La Meauffe — Wikipédia

La Meauffe
La Meauffe
L'église Saint-Martin.
Blason de La Meauffe
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Saint-Lô
Intercommunalité Saint-Lô Agglo
Maire
Mandat
Pascal Langlois
2020-2026
Code postal 50880
Code commune 50297
Démographie
Gentilé Meauffois
Population
municipale
1 002 hab. (2021 en diminution de 6,27 % par rapport à 2015)
Densité 98 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 10′ 35″ nord, 1° 06′ 40″ ouest
Altitude Min. 4 m
Max. 87 m
Superficie 10,22 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Pont-Hébert
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Lô
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pont-Hébert
Législatives Première circonscription
Localisation
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Liens
Site web pagesperso-orange.fr/mairie.la-meauffe

La Meauffe est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 1 002 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune est en pays saint-lois. Son bourg est à 3 km à l'est de Pont-Hébert, à 6,5 km à l'ouest de Saint-Clair-sur-l'Elle, à 8 km au nord de Saint-Lô et à 10 km au sud de Saint-Jean-de-Daye[1]. Elle fait partie du parc naturel régional des Marais du Cotentin et du Bessin.

La commune est desservie par le transport en commun départemental par bus (Manéo) via la ligne 001 : Cherbourg-Octeville - Valognes - Carentan - Saint-Lô.

La Meauffe est bordée au nord par la Vire. Elle est traversée par le ruisseau Saint-Martin, et par la Jouenne.

Le point culminant (87 m) se situe en limite sud-est, près du lieu-dit la Basse-Cour. Le point le plus bas (4 m) correspond à la sortie de la Vire du territoire, au nord. La commune est bocagère.

Exemple de chemins creux bocagers, au sud de la commune.

La commune se compose de deux villages principaux (le bourg et le quartier du Pont), et de plusieurs hameaux[2] : la Cour Talvas, la Foulerie, la Côte du Poirier, la Lande Marvast, le Moulin Faby, Douzouville, la Pérelle, la Mare, la Petite Ferme, la Basse Cour, le Carillon, la Jugannière, les Taillis, les Grandes Landes, Concho, la Maison Blanche, la Boulaye, la Rivière, Hotel Samson, la Prêterie, le Tronquet, les Esserts, la Germainerie, Fors, la Caillourie, Launay, Saint-Gilles, la Cornicaillerie, la Herbaudière, la Vengerie, Coquet. Le quartier du Pont est le plus peuplé. Il se développe dès 1970 car situé sur l'axe Saint-Lô - Carentan (ancienne N 174).

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[5]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Cotentin et à l'ouest du département de la Manche, frais, humide et pluvieux, où les contrastes pluviométrique et thermique sont parfois très prononcés en quelques kilomètres quand le relief est marqué[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 856 mm, avec 14,2 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Condé-sur-Vire à 15 km à vol d'oiseau[7], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 956,7 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

La Meauffe est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13].

Elle appartient à l'unité urbaine de Pont-Hébert, une agglomération intra-départementale regroupant deux communes[14] et 3 027 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Lô dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 63 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (75,5 %), terres arables (19 %), zones urbanisées (3,3 %), zones agricoles hétérogènes (2,2 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme est attesté sous les formes Melpha en 1175[20], Melfa vers 1180[20], La Mealphe en 1312[20], La Meauphe en 1392[20] et La Mauffe en 1793[21].

Il serait issu de l'anthroponyme germanique Madelveus[20] ou Madelvus[22].

Le gentilé est Meauffois.

Microtoponymie[modifier | modifier le code]

Le hameau Lande Marvast désigne une prairie (lande) résultant d'un défrichement massif (cf. Hardinvast). Le propriétaire à l'origine a un patronyme commençant par Mar-.

Le hameau Douzouville aurait certainement une origine germanique.

Le hameau Les Esserts désigne un lieu déboisé pour y être habité (cf. Essart).

Les hameaux Boulaye et Launay désignaient respectivement des bois de bouleaux et d'aulnes.

Les hameaux en Y-ère/-erie sont des habitats ultérieurs, résultant du développement démographique de la Normandie. Ils désignaient la ferme de la famille Y, fondée sur les nouvelles terres obtenues par les grands défrichements des XIe – XIIIe siècle. Les essarts prennent le nom des défricheurs, suivi de la désinence -erie ou -ière[23]. Les autres hameaux en Hôtel / Le / Clos / Pont / Cour / Maison...Y sont des constructions encore plus tardives, ils désignent la propriété de la famille Y.

