Toni Morrison — Wikipédia

Toni Morrison
Toni Morrison en 1998.
Fonction
Robert F. Goheen Professor in the Humanities (d)
à partir de
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 88 ans)
BronxVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
South-View Cemetery (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Chloe Ardelia WoffordVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Domiciles
Formation
Lorain High School (en) (jusqu'en )
Université Howard (baccalauréat universitaire) ()
Université Cornell (maîtrise ès arts) ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Activité
Romancière, éditrice, universitaire
Conjoint
Harold Morrison (d) (de à )Voir et modifier les données sur Wikidata
Parentèle
Cecilia Rouse (belle-fille)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Université de Princeton (à partir de )Voir et modifier les données sur Wikidata
Membre de
Genre artistique
dramatique, fantastique, historique
Influencée par
Site web
Distinction
Archives conservées par
Œuvres principales
signature de Toni Morrison
Signature

Toni Morrison, née Chloe Ardelia Wofford le à Lorain dans l'État de l'Ohio et morte le à New York, est une romancière, essayiste, critique littéraire, dramaturge, librettiste, professeure de littérature et directrice de publication américaine.

Elle est lauréate du prix Pulitzer en 1988 et du prix Nobel de littérature en 1993 pour lequel elle est la huitième femme et la première Afro-Américaine à avoir reçu cette distinction.

Biographie[modifier | modifier le code]

Jeunesse et formation[modifier | modifier le code]

Toni Morrison née Chloe Ardelia Wofford[2] est la seconde des quatre enfants (Lois sa sœur aînée, George et Raymond ses frères cadets[3]) de Ramah, une femme de ménage, et de George Wofford, un soudeur[4],[5].

Ses grands-parents maternels, Ardelia et John Solomon Willison[3], avaient fui successivement l'ambiance raciste, ségrégationniste de l'Alabama puis du Kentucky, pour s'installer dans l'Ohio et du côté paternel, les grands-parents avaient quitté la Géorgie où ils travaillaient comme métayers[6].

Toni Morrison passe son enfance et son adolescence à Lorain, ville de la banlieue de Cleveland, habitée par des personnes aux ascendances diverses : Tchèques, Allemands, Irlandais, Italiens, Grecs, Serbes, Mexicains et Afro-Américains. Si Toni Morrison a connu l'exclusion, en revanche elle n'a pas subi les violences racistes comme les ont rapportées d'autres écrivains, tels que Maya Angelou, Dick Gregory et Richard Wright[6]. Dans une interview donnée à la station National Public Radio, elle indique : « I didn't really have a strong awareness of segregation and the separation of races until I left Lorain » (« je n'avais pas vraiment une claire conscience de la ségrégation et du racisme jusqu'à ce que je quitte Lorain »[7]).

Les parents de Toni encouragent leurs enfants aux études, à la lecture, dès leur plus jeune âge, c'est ainsi que lorsque la jeune Toni Chloé entre en première année du cycle primaire, à la Hawthorne Elementary School (qui lui rend hommage par une plaque commémorative[8]), elle est non seulement la seule afro-américaine, elle est aussi le seul élève de la classe à savoir déjà lire[9],[3].

Lorsqu'elle a douze ans, elle se convertit au catholicisme[10] ; elle prend pour nom de baptême Antony en mémoire de St. Antoine de Padoue[11]. Plus tard, alors qu'elle est étudiante à l'université Howard, s'apercevant que beaucoup de gens éprouvent des difficultés à bien prononcer son prénom de Chloé, elle décide de se faire appeler par son prénom de baptême, Antony, abrégé en Toni Wofford[12]. C'est ce diminutif accolé au nom de son futur mari qu'elle choisit par la suite comme nom d'auteur, choix qu'elle dira par la suite avoir regretté[2].

Elle fait ses études secondaires à la Lorain High School (en), une école secondaire non ségréguée, elle y manifeste son goût pour la littérature générale et latine et se passionne en particulier pour les œuvres de Jane Austen, les romanciers russes comme Léon Tolstoï et les classiques du XIXe siècle comme Madame Bovary de Gustave Flaubert.

Ayant réussi brillamment son diplôme de fin d'études secondaires, elle est admise en 1949 à la plus prestigieuse des universités afro-américaines, l'université Howard, pour y étudier la littérature. Elle y obtient le Bachelor of Arts (licence) en 1953, après avoir bénéficié de l'enseignement du poète Sterling Brown et du philosophe Alain Locke[6].

Désireuse de continuer ses études, elle est admise à l'université Cornell, où elle soutient son Master of Arts (master 2) en 1955, intitulé “Virginia Woolf’s and William Faulkner’s Treatment of the Alienated.”[13], qui porte sur le thème du suicide dans l’œuvre de William Faulkner et de Virginia Woolf[9].

Carrière universitaire[modifier | modifier le code]

Après son diplôme, elle entame une carrière de professeur à l'université de Texas Southern[14] (de 1955 à 1957[15]), avant de retourner à l'université Howard comme maître-assistante en littérature anglaise de 1957 à 1964[9]. Parmi ses étudiants se trouve le futur militant des droits civiques Stokely Carmichael[16]. Puis elle enseigne successivement à l'université Cornell, l'université d'État de New York (de 1984 à 1989), l'université Yale (de 1976 à 1977), au Bard College (de 1986 à 1988) et devient professeure titulaire de la chaire Robert F. Goheen, à l'université de Princeton en 1989[17], poste qu'elle occupera jusqu'à sa retraite en 2006[18].

Ses débuts littéraires[modifier | modifier le code]

Après son divorce en 1964, elle s'installe à Syracuse puis à New York et travaille comme directrice de publication chez Random House[19]. En 1967, elle est promue directrice d'édition[20], chargée du secteur de la littérature afro-américaine ; elle contribue à sa diffusion et valorisation, en éditant, entre autres, les biographies de Mohamed Ali et Angela Davis[21], les œuvres de Toni Cade Bambara[22], Gayl Jones[23], Leon Forrest (en)[24], Chinua Achebe, Wole Soyinka[25], Athol Fugard[26], ainsi qu'une anthologie relatant l'histoire des Noirs aux États-Unis, The Black Book[27],[28].

Toni Morrison commence à écrire de la fiction au sein d'un groupe informel de poètes et d'écrivains de l'Université Howard qui se réunissent pour discuter de leur travail. Dans ce cadre, elle participe à une séance où elle présente une nouvelle sur une fille noire aspirant à avoir les yeux bleus, qui lui a été inspirée par les propos d'une de ses amies d'enfance. Elle développe plus tard l'histoire dans son premier roman, The Bluest Eye (L'Œil le plus bleu). Elle a alors 39 ans, et se lève tous les matins à 4 heures du matin pour écrire, alors qu'elle élève seule deux enfants[3],[29]. Le livre est publié par Holt, Rinehart et Winston en 1970[30]. Il reçoit un accueil favorable de la part de John Leonard, critique littéraire au New York Times, qui parle d'une « prose si précise, si fidèle à la parole et si chargée de douleur et d'émerveillement que le roman devient une poésie » et précise « Mais The Bluest Eyes, c'est aussi de l'Histoire, de la sociologie, du folklore, des cauchemars et de la musique »[31]. Le roman se vend mal au début, mais l'Université de la ville de New York l'inscrit dans la bibliographie recommandée de son nouveau département d'études sur les Noirs, comme d'autres facultés, ce qui stimule les ventes[32]. Le livre attire également l'attention de Robert Gottlieb (en), un éditeur réputé de Knopf, rattaché à la maison d'édition Random House. Par la suite, Gottlieb éditera la plupart des romans de Toni Morrison[32].

En 1975, le deuxième roman de Toni Morrison, Sula (1973), traitant de l'amitié entre deux femmes noires, est nommé pour le National Book Award. Son troisième roman, Song of Solomon (1977), retrace la vie de Macon "Milkman" Dead III, de sa naissance à l'âge adulte, à la découverte de son héritage. Ce roman lui vaut une reconnaissance nationale, avec une sélection sur la liste principale des « livres du mois », éditée par le club du livre américain. C'est le premier roman d'un écrivain afro-américain à être choisi depuis The Native Song, de Richard Wright en 1940[33]. Song of Solomon remporte également le prix du National Book Critics Circles / Cercle national des critiques du livre[34].

