Vivarais — Wikipédia

Vivarais
(oc) Vivarès
Drapeau Blason
Informations générales
Capitale Viviers
Langue(s) occitan (vivaro-alpin, auvergnat)
français
Religion Catholicisme, minorité protestante

Démographie
Gentilé Vivarais, Vivaraise

Entités suivantes :

Carte de l'ancienne province de Languedoc. Le Vivarais correspond à l'actuel département de l'Ardèche.

Le Vivarais (Vivarés en occitan) est une région historique du sud-est de la France, à partir du milieu du Moyen-âge (Xème siècle), rattachée au territoire du Saint-Empire romain germanique, avant d'être progressivement rétrocédée au royaume de France. Le Haut-Vivarais appartenait au fief du Valentinois et du Diois et fut rattaché au royaume de France sous le règne de Philippe III le Hardi, lorsque le comte Aymar IV lui en rend l'hommage entre le 30 juin et le 3 juillet 1280[1]. Le Bas-Vivarais, dont les évêques de Viviers sont les détenteur temporel, est, lui, rattaché sous le règne de Philippe IV le Bel, le 2 janvier 1308[2].

Situation[modifier | modifier le code]

Le Vivarais s'étendait sur un territoire correspondant approximativement au département de l'Ardèche. Il incluait aussi quelques communes du Gard, de la Drôme de la Lozère et de la Haute-Loire, très peu de Vaucluse[3]. On distingue le Haut- et le Bas-Vivarais, c'est-à-dire le nord et le sud de cette province animée par les monts du Vivarais, qui appartiennent à la bordure orientale du Massif central, et baignée à l'est par le Rhône (rive droite).

Histoire[modifier | modifier le code]

Période protohistorique[modifier | modifier le code]

Le peuple gaulois des Helviens occupait la partie sud de l'actuel département de l'Ardèche. Leur capitale pourrait s'être trouvée à Jastres. Les sources antiques concernant ce peuple sont minces. Soumis en -121 par Rome, ils se révoltèrent en -77 en se joignant à la révolte de Sertorius en Espagne, mais Pompée les soumit rapidement et une partie de leur territoire fut cédée à Marseille. Dès lors, leurs élites vont se rallier à Rome. Lors de la Guerre des Gaules, ils conserveront leur fidélité à César, défendant la Narbonnaise, mais subissant des défaites contre leurs voisins Gabales du Gévaudan. Ils retrouvèrent peut-être leurs territoires perdus durant la guerre civile après la prise de Marseille par la flotte de César en 49.

Rome leur accorde le droit latin, l'élection de leur propre chef, la conservation de leurs libertés et de leurs droits.

Alba, ville située sur une voie romaine reliant la vallée du Rhône au Massif Central (cités des Vellaves et des Arvernes), est la capitale de leur cité sous l'Empire romain.

À l'époque de l'indépendance, les Segovellaunes, qui avaient probablement Soyons comme première capitale, occupaient sans doute au nord le pays compris entre l'Eyrieux et le Doux, comme le suggère l'ancien territoire du diocèse de Valence et comme l'affirme André Blanc. Les Allobroges (capitale Vienne) auraient possédé les territoires au-delà du Doux.

Vivariensis Pagus[modifier | modifier le code]

Saint Janvier, vers les années 200, prêche en Helvie et fonde l'église d'Alba.

Peu à peu, l'Empire romain connaissant des difficultés, Alba est supplantée par Viviers qui devient siège épiscopal. Le pagus, correspondant aux limites de l'évêché, prend le nom de Vivariensis Pagus, soit le « pays de Viviers », le Vivarais.

En premier lieu conquis par les Burgondes, la conquête franque amène le Royaume de Bourgogne et en 924, le Bas-Vivarais (diocèse de Viviers) tombe aux mains des comtes de Toulouse. Le Haut-Vivarais dépend du diocèse de Vienne et le diocèse de Valence s'étend entre Doux et Eyrieux, où les comtes de Valentinois accroissent leur pouvoir.

Excommunié par le pape Innocent III, en 1208 pendant la Croisade des Albigeois, Raymond VI de Toulouse voit ses biens du pays de Largentière, avec ses riches mines, confisqués au profit de Bernon de Brabant, riche et puissant évêque de Viviers. Son fils Raymond VII de Toulouse n'y pourra rien, et en 1215 la spoliation est consommée.

