Fleury-Mérogis — Wikipédia

Fleury-Mérogis
Fleury-Mérogis
L’hôtel de ville.
Image illustrative de l’article Fleury-Mérogis
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Essonne
Arrondissement Évry
Intercommunalité Cœur d'Essonne Agglomération
Maire
Mandat
Olivier Corzani
2020-2026
Code postal 91700
Code commune 91235
Démographie
Gentilé Floriacumois
Population
municipale
13 983 hab. (2021 en augmentation de 37,36 % par rapport à 2015)
Densité 2 148 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 37′ 48″ nord, 2° 21′ 39″ est
Altitude Min. 76 m
Max. 101 m
Superficie 6,51 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Ris-Orangis
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Liens
Site web http://fleurymerogis.fr/

Fleury-Mérogis (prononcé [flœʁi meʁɔʒis] Écouter) est une commune française située à vingt-six kilomètres au sud de Paris dans le département de l'Essonne en région Île-de-France. Elle est notamment connue pour sa maison d'arrêt, qui est l'une des plus grandes prisons d'Europe.

Ses habitants sont appelés les Floriacumois[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Occupation des sols.
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Espace urbain construit 35,3 % 225,42
Espace urbain non construit 11,7 % 74,73
Espace rural 52,9 % 337,70
Source : Iaurif-MOS 2008[2]

Fleury-Mérogis est située à vingt-six kilomètres au sud de Paris-Notre-Dame[3], point zéro des routes de France, six kilomètres au sud-ouest d'Évry[4], sept kilomètres à l'est de Montlhéry[5], neuf kilomètres à l'ouest de Corbeil-Essonnes[6], neuf kilomètres au nord-est d'Arpajon[7], treize kilomètres au sud-est de Palaiseau[8], seize kilomètres au nord de La Ferté-Alais[9], vingt-six kilomètres au nord-ouest de Milly-la-Forêt[10], vingt-six kilomètres au nord-est d'Étampes[11], vingt-huit kilomètres au nord-est de Dourdan[12].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

Le point le plus bas de la commune est situé à soixante-seize mètres d'altitude et le point culminant à cent un mètres[13].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 656 mm, avec 10,4 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Brétigny-sur-Orge à 5 km à vol d'oiseau[16], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 628,9 mm[17],[18]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[19].

Statistiques 1991-2020 et records BRETIGNY_SAPC (91) - alt : 78m, lat : 48°36'01"N, lon : 2°19'33"E
Records établis sur la période du 01-02-1947 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,7 1,5 3,6 5,7 9,2 12,5 14,4 14,1 11 8,2 4,5 2,2 7,4
Température moyenne (°C) 4,5 5 8,1 10,9 14,5 17,9 20,2 20 16,4 12,4 7,7 4,9 11,9
Température maximale moyenne (°C) 7,2 8,5 12,6 16,2 19,8 23,4 26 25,9 21,8 16,6 10,9 7,6 16,4
Record de froid (°C)
date du record
−20,6
08.01.10
−17
23.02.1963
−10,7
13.03.13
−4,7
11.04.03
−1,9
07.05.1957
1,4
05.06.1991
3,8
01.07.1960
3,7
28.08.1974
0,2
17.09.1971
−4,5
29.10.1985
−9,6
24.11.1998
−16,4
29.12.1964
−20,6
2010
Record de chaleur (°C)
date du record
15,8
27.01.03
20,2
27.02.19
25,3
25.03.1955
29,4
20.04.18
32
28.05.17
37,3
18.06.22
42
25.07.19
39,7
06.08.03
35,4
08.09.23
30,3
01.10.1985
22,1
07.11.15
16,8
17.12.15
42
2019
Précipitations (mm) 48,2 44,9 45 44,6 61,4 55,6 53,1 57,7 48,6 52,6 54,5 62,7 628,9
Source : « Fiche 91103001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La ville ne possède pas de gare sur son territoire, les plus proches étant celles de Grigny, Viry-Châtillon (RER D) ou encore de Sainte-Geneviève des Bois (RER C) qui sont toutes trois des villes limitrophes.

Il est possible d'y accéder directement en empruntant les lignes DM5 (Juvisy RER - ZAC de la Croix Blanche) et 510 (Grigny - ZAC de la Croix Blanche) qui sont les lignes les plus importantes de la ville car elles desservent la quasi-intégralité des zones d'habitations de la ville.

