Calleville — Wikipédia

Calleville
Calleville
La mairie.
Blason de Calleville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité Communauté de communes Intercom Bernay Terres de Normandie
Maire
Mandat
Frédéric Scribot
2020-2026
Code postal 27800
Code commune 27125
Démographie
Gentilé Callevillais
Population
municipale
661 hab. (2021 en diminution de 0,45 % par rapport à 2015)
Densité 77 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 11′ 33″ nord, 0° 45′ 30″ est
Altitude Min. 65 m
Max. 144 m
Superficie 8,57 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Brionne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Calleville

Calleville est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Calleville est une commune du Centre-Ouest du département de l'Eure. Elle est située à l'extrémité ouest de la région naturelle de la campagne du Neubourg et jouxte celle du Lieuvin. La campagne du Neubourg se caractérise par un paysage plat et ouvert, dit en openfield, c'est-à-dire composé de grandes étendues de cultures[1]. Ainsi, une grande partie du territoire de la commune de Calleville est occupée par des champs organisés en grandes parcelles et se distingue, de manière générale, par l'absence d'éléments végétaux. Toutefois, cette ouverture du paysage se trouve contrecarrée par la proximité de plusieurs vallées (à l'ouest et au nord) dont les abords boisés offrent un cadre plus végétal. De plus, un peu de végétation couvre les abords de l'autoroute A28 et quelques haies clairsemées subsistent çà et là. À vol d'oiseau, le bourg est à 3 km à l'est de Brionne[2], à 16 km au nord-est de Bernay[3], à 34 km au nord-ouest d'Évreux[4] et à 36 km au sud-ouest de Rouen[5].

Voies de communication[modifier | modifier le code]

La commune de Calleville est traversée par :

  • l'autoroute A28 qui relie notamment Rouen à Alençon ;
  • la route départementale 26 qui la relie, à l'ouest, à Brionne et, à l'est, à Saint-Paul-de-Fourques ;
  • La route départementale 137 qui la relie à Harcourt.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[8]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 750 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Brionne à 3 km à vol d'oiseau[10], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 791,7 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Calleville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Brionne, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[17] et 4 947 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20],[21].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (67,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (50,8 %), forêts (24,1 %), zones urbanisées (9,6 %), zones agricoles hétérogènes (9 %), prairies (6,6 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Carlevilla en 1216, Sanctus Anianus de Karlevilla en 1221 (second cart. du chap. d’Évreux), Callevilla en 1266 (reg. visit.), Kalevilla en 1293 (cartulaire de Préaux), Cailleville (La Roque), Alleville en 1523 (rech. de la noblesse), Calville en 1700 (dép. de l'élection de Conches) et Calleville-les-Bois (actes nombreux)[23].

La « ville de karli » (domaine rural médiéval), nom d'homme scandinave, Karli, qu'on retrouve dans Calleville-les-Deux-Églises et Cailleville, communes de Seine-Maritime.

Histoire[modifier | modifier le code]

Aux alentours des XIe et XIIe siècles, les terres de la commune de Calleville étaient partagées entre la famille d'Harcourt et la baronnie du Neubourg.

La première mention connue d'un seigneur de Calleville revient à Robert Ier d'Harcourt, dit le Fort[24]. Ami dévoué de Robert Courteheuse, Robert Ier accompagna Guillaume le Conquérant lors de la conquête de l'Angleterre aux côtés de son frère Errand d'Harcourt et de son père Anquetil d'Harcourt. Robert Ier est le fondateur du château d'Harcourt[25].

À sa mort, son fils Guillaume d'Harcourt lui succéda. À l'inverse de son père, Guillaume était un partisan de Henri Beauclerc, le frère rival de Robert Courteheuse[24]. Il combattit à ses côtés en 1124 contre les partisans de Guillaume Cliton, fils du duc Robert II de Normandie[26].

Après Guillaume, la possession du territoire de Calleville revint successivement à Robert II d'Harcourt, dit le vaillant (le premier à porter les armes de la Maison d'Harcourt et le fondateur de la chapelle Saint-Thomas de Cantorbéry à Harcourt[27]), à Richard d'Harcourt, puis à André d'Harcourt[24].