Souverains du Vivarais, les évêques de Viviers reconnaissent toutefois le Roi d'Arles, le roi de Bourgogne, c'est-à-dire les empereurs, mais font envie aux rois de France.

L'intégration au royaume de France[modifier | modifier le code]

Au tournant du XIII et XIVème siècle le Vivarais n'était pas un territoire temporellement unifié. La pointe Nord appartenait au Dauphin de Viennois mais relevait de l'Eglise de Lyon par hommage rendu. Le reste du Haut-Vivarais au comté de Valentinois et du Diois. Le Bas-Vivarais à l'épiscopat de Viviers. Tous ces territoires appartiennent au Saint-Empire romain germanique, à l'exception d'une étroite entité seigneuriale, celle de Tournon partie du Haut-Vivarais, qui intègra le royaume de France sous Philippe II Auguste en 1188 ou 1189.

En 1271, Philippe III le Hardi hérite des terres Vivaroises du comte de Toulouse, mort sans héritier et qui relèvent en droit du Saint-Empire romain germanique. Le roi de France revendique toutefois ces territoires comme partie intégrante du royaume et non les tenir en terre d'Empire. De nombreux seigneurs du Haut-Vivarais prêtes hommage au roi de France à cette période, mais c'est lorsque le comte Aymar IV lui rend l'hommage pour ses terres situées sur la rive droite du Rhône, entre le 30 juin et le 3 juillet 1280, que le Haut-Vivarais est pleinement incorporé au royaume excepté sa pointe Nord.

En 1308 sous le règne de Philippe IV le Bel, le Bas-Vivarais tenu temporellement par les évêques de Viviers, est à son tour pleinement intégré au royaume. La pointe Nord du Vivarais sera elle intégrée en 1312 puisque partie constitutive du comté de Lyon. Cette pointe Nord est détenue par les Dauphins de Viennois mais est dissociée de la principauté Delphinale. Ceux-ci rendent en effet hommage depuis 1230 pour les terres d'Annonay et d'Argental à l'Eglise de Lyon[4] qui, en plus du pouvoir spirituel, détient le pouvoir temporel. Cet hommage à l'Eglise de Lyon avait été initié par André Dauphin de Bourgogne et poursuivi par ses successeurs, notamment Guigues VIII de Viennois en 1319[5] et le Dauphin Charles en 1349[6].

Sous Charles V, tout le pays est administré par un bailli royal du Vivarais et du Valentinois. Les évêques de Viviers restent (plus simplement) comte de Viviers, baron de Largentière et prince de Donzère.

Les états particuliers du Vivarais[modifier | modifier le code]

Le Vivarais est rattaché à la province de Languedoc, et ne connaît pas d'unité, divisé en trois diocèses (Viviers, Vienne et Valence), son territoire est dominé par les nombreuses abbayes vellaves (Saint-Chaffre, la Chaise-Dieu) ou drômoises (Saint-Barnard), sans compter les lignages seigneuriaux (Montlaur, Crussol, Poitiers-Valentinois).

Sans véritable unité, cet espace connaît un parlement régional unique en France, les états Particuliers du Vivarais, composés de la noblesse, avec ses barons (représentés par leurs baillis), et du tiers état, avec ses consuls-députés, mais sans représentation du clergé qui n'y siège qu'en fonction des baronnies qu'il possède :

Présidés par le baron de tour ayant assisté aux États Généraux du Languedoc, ils sont convoqués au gré de celui-ci, et où bon lui semble (le plus souvent en son château), avec les deux commissaires ordinaires, le Sénéchal du Vivarais et le Consul de Viviers. La particularité des États du Vivarais était que le représentant du Roi signait les registres des États après le baron de tour.

