Brie (Somme) — Wikipédia

Brie
Brie (Somme)
L'église Saint-Géry.
Blason de Brie
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC de la Haute Somme
Maire
Mandat
Marc Saintot
2020-2026
Code postal 80200
Code commune 80141
Démographie
Population
municipale
333 hab. (2021 en diminution de 0,89 % par rapport à 2015)
Densité 48 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 52′ 37″ nord, 2° 55′ 56″ est
Altitude Min. 47 m
Max. 87 m
Superficie 6,89 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Péronne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Péronne
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
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Brie
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Brie
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Brie
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Brie
Liens
Site web https://www.brie80.fr/

Brie est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Entrée de la commune.

Brie est située sur la rive droite de la Somme à une dizaine de kilomètres au sud de Péronne.

Brie est traversée par la route Amiens - Saint-Quentin et la route qui relie Saint-Christ-Briost à Mesnil-Bruntel.

En 2019, la localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 51, Mesnil-Bruntel - Saint-Christ-Briost - Ham)[1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La majeure partie du sol de la commune est de nature argilo-calcaire. 1/5e du sous-sol est de nature calcaire et 1/50e des terres de nature sableuse[2].

Le relief de la commune est celui d'un plateau qui culmine à 70 m d'altitude. Le village construit sur le versant ouest du plateau domine la vallée de la Somme et ses étangs[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le fleuve côtier la Somme touche le territoire communal à son extrémité ouest. À son entrée sur le territoire de Brie, le fleuve se divise en deux bras qui se rejoignent peu après.

La nappe phréatique se situe à peu de distance du niveau des étangs[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 702 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Estrées-Mons à 5 km à vol d'oiseau[5], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Statistiques 1991-2020 et records ESTREES-MONS-INRA (80) - alt : 87m, lat : 49°52'29"N, lon : 3°01'52"E
Records établis sur la période du 01-01-1989 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,3 1,4 3,3 5,1 8,5 11,2 13 13 10,4 7,8 4,5 1,9 6,8
Température moyenne (°C) 3,7 4,3 7,3 10,1 13,6 16,4 18,7 18,6 15,5 11,6 7,3 4,3 11
Température maximale moyenne (°C) 6,1 7,2 11,2 15,1 18,6 21,6 24,4 24,3 20,5 15,4 10,1 6,6 15,1
Record de froid (°C)
date du record
−15,8
07.01.09
−12,7
07.02.1991
−10,2
13.03.13
−3,3
21.04.1991
−1
07.05.1997
1,5
05.06.12
4,6
11.07.1993
4,6
29.08.1989
0,7
30.09.18
−4,8
29.10.03
−9,1
24.11.1998
−12,5
18.12.10
−15,8
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
14,7
09.01.15
18,6
26.02.19
24
31.03.21
27
20.04.18
30,9
28.05.17
34,9
18.06.22
41,9
25.07.19
38,4
12.08.03
34,4
15.09.20
27,6
01.10.11
19,8
07.11.15
16,6
07.12.00
41,9
2019
Précipitations (mm) 49,6 43,8 45,8 37,1 58,8 59,8 56,6 65,2 51,3 58,2 57,9 63,4 647,5
Source : « Fiche 80557001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Brie est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Péronne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 52 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (79,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (79,2 %), zones humides intérieures (7,5 %), zones urbanisées (5,3 %), forêts (4,5 %), eaux continentales[Note 3] (3,4 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

La commune présente un habitat groupé. Le village de Brie totalement détruit pendant la Première Guerre mondiale a été reconstruit pendant l'entre-deux-guerres.

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 175, alors qu'il était de 160 en 2014 et de 159 en 2009[I 1].

Parmi ces logements, 84,3 % étaient des résidences principales, 5,2 % des résidences secondaires et 10,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 91,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 8,2 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Brie en 2019 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (5,2 %) inférieure à celle du département (8,3 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 77,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (77,1 % en 2014), contre 60,2 % pour la Somme et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Brie en 2019.
Typologie Brie[I 1] Somme[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 84,3 83,2 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 5,2 8,3 9,7
Logements vacants (en %) 10,4 8,5 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Bria en 1108 ; Brie en 1197 ; Bri en 1214 ; Brye en 1567 ; Bryes en 1648[15].

Le nom de Brie est issu du latin Bria ou du celte Briga qui signifiait « pont sur un fleuve »[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Devant l'église présence d'un mégalithe préhistorique, « la pierre qui tourne ». Une petite croix, gravée en creux, semble être le témoin d'une tentative de christianisation[17].

