Malzéville — Wikipédia

Malzéville
Malzéville
La Douëra.
Blason de Malzéville
Héraldique
Malzéville
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Métropole Métropole du Grand Nancy
Arrondissement Nancy
Maire
Mandat
Bertrand Kling
2020-2026
Code postal 54220
Code commune 54339
Démographie
Gentilé Malzévillois [1]
Population
municipale
7 927 hab. (2021 en diminution de 0,61 % par rapport à 2015)
Densité 1 053 hab./km2
Population
agglomération
286 041 hab. (2017)
Géographie
Coordonnées 48° 42′ 40″ nord, 6° 11′ 14″ est
Altitude Min. 187 m
Max. 384 m
Superficie 7,53 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Nancy
(banlieue)
Aire d'attraction Nancy
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Saint-Max
Législatives Première circonscription
Localisation
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Malzéville
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Malzéville
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Malzéville
Liens
Site web http://www.villedemalzeville.fr/

Malzéville est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en région Grand Est, en Lorraine. C'est l'une des vingt communes de la métropole du Grand Nancy.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La ville est arrosée par la Meurthe et est adossée au plateau de Malzéville, dont une partie est classée en zone Natura 2000[2].

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap.
Carte topographique.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Malzéville est reliée au Grand Nancy grâce aux lignes du réseau de transport de l'agglomération nancéienne appelé Réseau Stan :

  • Ligne 12 : Malzéville Savlons - Heillecourt
  • Ligne 13 : Nancy Pôle de Santé - Dommartemont
  • Ligne 16 : Malzéville Pixerécourt - Margéville-Villers Clairlieu
  • Ligne 32 : Maxéville Jean Lamour - Essey La Fallée
  • Ligne 53 (scolaire) : Malzéville Collège Verlaine - Malzéville Le Nid
  • Ligne 54 (scolaire) : Malzéville Collège Verlaine - Dommartemont Collège R. Nicklès
  • Ligne 58 (scolaire) : Dommartemont Collège R.-Nicklès - Tomblaine Groupe scolaire
  • Ligne 62 (scolaire) : Malzéville Pixerécourt - Nancy Gare
  • Ligne 65 (scolaire) : Malzéville Margeville - Nancy Division de Fer

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 843 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 9,7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine à 4 km à vol d'oiseau[5], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 746,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −24,8 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Statistiques 1991-2020 et records NANCY-ESSEY (54) - alt : 212m, lat : 48°41'16"N, lon : 6°13'17"E
Records établis sur la période du 01-09-1927 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −0,2 0 2,1 4,5 8,7 12,2 14,2 13,9 10,2 7,1 3,4 1 6,4
Température moyenne (°C) 2,6 3,5 6,9 10,2 14,2 17,9 20 19,6 15,6 11,3 6,4 3,5 11
Température maximale moyenne (°C) 5,4 7,1 11,6 15,8 19,8 23,5 25,8 25,4 20,9 15,5 9,4 6 15,5
Record de froid (°C)
date du record
−21,6
13.01.1968
−24,8
21.02.1956
−15,9
04.03.1965
−6,8
02.04.1958
−4,2
03.05.1960
1,6
05.06.1953
2
01.07.1962
2,8
26.08.1966
−1,3
24.09.1948
−7,9
27.10.1950
−12,7
23.11.1998
−21,3
30.12.1939
−24,8
1956
Record de chaleur (°C)
date du record
16,8
05.01.1999
20,8
27.02.19
26
31.03.21
29,3
18.04.1949
33
28.05.17
37,2
26.06.19
40,1
24.07.19
39,3
08.08.03
34,4
15.09.20
27,6
13.10.23
22,7
02.11.20
18,5
16.12.1989
40,1
2019
Ensoleillement (h) 524 801 1 396 1 812 2 056 2 235 2 348 2 194 1 719 1 046 521 432 17 083
Précipitations (mm) 64,4 54,8 54,1 44,3 67,9 56 63 67,2 61,1 66,5 68,9 78,1 746,3
Source : « Fiche 54526001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
5,4
−0,2
64,4
 
 
 
7,1
0
54,8
 
 
 
