Traité de Fort Jackson — Wikipédia

Territoires cédés par les Creek au traité de Fort Jackson

Le traité de Fort Jackson est un traité signé le à Fort Jackson en Alabama, à l'issue de la guerre Creek, au terme duquel les Creeks cèdent au gouvernement fédéral des États-Unis près de 89 000 km2 (22 millions d'acres) de terres[1], soit plus de la moitié de leurs possessions territoriales héréditaires. Le traité accorde aux Amérindiens des droits individuels de propriété foncière, disloquant la propriété commune du territoire.

Ce traité a ouvert la porte à l'Alabama fever, qui voit la population du Territoire de l'Alabama multipliée par 12 entre 1810 et 1820.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Howe 2007, p. 75.

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]