La ligne TICE 401 (Saint-Michel-sur-Orge - Corbeil-Essonnes) relie la ville à Évry-Courcouronnes (notamment son centre commercial régional et sa préfecture) et Corbeil-Essonnes qui sont les deux villes les plus importantes du département, mais également à ses voisines Sainte-Geneviève des Bois et Saint-Michel-sur-Orge jusqu'à minuit tous les jours.

Pour la maison d'arrêt, la ligne 109 permet de relier la maison d'arrêt à Paris - Porte d'Orléans en moins de 30 minutes par autoroute tous les jours, et la DM50 à la gare de Juvisy, sans arrêt également.

La ligne TICE 409 (Fleury-Mérogis - Villabé) dessert également le territoire communal, mais uniquement 3 arrêts qui sont tous situés dans la ZI des Ciroliers et aux portes de la ZAC de la Croix-Blanche et avec une desserte assez famélique du fait de ses 4 à 5 passages journaliers les jours ouvrés seulement.

Lieux-dits, écarts et quartiers[modifier | modifier le code]

Quartier des Aunettes, reconstruit et réhabilité en 2013-2016.

L'ouest de la ville compte un petit quartier prioritaire nommé Les Aunettes, à ne pas confondre avec plusieurs quartiers éponymes dans ce secteur de l'Essonne. Il compte 1 364 habitants en 2018, le secteur prioritaire étant limité à un petit groupe de treize immeubles à l'ouest de l'avenue du docteur Fichez[20].

Au sein des Aunettes, un écoquartier, les Joncs-Marins, est construit à partir de 2013[21] avec seize lots devant totaliser onze cents logements familiaux (labellisés « effinergie + »[Quoi ?]), sociaux, résidence pour personnes âgées à mobilité réduite, centre commercial. Les petits immeubles, en majorité de cinq étages, sont quadrillés de rues ombragées d'arbres avec des allées de verdure et des pelouses. S'étendant sur 17 hectares, il comprend aussi des parkings et des commerces de proximité. Des appartements sont accessibles à la propriété, les derniers étant livrés pour 2016. Le lot no 2 comprend dix-neuf maisons individuelles construites selon les normes écologiques[réf. nécessaire].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Fleury-Mérogis est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[22],[23],[24].

Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[25] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[26],[27].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[28],[29].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Fluriacum en 1093[30], Floriacum, Floriacum Merogii, Fleury-Merongis, Flori[31] ou Flory au XIIIe siècle.

De florus « être riche », -acum « fortification » et de l'anthroponyme Méraugis[32].

La commune fut créée en 1789 avec son nom actuel[33].

Histoire[modifier | modifier le code]

L'histoire de la ville commence en l'an 1093 : c'est à l'époque un domaine agricole appartenant à un seigneur du nom de Florus (d'où le nom de Floriacum = de Florus). L'endroit est la possession du seigneur Robertus de Floriacus en 1140, puis de Guillaume de Mérogis[34], et ainsi le village se nomme Flory-Mérogis au début du XIVe siècle. Il est construit autour de sa petite église et du château fort médiéval détruit en 1722. Guillaume Joly de Fleury (1675-1756), propriétaire des terres, fait construire un nouveau château dans les années 1720. La vocation agricole de Fleury-Mérogis se perpétue jusqu'au début des années 1960. En parallèle, on sait aussi qu'au XIXe siècle, la commune comptait aussi une carrière de pierres meulières, destinées à la ville de Paris, dont le lieu-dit du "Bois des trous" tire son nom[35]. Fleury-Mérogis comptait 261 habitants en 1946 et 361 en 1962.

Depuis 1968, la ville accueille sur son territoire la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis, le plus grand centre pénitentiaire d'Europe[36].

La population de la commune explose à partir des années 1970[33], intégrant des travailleurs immigrés et des populations issues de l'exode rural par vagues successives. Cette période marquée par la politique de regroupement familial est gérée par une municipalité communiste (jusqu'en 2009) qui doit faire construire des infrastructures ex nihilo. Les habitants sont au nombre de 4 953 en 1990[34], de 7 419 en 1982 et de 9 219 en 2013[37]. De grandes cités de logements sociaux sont construites rapidement dans les années 1970-1990. La politique de la ville évolue au début du XXIe siècle avec la destruction de tours et la réhabilitation de certains quartiers. Il est à noter que 37 % de la surface de la commune sont constitués d'espaces verts ou boisés[34].