Lors de sa cérémonie d'ouverture de 1979, le Barnard College décerne à Toni à Morrison la Barnard Medal of Distinction (en), sa plus haute récompense[35].

Morrison donne à son roman suivant, Tar Baby (en) (1981), un décor contemporain. Jadine, mannequin de mode obsédée par son apparence, tombe amoureuse de Son, un vagabond sans le sou qui se sent à l'aise dans son identité de Noir[36].

En 1983, Morrison délaisse l'édition pour consacrer plus de temps à l'écriture, et vit alors dans un hangar à bateaux reconverti sur le fleuve Hudson à Nyack, New York[37],[38]. Elle enseigne la littérature anglaise à l'université d'État de New York (SUNY) et à l'université Rutgers du Nouveau-Brunswick. En 1984, elle est nommée à la chaire Albert Schweitzer de l'université d'État de New York à Albany[39].

Sa première pièce de théâtre, Dreaming Emmett, traite de l'assassinat d'un adolescent afro-américain âgé de 14 ans, Emmett Till, après avoir été torturé, meurtre commis en 1955 par des Blancs. La pièce est jouée en 1986 à l'Université d'État de New York à Albany, où elle enseigne[40],[41]. Toni Morrison a également été professeur invitée au Bard College de 1986 à 1988[42],[43].

Beloved et la reconnaissance internationale[modifier | modifier le code]

En 1987, Toni Morrison publie son roman le plus célèbre, Beloved, le premier tome d'une trilogie comportant Jazz puis Paradis. Ce roman s’inspire de l’histoire vraie d’une esclave afro-américaine, Margaret Garner[44], que Toni a découverte alors qu'elle rédigeait The Black Book. Fuyant l'esclavage, Margaret Garner est poursuivie par des chasseurs d'esclaves. Pour échapper à la capture, elle tue sa fille de deux ans, mais est prise avant de pouvoir se suicider[45]. Le roman de Morrison imagine le bébé mort, « adoré » (beloved), revenant, tel un fantôme, hanter sa mère et sa famille[46].

Beloved est plébiscité par la critique et reste meilleure vente pendant 25 semaines. Pour la critique littéraire Michiko Kakutani, du New York Times, la scène où la mère tue son bébé est « tellement brutale et troublante qu'elle semble réunir l'avant et l'après en une ligne unique et inébranlable du destin. »[47],[48]. L'écrivaine canadienne Margaret Atwood écrit dans une revue pour le New York Times : « La polyvalence de Mme Morrison, son ampleur technique et émotionnelle ne semblent connaître aucune limite. S'il y avait des doutes sur son statut de romancier américain par excellence, de sa propre génération ou de toute autre génération, Beloved va les faire taire. »[49],[50].

« Serai-je autorisée, enfin, à écrire sur des Noirs sans avoir à dire qu'ils sont noirs, comme les Blancs écrivent sur les Blancs ?[51] »

Cependant, la critique n'est pas unanime. Le critique social-conservateur afro-américain Stanley Crouch, par exemple, se plaint dans son article paru dans The New Republic[52] que le roman « se lit en grande partie comme un mélodrame structurellement basé sur les concepts des miniséries »[53], et que Morrison « interrompt perpétuellement son récit avec des publicités idéologiques larmoyantes »[54],[55],[56].

Malgré son succès, Beloved ne remporte pas les prestigieux National Book Award ou National Book Critics Circle Award. Quarante-huit critiques et écrivains noirs dont Maya Angelou, Henry Louis Gates Jr., Amiri Baraka, John Edgar Wideman et Angela Davis protestent contre cette omission dans une pétition publiée par The New York Times le [57],[58]. Deux mois plus tard, elle obtient le prix Pulitzer pour Beloved, en 1988. Le , elle reçoit le prix Nobel de littérature[59] pour « ses romans caractérisés par une force visionnaire et une portée poétique, qui donne vie à un aspect essentiel de la réalité américaine. »[60].

En 1993, elle fait la une du magazine Time[61].

En 2005, elle est faite docteur honoris causa en arts et littérature de l'université d'Oxford, puis en 2011, de l'université de Genève[62]. En 2006, le jury du supplément littéraire du New York Times consacre Beloved « meilleur roman de ces 25 dernières années » et en novembre de la même année, le musée du Louvre fait de Toni Morrison son invitée d'honneur, proposant un programme de lectures, rencontres et conférences avec l'autrice[63] et ses amis artistes, écrivains ou professeurs[64].

Depuis 2002, elle s'investit également dans la littérature pour enfants avec son fils Slade Morrison (qui meurt en 2010 à l'âge de 45 ans[65]). Elle prend également la direction du magazine The Nation[66].

Son roman le plus connu et le plus vendu, Beloved, a été adapté au cinéma en 1998 par Jonathan Demme avec Oprah Winfrey, Danny Glover et Thandie Newton dans les rôles principaux[67].

Toni Morrison est également critique littéraire[68],[69],[70] et essayiste abordant divers sujets comme la façon dont les femmes afro-américaines regardent les autres femmes[71], comment grandir quand on a la peau noire[72], etc. Ses écrits contribuent au combat des Afro-Américains pour leur émancipation[73].

Le site de la Public Broadcasting Service (PBS) la classe comme l'un des dix plus grands auteurs de la littérature afro-américaine[74].

Vie privée[modifier | modifier le code]

En 1958, elle épouse Harold Morrison, un architecte originaire de la Jamaïque[14], avec qui elle a deux enfants : Harold Ford et Slade Kevin[9]. Ils divorcent en 1964[15].

Après sa retraite, elle vit à New York[75], sur les rives du fleuve Hudson[76].

Mort[modifier | modifier le code]

Toni Morrison meurt le [77],[78],[79] au Montefiore Medical Center (en) à New York, des suites d'une pneumonie[80].

De nombreuses personnalités américaines et internationales lui rendent hommage[81],[82],[83] comme, entre autres, Oprah Winfrey[84], Tracee Ellis Ross, Gabrielle Union, Shonda Rhimes, Bette Midler, Common, Kerry Washington, Barack Obama, Bernie Sanders, Beto O'Rourke, Nancy Pelosi, Hillary Clinton, Kamala Harris[85], Stacey Abrams, Clint Smith (writer) (en), Ilhan Omar , Marc Lamont Hill (en)[86], Danielle Brooks, Terry McMillan, Lydia Polgreen, Yamiche Alcindor (en), Angela Rye (en)[87], Barry Jenkins, Ava Duvernay, Alfred A. Knopf, Laverne Cox, J. August Richards, Tamron Hall (en), Robin Roberts (newscaster) (en), Jason Reynolds (en), Gabrielle Union, Roxane Gay, Isaiah Washington, Celeste Ng, Billie Jean King, Sarah Weinman (en), Nicola Sturgeon, George Takei, Kimberly Hébert Gregory (en), Wendell Pierce[88], Kirsten Gillibrand, Jeremy O. Harris (en), Beto O'Rourke, Robin Thede (en), Hari Kunzru, Julie Dash[89], Franck Riester, Bernard-Henri Levy, la Présidence de l’Élysée, Christiane Taubira, Arnaud Laporte, Christine Kelly, Michel Mompontet, Hicham Nazzal, Roukiata Ouedraogo[90], Christian Salmon[91]etc.

Elle est inhumée au cimetière South-View, dans l'état de Géorgie[92].

Opinions politiques[modifier | modifier le code]

Aux États-Unis, un article de Toni Morrison, paru dans le New Yorker le [93] concernant Bill Clinton, va susciter des controverses[94]. Se moquant des indignations au sujet de l'affaire Lewinsky et autres soupçons accablant le Président, elle dit que les Afro-Américains le comprennent, car ils ne connaissent que trop bien les accusations et réprobations hâtives faites au nom du puritanisme hypocrite. À partir de cette analogie, elle qualifie Bill Clinton de « premier président noir américain, plus noir que n'importe quel Noir »[95], expliquant son idée par le fait que « Clinton présente toutes les caractéristiques du citoyen noir : issu d'une famille monoparentale, pauvre, de la classe ouvrière, jouant du saxophone et aimant la malbouffe des fast-foods comme un garçon de l'Arkansas ». Cette opinion a été adoptée par les supporters de Clinton notamment au Caucus noir du Congrès (Congressional Black Caucus ou CBC) ou au contraire tournée en dérision par ses détracteurs. L'animateur républicain et conservateur Rush Limbaugh fait souvent référence, de manière sarcastique, à l'ancien président en reprenant les termes de Toni Morrison.

