Idéalisation (psychanalyse) — Wikipédia

En psychanalyse, l'idéalisation est un mécanisme de défense qui consiste à remplacer ce qui fait souffrir par une croyance déformée, facile à contrôler[1].

Il existe une idéalisation positive qui présente à soi-même comme aux autres une vision améliorée de la réalité, et une idéalisation négative qui se focalise sur les défauts, les exagère ou même les invente[2].

L'identification à l'objet idéalisé contribue à la formation et à l'enrichissement des instances que sont le Moi idéal et l'idéal du Moi. Pour les kleiniens, l'idéalisation est en lien avec l'envie dont elle est l'opposé, voire le pendant.

Notes et références

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  1. Tomasella 2015, p. 25.
  2. Tomasella 2015, p. 26.

Bibliographie

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