Histoire[modifier | modifier le code]

L'église et manoir avant les destructions de 1944. On aperçoit le calvaire de 1871 devant l'église.

Sous l'Ancien Régime, la paroisse dépend de la généralité de Caen, de l'élection de Carentan (1677) puis de Saint-Lô (1691), et de la sergenterie de la Comté.

À la création des cantons sous la Révolution, la commune fait partie du canton d'Esglandes. Ce canton est supprimé lors du redécoupage cantonal de l'an IX (1801)[21]. Meauffe est alors rattachée au canton de Saint-Clair.

Les et , le village est le témoin de violents combats entre la 352e DI et le Kampfgruppe Kenter formé d'unités de la 266e DI pour les Allemands, et la 35e DI américaine. Les troupes américaines arrivent depuis la D 54, à l'est, précédées d'un barrage d'artillerie. Les Allemands occupent le clocher de l'église avec des mitrailleuses lourdes, et ont fortifié le château de Saint-Gilles. Les combats sont violents, tels que les Américains surnomment la D 54 la « route de la vallée de la Mort » (Death Valley Road). L'attaque se poursuit le , et les troupes américaines arrivent à s'emparer peu à peu du village (10 h 45), du château Saint-Gilles (14 h) avant que les Allemands ne battent en retraite la nuit tombée. La 35e DI américaine compte 19 tués, 170 blessés et 25 disparus[24].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de La Meauffe

Les armes de la commune de La Meauffe se blasonnent ainsi :
De sinople à la fasce ondée d'argent accompagnée, en chef, de deux fleurs de lys d'or et, en pointe, d'un saumon aussi d'argent[25].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1852 1862 Lucien Antoine Delamarre    
1975 1995 Yves Le Meur    
1995 mars 2008 Jacques Lenôtre    
mars 2008[26] mai 2020 Alain Mahieu[27] SE Cadre à France Télécom
mai 2020[28] En cours Pascal Langlois SE Employé Orange
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[28].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].

En 2021, la commune comptait 1 002 habitants[Note 4], en diminution de 6,27 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %). La Meauffe est la commune la plus peuplée du canton de Saint-Clair-sur-l'Elle.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
606442652642694689728755739
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
764743715722729773786712636
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
621568573508549607650527697
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
6997238511 1431 1411 0341 0641 0731 076
2018 2021 - - - - - - -
1 0261 002-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Cycle Établissement public Établissement privé
Écoles primaires École maternelle et élémentaire

Sports[modifier | modifier le code]

L'Entente sportive La Meauffe-Villiers-Fossard a fait évoluer jusqu'en 2016 deux équipes de football en division de district[32].

Économie[modifier | modifier le code]

La commune se situe dans la zone géographique des appellations d'origine protégée (AOP) Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny[33].

Laiterie Claudel[modifier | modifier le code]

Située sur la commune de La Meauffe, on a coutume improprement de localiser la laiterie Claudel à Pont-Hébert.

Ce centre de production de produits laitiers a une histoire associée à un homme, Henri Claudel (1884-1971). Son développement et son extinction sont très étroitement liés à l’histoire agricole du bocage que traverse la Vire.

L’implantation de l’usine Claudel en 1912 est significative de l’essor qu’a connu l’industrie laitière dans notre région entre 1850 et 1920. C’est aussi pour cette partie du bocage bas-normand l’histoire d’un développement industriel étonnant qui s’étalera sur près de 70 ans et mettra Claudel en position dominante dans l’économie laitière du département (avec la coopérative Elle & Vire).

Henri Claudel ne va pas cesser d’étendre son entreprise en créant ici et là des unités de production qui vont permettre la diversification et la spécialisation. Claudel réalisera le passage de la production artisanale à une production industrielle très performante.

Dans une région faiblement industrialisée, l’usine Claudel joue un rôle moteur pour l’économie bas-normande. En 1939, l’usine traitait 60 000 litres par jour. Elle brûlera en . Reconstruite en usine ultramoderne, elle aura un potentiel de production de plus de 500 000 litres de lait par jour dans les années 1970-1980. La main-d’œuvre passera de 200 employés en 1926 à 880 dans les années 1970. Henri Claudel, fondateur de cet empire incarne le patron d’industrie qui — à l’image d’Alfred Mosselman pour les engrais, la chaux, la brique et les transports — imprime à la région un dynamisme incontestable, une image forte qui perdure.