La terre de Calleville passe ensuite aux mains de Jean Ier d'Harcourt[24]. Celui-ci fit construire sur le territoire de la commune un riche et somptueux manoir, entouré d'un parc arboré. La famille d'Harcourt préféra le confort de cette résidence au séjour plutôt rigoureux de la forteresse d'Harcourt. Fait notable : Jean Ier reçut, en 1266, dans le manoir de Calleville, l'archevêque de Rouen, Eudes Rigaud, accompagné de Guy de Mello, évêque d'Auxerre[24]. Jean d'Harcourt décéda au mois de novembre 1288 et fut enterré dans le prieuré Notre-Dame-du-Parc d'Harcourt qu'il avait fondé pour les augustins en 1257[25].

Philippe d'Harcourt devait lui succéder, mais il mourut prématurément, laissant la place à Jean II d'Harcourt, son frère cadet[24]. Celui-ci devint maréchal de France en 1283 et lieutenant-général de l’armée navale en 1295. Le 11 juillet 1293, dans le manoir de Calleville, il rédigea une charte en faveur de l'abbaye de Préaux[24]. Il décéda le et fut inhumé, comme son père, au prieuré de Notre-Dame-du-Parc d'Harcourt[25].

Suivent ensuite Jean III d'Harcourt (décédé en 1329), Jean IV d'Harcourt (premier comte d'Harcourt, il fut tué le 26 août 1346 à Crécy), Jean V d'Harcourt (qui mourut la tête tranchée, à Rouen, le ), Jean VI d'Harcourt (qui décède en 1388), puis enfin Jean VII d'Harcourt[24].

Le fils aîné de Jean VII, Jean VIII d'Harcourt, lieutenant et capitaine-général de Normandie, fut tué à la bataille de Verneuil en 1424[25]. Le territoire de la commune de Calleville revint donc à sa sœur, Marie d'Harcourt. Celle-ci se maria avec Antoine de Lorraine, comte de Vaudémont[28], faisant, ainsi, passer Calleville dans la maison Lorraine-Vaudémont. Se succèdent, ensuite, René de Lorraine, Claude de Lorraine, etc. Dans un titre du XVIIIe siècle, il est précisé que le parc de Calleville est la possession d'un très haut et grand seigneur, monseigneur le comte de Brionne. Il s'agit, en fait, de Louis de Lorraine, vicomte de Marsan[24].

À la Révolution, le manoir de Calleville et les bâtiments annexes furent détruits. Quant aux bois et au parc, ils furent vendus comme biens nationaux.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
    Louis Voranger    
    Jules Quatrenoix    
1969 1990 Roger Jouen    
mars 2001 en cours Frédéric Scribot DVD Fonctionnaire
Les données manquantes sont à compléter.
Association de préservation du patrimoine

Une association appelée "Les Amis du Patrimoine Callevillais" a pour objet, notamment, de sauvegarder et valoriser le patrimoine callevillais, récolter des fonds pour financer des opérations de restauration, de conservation, d'entretien, de valorisation du patrimoine communal en particulier celui de l'église et de son environnement paysager, etc.

Depuis sa création, l'association a procédé à la restauration de l'aigle-lutrin (pupitre placé dans le chœur sur lequel est posé l'Évangile) et à celle de la Pietà (tableau représentant la Déploration du Christ)[29]. Elle a remis en état les murs extérieurs de l’église Sainte-Clotilde[30]. Enfin, elle est également à l'origine de la reconstruction du lavoir sur la mare communale.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].

En 2021, la commune comptait 661 habitants[Note 2], en diminution de 0,45 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
584553591588645650623640628
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
580549598588565514452414397
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
380306275270307316274325298
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
311345427493551543552556648
2014 2019 2021 - - - - - -
663660661------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le manoir de Calleville
Carreaux de pavement du manoir de Calleville

Ce manoir fut édifié au XIIIe siècle par Jean Ier d’Harcourt. Riche et somptueux, il fut préféré par la famille d'Harcourt au château d'Harcourt. Le manoir fut détruit à la révolution. En 1817, dans les ruines du manoir, l'archéologue, député et curé monsieur Revert découvrit des pavés faïencés et émaillés. Ces pavés, le plus souvent de couleur rouge-brun, bleu, rouge et jaune, arborent des formes et des dessins très variés créant ainsi une mosaïque[35].
Monsieur Revert publia auprès de la Société des Antiquaires de Normandie, une étude sur ces pavés : « Quelques-uns des pavés portaient les armes de plusieurs anciennes familles normandes, tandis que celles des Harcourt étaient répétées sur presque toutes les pièces du parquet ».