Le blason ancien du Vivarais, repris par le département de l'Ardèche, est un blason de France ancien affecté d'une brisure : une bordure d'or. Cette bordure porte huit écussons d'azur qui représentent les villes de tour. Ces huit villes[7] envoyaient à tour de rôle un député (appelé consul de tour) aux États du Languedoc ; ce sont :

  1. Tournon-sur-Rhône
  2. Viviers
  3. Boulogne (remplace Privas, ville protestante, depuis 1629)
  4. Largentière
  5. Joyeuse
  6. Annonay
  7. Montlaur (remplace Aubenas depuis la révolte populaire de 1670)
  8. Bourg-Saint-Andéol

Baillis d'épée du Vivarais et du Valentinois[modifier | modifier le code]

La charge de bailli d'épée du Vivarais et du Valentinois était presque entièrement militaire. Elle donnait le commandement de la noblesse dans les limites de ce bailliage qui comprenait autrefois le Vivarais et la partie du Dauphiné formant l'ancien domaine des comtes de Valentinois et de Diois. La justice s'y rendait au nom du bailli. En voici la liste :

  • Guillaume du Moulin, chevalier, 1248
  • Henry de Montdragon, 1288
  • Raimond de Bachevilliers, 1314
  • Pierre de Baux d'Orange, 1322
  • Bertrand de Barbette, 1340
  • Guillaume de Ledra, chevalier, 1344
  • Gaston de Gaste, chevalier, 1404
  • Guichard de Marzé, chevalier, chambellan du Roi, 1414
  • Henry de Péquelin, chevalier, 1416
  • Bermond du Cailar, chevalier, 1417
  • Pierre de Solminiac, chevalier, 1421
  • Jacques de Charrier, écuyer, 1424 et 1426
  • Étienne de Nogaret, 1424
  • Gui de Forcade, écuyer, 1425
  • Guillaume Bastard, écuyer, 1426
  • Mahin de Lévis, chambellan du Roi, 1432
  • Pierre de Chanaleilles, chevalier, seigneur de Vals et du Pin, 1425 et 1435
  • Robinet de Blarges, damoiseau, 1429
  • Martin Garciani, damoiseau, écuyer du Roi, 1440
  • Thomas Alberti, damoiseau, seigneur de Boussargues, 1447
  • Claude de Chateauneuf, seigneur de Joyeuse, 1455
  • Louis de Taulignan, baron de Barrès, chevalier, 1458
  • Charles Astarce, seigneur de Pierrelate, 1461
  • Jean d'Apchier, 1465
  • Beraud, dauphin d'Auvergne, seigneur de Combronde, 1426
  • Jean de Lagardette, chevalier, 1484
  • Just comte de Tournon,
  • Jacques de Grimoard, comte du Roure,
  • Georges comte de Vogué
  • Melchior comte de Vogué
  • etc.

Paul d'Albigny dans sa notice « Baillis Royaux du Vivarais et Baillis d'épée » donne des variantes de cette liste.

Révolte de Roure[modifier | modifier le code]

Entre avril et juillet 1670, une révolte antifiscale éclate dans la région d'Aubenas. Elle est menée par Antoine du Roure, propriétaire terrien ayant servi dans l'armée royale.

La rumeur d'un nouvel édit, qui devrait avoir un fort impact sur l'ensemble de la population après un hiver très rigoureux. accompagné de la mise en place réelle d'un impôt concernant les auberges, déclenche les exactions populaires.

Fin mai, Roure et ses troupes, comprenant plusieurs milliers d'hommes, prend Villeneuve-de-Berg, puis Aubenas. Une trêve négociée par le comte de Vogüé n'aboutit qu'à une confirmation par le roi des édits promulgués. Louis XIV envoie contre les révoltés des troupes d'élite (mousquetaires - dont le capitaine-lieutenant d'Artagnan , dragons, gardes françaises, maison du roi) qui écrasent la troupe paysanne, et organisent la répression dans toute la région.

Le pardon royal tombe le 30 août 1670, en excluant les meneurs (Antoine du Roure est roué vif en octobre à Montpellier) et cinq communes vivaraises, qui perdent leurs murailles, leurs cloches et clochers, ainsi que leurs consuls : Ailhon, Aubenas, Lachapelle-sous-Aubenas, Lavilledieu et Vogüé.

