Groupe Ifri — Wikipédia

Groupe Ifri
logo de Groupe Ifri
illustration de Groupe Ifri
Sodas Ifri dans un supermarché à Paris

Création Voir et modifier les données sur Wikidata
Siège social OuzellaguenVoir et modifier les données sur Wikidata
Activité Agro-industrie, gestion de la chaîne logistique et emballageVoir et modifier les données sur Wikidata
Produits Eau minérale naturelle, eau gazeuse, soda, jus, boisson énergétique, boisson énergisante et huile d'oliveVoir et modifier les données sur Wikidata
Filiales Huileries Ouzellaguen (d)
Ifri European Partner (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Effectif 2 000Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web www.ifri-dz.comVoir et modifier les données sur Wikidata
Chiffre d'affaires 300 M ()Voir et modifier les données sur Wikidata

Le Groupe Ifri est une société algérienne de production d'eau minérale et de boissons diverses (sodas et eaux fruitées) appartenant à Ibrahim et fils, créée en 1996 à Ouzellaguen en Algérie[1].

Source[modifier | modifier le code]

Sa source provient du village d'Ifri, à 50 km à l'Ouest de la ville de Béjaïa et à 150 km à l'Est d'Alger.

Production et distribution[modifier | modifier le code]

Logo de Numidia, la marque de l'huile d'olive.

L'entreprise commercialise une cinquantaine de produits : eau minérale plate, gazéifiée et aromatisée, sodas, cocktails, huiles végétales.

En 1996, Ibrahim et fils est l'une des premières sociétés à utiliser du polytéréphtalate d'éthylène (PET) en Algérie. En 1996, 20 millions de bouteilles ont été commercialisées en Algérie, en 1999, c'est 48 millions d'unités[réf. nécessaire].

En plus du marché algérien, Ifri exporte ses produits vers le Maroc, la France, l'Angleterre, l'Espagne, l'Italie, l'Allemagne, la Belgique, le Luxembourg, les États-Unis, le Soudan, le Mali, le Niger et les Émirats arabes unis[réf. nécessaire].

En août 2021, pendant une vague de contamination au Covid-19[2], le groupe Ifri annonce l'acquisition et la donation de 1 200 concentrateurs d'oxygène aux centres de soins algériens[3].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Ifri, l’embouteilleur algérien qui tient tête aux multinationales », sur Jeune Afrique (consulté le ).
  2. « Des malades du Covid-19 meurent du manque d'oxygène dans les hôpitaux algériens », sur observalgerie.com (consulté le )
  3. « Ifri fait don de 1200 concentrateurs d'oxygène aux hôpitaux algériens », sur observalgerie.com (consulté le )

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]