2010 au Japon — Wikipédia

Chronologies
2007 2008 2009  2010  2011 2012 2013
Décennies :
1980 1990 2000  2010  2020 2030 2040
Siècles :
XIXe XXe  XXIe  XXIIe XXIIIe
Millénaires :
Ier IIe  IIIe 
Chronologies géographiques
Antarctique
Chronologies thématiques
Calendriers

Cet article présente les faits marquants de l'année 2010 au Japon.

Évènements[modifier | modifier le code]

Janvier[modifier | modifier le code]

  •  : Économie : le gouvernement Hatoyama double le prêt accordé à Japan Airlines, qui s'élève désormais à 2,2 milliards de dollars[1]
  •  : Politique/écologie : naufrage du Ady Gil de la Sea Shepherd Conservation Society, éperonné par un baleinier japonais.
  •  : Politique/économie : démission du ministre de l'Économie Hirohisa Fujii pour raisons de santé.
  •  : Politique/économie : Japan Airlines se place sous la protection de la loi sur les faillites.
  •  : Économie : Toyota entame le rappel de plus de cinq millions de véhicules dans le monde pour un défaut de montage. L'affaire provoque un tollé dans la presse internationale, particulièrement aux États-Unis.

Mars[modifier | modifier le code]

  •  : Politique : révélation d'accords secrets entre le Japon et les États-Unis, qui autorisent ces derniers à faire transiter des armes nucléaires dans les ports japonais[2].

Avril[modifier | modifier le code]

  •  : Société : selon les estimations officielles, la population du Japon décline en 2009 pour la troisième année consécutive, la perte se montant à 180 000 personnes. Cette régression record relance les inquiétudes sur ce sujet de société[3].
  •  : Société/écologie : des taxis électriques sont expérimentés pour la première fois en condition réelle à Tokyo[4].

Juin[modifier | modifier le code]

Juillet[modifier | modifier le code]

  •  : Politique : la coalition au pouvoir perd la majorité à la Chambre haute. Le gouvernement reste cependant en place, mais sera amené à former de nouvelles alliances ou à faire des compromis[6].

Septembre[modifier | modifier le code]

  •  : International : crise politique avec la Chine à la suite de l'arrestation d'un marin chinois près des îles Senkaku, zone de conflits récurrents entre les deux nations. L'incident se termine le 24 avec la libération du Chinois[7], mais ravive sur l'Archipel un sentiment nationaliste critiquant la gestion de la crise par le Premier ministre Naoto Kan[8].

Notes et références[modifier | modifier le code]