La représentation du Vivarais aux États généraux de 1789[modifier | modifier le code]

Du au , les trois ordres réunis sur ordre du Roi à la sénéchaussée de Villeneuve-de-Berg ratifient et signent les cahiers de doléances, fixent la rémunération des députés et procèdent à l’élection de ceux-ci. Les députés du sud du Vivarais sont :

  • pour la noblesse : Cérice-François-Melchior, comte de Vogüé et Emile-Henry-Alexandre de Launay, comte d’Antraigues. Suppléants : le marquis de Jovyac et le baron de Pampelonne.
  • pour le clergé : l’abbé Chouvet, curé de Chomérac et comme suppléant l’abbé de Pampelonne archidiacre de la cathédrale Saint-Vincent de Viviers.
  • pour le tiers-état : Jean-André Espic, avocat à Aubenas, Noël-Joseph Madier de Montjau, maire de Bourg-Saint-Andéol, Pierre Dubois-Maurin, conseiller du roi à Jaujac, Pierre-Simon Defrance, avocat à Privas et deux suppléants : Jean-Baptiste Louis Vacher avocat à Vesseaux et Gérard, baron de Montfoy à Privas.

Parallèlement à la sénéchaussée d'Annonay se déroulent les mêmes opérations. Les élus du nord du Vivarais sont :

En , une assemblée générale se tient à Privas[8].

Du Vivarais à l'Ardèche[modifier | modifier le code]

Un député de la sénéchaussée d'Annonay proposa à la Constituante un plan tendant à séparer le Bas-Vivarais du Haut-Vivarais et d'unir celui-ci au Velay pour former un département. En réaction, plusieurs villes envoyèrent à la Constituante des protestations afin que l'unité du Vivarais fût garantie. Villeneuve-de-Berg rappelait notamment : « considérant que le Vivarais est assez d'étendue et de population pour former un département particulier, distinct et séparé, puisque sa surface est de 350 lieues carrées et sa population de plus de 300 000 âmes […], estime […] qu'il serait de toute injustice de morceler un pays que la nature s'est plu à séparer elle-même des autres pays, pour favoriser à son détriment un autre département […] ; cela serait contraire au vœu que les habitants du Haut-Vivarais ont manifesté à l'Assemblée extraordinaire, tenue dans le Bas-Vivarais, à Privas ». Le Haut-Vivarais était cependant très mécontent de la nouvelle organisation, d'autant que ni Saint-Agrève ni Le Cheylard n'avaient été retenus comme chefs-lieux de district. Toutefois, les avis étaient fort divergents, et bien que de nombreux représentants du Haut-Vivarais eussent demandé à faire partie du département du Velay, futur département de la Haute-Loire, la localité de Pradelles protesta parce qu'elle était rattachée à ce département. Le , le conseil de la commune envoya en vain à la Constituante une motion disant : « C'est avec douleur que nous apprenions que messieurs les députés du Velay cherchent à faire comprendre dans le département qu'ils sollicitent la région de Pradelles et qu'ils s'étayent d'une délibération prise par le conseil politique de cette ville comme manifestant le vœu général des citoyens sur un démembrement du Vivarais. Il a été unanimement délibéré à l'assemblée du de révoquer toute délibération qui n'énoncerait pas le vœu des citoyens de Pradelles réunis en assemblée générale et de solliciter les députés du Bas-Vivarais, pour que Pradelles fasse partie de leur département ».

En définitive, mis à part la cession au Velay des dix communes de la viguerie — et futur canton — de Pradelles, le Vivarais conserva son unité et constitua le département de l'Ardèche.

Personnalités du Vivarais[modifier | modifier le code]

Considérant qu'il existe une réelle continuité entre le Vivarais et le département de l'Ardèche, nous admettrons que toutes les personnalités qui ont honoré ces territoires peuvent être regroupées sans discrimination :

Académie du Vivarais

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

À la faveur du courant régionaliste qui s'est développé à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, de nombreuses organisations ont pris naissance sous l'impulsion de personnalités comme Jean Régné (1883-1954)[10] qui créa en 1933 l'Académie du Vivarais.

Festival International de Folklore Cultures et Traditions du Monde[modifier | modifier le code]