Toni Morrison a apporté publiquement son soutien à Barack Obama lors de l'investiture démocrate puis pour ses campagnes aux élections présidentielles de 2008 et 2012[96],[97].

Le président Barack Obama la décore par ailleurs de la Médaille présidentielle de la Liberté fin 2012[97].

Œuvres[modifier | modifier le code]

Romans[modifier | modifier le code]

Livres pour la jeunesse[modifier | modifier le code]

  • Toni Morrison et Slade Morrison (ill. Giselle Potter), The Big Box, New York, Hyperion Books for Children/Jump at the Sun, (réimpr. 2002) (1re éd. 1999), 48 p. (ISBN 9780786812912, OCLC 1416299338, lire en ligne),
  • Toni Morrison et Slade Morrison (ill. Pascal Lemaître), The Book of Mean People, New Nork, Little, Brown Books for Young Readers, (réimpr. 2005, 2022) (1re éd. 2002), 68 p. (ISBN 9780316349673, OCLC 947194449, lire en ligne),
  • Toni Morrison et Slade Morrison (ill. Pascal Lemaître), Who's Got Game? Poppy or the Snake?, New York, Scribne (réimpr. 2010, 2014) (1re éd. 2003), 40 p. (ISBN 9780743222488, OCLC 1269803944, lire en ligne),
  • Remember : The Journey to School Integration, Boston, Massachusetts, Houghton Mifflin Co., , 88 p. (ISBN 9780618397402, OCLC 1036838472, lire en ligne),,
  • Peeny Butter Fudge (ill. Joe Cepeda), Simon Schuster/Paula Wiseman Books, , 32 p. (ISBN 9781416983323),
  • Toni Morrison et Slade Morrison (ill. Sean Qualls), Little Cloud and Lady Wind, New York, Simon & Schuster Books for Young Readers (réimpr. 2015) (1re éd. 2010), 40 p. (ISBN 9781416985235, OCLC 891858663, lire en ligne),
  • Toni Morrison et Slade Morrison (ill. Shadra Strickland), Please, Louise, New York, Simon & Schuster Books for Young Readers (réimpr. 2016) (1re éd. 2013), 36 p. (ISBN 9781416983385, OCLC 877912576, lire en ligne),

Nouvelles[modifier | modifier le code]

Essais[modifier | modifier le code]

  • Playing in the Dark: Whiteness and the Literary Imagination, Harvard University Press, , 110 p. (ISBN 9780674673779),
  • Burn This Book: PEN Writers Speak Out on the Power of the Word, Harper, , 128 p. (ISBN 9780061774003),
  • The Origin of Others, Harvard University Press, 2016, rééd. 18 septembre 2017, 114 p. (ISBN 9780674976450),
  • The Source of Self-Regard: Selected Essays, Speeches, and Meditations, Knopf Publishing Group, , 354 p. (ISBN 9780525521037),

Librettiste[modifier | modifier le code]

Théâtre[modifier | modifier le code]

Collaboration[modifier | modifier le code]

  • Autobiographie, d'Angela Davis[21], 1974,
  • Toni Morrison (dir.), Andrew Ross et Manning Marable (préf. Toni Morrison), Race-Ing Justice, En-Gendering Power : Essays on Anita Hill, Clarence Thomas, and the Construction of Social Reality, New York, Pantheon Books (réimpr. 1993) (1re éd. 1992), 514 p. (ISBN 9780679741459, OCLC 645958327, lire en ligne),

Recueil d'interviews[modifier | modifier le code]

  • Conversations With Toni Morrison, Jackson, Mississippi, University Press of Mississippi, coll. « Literary Conversations Series », , 316 p. (ISBN 9780878056910, lire en ligne),

Anthologie[modifier | modifier le code]

Livres traduits en français[modifier | modifier le code]

Romans[modifier | modifier le code]

  • L'Œil le plus bleu, traduit par Simone Hilling, éd. Robert Laffont, 1971 ; nouvelle traduction de Jean Guiloineau, éd. 10/18, 2008 ;
  • Le Chant de Salomon (en), traduit par Sylviane Rué, éd. Acropole, coll. « Littérature du monde », 1985 ; nouvelle traduction de Jean Guiloineau, éd. 10/18, 2008 ;
  • Beloved, traduit par Hortense Chabrier et de Sylviane Rué, éd. Christian Bourgois, 1989 ; rééd., éd. 10/18, 2008, ; traduit par Jakuta Alikavazovic, éd. Christian Bourgois, 2023 ;
  • Sula, traduit par Pierre Alien, éd. Christian Bourgois, 1992 ; rééd., éd. 10/18, 1993 ;
  • Jazz, traduit par Pierre Alien, éd. Christian Bourgois, 1993 ; rééd., éd. 10/18, 1995 ;
  • Tar Baby (en), traduit par Jean Guiloineau, éd. Belfond, 1993 ; rééd., éd. 10/18, 2008 ;
  • Paradis, traduit par Jean Guiloineau, éd. Christian Bourgois, 1998 ; rééd., éd. 10/18, 2004 ;
  • Love, traduit par Anne Wickle, éd. Christian Bourgois, 2004, 308 p. (ISBN 978-2-267-01726-7) ; rééd., éd. 10/18, 2008 ;
  • Un Don traduit par Anne Wickle, éd. Christian Bourgois, 2009 ; rééd., éd. 10/18, 2010 ;
  • Home (en), traduit par Christine Laferrière, éd. Christian Bourgois, 2012 ; rééd., éd. 10/18, 2013 ;
  • Délivrances, traduit par Christine Laferrière, éd. Christian Bourgois, 2015 ; rééd., éd. 10/18 , 2016.

Livres pour enfants[modifier | modifier le code]

  • À ton avis la cigale ou la fourmi ?, traduit par Laurence Kiéfé, éd. L'École des Loisirs, 2011
  • Tout ce qu'il faut savoir sur les méchants ! traduit par Pascal Lemaître, éd. Milan Jeunesse, 2007
  • À ton avis : Le Viel Homme ou le Serpent ?, traduit par Laurence Kiefé, illustrations de Pascal Lemaître, éd. Casterman, 2004,
  • Ma liberté à moi, traduit par Giselle Potter, éd. Gallimard, 2003

Essais[modifier | modifier le code]

  • L'Origine des autres, traduit par Christine Laferrière, éd. Christian Bourgois, 2018,
  • Entre vos mains, illustré par Pascal Lemaître, et traduit par Benoîte Dauvergne, éd. L'Aube, 2018. Discours prononcé au moment de recevoir le prix Nobel à Stockholm.,
  • Sous la direction de Andrée-Anne Kekeh-Dika et Maryemma Graham et Janis A. Mayes, Toni Morrison, Au-delà du visible ordinaire / Beyond the Ordinary Visible, éd. Presses universitaires de Vincennes, 2015[101]
  • Playing in the Dark : blancheur et imagination littéraire, traduit par Pierre Alien, éd. Christian Bourgois, 1993, réédition 2007,

Réception[modifier | modifier le code]

Avis généraux[modifier | modifier le code]

Toni Morrison a donné un nouveau souffle à la littérature américaine de la seconde moitié du XXe siècle en général et aux lettres afro-américaines en particulier pour l'E. Universalis[102]. Pour le Magazine littéraire, son style allie précision, violence, lyrisme et acuité de l'observation psychologique et sociale[103]. La plupart de ses romans se rapprochent du réalisme magique latino-américain[104]. Entre rêve et réalité, ils décrivent la misère des Noirs aux États-Unis depuis le début du XXe siècle dont ils restituent les voix passées ou présentes et le folklore. Avec l'approche d'une conteuse, Morrison en recompose, fragment par fragment, la mémoire dense et complexe[105]. Son œuvre revisite systématiquement l'histoire de son pays du point de vue des laissés-pour-compte et se dote de techniques narratives singulières, puisant son inspiration dans le jazz, l'oralité, l'argot et la culture populaire[106]. Les romans de Morrison sont polyphoniques. Ils fragmentent la chronologie, ont recours aux récits enchâssés et à l'épiphanie, font circuler le point de vue de différents personnages et répètent des scènes identiques sous un angle différent. Selon l'Académie suédoise, « on ne peut qu'être séduit par sa remarquable technique narrative qui porte la marque d'un esprit original, même si l'on peut en déceler les racines chez Faulkner et les Américains des États du Sud. »[107]. L'auteure mêle une peinture minutieuse de l'esclavage et du ségrégationnisme américains à des éléments narratifs irrationnels, surnaturels ou merveilleux, pour la plupart inhérents aux croyances et aux mythes afro-américains[108].