11,6
2,1
54,1
 
 
 
15,8
4,5
44,3
 
 
 
19,8
8,7
67,9
 
 
 
23,5
12,2
56
 
 
 
25,8
14,2
63
 
 
 
25,4
13,9
67,2
 
 
 
20,9
10,2
61,1
 
 
 
15,5
7,1
66,5
 
 
 
9,4
3,4
68,9
 
 
 
6
1
78,1
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Malzéville est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nancy, une agglomération intra-départementale regroupant 28 communes[13] et 286 041 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (50,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (39,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (37,3 %), forêts (17,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (14,3 %), terres arables (8,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (7,6 %), zones agricoles hétérogènes (6,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,9 %), prairies (2,1 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Villa de Margeville (1130), Mareseivilla (1176-1205), Malisevila (1231), Malesevilla (1246), Mallisei villa (XIVe siècle), Marezeville (1349), Marzeville (1390), Morisevilla (1402), Malzeville (1424), Mallezeville (1444), Malzeville-devant-Nancy (1494), Malezeville-près-Nancy (1496), Maleseville (1526), Marzeville-lès-Nancy (1573), Malzeville (1793).

Histoire[modifier | modifier le code]

Les rives de la Meurthe et le minaret de La Douëra.

Le plateau qui domine Malzéville a été occupé à différentes époques de la protohistoire. Des fouilles du XIXe siècle ont révélé plusieurs ensembles de tumulus, un reste de mur cyclopéen au lieu-dit La Trinité, des vestiges de fonderie de fer à la butte Sainte-Geneviève, ainsi que des poteries noires et des haches de pierre polie[19].

Village de l'ancien duché de Lorraine, Malzéville est mentionné pour la première fois dans une charte du duc Simon Ier en 1130. En 1246, les moines de Clairlieu font construire un moulin sur la Meurthe au-dessus du pont de Malzéville. En 1496, Antoine Warin, seigneur de Clémery, cède au duc René II la moitié de la seigneurie de Malzéville qu'il détenait pour la somme de 1 371 francs[20]. Le village relevait de la châtellenie de Nancy, bailliage de cette ville.

Le village est partiellement détruit pendant la guerre de Trente Ans. Après l'annexion de l'Alsace-Moselle par l'Empire allemand en 1871, Malzéville reçoit de nombreuses personnes déplacées de la zone annexée et sa population passe à 2 200 habitants[20].

De 1927 à 1984, Malzéville était traversée par le TP Max, transporteur par câble aérien qui acheminait du calcaire depuis les carrières de Maxéville jusqu'à l'usine Solvay de Dombasle-sur-Meurthe.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1936 1941 Auguste Chéry
(1882-1956)
Rad. Négociant en combustibles
Destitué par le Gouvernement de Vichy
Déporté politique
Réélu en 1945
mars 1965 mars 1989 Jean Jonette
(1908-2013)
   
mars 1989 mars 2008 Jean-Paul Bolmont PS Conseiller général du canton de Nancy-Est (1994-1998)
Conseiller général du canton de Malzéville (1997-2015)
mars 2008 mars 2014 Jean-Pierre Franoux PS  
mars 2014 En cours
(au 28 mai 2020)
Bertrand Kling[21],[22]
Réélu pour le mandat 2020-2026
DVG Commerçant
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Pont sur la Meurthe à l'entrée de la ville.

Le comité de jumelage a été créé en 2014, à l'occasion du 50e anniversaire du serment entre les deux villes[23].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].

En 2021, la commune comptait 7 927 habitants[Note 4], en diminution de 0,61 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9819271 0371 1011 2531 3751 6401 7101 788
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 7751 9382 2302 4722 7562 8272 9743 1143 257
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
3 4264 1694 2964 6484 8505 4045 3326 1337 412
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
8 7258 4328 3258 0907 7128 1208 0707 9697 927
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

