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Virginie de Senancour
| Naissance | |
|---|---|
| Décès | (à 84 ans) Fontainebleau |
| Nom de naissance | Agathe Eulalie Ursule Pivert de Sénancourt |
| Nationalité | |
| Activité | |
| Père |
Virginie de Senancour (née Agathe Eulalie Ursule de Sénancourt le à Fribourg et morte le à Fontainebleau[1]) est une écrivaine française, romancière et journaliste.
Biographie[modifier | modifier le code]
Agathe-Eulalie-Ursule Pivert de Senancour est la fille d'Étienne Pivert de Senancour. Elle débute dans les lettres en 1814, par quelques articles publiés dans le Mercure de France[2]. Elle collabore ensuite à la Gazette de France (1820-1821), à l’Abeille (1821), au Diable boiteux (1823-1825), au Frondeur impérial (1825-1826), au Mercure du XIXe siècle (1826), au Bonhomme Richard (1832-1833), au Journal des femmes (1833-1835), etc.
Œuvres[modifier | modifier le code]
- Les Héros comiques, nouvelles adressées aux dames, Paris, L. Janet, 1820, 2 vol.
- Pauline de Sombreuse, Paris, 1821, 4 vol. Lire en ligne sur Gallica[3].
- La Veuve, ou l’Épitaphe, Paris, A. Eymery, 1822, 4 vol.[4].
- La Conquêtomanie, ou Aventures burlesques du grand Barnabé, Paris, Lecointe et Durey, 1827, 2 vol., roman satirique contre Napoléon Lire en ligne sur Gallica.
- Réplique à un mal avisé, Fontainebleau, E. Jacquin, 1858, 15 p.
Références[modifier | modifier le code]
- Acte de décès à Fontainebleau, vue 20/100.
- « De Sénancour (Mademoiselle Virginie de) », dans J.-P.-R. Cuisin, Dictionnaire des gens de lettres vivants, Paris, 1826, p. 254-256 Lire en ligne sur Gallica.
- Eusèbe Girault de Saint-Fargeau, « Pauline de Sombreuse » dans Revue des romans, 1839, p. 294 Lire en ligne sur Wikisource.
- Compte rendu dans Tablettes universelles, 1822, tomes 16-18, p. 456-457 Lire en ligne sur Gallica.
Annexes[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- « Virginie de Senancour », dans Pierre Larousse, Grand dictionnaire universel du XIXe siècle, Paris, Administration du grand dictionnaire universel, 15 vol., 1863-1890 [détail des éditions].
- Philippe Gariel, « Eulalie de Senancour et ses amis fribourgeois d'après sa correspondance inédite avec A. Daguet (1844-1857) », Revue de littérature comparée, vol. 13, , p. 403-428 (ISSN 0035-1466).
- Philippe Gariel, Deux Études chinoises : Senancour et sa fille Eulalie ; Les leçons du voyage extraordinaire d'un jeune Chinois, Fribourg, Imprimerie de l'Œuvre de Saint-Paul, 1933, 16 p.
- « Eulalie de Senancour (1791-1876) » dans Correspondances fribourgeoises du XIXe siècle: contextes et textualités, éd. Jean Rime, Fribourg, Presses littéraires de Fribourg, 2018 (ISBN 9782970114949).