Ses récits, qui refusent le manichéisme, trouvent un écho contemporain et évoquent les difficultés internes à l'éthique de la communauté noire qui, outre le racisme et la pauvreté, se voit déchirée entre l'héritage culturel des ancêtres et le modèle de promotion sociale des Blancs. Les thèmes de l'identité bafouée, de l'origine insaisissable et du déracinement occupent une place centrale dans son œuvre[109].

Ses fictions ont presque toutes pour personnage principal des femmes généralement martyrisées, ce qui lui a valu l'étiquette d' « écrivain féministe » qu'elle n'a jamais revendiquée, déclarant à ce sujet qu'elle déteste les catégories et que « Ce serait rebutant pour certains lecteurs qui pourraient croire que je me suis engagée dans l'écriture d'un tract féministe. Je ne souscris pas au patriarcat mais je ne crois pas qu'il doive être supplanté par un matriarcat. Je pense que c'est une question d'équité d'accès et une manière d'ouvrir les portes sur toutes sortes de choses. »[110].

La romancière se déclare défiante envers toute identité figée et prend également ses distances avec un certain discours idéologique sur l'identité noire[109],. Ses ouvrages, dans lesquels cohabitent le registre tragique et un questionnement métaphysique, atteignent une forme d'humour qui passe par une tonalité burlesque et fantastique, relève l'Encyclopædia Universalis[109].

Références au sein de l'œuvre et difficultés de lecture[modifier | modifier le code]

Plusieurs auteurs ont souligné l'incapacité de nombreux critiques littéraires à comprendre en profondeur le sens de l'œuvre de Toni Morrison. Ainsi, pour Marni Gauthier, en 2005, les critiques adressées à Paradise sur l'opposition manichéenne entre hommes porteurs de vices et femmes porteuses de vertus ratent un élément important : la déconstruction du roman national américain via une transposition caricaturale et une inversion de schémas sociaux. Elle analyse ainsi, parmi de multiples autres éléments, que la valorisation au plus haut degré d'une peau authentiquement noire et le rejet des personnes à la peau trop claire par l'un des pères fondateurs (Old fathers) puis par la communauté entière qui met en œuvre une « loi du sang » implicite, n'est qu'un écho inversé de la one-drop rule, cette loi qui classe comme Noire toute personne ayant le moindre ascendant africain, même très lointain. De la même façon, l'idéal de pureté féminin et le traitement des femmes dans le roman, y compris le massacre des femmes du couvent, renvoient à l'hégémonique « culte de la vraie féminité » du XIXe siècle, et à l'assimilation forcée des peuples indo-américains[111]. Pareillement, Geneva Cobb Moore relève en 2011 pour Un don que la compréhension de cette déconstruction du roman national et des mythes fondateurs américains nécessite la prise en compte des très nombreuses références parodiques disséminées dans le texte, ce qui n'est pas toujours de règle chez les critiques[112].

Censure[modifier | modifier le code]

Les livres de Toni Morrison ont donné lieu à de nombre actes et tentatives de censure. En 1995, à la grande surprise de Toni Morrison, c'est le cas de Paradise, pour « incitation à l'émeute publique »[113]. Beloved et L'Œil le plus bleu figurent avec des motifs divers (contenu sexuellement explicite, violent, mots offensants, inadapté à l'âge des enfants, présence d'un point de vue religieux, scène d'inceste) sur la liste des « 100 livres les plus censurés ou proposés à la censure de la décennie 2010-2019 [114]», publiée par l'Association américaine des bibliothèques[115]. Ces deux ouvrages figuraient déjà dans la liste de la décade précédente, aux côtés du Chant de Salomon[116]. Un projet de loi rémanent[117] de l'État de Virginie, s'opposant à l'utilisation dans les lycées de livres avec un contenu sexuel explicite, visant entre autres Beloved et L'Œil le plus bleu, est surnommé Beloved bill[118]. Au-delà du contenu à caractère sexuel, c'est pour certains observateurs la difficulté en Amérique de faire face à son passé esclavagiste qui ressort de ces tentatives[119].

Le Parti républicain milite en 2021 pour le retrait des écoles au niveau national des livres qui « corrompent » les écoliers avec des concepts tels que le « racisme structurel » ou le « privilège blanc ». Des livres de Toni Morrison sont notamment visés[120].

Pour Toni Morrison, la pensée même de vouloir « effacer » les écrits des autres est un cauchemar, et elle a longtemps milité contre la censure, considérant que c'est la même inspiration qui prévalait lorsque les grands-parents des censeurs actuels prétendaient rendre la lecture illégale pour les Noirs[121].

Prix et distinctions[modifier | modifier le code]

