Ursulines de Marie Immaculée — Wikipédia

Ursulines de Marie Immaculée
Ordre de droit pontifical
Approbation pontificale 16 juin 1936
par Pie XI
Institut congrégation religieuse
Type apostolique
But activités éducatives et médico-sanitaires
Structure et histoire
Fondation 17 février 1649
Plaisance
Fondateur Brigitte Morello
Abréviation O.M.I.
Autres noms ursulines de Plaisance
Patron Ursule de Cologne
Site web (it) Site officiel
Liste des ordres religieux

Les Ursulines de Marie Immaculée (en latin : Domus Sanctae Ursulae de Placentia) est une congrégation religieuse féminine enseignante et hospitalière de droit pontifical.

Historique[modifier | modifier le code]

Le collège des ursulines est né à Plaisance à l’initiative de la duchesse Marguerite de Médicis, veuve d’Édouard Ier Farnèse, qui souhaitait créer un institut pour l’éducation des filles nobles, à l’instar du collège des Ursulines de Parme. L'école est ouverte le avec l'autorisation de Mgr Alexandre Scappi, évêque de Plaisance. La direction spirituelle de l'institut est confiée aux Jésuites, qui confie la tâche d'organiser la communauté à Brigitte Morello (1610-1679), considérée comme la fondatrice de la congrégation.

En 1920, à l’initiative de Marie-Lucrèce Zileri dal Verme, l’institut est rattaché à celui des ursulines de Parme mais les deux congrégations reprennent leur autonomie en 1923.

Les constitutions religieuses de l'institut sont approuvées ad experimentum par le Saint-Siège le , il reçoit le décret de louange le et voit ses constitutions définitivement approuvées.

Activités et diffusion[modifier | modifier le code]

Les Ursulines se consacrent principalement aux activités éducatives (éducation, catéchèse, jardins d'enfants, résidences universitaires), à l'animation paroissiale et aux œuvres médico-sanitaires.

Elles sont présentes en :

La maison généralice est à Rome.

En 2017, la congrégation comptait 799 sœurs dans 106 maisons[1].

Membres notables[modifier | modifier le code]

Source[modifier | modifier le code]

(it) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en italien intitulé « Suore orsoline di Maria Immacolata » (voir la liste des auteurs).

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. (it) Annuaire pontifical, Vatican, Librairie éditrice vaticane, , 2329 p. (ISBN 978-88-209-9975-9 et 88-209-9975-7), p. 1583.
  2. (it) « Rapallo: celebrazioni della beatificazione di Madre Brigida di Gesù », sur http://www.levantenews.it (consulté le ).
  3. (it) « Venerabile Maria Celina Kannanaikal, Vergine », sur santiebeati.it, (consulté le ).

Liens externes[modifier | modifier le code]