Une nuit d'émeute a éclaté en juin 2016 dans la partie ouest de la ville[non pertinent].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Position de Fleury-Mérogis en Essonne.

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Jusqu’à la loi du 10 juillet 1964[38], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. Le redécoupage des anciens départements de la Seine et de Seine-et-Oise fait que la commune appartient désormais à l'Essonne et à son arrondissement d'Évry après un transfert administratif effectif le . Pour l'élection des députés, la commune est rattachée à la dixième circonscription de l'Essonne.

La commune faisait partie depuis 1801 du canton de Longjumeau. Celui-ci est scindé en 1964 et la commune rattachée à celui de Juvisy-sur-Orge. Lors de la mise en place du département de l'Essonne, la commune intègre en 1967 le canton de Viry-Châtillon, puis, en 1975, celui de Morsang-sur-Orge. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Ris-Orangis.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie de la communauté d'agglomération du Val d'Orge créée au .

Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du , qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, le projet de schéma régional de coopération intercommunale de février 2015 prévoyait la création, en Essonne, d’une agglomération de plus de 500 000 habitants regroupant 48 communes, allant de l’Arpajonnais au SAN de Sénart Ville Nouvelle en Seine-et-Marne. Après concertation, ce projet a été amendé et le préfet de la région d'Île-de-France approuve le un schéma régional de coopération intercommunale qui prévoit notamment la « fusion de la communauté d'agglomération du Val d'Orge et de la communauté de communes de l'Arpajonnais »[39].

Cette fusion est intervenue le , créant la communauté d'agglomération Cœur d'Essonne Agglomération[40], dont la commune est désormais membre.

Tendances et résultats politiques[modifier | modifier le code]

Élections présidentielles

Résultats des deuxièmes tours :

Élections législatives

Résultats des deuxièmes tours :

Élections européennes

Résultats des deux meilleurs scores :

Élections régionales

Résultats des deux meilleurs scores :

Élections cantonales puis départementales

Résultats des deuxièmes tours :

Élections municipales

Résultats des deuxièmes tours

Référendums

Politique locale[modifier | modifier le code]

Le maire réélu au terme des élections municipales de 2014 dans l'Essonne, David Derrouet, annonce en juin 2017 sa démission pour des raisons personnelles[62]. Le conseil municipal élit en octobre 2017 son successeur, Aline Cabeza[63], malgré la contestation de certains élus[64]. Celle-ci annonce toutefois sa démission dès novembre 2018, au terme d'un conseil municipal où le quorum n'avait pas été réuni et où des élus avaient reprochés au maire le départ de médecins[65].

Les élections municipales partielles organisées le voient la victoire de la liste « Fleury pleinement citoyenne » (SE) menée par Olivier Corzani (PCF) dès le premier tour[66] et celui-ci est élu maire le [67].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[68],[69]
Période Identité Étiquette Qualité
1789 1806 Jean-François Billarant   Gardien du château
1806 1813 Jean-Louis Pierre Defresne   Cultivateur
1813 1843 Armand Guillaume Joly de Fleury   Conseiller d'État
1843 1854 Gabriel Jean Joly de Fleury   Auditeur au Conseil d'État
1854 1871 Jacques Louis-Napoléon Grandidier   Notaire
1871 1871 Louis Victor Auberge   Agriculteur
1871 1888 Ernest Grandidier   Auditeur au Conseil d'État
Conservateur en chef au Musée du Louvre (1894 → 1912) .
1888 1892 Émile Auberge    
1892 1916 Edmond Bartissol[70] Républicains modérés
puis Républicains progressistes
Ingénieur
Député des Pyrénées-Orientales (1889 → 1893 et 1902 → 1910)
Député de l'Aude (1898 → 1898)
1916 1923 Léon Blavet   Agriculteur
1923 1926 Gustave Batiau   Courtier
1926 1948 Pierre Louis Marcille   Agriculteur
1948 1959 Edmond Blanchard   Horticulteur
1959 1975 Auguste Gentelet PCF Économiste
1975 septembre 1998[71] Roger Clavier[72] PCF Inspecteur des ventes
Démissionnaire
septembre 1998 décembre 2009[73] Michel Humbert PCF Ingénieur RATP
Mandat écourté à la suite de la démission d'une partie du Conseil municipal
décembre 2009[74],[75] octobre 2017[76] David Derrouet PS puis DVG[77],[78]
puis ND[79]
Consultant, ancien directeur de cabinet d'Athis et de Juvisy
Vice-président de la CA Cœur d'Essonne Agglomération (2016 → 2017[80])
Démissionnaire[62]
octobre 2017[63] décembre 2018[65],[81] Aline Cabeza DVG Rédactrice territoriale
Démissionnaire
février 2019[67] En cours
(au 9 février 2019)
Olivier Corzani PCF Éducateur
Réélu pour le mandat 2020-2026