Hommages[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « https://findingaids.princeton.edu/collections/C1491 »
  2. a et b (en) « Toni Morrison obituary », sur the Guardian, (consulté le )
  3. a b c et d (en) « Toni Morrison Biography | List of Works, Study Guides & Essays », sur gradesaver.com (consulté le )
  4. (en-US) « Toni Morrison Biography - life, family, childhood, children, parents, name, story, death, history, school », sur notablebiographies.com (consulté le )
  5. (en) « Toni Morrison | American author », Encyclopedia Britannica,‎ (lire en ligne, consulté le )
  6. a b et c (en-US) « Toni Morrison Biography », sur cliffsnotes.com (consulté le )
  7. (en-US) « 'I Regret Everything': Toni Morrison Looks Back On Her Personal Life », sur NPR.org (consulté le )
  8. (en-US) « Toni Morrison Elementary / Homepage », sur lorainschools.org (consulté le )
  9. a b c d et e (en-US) « Toni Morrison », sur encyclopedia.com (consulté le )
  10. (en-US) Ekemini Uwan, « How Toni Morrison’s words pierced me, as a black Christian female writer », The Washington Post,‎ (lire en ligne)
  11. (en-US) « Toni Morrison, author baptized Catholic as child, dies at age 88 », sur cruxnow.com (consulté le )
  12. (en) « Toni Morrison, author baptized Catholic as child, dies at age 88 », sur National Catholic Reporter, (consulté le )
  13. (en) Kristine Yohe, « Morrison, Toni », Oxford Research Encyclopedia of Literature,‎ (DOI 10.1093/acrefore/9780190201098.013.574, lire en ligne, consulté le )
  14. a et b (en-US) « Toni Morrison », sur Biography (consulté le )
  15. a et b (en-US) « Toni Morrison », sur nndb.com (consulté le )
  16. (en-US) Emily Langer, « Toni Morrison, Nobel laureate who transfigured American literature, dies at 88 », The Washington Post,‎ (lire en ligne)
  17. a et b (en) « Toni Morrison », sur Nobel Prize
  18. (en-US) « Biography – Toni Morrison » (consulté le )
  19. (en) Ismail Muhammad, « Toni Morrison Was So Much More Than a Novelist », sur Slate Magazine, (consulté le )
  20. « Toni Morrison: African American Writer », sur www.myblackhistory.net (consulté le )
  21. a et b Davis, Angela., Autobiographie., Albin Michel, (ISBN 2226001735 et 9782226001733, OCLC 417409268), "Ce livre m'a permis de connaître une femme Noire, magnifique et vivifiant écrivain, Toni Morrison, et de travailler avec elle." (Remerciements en début d'ouvrage)
  22. (en) « Toni Cade Bambara | American author and civil-rights activist », sur Encyclopedia Britannica (consulté le )
  23. « Gayl Jones », sur encyclopedia.com (consulté le )
  24. (en-GB) « Toni Morrison: American literary giant made it her life’s work to ensure that black lives (and voices) matter | Faculty of English », sur www.english.ox.ac.uk (consulté le )
  25. (en-GB) « Obituary: Toni Morrison », BBC News,‎ (lire en ligne, consulté le )
  26. (en-US) Adrienne Westenfeld, « Toni Morrison's Monumental Impact on Literature and Culture Will Be Felt For Centuries to Come », sur Esquire, (consulté le )
  27. (en-US) « Toni Morrison Biography », sur www.chipublib.org (consulté le )
  28. (en-GB) Lyn Innes, « Toni Morrison obituary », The Guardian,‎ (ISSN 0261-3077, lire en ligne, consulté le )
  29. (en-GB) Hermione Hoby, « Toni Morrison: 'I'm writing for black people ... I don't have to apologise' », The Guardian,‎ (lire en ligne)
  30. (en-US) William Grimes, « Toni Morrison Is '93 Winner of Nobel Prize in Literature », The New York Times,‎ (lire en ligne, consulté le )
  31. (en) John Leonard, « Books of The Times », The New York Times,‎ (lire en ligne [archive du ], consulté le )
  32. a et b (en-US) Boris Kachka, « Who Is the Author of Toni Morrison? », sur New York, (consulté le )
  33. Margaret Busby, "Books: Toni Morrison: beloved and all that jazz …", The Independent, October 9, 1993.
  34. (en-US) « Search Results for “Toni Morrison” – National Book Critics Circle », sur bookcritics.org (consulté le )
  35. (en-US) « Remembering Toni Morrison », sur afro.illinois.edu (consulté le )
  36. (en-GB) Hermione Hoby, « Toni Morrison: 'I'm writing for black people … I don't have to apologise' », The Guardian,‎ (lire en ligne, consulté le )
  37. (en-US) « New York Home of Toni Morrison Burns », The New York Times,‎ , p. 38 (lire en ligne)
  38. (en-GB) Maya Jaggi, « Profile: Toni Morrison », The Guardian,‎ (ISSN 0261-3077, lire en ligne, consulté le )
  39. David Henry, « Toni Morrison, First Black Woman Writer to Win Nobel, Dies », Bloomberg,‎ (lire en ligne)
  40. (en) Margaret Croyden, « Toni Morrison Tries Her Hand At Playwriting », The New York Times,‎ (lire en ligne)
  41. (en-US) « What happened to Toni Morrison's first play? », sur The Collaborative, (consulté le )
  42. (en-US) « Toni Morrison Biography », sur biography.jrank.org (consulté le )
  43. (en-US) Leon Botstein, Chinua Achebe and Toni Morrison, « Things Fall Together », Transition, no 89,‎ , p. 150-165 (16 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire)
  44. Mervyn Rothstein, « Toni Morrison, In Her New Novel, Defends Women », The New York Times,‎ (lire en ligne)
  45. « Margaret Garner Incident (1856) », Black Past (consulté le )
  46. Barbara Offutt Mathieson, « Memory and Mother Love in Morrison's "Beloved" », American Imago, vol. 47, no 1,‎ , p. 1–21 (lire en ligne Inscription nécessaire). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  47. « […] so brutal and disturbing that it appears to warp time before and after into a single unwavering line of fate. »
  48. Dennis Hevesi, « Toni Morrison's Novel 'Beloved' Wins the Pulitzer Prize in Fiction », The New York Times,‎ (lire en ligne, consulté le )
  49. « Ms. Morrison's versatility and technical and emotional range appear to know no bounds. If there were any doubts about her stature as a pre-eminent American novelist, of her own or any other generation, Beloved will put them to rest. »
  50. (en-US) Margaret Atwood, « Jaunted By Their Nightmares », The New York Times,‎ (lire en ligne, consulté le )
  51. Josyane Savigneau, « Morrison, la guerrière », Le Monde,‎ , p. I, Le Monde des livres (lire en ligne Accès payant, consulté le )
  52. (en-US) Stanley Crouch, « Literary Conjure Woman », sur The New Republic, (consulté le )
  53. « reads largely like a melodrama lashed to the structural conceits of the miniseries »
  54. « [...] perpetually interrupts her narrative with maudlin ideological commercials. »
  55. Amy Alexander, « The bull in the black-intelligentsia china shop », sur Salon, (consulté le )
  56. Ted Gioia, « Beloved by Toni Morrison », thenewcanon.com (consulté le )
  57. Edwin McDowell, « 48 Black Writers Protest By Praising Morrison », The New York Times,‎ (lire en ligne)
  58. « "Writers Demand Recognition for Toni Morrison (1988)", June Jordan Houston A. Baker Jr. STATEMENT, reprinted at aalbc.com », sur AALBC.com's Discussion Boards
  59. (en-US) « Award ceremony speech », sur NobelPrize.org (consulté le )
  60. En anglais: « who in novels characterized by visionary force and poetic import, gives life to an essential aspect of American reality. » (source: Site officiel de la Fondation Nobel, in "Nobelprize laureates for literature", partie consacrée à Toni Morrison (1993)
  61. (en-US) « Toni Morrison: 100 Women of the Year », sur Time (consulté le )
  62. « Dies academicus 2011: deux regards sur les droits humains - Service de communication - UNIGE », sur www.unige.ch (consulté le )
  63. (en-US) Wilfred D. Samuels, « Chloe Anthony Wofford “Toni” Morrison (1931-2019 ) », sur BlackPast, (consulté le )
  64. « Le Louvre invite Toni Morrison », sur louvre.fr (consulté le )
  65. « About the Artist », SladeMorrison.com (consulté le )
  66. (en-US) Jesse McCarthy, « Toni Morrison’s Revolution in American Literature », The Nation,‎ (ISSN 0027-8378, lire en ligne, consulté le )
  67. (en-US) « The New York Times: Book Review Search Article », sur movies2.nytimes.com (consulté le )
  68. (en) « To Be a Black Woman; Portraits in Fact and Fiction. Edited by Mel Watkins and Jay David. 285 pp. New York: William Morrow & Co. $6.95. », sur timesmachine.nytimes.com (consulté le )
  69. (en-US) Toni Morrison, « Going home with bitterness and joy », The New York Times,‎ (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le )
  70. (en-US) Toni Morrison, « Who Is Angela Davis? », The New York Times,‎ (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le )
  71. (en-US) Toni Morrison, « What the Black Woman Thinks About Women's Lib », The New York Times,‎ (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le )
  72. (en-US) Toni Morrison, « It is like growing up black one more time », The New York Times,‎ (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le )
  73. (en) Joy James, « Toni Morrison, Activist », sur Boston Review, (consulté le )
  74. (en-US) « 10 Black Authors Everyone Should Read », sur pbs.org (consulté le )
  75. (en-US) Lisa Shea, « Georgia on Her Mind », sur ELLE, (consulté le )
  76. (en-US) « Toni Morrison's Haunting Resonance », sur Interview Magazine, (consulté le )
  77. Josyane Savigneau, « L’écrivaine américaine Toni Morrison, prix Nobel de littérature, est morte », sur Lemonde.fr, (consulté le )
  78. (en) « Beloved Author Toni Morrison Has Died at 88 », sur vulture.com (consulté le )
  79. Hillel Italie, « Nobel laureate Toni Morrison dead at 88 », sur AP NEWS, (consulté le )
