Bouzonville — Wikipédia

Bouzonville
Aidling, Heckling
Bouzonville
Église abbatiale Sainte-Croix.
Blason de Bouzonville Aidling, Heckling
Blason
Bouzonville
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Moselle
Arrondissement Forbach-Boulay-Moselle
Intercommunalité Communauté de communes Bouzonvillois-Trois Frontières
(siège)
Maire
Mandat
Armel Chabane (UC)
2020-2026
Code postal 57320
Code commune 57106
Démographie
Gentilé Bouzonvillois
Population
municipale
3 929 hab. (2021 en diminution de 1,6 % par rapport à 2015)
Densité 283 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 17′ 33″ nord, 6° 32′ 06″ est
Altitude Min. 192 m
Max. 310 m
Superficie 13,9 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bouzonville
(ville-centre)
Aire d'attraction Bouzonville
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Bouzonville
(bureau centralisateur)
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Liens
Site web bouzonville.fr

Bouzonville (Busendorff en francique mosellan, la langue locale) est une commune française située dans le département de la Moselle et le bassin de vie de Moselle-Centre, en région Grand Est.

Historiquement et culturellement située en Lorraine, au cœur du pays de Nied, la commune est le bureau centralisateur du canton éponyme, ainsi que le siège de la Communauté de communes Bouzonvillois-Trois Frontières.

Géographie[modifier | modifier le code]

À 37 km au nord-est de Metz par la route départementale 3, surnommée la Perle de la Nied, Bouzonville est un chef-lieu de canton paisible traversée par la basse Nied.

Accès[modifier | modifier le code]

C’est le carrefour de nombreuses routes secondaires, la plus notable étant la route départementale 918 qui mène de Thionville à Sarrelouis.

Géologie[modifier | modifier le code]

Le sous-sol de Bouzonville, composé de grès bigarré, de calcaire coquillier et de marnes irisées, présente les trois faciès caractéristiques du Trias.

Écarts et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Les villages de Aidling, Heckling et Benting sont rattachés à la commune depuis 1810.

La commune de Brettnach qui avait fusionné avec Bouzonville en 1974 (bien que non limitrophe) a repris son autonomie en 1982.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Nied, le ruisseau de Bibiche, le ruisseau de Geling, le ruisseau Ohligbach et le ruisseau de Stockholz[Carte 1].

La Nied, d'une longueur totale de 96,7 km, prend sa source dans la commune de Marthille, traverse 47 communes françaises, puis poursuit son cours en Allemagne où elle se jette dans la Sarre[1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Bouzonville.

La qualité des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment de la Nied, peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 775 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Malancourt », sur la commune d'Amnéville à 29 km à vol d'oiseau[4], est de 10,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 884,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17,9 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bouzonville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bouzonville, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[12] et 4 479 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bouzonville, dont elle est la commune-centre[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (56,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (29,2 %), forêts (26,8 %), prairies (25,2 %), zones urbanisées (17,9 %), zones agricoles hétérogènes (0,9 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la commune est cité sous les formes latinisées Bozonisvilla ou Buosonis villa pour la première fois en 1106[18], puis sous les formes germaniques Bosendorph en 1176, Busindorf en 1211, Bousendorf en 1271, Busendorf en 1345[19], Büsendorff en 1365, Busendorff en 1383, Bussendorff en 1594, Bousendorff en 1604 et la forme française Bouzonville-sur-Nied en 1779[20].

Il s'agit d'une formation médiévale en -ville (appellatif issu du gallo-roman VILLA « grand domaine rural ») précédé, comme c'est le plus souvent le cas pour ce type toponymique, d'un anthroponyme germanique.

Bouzon- s'explique par le nom de personne Boso, fréquemment attesté en France du nord (exemples : Bouzonville-aux-Bois, Bouzanville, etc.) et qui se perpétue dans les noms de famille Boson et Bozon. À noter que toutes ces formes sont au cas régime de l’ancien français, caractéristique des noms lorrains et beaucerons en -ville (alors qu'en Normandie, elles sont au cas sujet). De « domaine rural », le sens de ville passe dès le Moyen Âge à celui de « village ».

Le même anthroponyme se rencontre dans des formations, en général plus anciennes, en -court (exemples : Bézancourt, Bouzancourt, etc.).

Conjointement à la forme romane probablement employée dès le VIIIe siècle, il est fait mention au XIIe siècle de la forme germanique Bussendorff ou Büsendorff, attestée en 1365. Cette désignation fut employée jusqu’au XVIIe siècle. À cette époque, le nom roman du bourg s’imposa définitivement, avec toutefois les parenthèses historiques de l’annexion de 1871, et de l'annexion de 1940, pendant lesquelles la commune sera de nouveau baptisée Busendorf[21].

En francique lorrain, elle se nomme Busendroff[22],[23] et Boesendroff avec métathèse de [r].

En lorrain roman on disait : Bzonvèle et Besonvelle pour designer la commune.