Fin 1984, la société Claudel-Nestlé disparaît définitivement pour se fondre dans le groupe Besnier. La fermeture de l’usine de Pont-Hébert sera vécue par le monde du travail comme un véritable traumatisme. Actuellement, les bâtiments attendent une reprise, et de ce fait ne pourraient être utilisés à des fins touristiques. La valorisation de l’histoire de cette implantation serait à faire sur un autre lieu.

Centrale hydraulique des Claies de Vire[modifier | modifier le code]

Les Claies de Vire.

Tout près du barrage des Claies de Vire, des murs de pierres maçonnées avec ouvertures en brique, et quelques structures intérieures encore en place, révèlent l’existence d’une centrale électrique. Il existait un moulin à cet emplacement à la fin du XVIIIe siècle. Les installations hydrauliques furent transformés par la suite, avec l’installation de deux turbines. L’usine fut réglementée par décret en 1911. En 1946, l’usine devint propriété d’EDF. Aujourd’hui, le toit du bâtiment a disparu, mais les murs restent en état et présentent une architecture remarquable qu’il serait souhaitable de sauvegarder.

Distilleries[modifier | modifier le code]

Deux distilleries ont été implantées sur la commune de La Meauffe après 1918, l’une vers le quartier du Pont, l’autre le long de la route La Meauffe-Airel. La seconde, la plus importante, construite vers 1929 pouvait traiter 400 tonnes de pommes. Cet alcool fabriqué de manière industrielle a servi en gros à la reconstitution des poudres de guerre. L’usine arrêta sa fabrication en 1953. Sa haute cheminée en brique, visible de loin, témoigne de l’importance de l'activité. Cette dernière a été détruite en 2009 pour des raisons de sécurité puisqu'elle menaçait ruines.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Fours à chaux inscrits aux monuments historiques[34].
  • Église Saint-Martin (XXe siècle), reconstruite en 1956 selon les plans des architectes André Martinet et Yves Maublanc. Elle abrite une peinture murale (XXe) de Francolin d'après Max Ingrand, une Vierge (XXe) d'Étienne Rebuffet, une verrière (XXe) de Max Ingrand.
  • Chemin de halage.
  • Ferme de la Grande Ferrière.
Pour mémoire
  • Les claies de Vire. Ces pêcheries possessions depuis le Moyen Âge des seigneurs locaux, disparurent à la Révolution, car elles entravaient la navigation[35].
  • Château de Saint-Gilles détruit en 1944. En 1764, il fut acquis, avec la seigneurie de la Meauffe, par Armand-Jérôme Bignon[36].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Armand-Jérôme Bignon (1711-1772), avocat, académicien, bibliothécaire du roi, conseiller d'État et prévôt des marchands de Paris, seigneur de La Meauffe, en possédait le fief[37].
  • Alfred Mosselman (1810-1877), industriel qui a investit notamment dans la modernisation de la navigation de la Vire et l'exploitation des fours à chaux.
  • Henri Claudel (1884-1971), industriel, fondateur des Établissements Claudel (lait, beurre, fromage, produits divers).

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
  2. « La Meauffe » sur Géoportail..
  3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  7. « Orthodromie entre La Meauffe et Condé-sur-Vire », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Conde Sur Vire_sapc » (commune de Condé-sur-Vire) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Conde Sur Vire_sapc » (commune de Condé-sur-Vire) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 de Pont-Hébert », sur insee.fr (consulté le ).
  15. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  20. a b c d et e Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, Genève, (lire en ligne), p. 874.
  21. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 2-95480-455-4 (édité erroné), BNF 36174448), p. 170.
  23. Voir Histoire de la Normandie.
  24. La Meauffe en 1944, sur dday-overlord.com.
  25. « GASO, la banque du blason - La Meauffe Manche »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).
  26. « Le maire sortant, Alain Mahieu, a dévoilé sa liste », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  27. Réélection 2014 : « La Meauffe (50880) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  28. a et b « Municipales à La Meauffe. Pascal Langlois est le nouveau maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – Ent. s. Meauffe-Villiers-Fossard » (consulté le ).
  33. AOP Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny.
  34. « Ensemble de six fours à chaux », notice no PA00110671, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. Gautier 2014, p. 296.
  36. René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 296.
  37. Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l ..., Volume 10 sur Google Livres.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 133.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 296.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]