  • 3 écoles maternelles publiques : les écoles Gény, Jéricho et Leclerc, situées dans les rues-avenue du même nom.
  • 3 écoles élémentaires publiques : les écoles Paul-Bert, rue de la République (installée pour partie dans l'ancienne mairie de la commune), Pasteur et Jules-Ferry, dans les rues du même nom.
  • un collège public : le collège Paul-Verlaine, avenue du Général-Leclerc, dont le bâtiment actuel date de 2005.
  • un lycée agricole public : le lycée Mathieu de Dombasle, installé sur le domaine de Pixerécourt depuis 1953. En réalité, l'Établissement Public Local d'Enseignement et Formation Professionnelle Agricole de Pixerécourt se compose du lycée, qui dispense les formations par la voie scolaire, d'un CFA-CFPPA dans lequel se déroulent les formations par la voie de la formation continue et de l'apprentissage, d'une exploitation agricole (la Ferme de Pixérécourt), d'une halle de technologie équipée pour la fabrication agroalimentaire, et enfin d'un Cercle hippique (Hippix). L'ensemble s'étend sur 16 hectares.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Édifices civils[modifier | modifier le code]

Peinture d'un pont sur une rivière avec la berge sur le côté droit.
Victor Masson, Le Pont de Malzéville, fin du XIXe siècle, collection particulière.

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

Église Saint-Martin.
  • Église Saint-Martin, peintures murales du XVIe siècle (dont un remarquable « chemin de croix », cycle de la Passion en réalité, classé)[33], boiseries du chœur du XVIIIe siècle (classées). Clocher fortifié (présence de meurtrières). Une association, créée en , a « pour but de promouvoir, d'encourager ou d'organiser toutes les actions et manifestations tendant à mieux faire connaître les valeurs historiques, culturelles, artistiques et religieuses de l'église Saint-Martin de Malzéville, et d'œuvrer pour l'entretien et la restauration de son patrimoine, notamment des peintures murales »[34]. Une monographie, parue en 2012, offre un beau panorama illustré de l'édifice et de son histoire[35].
  • Église Saint-Michel, moderne et de forme ronde ; construite par le chanoine André Vaillant (inhumé dans le narthex). À moitié sur le territoire de Saint-Max.
  • Chapelle Saint-Pierre de Pixerécourt. Elle accueille actuellement le musée Mathieu-de-Dombasle du lycée agricole de Pixérécourt.
  • Chapelle Saint-Gauzelin, dépendant de l'église Saint-Martin. Désacralisée et vendue en 2009. Vitraux de Jacques Le Chevallier (en partie détruits). La cloche, datée de 1760 (réemploi), est aujourd'hui visible dans le transept sud de l'église Saint-Martin.
  • Chapelle de la Gueule du Loup.
  • Croix de Mission, du XIXe siècle, qui a donné son nom au quartier. Restaurée en 2000[36].
  • Salle du Royaume (Témoins de Jéhovah).

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Nicolas Dupont (1714-1781), facteur d'orgues, vivait à Malzéville. Lui sont dus, notamment, les orgues des cathédrales de Toul (1755), Nancy (1763) et Verdun (1766).
  • Charles Cournault (1815-1904), peintre, archéologue, conservateur de musée. Il transforme un simple chalet de Malzéville en une véritable villa imitant le style mauresque, la Douëra.
  • Ferdinand Alfred comte O'Gorman (1825-1900), richissime rentier et propriétaire du château de Pixerécourt.
  • Teresa Milanollo (1827–1904), violoniste. Elle possédait une maison de famille à Malzéville et y donnait des concerts pour ses connaissances même si elle avait cessé de se produire en public après son mariage en 1857.
  • Émile Driant (1855-1916), officier, écrivain, député de Nancy. Locataire du château de Pixerécourt.
  • Charles Bapst (1890-1979), militaire né à Malzéville, général de la France libre.
  • Étienne Cournault (1891-1948), petit-fils de Charles Cournault, peintre et graveur.
  • Robert Honnert (1901-1939), écrivain et poète, est né à Malzéville.
  • Charles Clavel (1902 - 1992), résistant né à Malzéville, maire de Varangéville.
  • Boris Simon-Gontcharov (1913-1972), peintre, écrivain et traducteur français, né à Malzéville.
  • Romain Simon (1916-2007), illustrateur essentiellement animalier de livres de jeunesse (près de 300 ouvrages illustrés), né à Malzéville.
  • Pierre-Louis Maubeuge (1923-1999), géologue, stratigraphe, et paléontologue, à vécu et est mort à Malzéville.
  • Jo Schlesser (1928-1968), pilote automobile, inhumé à Malzéville.
  • Katia Kaupp (1933-2008), journaliste née à Malzéville.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Malzéville Blason
Parti : au premier de sable à la patte d'oie d'argent posée en pal, au second d'argent à la croix patriarcale de gueules.
Détails
Utilisé depuis 1771