Politique de développement durable[modifier | modifier le code]

La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[82].

Jumelages[modifier | modifier le code]

La commune de Fleury-Mérogis n'a développé[Quand ?] aucune association de jumelage.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[83],[Note 3].

En 2021, la commune comptait 13 983 habitants[Note 4], en augmentation de 37,36 % par rapport à 2015 (Essonne : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
137251211199210226223225217
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
217230236235224198201180237
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
239287268248349324238201445
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
3511 1946 5517 4199 6779 0749 1679 11011 430
2021 - - - - - - - -
13 983--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[84].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 50,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (39,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 6,0 % la même année, alors qu'il est de 20,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 9 207 hommes pour 4 710 femmes, soit un taux de 66,16 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,98 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[85]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,5 
0,7 
75-89 ans
1,7 
3,9 
60-74 ans
6,5 
14,6 
45-59 ans
15,4 
30,2 
30-44 ans
26,0 
37,3 
15-29 ans
25,7 
13,3 
0-14 ans
24,2 
Pyramide des âges du département de l'Essonne en 2020 en pourcentage[86]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,3 
75-89 ans
7,1 
12,9 
60-74 ans
13,8 
20,1 
45-59 ans
19,6 
19,9 
30-44 ans
20,1 
19,9 
15-29 ans
18,3 
21,4 
0-14 ans
19,8 

Enseignement[modifier | modifier le code]

Fleury-Mérogis est rattachée à l'académie de Versailles. Elle dispose[Quand ?] des groupes scolaires Robert Desnos, Frédéric Joliot-Curie et Paul Langevin.

Santé[modifier | modifier le code]

Le centre hospitalier Manhes a été créé initialement en 1965 par la FNDIRP (Fédération nationale des déportés et internés résistants et patriotes) pour les anciens déportés [87]. Aujourd'hui, le centre hospitalier propose :Soins de Suite et de Réadaptation (SSR), Hôpital de Jour , Psychiatrie, Hémodialyse rénale, un service de consultations externes . La commune dispose sur son territoire de l'établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes Marcel-Paul (rattaché au centre Manhes, a vu le jour à l'initiative d'anciens déportés). Le centre Jean-Moulin fondé en 1948, est également rattaché au centre Manhes [88]. Un centre de la protection maternelle et infantile est implanté dans la commune[89].

Culture[modifier | modifier le code]

La ville dispose[Quand ?] de plusieurs infrastructures culturelles, dont[90] :

  • la salle André-Malraux (théâtre, danse, musique) ;
  • la médiathèque Elsa-Triolet ;
  • l'espace Jean-Wiener (centre musical et artistique) ;
  • Le Onze (studio de répétition et d'enregistrement).

Sports[modifier | modifier le code]

Le stade Auguste-Gentelet.

Le club de football, le FC Fleury 91, la D1 Féminine, les réserves, et les jeunes évoluent au Complexe Sportif Auguste Gentelet. Tandis que l'équipe première masculine réside au stade Robert-Bobin de Bondoufle[réf. nécessaire].

Services publics[modifier | modifier le code]

La commune dispose en 2010 sur son territoire d'une brigade de gendarmerie nationale[91] et d'une agence postale[92].

Lieux de culte[modifier | modifier le code]

L'église du Saint-Rédempteur.

La paroisse catholique de Fleury-Mérogis est rattachée au secteur pastoral du Val d'Orge-Sainte-Geneviève-des-Bois et au diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l'église du Saint-Rédempteur[93], datant du XVIIIe siècle[94].