Depuis 1977, Empi et Riaume (groupe d'arts et tradition du Dauphiné et du Vivarais) organise le Festival International de Folklore Cultures et Traditions du Monde, qui réunit chaque année, durant la première quinzaine de juillet des groupes traditionnels venus du monde entier, à Romans-sur-Isère. L'événement, reconnu par le CIOFF mobilise de nombreux bénévoles durant toute l'année et attire des milliers de spectateurs venus de toute la France[11].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Société départementale d'archéologie et de statistique de la Drôme, 28e tome, Valence, Jules Céas et fils, 1894, p. 271 à 272
  2. Promenades en Ardèche
  3. Essai de cartographie écologique du bas-Vivarais : feuilles de Bessèges et Bourg-St-Andéol . M. Coûteaux. Documents de cartographie écologique, vol. XIII, 49-68, 1974, Grenoble.
  4. A. Poncer, Mémoires historiques sur Annonay et le Haut-Vivarais, Lyon, 1835, p. 74.
  5. A. Poncer, Mémoires historiques sur Annonay et le Haut-Vivarais, Lyon, 1835, p. 74
  6. Pierre-Yves Laffont, Atlas des châteaux du Vivarais (Xe – XIIIe siècles), Presses universitaires de Rennes, 2009, p. 26
  7. a et b Villes et Baronnies des États du Vivarais, Vogüé-sur-Ardèche, Association "Vivante Ardèche", , 32 p., p. 13
    d'après l'Armorial des États du Languedoc de Gastelier de la Tour, 1767.
  8. https://archive.org/stream/EtatsGenerauxDuVivarais-1789/EtatsGenerauxDuVivarais#page/n0/mode/2up
  9. L’enseignement de l’optique au travers du prisme bourguignon. Michel Pauty. Bulletin de l'Union des physiciens no 838, vol. 95, novembre 2001, p. 1601-1617. Abbé Tauleigne : p. 1611.
  10. « Jean Régné (1883-1954) - Auteur - Ressources de la Bibliothèque nationale de France », sur data.bnf.fr (consulté le ).
  11. programme 2014 du Festival International de Folklore 'Cultures et Traditions du Monde

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Auguste Le Sourd, Les États du Vivarais, de leurs origines à la fin du XVIe siècle (position de thèse), imprimerie de L. Marceau E. Bertrand, Chalon-sur-Saône, 1899 (lire en ligne)
  • Jacques Rouchier, Histoire du Vivarais, t. 1 : Le Vivarais depuis les origines jusqu'à l'époque de sa réunion à l'Empire (1039), Largentière - Conseil Général du département de l'Ardèche, (lire en ligne).
  • Auguste Le Sourd, Essai sur les États du Vivarais depuis leurs origines, 1926 (ouvrage de référence sur le sujet).
  • Henry Vaschalde, États généraux de 1789, Paris, Êmile Lechevalier, libraire-éditeur, , 292 p.
  • Ardèche (département de l') - Le Pays de Vivarais, Monographies des villes et villages de France de Micberth. Par Élie Reynier, 1993, réimp. édit. 1934, 14 × 20, br., 282 pp. (ISBN 2-7428-0044-1)
  • Roger Ferlet, Le Vivarais, Arthaud, , 1166e éd., 255 p.
  • Paul d'Albigny ; "Baillis Royaux du Vivarais et Baillis d'épée"- Imprimerie centrale de l'Ardèche- Privas-1896
  • Pierre-Yves Laffont, Châteaux du Vivarais. Pouvoirs et peuplement en France méridionale du haut Moyen Âge au XIIIe siècle, Rennes, Presses universitaires de Rennes, coll. « Archéologie et culture », , 340 p. (ISBN 978-2-7535-0925-2).
  • Louis Pize, Le Vivarais, Imp.Liège, Jean de Gigord.ed, coll. « Gens et Pays de chez nous », 205 p.
  • Forez et Vivarais, itinéraires de l'homme de goût : publié par le comité de la région XVI bis, exposition internationale de Paris de 1937, Saint-Félicien (Ardèche), éditions du Pigeonnier, , Illustrations de Jean Chièze.
  • François Thomas et Marthe Thomas, Le Vivarais, Paris, , libraire-Arthaud, , p. 158 Héliogravures.
  • Barthélemy Faujas de Saint-Fond, Recherches sur les volcans éteints du Vivarais et du Velay, chez Joseph Cuchet, Grenoble, 1778 (lire en ligne)
  • Gérard Cholvy (dir.), Histoire du Vivarais, Toulouse, Éditions Privat, coll. « Pays et villes de France » (no 26), , 320 p. (ISBN 2-7089-8256-7, BNF 34947278, SUDOC 001255924).
  • collectif, « 1308, il y a 700 ans : Quand le Vivarais devint français », 99, Cahier de Mémoire d'Ardèche et Temps Présent,‎

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]