  • L'église Sainte-Clotilde

L'église fut fondée par les seigneurs d'Harcourt au XIe siècle (le blason placé sur le haut de son fronton Ouest le prouve). Elle est construite en blocage de silex avec des contreforts en pierre. À l'origine, le vrai patron de cet édifice était saint Aignan ou saint Agnan (évêque d'Orléans). Au XVIIe siècle, un curé, probablement influencé par la recrudescence du culte de sainte Clotilde en Normandie à la suite du retour de ses ossements aux Andelys, décida de prendre celle-ci comme protectrice. Ce monument renferme quelques richesses telles qu'un autel retable d'époque Louis XIV, des bannières de charité, des vitraux du XIXe siècle réalisés par l'atelier de verriers d'Évreux Duhamel-Marette, un aigle-lutrain du XVIIe siècle[36].

  • La mairie
  • L'ancienne gare
L'ancienne gare.

En 1889, une voie de chemin de fer reliant Évreux à Honfleur fut créée. Elle a participé à l'essor de l'agriculture locale et à l'émergence du tourisme balnéaire. Calleville, qui se trouvait sur le tracé de cette ligne, possédait sa propre gare. Cette voie ferrée a fermé en 1969 faute de trafic suffisamment important. Laissée à l'abandon pendant de nombreuses décennies, elle fut bitumée en 2007 afin d'en faire une voie verte reliant Le Bec-Hellouin à Évreux. La gare est toujours présente pour témoigner de ce passé[37].

  • Le lavoir
Lavoir de la commune de Calleville, dans l'Eure en France

Il a été construit sur la mare communale en 2016/2017, d'après les plans du lavoir original qui datait de 1860[38]. Il a été inauguré le [39].

  • Le viaduc du Bec[40] a été construit en 2005 pour les besoins de l'autoroute A28.
  • Le bivouac préhistorique du Buhot

Sur le tracé de l'autoroute A28 qui relie Rouen à Alençon, la fouille réalisée à l’emplacement d’une des piles du viaduc qui franchit la vallée du Bec, a révélé l’existence d’une forte concentration lithique (4 930 outils de silex). Ainsi, des assemblages lithiques inédits, montrant la transformation de supports bruts en outillages utilisés sur place, encadrent les vestiges d’un foyer. Il s'agit d'un témoignage exceptionnel de bivouac d’un groupe de chasseurs-cueilleurs entre la fin du Pléistocène et le tout début de l'Holocène.

La voie verte Évreux - Le Bec-Hellouin à Calleville.

Ce site de la fin du Paléolithique supérieur est remarquable pour plusieurs raisons : la rareté des sites de cette période en Haute-Normandie, son état de conservation exceptionnel et la qualité et l’originalité de l’assemblage lithique découvert[41].

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

ZNIEFF de type 1[modifier | modifier le code]

  • Les bois et les landes de la côte du Buhot[42].

Le site de la Côte du Buhot se situe à l'est du viaduc de l'autoroute A28 qui franchit la vallée du Bec. Il est constitué par trois grands ensembles : une pinède à pin sylvestre avec aussi du bouleau verruqueux et du châtaignier, une hêtraie avec du houx et du châtaignier et, enfin, une clairière actuellement en cours de reboisement mixte de feuillus et de résineux. L'intérêt du site est lié à la présence de aira caryophyllée, de quelques touffes de bruyère cendrée et de bruyère quaternée.

ZNIEFF de type 2[modifier | modifier le code]

  • La vallée de la Risle de Brionne à Pont-Audemer, la forêt de Montfort[43] ;
  • La vallée de la Risle de la Ferrière-sur-Risle à Brionne, la forêt de Beaumont, la basse vallée de la Charentonne[44].

Site classé[modifier | modifier le code]

Patrimoine arboricole[modifier | modifier le code]

Des pommes Calville.