  80. (en-US) Margalit Fox, « Toni Morrison, Towering Novelist of the Black Experience, Dies at 88 », The New York Times,‎ (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le )
  81. « Les hommages à Toni Morrison pleuvent sur les réseaux sociaux », sur Franceinfo, (consulté le )
  82. Deutsche Welle (www.dw.com), « La presse allemande rend hommage à Toni Morrison », sur DW.COM, (consulté le )
  83. « Littérature. L’Amérique salue Toni Morrison, “un trésor national" », sur Courrier international, (consulté le )
  84. (en-US) Hannah Yasharoff, « Oprah Winfrey pays tribute to friend Toni Morrison: 'Long may her WORDS reign!' », sur USA TODAY (consulté le )
  85. (en-US) A. O. L. Staff, « How Barack Obama, Kerry Washington and more stars reacted to Toni Morrison's death at 88 », sur AOL.com (consulté le )
  86. (en) « 'What a Life. What a Remarkable Remarkable Life': Nation Mourns Passing of US Literary Icon Toni Morrison (1931-2019) », sur Common Dreams (consulté le )
  87. (en) Kimberley Richards, « Tributes Pour In For Toni Morrison, 'Brilliant Scribe' Of Our Nation’s Stories », sur HuffPost, (consulté le )
  88. (en) « Oprah Winfrey, Barack Obama, Shonda Rhimes, and more pay tribute to Toni Morrison », sur EW.com (consulté le )
  89. (en) Rhodes Murphy, « Writers, Artists, and Leaders Pay Tribute to Toni Morrison », sur Slate Magazine, (consulté le )
  90. « Obama, Taubira, BHL rendent hommage à Toni Morrison... mais pas Trump », sur www.lefigaro.fr, (consulté le )
  91. « Voir dans le noir avec Toni Morrison », sur médiapart, médiapart,
  92. Find a grave
  93. (en-US) Toni Morrison, « On the First Black President », The New Yorker,‎ (ISSN 0028-792X, lire en ligne, consulté le )
  94. (en-US) « Toni Morrison defended, championed and chastised American presidents », sur NBC News (consulté le )
  95. « Toni Morrison, prix Nobel de littérature 1993, est morte à 88 ans », sur Le Huffington Post, (consulté le )
  96. Philippe Coste, « Toni Morrison : "En France, on ne m'aurait jamais donné un job" », L'Express,‎ (lire en ligne)
  97. a et b Philippe Boulet-Gercourt, « Toni Morrison, star de la rentrée », Le Nouvel Observateur,‎ (lire en ligne)
  98. (en-US) Leon James Bynum, « Toni Morrison and the translation of history in Margaret Garner », Columbia University,‎
  99. (en) « Toni Morrison's first opera made its debut in Detroit », sur Detroit Free Press (consulté le )
  100. (en-US) Margaret Croyden, « Toni Morrison Tries Her Hand at Playwriting », The New York Times,‎ (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le )
  101. « Toni Morrison. Au-delà du visible ordinaire / Beyond the Ordinary Visible »
  102. Michel Fabre et Claudine Raynaud, « TONI MORRISON », sur Encyclopædia Universalis (consulté le )
  103. « Critique d'"Un don" de Toni Morrison », Le Magazine littéraire,‎ (lire en ligne)
  104. Claude Le Fustec, « Le réalisme magique : vers un nouvel imaginaire de l’autre? », Amerika, revue de littérature américaine,‎ (lire en ligne)
  105. Éditions Larousse, « Toni Morrison - LAROUSSE », sur www.larousse.fr (consulté le )
  106. Biographie de Toni Morrison sur l'encyclopédie Larousse, consulté le 07 novembre 2013.
  107. Michem Boulet-Guilloux, « Toni Morrison a lié son œuvre à la cause noire aux USA », L'Humanité,‎ (lire en ligne)
  108. Encyclopædia Universalis, « TONI MORRISON (1931-2019) », sur Encyclopædia Universalis (consulté le )
  109. a b et c Encyclopædia Universalis, « TONI MORRISON (1931-2019) : Reconstruire une identité bafouée », sur Encyclopædia Universalis (consulté le )
  110. Traduction de l'anglais : « it's off-putting to some readers, who may feel that I'm involved in writing some kind of feminist tract. I don't subscribe to patriarchy, and I don't think it should be substituted with matriarchy. I think it's a question of equitable access, and opening doors to all sorts of things. » (en) Jaffrey Zia, « The Salon Interview with Toni Morrison », Salon.com,‎ (lire en ligne, consulté le )
  111. Marni Gauthier, « The Other Side of "Paradise": Toni Morrison's (Un)Making of Mythic History », African American Review, vol. 39, no 3,‎ , p. 395–414 (ISSN 1062-4783, lire en ligne, consulté le )
  112. (en-US) Geneva Cobb Moore, « A Demonic Parody: Toni Morrison's "A Mercy" », The Southern Literary Journal, vol. 44, no 1,‎ , p. 1–18 (lire en ligne Inscription nécessaire, consulté le )
  113. « Avoir raison avec… Toni Morrison (2/5) : Le langage, cet "acte doté de conséquences" - Ép. /5 - Avoir raison avec… Toni Morrison », sur France Culture (consulté le )
  114. (en) KPEKOLL, « Top 100 Most Banned and Challenged Books: 2010-2019 », sur Advocacy, Legislation & Issues, (consulté le )
  115. (en) MMORALES, « ALA releases list of Top 100 Most Banned and Challenged Books of the decade », sur News and Press Center, (consulté le )
  116. (en) « Top 100 Banned/Challenged Books: 2000-2009 », sur Advocacy, Legislation & Issues, (consulté le )
  117. (en) « Opinion | 'Beloved' teaches Virginians the dangers of ignoring the past. Just open the book. », sur NBC News (consulté le )
  118. (en) Jenna Portnoy, « ‘Beloved bill’ goes to McAuliffe’s desk », sur washingtonpost.com,
  119. (en) « Virginia governor race highlights irony of banning 'Beloved' from schools » [vidéo], sur NBC News, (consulté le )
  120. « États-unis. Censure : la nouvelle « liste noire » des républicains », sur L'Humanité,
  121. (en-GB) Index on Censorship, « Banned Books Week: Censorship as nightmare », sur Index on Censorship, (consulté le )
  122. a et b (en-US) « Past Award Winners », sur Ohioana Library (consulté le )
  123. (en-US) « National Book Critics Circle: awards », sur bookcritics.org (consulté le )
  124. (en) « Janet Heidinger Kafka Prize : Susan B. Anthony Institute for Gender & Women's Studies : University of Rochester », sur sas.rochester.edu (consulté le )
  125. (en) Pelagia Goulimari, Toni Morrison, Routledge, , 288 p. (ISBN 978-1-136-69868-2, lire en ligne), p. 26
  126. a b et c (en-US) Liam, « Toni Morrison - Bio, Net Worth, Death, Cause of Death, Died at 88, News, Toni, Morrison, Books, Quotes, Movies, Nobel Prize, Husband, Children, Age », sur Gossip Gist (consulté le )
  127. (en) « Peggy V. Helmerich Distinguished Author Award », sur helmerichaward.org (consulté le )
  128. (en-US) « PREVIOUS WINNERS OF THE AMERICAN BOOK AWARD », sur Columbus Foundation
  129. (en-US) « Winners by Year », sur Anisfield-Wolf Book Awards (consulté le )
  130. (en-US) Dennis Hevesi, « Toni Morrison's Novel 'Beloved' Wins the Pulitzer Prize in Fiction », The New York Times,‎ (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le )
  131. (en) « Frederic G. Melcher Book Award », sur UUA.org, (consulté le )
  132. (en) « Honorary Degrees », sur Harvard University (consulté le )
  133. a et b (en-US) « Toni Morrison receives National Humanities Medal », sur Princeton University (consulté le )
  134. (en-US) « At 88, Toni Morrison personifies the strength of Black womanhood », sur louisianaweekly.com, (consulté le )
  135. (en-US) « Toni Morrison to Deliver NEH's 1996 Jefferson Lecture », The Chronicle of Higher Education,‎ (ISSN 0009-5982, lire en ligne, consulté le )
  136. (en-US) « Toni Morrison Accepts the 1996 Medal for Distinguished Contribution to American Letters », sur National Book Foundation, (consulté le )
  137. (en) « Toni Morrison », sur National Endowment for the Humanities (NEH) (consulté le )
  138. (en-US) « At 88, Toni Morrison Personifies the Strength of Black Womanhood », sur Los Angeles Sentinel, (consulté le )
  139. (en-US) « Toni Morrison », sur New Jersey Hall of Fame, (consulté le )
  140. (en) « Toni Morrison, Princeton professor and NJ Hall of Famer, dead at 88 », sur New Jersey 101.5 (consulté le )
  141. (en-US) « Mailer Prize – The Norman Mailer Center » (consulté le )
  142. « Toni Morrison, Nobel de littérature afro-américaine, est morte », sur LExpress.fr, (consulté le )
  143. (en) « Heard on Campus: Nobel Prize-winning novelist Toni Morrison », sur news.psu.edu (consulté le )
  144. « Fiction Prize | Awards & Honors », sur Library of Congress, Washington, D.C. 20540 USA (consulté le )
  145. (en) « Nobel Laureate Toni Morrison to Speak, Receive Honorary Degree at Rutgers’ 245th Commencement May 15 », sur Rutgers Today, (consulté le )
  146. « Décès de l'écrivaine Toni Morrison - Actualités - UNIGE », sur unige.ch, (consulté le )
  147. (en) « U.S. Senate: Presidential Medal of Freedom Recipients », sur senate.gov (consulté le )
  148. (en-US) « Past Nichols-Chancellor Medalists », sur Commencement (consulté le )
  149. (en) « National Book Critics Circle: sandrof », sur bookcritics.org (consulté le )
  150. (en) « National Book Critics Circle: Sandrof Award: Rita Dove’s Homage to Toni Morrison - Critical Mass Blog », sur bookcritics.org (consulté le )
  151. (en) « PEN/Saul Bellow Award for Achievement in American Fiction ($25,000) », sur PEN America, (consulté le )
  152. (en) « Ruminating on Race, Toni Morrison Gives First Norton Lecture | News | The Harvard Crimson », sur thecrimson.com (consulté le )
  153. (en) « Medal Day History », sur Macdowell Colony (consulté le )
  154. (en-US) « 2018 Jefferson Medal », sur American Philosophical Society (consulté le )
  155. (en) « National Women's Hall of Fame Virtual Induction Series Inaugural Event December 10, 2020 », (consulté le )
  156. (en-US) SisumD, « In Memoriam: Toni Morrison, 1931–2019 », sur npg.si.edu, (consulté le )
  157. « Name Approved for Mercury Crater: Morrison », sur astrogeology.usgs.gov,