Sobriquet[modifier | modifier le code]

Surnom à propos des Bouzonvillois : Die «Stripplinger» han so lange finger (les «petits voleurs» ont les doigts si longs/crochus)[24]. stripplinger est une formation dialectique dérivé de strippen s’appliquant aux gens qui commettent de petits larcins, notamment des vols de fruits.

Histoire[modifier | modifier le code]

Chevet de l'église abbatiale

La localité est intégrée au duché de lorraine, depuis l’origine du duché. Elle le restera jusqu'à l'annexion du duché à la France, en 1766. Entre 1275 et 1295, la partie germanophone du duché de Lorraine reçoit un justicier des nobles, puis un bailli, fixé quelque temps à Bouzonville, avant de l’être à Vaudrevange, une commune rattachée à la Sarre depuis 1815.

Érigé en prévôté en 1705, Bouzonville devient de nouveau le siège d’un bailliage en 1751. Rattaché au siège présidial de Metz en 1772, le bailliage de Bouzonville disparait en 1790, avec la création du département de la Moselle. En 1790, le canton de Bouzonville est incorporé pour cinq ans au district de Sarrelouis, aujourd’hui en Sarre. De 1800 à 1870, la commune appartient à l’arrondissement de Thionville. C'est un bourg actif, où se tient régulièrement un marché.

Le 25 juillet 1870, durant la guerre franco-allemande la ville est le théâtre de combats, opposant le 33e régiment d'infanterie de ligne et les troupes prussiennes.

Comme les autres communes de Moselle, Bouzonville, rebaptisée "Busendorf", est rattachée au nouvel Empire allemand le , conformément au traité de Francfort. Durant l’annexion allemande, Bouzonville est rattachée à l'arrondissement de Boulay. Après deux générations de paix et de prospérité, la germanisation des esprits est telle que les Mosellans se battent naturellement pour l’Empire allemand durant la Première Guerre mondiale. Beaucoup tombent sous l’uniforme allemand, sur le Front de l’Est, mais aussi à l’Ouest. Loyaux sujets de l'Empereur, très peu de Mosellans trahissent leur Patrie pour rejoindre les troupes françaises. La victoire française, en novembre 1918, est toutefois bien acceptée.

En 1919, Bouzonville est rattaché à l'arrondissement de Boulay-Moselle.

Au début de la Seconde Guerre mondiale, dès le 1er septembre 1939, les habitants de Bouzonville sont évacués par l'armée française à Chauvigny, dans la Vienne[25]. Durant l'Annexion de la Moselle, les habitants restés sur place vivent sous le joug nazi. En 1944, la commune du CdZ-Gebiet Lothringen est bombardée par les Américains. Busendorf est enfin libérée le 27 novembre 1944, après la bataille de Metz[26].

Le 30 juillet 1950, la ville se voit attribuer, comme 4 454 autres communes du pays, la croix de guerre. « Bouzonville, commune de Lorraine évacuée dès le 1er septembre 1939, qui a été gravement éprouvée par les bombardements et les combats livrés sur son territoire, tant en 1940 qu'en 1944, compte 25 de ses fils tués, 14 disparus, 20 blessés. A conservé, cependant, un moral intact et a mené une action patriotique résistante, dont témoignent ses 10 enfants fusillés, ses 135 déportés, ses nombreux insoumis et réfractaires. Par son attachement à la France, par son courage et par ses sacrifices, s'est acquis des droits à la reconnaissance du pays. ».

Après guerre, la vieille cité lorraine a su faire preuve de dynamisme, conservant ainsi son statut de ville commerçante.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Deux Maires emblématiques :

Jean Pierre Tritz est né le 3 juillet 1888 à Waldwisse. Après des études de droit au sein des universités allemandes, il s'installe comme notaire à Bouzonville dont il devient maire en 1928.

En 1934, il est également conseiller d'arrondissement puis conseiller général. Les années 1930 voient les menaces grandir pour Bouzonville et la France : le 1er septembre 1939, l'évacuation de la zone rouge située entre la frontière et la ligne Maginot, entraine les Bouzonvillois à Chauvigny.

Jean Pierre Tritz s'installe à Poitiers en restant en contact avec ces administrés. Il travaille aux cotés de Robert Schuman, alors sous secrétaire d'Etat aux réfugiés, au centre de renseignements des Repliés de la Moselle.

Aprés la défaite de la France en juin 1940, la majorité des bouzonvillois rentrent en Moselle. Jean Pierre Tritz doit alors remettre les clés de la Ville aux allemands.

Elu Maire de Bouzonville en 1949, Norbert Noël arrive à la tête d'une ville ayant souffert aussi bien materiellement qu'humainement lors de la Seconde Guerre Mondiale.

Au cours de ses 22 années de mandats successifs, Norbert Noël est à l'initiative de nombreux projets structurants dont Bouzonville profite encore aujourd'hui.

Ainsi le groupe scolaire Pol Grandjean et le collège qui prendra le nom d'Alabert sont respectivement inaugurés en 1950 et 1967. La même année, l'entreprise Lucas Girling s'installe prés de la gare.

