French
DeutschGare de Niangoloko — Wikipédia
Cet article est une ébauche concernant une gare et le Burkina Faso.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
| Niangoloko | |||
 | |||
| Localisation | |||
|---|---|---|---|
| Pays | Burkina Faso | ||
| Commune | Niangoloko | ||
| Coordonnées géographiques | 10° 16′ 21″ nord, 4° 54′ 51″ ouest | ||
| Gestion et exploitation | |||
| Propriétaire | État | ||
| Exploitant | Sitarail | ||
| Services | Voyageurs Marchandises | ||
| Caractéristiques | |||
| Ligne(s) | Abidjan à Ouagadougou | ||
| Voies | 2 (+ voies de service) | ||
| Quais | 2 | ||
| Altitude | 341 m | ||
| Historique | |||
| Mise en service | 1er mai 1932 | ||
| Géolocalisation sur la carte : Burkina Faso
Géolocalisation sur la carte : Afrique
| |||
modifier  | |||
La gare de Niangoloko est une gare ferroviaire burkinabé de la ligne d'Abidjan à Ouagadougou, située à proximité du centre-ville de Niangoloko, chef-lieu du département de même nom dans la province de la Comoé de la région des Cascades.
Situation ferroviaire[modifier | modifier le code]
Établie à 341 mètres d'altitude, la gare de Niangoloko est située au point kilométrique (PK) 650 de la ligne d'Abidjan à Ouagadougou, entre les gares de Yendéré et de Diarabakoko[1].
Histoire[modifier | modifier le code]
La gare de Niangoloko, en Haute-Volta, est mise en service le 1er mai 1932, lors de l'ouverture à l'exploitation du tronçon de Ouangolodougou à Niangoloko. L'ouverture du tronçon suivant jusqu'à Banfora a lieu le 1er septembre 1932, pour les marchandises, et en janvier 1933 pour le service des voyageurs[2]. Elle est réalisée, comme la ligne ferroviaire, par le Génie militaire français.
Service des voyageurs[modifier | modifier le code]
Depuis les années 2000, la Sitarail, qui fait circuler six trains voyageurs par semaine sur la ligne, réalise son changement de personnel de bord entre les équipes ivoiriennes et burkinabè à la gare de Niangoloko, l'une des 36 (sur 74) qui restent encore en activité après les fermetures de 42 arrêts pour raisons économiques[3].
Service des marchandises[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
- (en) « Côte d'Ivoire et Burkina Faso Rlys : Passenger stations et stops » [PDF], sur railwaystationlists.co.uk, (consulté le ).
- Jean-Jacques Fadeuilhe, « Le chemin de fer en Haute-Volta », I&M - Bulletin, no 38, (lire en ligne, consulté le ).
- Gaël Turine, « Mille kilomètres dans la brousse à bord de "L'Express", le train Abidjan - Ouagadougou », Geo, 2 août 2019.
Annexes[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
- Transport ferroviaire au Burkina Faso
- Ligne d'Abidjan à Ouagadougou – Schéma de la ligne d'Abidjan à Ouagadougou
- Régie des chemins de fer Abidjan-Niger (RAN)
- Sitarail