Il est très généralement attribué à la commune de Calleville la paternité du nom de la pomme Calville blanc d'hiver. En effet, aux alentours de 1600, cette variété de pomme très ancienne était cultivée dans le village et elle a fini par en prendre le nom. Toutefois, si le village de Calleville a donné son nom à la pomme Calville blanc d'hiver, il n'en est pas pour autant le berceau. En effet, cette pomme était déjà répandue, au XVIe siècle, dans le duché de Wurtemberg et près de Zurich, sous d'autres noms[46]. Il est à noter que cette pomme est à l'origine du nom générique Calville, porté aujourd'hui par de nombreuses variétés de pommes, notamment parce que leur forme est irrégulière et cotelée.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Calleville Blason
Coupé : au 1er de gueules à un léopard d'or armé et lampassé d'azur, au 2d au I de sinople à une couronne fermée d'argent, au II d'argent à une mitre de gueule chargée d'une tiercefeuille percée d'argent[47].
Détails
Le léopard d'or sur champ de gueules rappelle les armoiries de la Normandie

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Le plateau du Neubourg », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
  2. « Distance à vol d'oiseau entre Calleville et Brionne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lion1906.com (consulté le ).
  3. « Distance à vol d'oiseau entre Calleville et Bernay »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lion1906.com (consulté le ).
  4. « Distance à vol d'oiseau entre Calleville et Évreux »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lion1906.com (consulté le ).
  5. « Distance à vol d'oiseau entre Calleville et Rouen »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lion1906.com (consulté le ).
  6. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  10. « Orthodromie entre Calleville et Brionne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Brionne » (commune de Brionne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Brionne » (commune de Brionne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  14. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Unité urbaine 2020 de Brionne », sur insee.fr (consulté le ).
  18. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  23. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, 1877, p. 43 in Dictionnaire topographique de la France comprenant LES NOMS DE LIEUX ANCIENS ET MODERNES CTHS DicoTopo.fr (lire en ligne) [1].
  24. a b c d e f g h et i Louis-Étienne Charpillon et l'abbé Caresme, Dictionnaire historique de toutes les communes du département de l'Eure, Delcroix, (lire en ligne), p. 642-645, t. I.
  25. a b c et d Anselme Sainte-Marie (de) et Ange Sainte-Rosalie (de), Histoire de la Maison Royale de France, et des grands officiers de la Couronne, Compagnie des libraires associés, (lire en ligne), p. 124-134.
  26. Orderic Vital, Histoire de Normandie
  27. Jean Fournée, « Les lieux de culte de Saint Thomas Becket en Normandie », Annales de Normandie, vol. 45,‎ (lire en ligne).
  28. François-Alexandre Aubert Chesnaye des Bois (de la), Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire & la chronologie des familles nobles de la France, l'explication de leurs armes, & l'état des grandes terres du royaume, Antoine Boudet, (lire en ligne), p. 140.
  29. « « La déploration du Christ » est de retour en l’église de Calleville »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Paris-Normandie (consulté le ).
  30. « Les Amis du patrimoine de Calleville effectuent un piquetage du mur de l’église pour lutter contre l’humidité. Ils recherchent des maçons bénévoles »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Paris-Normandie (consulté le ).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. BOIS (du) L., Dictionnaire de la conversation et de la lecture: Supplément, Volume 4, 1845, p. 75.
  36. « Historique du village », sur Association "Les Amis du Patrimoine Callevillais" (consulté le ).
  37. « Voie verte d'Évreux à la vallée du Bec (Évreux - Le Neubourg - Le Bec-Hellouin) », sur Site officiel de la ville d'Évreux (consulté le ).
  38. « Calleville renoue avec le passé en construisant un lavoir sur la mare communale, au cœur du village », sur Paris-Normandie (consulté le ).
  39. « Un lavoir à l’ancienne inauguré à Calleville », sur Paris-Normandie (consulté le ).
  40. Viaduc du Bec en ligne sur [2] Structurae
  41. Miguel Biard et Stéphan Hinguant, « Paléolithique supérieur final ou Mésolithique ancien ? Le site du Buhot à Calleville (Eure) », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 101, no 3,‎ , p. 597-600 (lire en ligne).
  42. « Les bois et les landes de la côte du Buhot », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  45. France. « Décret du 19 avril 2024 portant classement parmi les sites du département de l'Eure, du site de la « Vallée du Bec, écrin de l'abbaye du Bec-Hellouin », sur le territoire des communes de Bosrobert, Calleville, La Haye-de-Calleville, La Neuville-du-Bosc, Le Bec-Hellouin, Malleville-sur-Le-Bec, Pont Authou et Saint-Paul-de-Fourques », art.   [lire en ligne (page consultée le 25 avril 2024)].
  46. LEROY A., CHARLES E. et BONNESERRE DE SAINT DENIS A., Dictionnaire de pomologie, contenant l'histoire, la description, la figure des fruits anciens et des fruits modernes les plus généralement connus et cultivés: Pommes. Cerises, 1873, p. 176-177.
  47. « Blason de Calleville », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).