malancourt », sur la commune d'Amnéville - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Malancourt », sur la commune d'Amnéville - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 de Thionville », sur insee.fr (consulté le ).
  15. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Luxembourg (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. a et b Bouteiller - Dictionnaire topographique de la Moselle, rédigé en 1868
  21. a et b mairie de Manom - origine de Manom
  22. Marcel Konne et Albert-Louis Piernet, « Dierfer vun äiser Hemecht », Hemechtsland a Sprooch, no 1,‎ (ISSN 0762-7440).
  23. a b c d et e mairie de Manom - Annexes
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. « Château de la Grange », notice no PA00106801, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. « Ossuaire (ancien) », notice no PA00106802, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.