Antiquité[modifier | modifier le code]

Brie étant situé sur la voie romaine de Samarobriva (Amiens) à Augusta Viromanduorum (Saint-Quentin) à l'endroit où elle franchissait la Somme, il est plus que probable qu'il existât un pont à cet endroit. Des traces d'habitat gallo-romain ont été retrouvées sur le territoire communal.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Au Moyen Âge, Pont-lès-Brie et Applaincourt sont des dépendances de Brie.

Époque moderne[modifier | modifier le code]

En 1571, la seigneurie de Brie appartenait au duc de Chaulnes.

En 1636, le village de Brie fut incendié par un détachement des armées du roi d'Espagne commandées par Jean de Werth. Cependant, les habitants révoltés s'armèrent de fourches et de faux et se ruèrent sur les ennemis, les empêchant de passer la Somme et les contraignant à se replier sur Saint-Christ. Trente-quatre habitants de Brie périrent dans cette échauffourée.

Sur une carte de Guillaume Delisle, datant du XVIIIe siècle, figure un fort défendant l'entrée ouest du pont[16].

Brie dépendait de l'élection et du bailliage de Péronne, de la généralité d'Amiens et du diocèse de Noyon.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

À la Révolution française, les hameaux de Pont-lès-Brie et d'Applaincourt furent rattachés à la commune de Villers-Carbonnel.

En 1814-1815, les armées coalisées ravagèrent le pays.

En 1870-1871, la population de Brie subit les réquisitions de l'armée allemande, en argent et en nature. 24 jeunes gens de la commune participèrent aux combats, deux furent blessés.

Pendant la Première Guerre mondiale, le village de Brie est totalement détruit.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mai 2020 M. Claude Jean    
mai 2020[18] En cours
(au 26 décembre 2022)
Marc Saintot    

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[20].

En 2021, la commune comptait 333 habitants[Note 4], en diminution de 0,89 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
428458474458464500543525527
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
508483481458506488472476489
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
432458414283370363341321326
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
310319299310307301322325341
2017 2021 - - - - - - -
331333-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école primaire publique de Brie compte 42 élèves à la rentrée scolaire 2017. Elle est située en zone B, dans l'académie d'Amiens[23].

Économie[modifier | modifier le code]

L'agriculture reste l'activité dominante de la commune.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • La pierre qui tourne : mégalithe préhistorique[17].
  • L'église Saint-Géry de Brie : reconstruite entre les deux guerres par l'architecte Jacques Debat-Ponsan qui a participé grandement à la reconstruction de la commune.
    L'église inspirée de Notre-Dame du Raincy et emblématique de la première reconstruction architecturale mais en mauvais état, voit ses extérieurs rénovés en 2023. Ses vitraux, réalisés par la maitre-verrière Marguerite Huré, ont été détruits lors du dynamitage du pont sur la Somme en 1940[24]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Brie Blason
D'azur au chevron d'or accompagné de trois demi-vols d'argent, ceux du chef adossés.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • En 1303, par une charte, Gérin de Saint-Christ vend un bois situé près de Brie, au prieuré de Lihons-en-Santerre.
  • En 1344 un certain Jean de Brie est maïeur de Péronne[16].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Henri Douchet « Fasol », L'Arrondissement de Péronne sous l'occupation (1914-1918), collection Jusant, Inval-Boiron, La Vague verte, 2014 (ISBN 978 - 2 - 35 637 - 059 - 4)
  • Abbé Paul Decagny, L'Arrondissement de Péronne ou recherches sur les villes, bourgs, villages et hameaux qui le composent, 1844 - réédition partielle sous le titre, Péronne et son canton, Inval-Boiron, La Vague verte, 2010.

Liens internes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2019 à Brie » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Brie - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Brie - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la Somme » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  2. a b et c Notice géographique et historique sur la commune de Brie, rédigée par M. Louvergne, instituteur, 1899, Archives départementales de la Somme
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Brie et Estrées-Mons », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Péronne », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  15. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 171 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  16. a b et c Abbé Paul Decagny, L'Arrondissement de Péronne ou recherches sur les villes, bourgs, villages et hameaux qui le composent, 1844 - réédition partielle sous le titre, Péronne et son canton, Inval-Boiron, La Vague verte, 2010.
  17. a et b Les mégalithes de la Somme, Richesses en Somme, André Guerville.
  18. « Brie : Marc Saintot élu maire à l’unanimité », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le premier adjoint Marc Saintot a été investi comme premier magistrat lundi 25 mai à l’unanimité pour succéder à Claude Jean ».
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. L'école sur le site du ministère de l'éducation nationale.
  24. Guillaume Bernard, « À Brie, « les murs de l’église vont redevenir blancs » : Les travaux sur la façade de l’église de Brie, à l’architecture si atypique, devraient commencer au printemps 2023. Un long chemin de croix pour l’équipe municipale qui entend bien rendre de sa superbe à ce morceau d’histoire », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).