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Raoul Guérin, Les tombelles antéhistoriques de la côte de Malzéville, Impr. de A. Lepage, 1868, 14 p.
  • Stanislas Thomas, Courte notice sur Malzéville, Nancy, 1878, 20 p., réédition ANDT 2007.
  • Petitjean, Malzéville - Pixerécourt, monographie , 1888, manuscrit np., édition ANDT 2007,
  • Charles-A. Gesnel-Demange, Rapport sur la concession de Malzéville, Impr. de l'Indépendance de l'Est, Bar-le-Duc, 1890, 15 p.
  • Gustave Bleicher, Géographie régionale. La colline de Malzéville, Impr. de Berger-Levrault, Nancy, 1899, 8 p.
  • Jacques Riston, La vigne à Malzéville : essai historique, Nancy, 1908, 25 p.
  • Gaston Gaillard, Malzéville, monographie, Malzéville, 1912, manuscrit. Édité par ANDT en 2009.
  • André Cronel, Malzéville, 1789. Le cahier de doléances, Société d'histoire de Malzéville, s.d., 28 p. dactylo.
  • A. Chéry, Ville de Malzéville. Quelques pages d'histoire locale, Impr. nancéienne, 1947, 10 p.
  • André Cronel, Notes sur l'histoire de Malzéville, Société d'histoire de Malzéville, 1961, 36 p. dactylo.
  • Roger Beck, Malzéville, 34 fascicules édités entre 1975 et 1985, réédition ANDT, 1995-1998 en 6 tomes.
  • P. Dardaine, « Le caractère méridional du Plateau de Malzéville, en Meurthe-et-Moselle, et sa pelouse à Knautia purpurea (Vill.) Borbas », Le Monde des Plantes, 455 (1996).
  • Alain Colotte, Denis Marchal, Patrick Marcolé, Malzéville au XXe siècle, Malzéville, 1999, 181 p.
  • Michel Mougin, Malzéville d'hier et d'aujourd'hui, ANDT, 2003, 42 p.
  • Alain Colotte, Denis Marchal, Patrick Marcolé, Malzéville libéré : 1944, ANDT, 2004, 81 p.
  • Étienne Martin (dir.), Ilona Hans-Collas, Laurence Blondaux, L’église Saint-Martin, Malzéville : ASPE Saint-Martin, 2012, 40 p. (ISBN 978-2-7466-5282-8).
  • Alain Colotte, Jean-Pierre Franoux, Bertrand Hugot, Denis Marchal Malzéville. Le Plateau un siècle d'histoire, Malzéville : ANDT, 2015, 117 p. (ISBN 978-2-7466-8488-1).
  • Philippe Masson (dir.), Jean-Pierre Franoux, Axelle de Gasperin, Pierre Labrude, Gilles Marseille, Etienne Martin, Denis Mathis, Francine Pierre, Pascal Thiébaut, Martine Tronquart, Malzéville, histoire, paysage & patrimoine, actes des {Ve} Journées d'Études Meurthe-et-Mosellanes des 8 et , Haroué : éd. Gérard Louis, 2017, 143 p.
  • Etienne Martin, Jean-Pierre Franoux, Alain Colotte, Denis Marchal Pixerécourt 1000 d'histoire un territoire aujourd'hui rattaché à Malzéville, Malzéville : ANDT, ASP-Pix, 2019, 88 p. (ISBN 978-2-9569-58307)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Lien externe[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Meurthe-et-Moselle », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. Page du site internet de la DREAL Lorraine concernant la zone Natura 2000 du Plateau de Malzéville
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Malzéville et Tomblaine », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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