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Notices dans des encyclopédies et manuels de références[modifier | modifier le code]

  • (en-US) Shirelle Phelps (dir.) et Susan Marren, Contemporary Black Biography, vol. 15, Detroit, Michigan, Gale Research, , 303 p. (ISBN 9780787609542, OCLC 1148592738, lire en ligne), p. 150-156,
  • (en-US) Suzanne Michele Bourgoin (dir.), Encyclopedia of World Biography, vol. 11 : Michael-Orleans, Detroit, Michigan, Gale Research (réimpr. 2012, 2015) (1re éd. 1997), 531 p. (ISBN 9780787622213, ISSN 1099-7326, OCLC 55942291, lire en ligne), p. 188-190,
  • (en-US) Anne Commire (dir.) et Deborah Klezmer (dir.), Women in World History, vol. 11 : Mek - N, Waterford, Connecticut, Yorkin Publications et Gale Research (réimpr. 2000, 2001, 2002) (1re éd. 1999), 921 p. (ISBN 9781414412672, OCLC 186968548, lire en ligne), p. 466-471,
  • (en-US) Elizabeth H. Oakes (dir.), American Writers, New York, Facts on File, coll. « American Biographies », , 433 p. (ISBN 9780816051588, lire en ligne), p. 245-247,
  • (en-US) Jay Parini (dir.) et Kristine Yohe, The Oxford Encyclopedia of American Literature, vol. 3 : Norman Mailer - Sentimental Literature, New York, Oxford University Press, USA, , 557 p. (ISBN 9780195167269, lire en ligne), p. 167-182,
  • (en-US) Thomas Cassidy, Magill's Survey of American Literature, vol. 4 : Leacock-O'Connor, Pasadena, Californie, Salem Press, , 1925 p. (ISBN 9781587652851, lire en ligne), p. 1799-1809,
  • (en-US) Yolanda W. Page (dir.), Encyclopedia of African American Women Writers, vol. 2, Westport, Connecticut, Greenwood Press, , 689 p. (ISBN 9780313334290, OCLC 1148918142, lire en ligne), p. 423-433,
  • (en-US) Paul Finkelman (dir.) et Kimberly Burnett, Encyclopedia of African American History, 1896 to the Present : From the Age of Segregation to the Twenty-first Century, vol. 3 : J-N, New York, Oxford University Press, USA (réimpr. 2009) (1re éd. 2006), 525 p. (ISBN 9780195397680, OCLC 416601965, lire en ligne), p. 382-383,
  • (en-US) Henry Louis Gates Jr. (dir.), Evelyn Brooks Higginbotham (dir.) et Valerie Smith, African American National Biography, vol. 6 : Moore, Lenny-Romain, New York, Oxford University Press, USA (réimpr. 2013) (1re éd. 2008), 688 p. (ISBN 9780195160192, OCLC 1418672854, lire en ligne), p. 34-37,

Sur les autres projets Wikimedia :

Essais et biographies anglophones[modifier | modifier le code]