En matière de logement, la cité Saint Charles et le lotissement du même nom sortent de terre dans les années 1960.

Parallelement, un terrain de sport, un gymnase puis une piscine (de type Tournesol) sont construits : c’est le complexe sportif Norbert Noël.

Grace à l'implication de Norbert Noël et au dynamisme insufflé à la ville, Bouzonville atteint 4000 habitants.

Il décède d'un accident de voiture en février 1971 dans le cadre de ces fonctions.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Mars 1949 17 février 1971 Norbert Noël   Commercant
mars 1977 mars 2001 Pierre Grandjean   Professeur de français
mars 2001 mars 2014 Gilbert Philipp DVD Magistrat
mars 2014 mai 2020 Denis Paysant PS Professeur du second degré
mai 2020 En cours Armel Chabane LR Conseiller du président du conseil régional du Grand Est
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Drapeau de l'Allemagne Rehlingen-Siersburg (Allemagne) depuis 1978.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

En 2021, la commune comptait 3 929 habitants[Note 4], en diminution de 1,6 % par rapport à 2015 (Moselle : +0,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871 1875
1 3671 3562 0962 1722 1601 9911 8831 7751 698
1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921 1926
1 6551 6221 5951 6081 6991 9672 1761 9822 251
1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990
2 3062 4582 0132 3393 3063 7634 5854 2854 148
1999 2006 2008 2013 2018 2021 - - -
4 1174 1734 1833 9893 9233 929---
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Du point de vue linguistique, en 1775, la langue française était encore peu parlée dans la commune[31].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Édifices civils[modifier | modifier le code]

  • Hôtel de ville avec beffroi à bulbe, 1719.
  • Emplacement du vieux moulin des moines.
  • Tribunal, XVIIIe siècle.
  • Lycée de la Providence avec chapelle.
  • Ancienne caserne de la Garde républicaine mobile.
  • Cimetière israélite, 1726.

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

  • Église abbatiale Sainte-Croix, seul vestige du couvent bénédictin, est classée monument historique, par arrêté du [32] alors que les parties subsistantes du cloître, lieudit Cour de l'Abbaye, qui comportent des éléments datant des XIIe, XIVe et XVIIe siècles sont inscrites par arrêté du . Elle sert aujourd'hui d'église paroissiale.
  • Oratoire de Belle-Croix (pèlerinage).
  • Chapelle Saint-Hubert à Heckling, clocher du XVIe siècle.
  • Chapelle Sainte-Croix à Aidling, XVIIIe siècle.
  • Chemin de Croix, 1879, le long de la route de Thionville.
  • Statue de saint Vincent de Paul.
  • Temple protestant réformé, rue du 27-Novembre, construit en 1951.
  • Synagogue, rue des Résistants, construite en 1960 pour remplacer celle de 1850 détruite au cours de la Seconde Guerre mondiale. Devenue médiathèque depuis novembre 2012.
  • Salles de prières des musulmans.

Enseignement[modifier | modifier le code]

  • Le collège Adalbert qui regroupe les communes de :

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Personnalités nées à Bouzonville[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à Bouzonville[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Bouzonville Blason
D'or à la fasce de gueules, chargée d'un renard d'argent et surmontée d'une croisette de gueules.
Détails
Ce blason communal ne serait apparu qu'au XVIIIe siècle[33].
Alias
Blason à dessiner
Blason à dessiner
D'or ; à la face de gueules, chargée d'un renard passant d'argent, et en chef une croix latine de gueules[31].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Bouzonville » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Sandre, « la Nied »
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Bouzonville et Amnéville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Malancourt », sur la commune d'Amnéville - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Malancourt », sur la commune d'Amnéville - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Bouzonville », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bouzonville », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud Paris 1978. p. 99. Article Bossancourt.
  19. Burkhard Dietz, Helmut Gabel, Ulrich Tiedau - Griff nach dem Westen: die "Westforschung" (2003)
  20. Bouteiller - Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle - rédigé en 1868
  21. Henri Hiegel, Dictionnaire étymologique des noms de lieux du département de la Moselle, Sarreguemines, 1986.
  22. Geoplatt
  23. François Summa et Alain Schadd, Muselfränkische Kaart : Niedland, éditions Gau un Griis
  24. Passé-Présent : La Moselle dévoilée No 6 (juin-juillet-août 2012)
  25. Bernard Le Marrec, Gérard Le Marrec, Les années noires, la Moselle annexée par Hitler, Éditions Serpenoises, 1990.
  26. 1944-1945 : Les années liberté, Recensement préfectoral sur les dates de libération, Le Républicain Lorrain, 1994 (p. 15).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. a et b Abrégé chronologique de l'histoire de Lorraine : Contenant un Dictionnaire Topographique des Lieux, tome 2, Paris, MDCCLXXV
  32. « Ancienne abbaye Sainte-Croix », notice no PA00106742, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. http://www.mairie-bouzonville.fr/histoire/le-blason