Médias[modifier | modifier le code]

L'hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d'émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif.

Économie[modifier | modifier le code]

La ville est principalement connue pour accueillir sur son sol la prison de Fleury-Mérogis.

Emplois, revenus et niveau de vie[modifier | modifier le code]

En 2006, le revenu fiscal médian par ménage était de 16 729 , ce qui plaçait la commune au 12 100e rang parmi les 30 687 communes de plus de cinquante ménages que compte le pays et au cent quatre-vingtième rang départemental[95].

Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006.
  Agriculteurs Artisans, commerçants,
chefs d’entreprise
Cadres et professions
intellectuelles supérieures
Professions
intermédiaires
Employés Ouvriers
Fleury-Mérogis 0,0 % 1,5 % 8,8 % 18,2 % 44,7 % 26,9 %
Zone d’emploi d’Orly 0,1 % 4,6 % 15,2 % 27,8 % 30,3 % 22,1 %
Moyenne nationale 2,2 % 6,0 % 15,4 % 24,6 % 28,7 % 23,2 %
Répartition des emplois par secteurs d’activités en 2006.
  Agriculture Industrie Construction Commerce Services aux
entreprises
Services aux
particuliers
Fleury-Mérogis 0,3 % 5,7 % 3,1 % 11,5 % 6,4 % 4,1 %
Zone d’emploi d’Orly 0,5 % 8,1 % 7,2 % 15,0 % 14,3 % 6,3 %
Moyenne nationale 3,5 % 15,2 % 6,4 % 13,3 % 13,3 % 7,6 %
Sources : Insee[96],[97],[98]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Patrimoine environnemental[modifier | modifier le code]

Les bois communaux ont été recensés au titre des espaces naturels sensibles par le conseil général de l'Essonne[99].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Une borne routière marquée d'une fleur de lys, aujourd'hui disparue, a été inscrite aux monuments historiques le [100].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Différents personnages publics sont nés, décédés ou ont vécu à Fleury-Mérogis :

Héraldique et logotype[modifier | modifier le code]


Blason de Fleury-Mérogis

La commune de Fleury-Mérogis ne dispose pas de blason. Elle s'est dotée d'un logotype.

Logotype de Fleury-Mérogis

Fleury-Mérogis dans les arts et la culture[modifier | modifier le code]

  • Trust - Le Mitard (musique) : 8e morceau de la version française de l'album Répression, et 10e pour la version anglaise. Les auteurs sont Bernie Bonvoisin (chanteur du groupe) et Jacques Mesrine (ancien criminel français, connu comme "l'ennemi public numéro un", et principal protagoniste du morceau). Dans cette chanson, Fleury-Mérogis désigne la maison d'arrêt de ladite commune, où Jacques Mesrine fut incarcéré. Elle visait à dénoncer le traitement des détenus.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

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  4. Orthodromie entre Fleury-Mérogis et Évry sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.
  5. Orthodromie entre Fleury-Mérogis et Montlhéry sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.
  6. Orthodromie entre Fleury-Mérogis et Corbeil-Essonnes sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.
  7. Orthodromie entre Fleury-Mérogis et Arpajon sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.
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  9. Orthodromie entre Fleury-Mérogis et La Ferté-Alais sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.
  10. Orthodromie entre Fleury-Mérogis et Milly-la-Forêt sur le site lion1906.com Consulté le 16/09/2012.
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Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine des communes de l'Essonne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1053 p. (ISBN 2-84234-126-0), « Fleury-Mérogis », p. 821–823
  • Angel Perez, Fleury-Mérogis, La Pensée Unique, , 156 p. (ISBN 978-2-214-04666-1)
  • Collectif d'auteurs, Le Spectateur anonyme, Ramsay,
  • Élisabeth Cons, La boîte à oubli : dix ans à Fleury-Mérogis, Lattes, , 265 p. (ISBN 978-2-7096-2199-1)
  • Martine Schachtel, Femmes en prison : dans les coulisses de Fleury-Mérogis, Albin Michel, , 176 p. (ISBN 978-2-226-12071-7)
  • Isabelle Le Bourgeois, Derrière les barreaux des hommes : femme et aumônier à Fleury-Mérogis, , 150 p. (ISBN 978-2-220-05230-4)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]