Généralités[modifier | modifier le code]
  • Linden Peach, Toni Morrison : Historical Perspectives and Literary Contexts, Londres & New York, RM Arts/London Weekend Television, coll. « Profile of a writer » (réimpr. 1995, 1996, 1998, 2000,) (1re éd. 1987), 212 p. (ISBN 9780780000292, OCLC 959767184, lire en ligne),
  • Nellie Y. McKay, Critical Essays on Toni Morrison, Boston, Massachusetts, G.K. Hall, coll. « Critical essays on American literature », , 238 p. (ISBN 9780816188840, OCLC 571387338, lire en ligne),
  • Harold Bloom (dir.), Toni Morrison, New York, Chelsea House Publishers, coll. « Modern Critical Views » (réimpr. 1999, 2002, 2004) (1re éd. 1990), 262 p. (ISBN 9781555464394, OCLC 797734992, lire en ligne)
  • Wilfred D. Samuels et Clenora Hudson-Weems, Toni Morrison, Boston, Massachusetts, Twayne Publishers, coll. « Twayne's United States authors series » (no 559) (réimpr. 1999) (1re éd. 1990), 184 p. (ISBN 9780805748338, OCLC 587091461, lire en ligne),
  • Doreatha Drummond Mbalia, Toni Morrison's Developing Btcass Consciousness, Susquehanna University Press (réimpr. 2004) (1re éd. 1991), 256 p. (ISBN 9781575910680, lire en ligne),
  • Douglas Century, Toni Morrison, New York, Chelsea House, coll. « Black Americans of achievement » (réimpr. 1994, 1999) (1re éd. 1991), 114 p. (ISBN 9780791018774, OCLC 903509062, lire en ligne),
  • Henry Louis Gates Jr. & Kwame Anthony Appiah, Toni Morrison: Critical Perspectives Past and Present, Amistad Press, , 468 p. (ISBN 9781567430127, lire en ligne),
  • Barbara Kramer, Toni Morrison: Nobel Prize-Winning Author, Enslow Publishers, septembre 1996, rééd. 31 décembre 1996, 120 p. (ISBN 9780894906886, lire en ligne),
  • Nancy J. Peterson (dir.), Toni Morrison : Critical and Theoretical, Baltimore, Maryland, Johns Hopkins University Press, coll. « A Modern Fiction Studies Book » (réimpr. 1998) (1re éd. 1997), 304 p. (ISBN 9780801857027, OCLC 605242066, lire en ligne),
  • Diane Patrick-Wexler, Toni Morrison, Steck-Vaughn, janvier 1997, rééd. 1 mars 1997, 56 p. (ISBN 9780817239879, lire en ligne),
  • Jill L. Matus, Toni Morrison, Manchester & New York, Manchester University Press, coll. « Contemporary world writers » (réimpr. 2000) (1re éd. 1998), 232 p. (ISBN 9780719044489, OCLC 833314508, lire en ligne),
  • Aoi Mori, Toni Morrison And Womanist Discourse, New York, Peter Lang Publishing, coll. « Modern American literature » (no 16) (réimpr. 2000) (1re éd. 1999), 180 p. (ISBN 9780820449609, OCLC 1195036143, lire en ligne),
  • Lisa Renee Rhodes, Toni Morrison : Great American Writer, New York, Franklin Watts, coll. « Book report biography » (réimpr. 2001) (1re éd. 2000), 132 p. (ISBN 9780531116777, OCLC 44461804, lire en ligne),
  • Ron David, Toni Morrison Explained : A Reader's Road Map to the Novels, New York, Random House Reference, , 228 p. (ISBN 9780375707322, lire en ligne),
  • John N. Duvall, The Identifying Fictions of Toni Morrison, Palgrave Macmillan, , 200 p. (ISBN 9780312234027, lire en ligne),
  • Jean F. Blashfield, Toni Morrison, Philadelphie, Pennsylvanie, Chelsea House Publications, coll. « Women of achievement » (réimpr. 2001, 2014) (1re éd. 2000), 120 p. (ISBN 9780791058862, OCLC 400118748, lire en ligne),
  • Harold Bloom, Toni Morrison's The bluest eye, Chelsea House Publications, 18 octobre 2001, rééd. 1 septembre 2007, 264 p. (ISBN 9780791096154, lire en ligne),
  • Gina Wisker, Toni Morrison : A Beginner's Guide, Londres, Hodder & Stoughton, , 100 p. (ISBN 9780340846179, lire en ligne),
  • Sandra Adell, Toni Morrison, Detroit, Mchigan, Gale, coll. « Literary masters » (no 4), , 176 p. (ISBN 9780787639679, OCLC 52821458, lire en ligne),
  • James Haskins, Toni Morrison : telling a tale untold, Twenty-First Century Books, , 152 p. (ISBN 9780761318521, lire en ligne),
  • Lucille P. Fultz, Toni Morrison : Playing with Difference, University of Illinois Press, , 141 p. (ISBN 978-0-252-02823-6, lire en ligne),
  • Elizabeth Ann Beaulieu (dir.), The Toni Morrison encyclopedia, Westport, Connecticut, Greenwood Press (réimpr. 2003) (1re éd. 2002), 448 p. (ISBN 9781429474597, OCLC 150445373, lire en ligne),
  • W. John Campbell, Toni Morrison: Her Life and Works, Spark Notes, , 232 p. (ISBN 9781586638382, lire en ligne),
  • Richard Andersen, Toni Morrison, New York, Marshall Cavendish Benchmark, coll. « Writers and their Works » (réimpr. 2006, 2007) (1re éd. 2005), 152 p. (ISBN 9780761419457, OCLC 1151445814, lire en ligne),
  • Shirley A. Stave (dir.), Toni Morrison and the Bible : Contested Intertextualities, New York, Peter Lang, coll. « African-American literature and culture » (no 12), , 276 p. (ISBN 9780820469355, OCLC 609271274, lire en ligne),
  • Lisa A. Crayton, A Student's Guide to Toni Morrison, Berkeley Heights, Enslow Publishers, , 168 p. (ISBN 9780766024366, lire en ligne),
  • Justine Tally (dir.), The Cambridge Companion to Toni Morrison, New York, Cambridge University Press, coll. « Cambridge companions to literature » (réimpr. 2009, 2012) (1re éd. 2007), 228 p. (ISBN 9780521861113, OCLC 1086478172, lire en ligne),
  • Zisca Burton (préf. Harold Bloom), Bloom's How to Write About Toni Morrison, New York, Bloom's Literary Criticism, coll. « Bloom's how to write about literature » (réimpr. 2008, 2017) (1re éd. 2007), 232 p. (ISBN 9781438112466, OCLC 783229684, lire en ligne),
  • La Vinia Delois Jennings, Toni Morrison and the Idea of Africa, Cambridge, Cambridgeshire, Cambridge University Press (réimpr. 2010) (1re éd. 2008), 264 p. (ISBN 9780521885041, OCLC 174449841, lire en ligne),
  • Solomon O. Iyasere (dir.) et Marla W. Iyasere (dir.), Toni Morrison (Critical Insights), Pasadena, Californie, Salem Press, coll. « Critical Insights », , 360 p. (ISBN 9781587656224, OCLC 1326036501, lire en ligne),
  • Harold Bloom (dir.), Toni Morrison, New York, Bloom's Literary Criticism, coll. « Bloom's modern critical views », , 240 p. (ISBN 9781604133684, lire en ligne),
  • Pelagia Goulimari, Toni Morrison, Londres et New York, Routledge, coll. « Routledge guides to literature », , 292 p. (ISBN 9780415420730, OCLC 711859454, lire en ligne),
  • Tessa Roynon, The Cambridge Introduction to Toni Morrison, New York, Cambridge University Press, coll. « Cambridge Introductions to Literature » (réimpr. 2013) (1re éd. 2012), 164 p. (ISBN 9780511782282, OCLC 832789959, lire en ligne),
  • Lisa A. Crayton, Reading and Interpreting the Works of Toni Morrison, New York, Enslow Publishing, coll. « Lit crit guides », , 168 p. (ISBN 9780766073524, OCLC 920672196, lire en ligne),
  • Linda Wagner-Martin, Toni Morrison : A Literary Life, New York, Palgrave Macmillan, coll. « Literary lives » (réimpr. 2022) (1re éd. 2015), 240 p. (ISBN 9781137446701, OCLC 906572448, lire en ligne),
Essais sur Beloved[modifier | modifier le code]
Essais sur Song of Solomon[modifier | modifier le code]
  • Harold Bloom, Toni Morrison's Song of Solomon, New York, Bloom's Literary Criticism, coll. « Bloom's Modern Critical Interpretations » (réimpr. 2009) (1re éd. 1999), 232 p. (ISBN 9781604133929, OCLC 427878134, lire en ligne),
  • Vladimir Kleyman, Song of Solomon, New York, Spark Publishing, coll. « Sparknotes » (réimpr. 2009, 2014, 2018) (1re éd. 2002), 92 p. (ISBN 9781411477704, OCLC 1343119155, lire en ligne),
  • Jan Furman (dir.), Toni Morrison's Song of Solomon : A Casebook, New York, Oxford University Press, USA, coll. « Casebooks in Criticism » (réimpr. 2023) (1re éd. 2003), 292 p. (ISBN 9780195146349, OCLC 606953889, lire en ligne),

Articles et interviews[modifier | modifier le code]

Anglophones[modifier | modifier le code]
Interviews[modifier | modifier le code]
  • Robert Stepto, « "Intimate Things in Place": A Conversation with Toni Morrison », The Massachusetts Review, vol. 18, no 3,‎ , p. 473-489 (17 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Nellie McKay, « An Interview with Toni Morrison », Contemporary Literature, vol. 24, no 4,‎ , p. 413-429 (17 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Christina Davis, « Interview With Toni Morrison », Présence Africaine, Nouvelle série, no 145,‎ 1 trimestre 1988, p. 141-150 (10 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Cecil Brown & Toni Morrison, « Interview with Toni Morrison », The Massachusetts Review, Vol. 36, No. 3,‎ , p. 455-473 (19 pages) (lire en ligne),
  • Leon Botstein et Chinua Achebe, « Things Fall Together : a Conversation with Chinua Achebe and Toni Morrison », Transition, no 89,‎ , p. 150-165 (16 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article,
  • Sarah Ladipo Manyika, « On Meeting Toni Morrison », Transition, no 124,‎ , p. 138-147 (10 pages) (lire en ligne),
Généralités[modifier | modifier le code]
  • Jane S. Bakerman, « Failures of Love: Female Initiation in the Novels of Toni Morrison », American Literature, vol. 52, no 4,‎ , p. 541-563 (23 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Cynthia A. Davis, « Self, Society, and Myth in Toni Morrison's Fiction », Contemporary Literature, vol. 23, no 3,‎ , p. 323-342 (20 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Grace Ann Hovet et Barbara Lounsberry, « Flying as Symbol and Legend inToni Morrison's "The Bluest Eye, Sula," and "Song of Solomon" », CLA Journal, vol. 27, no 2,‎ , p. 119-140 (22 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Elizabeth B. House, « The "Sweet Life" in Toni Morrison's Fiction », American Literature, vol. 56, no 2,‎ , p. 181-202 (22 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Josie P. Campbell, « To Sing the Song, to Tell the Tale: A Study of Toni Morrison and Simone Schwarz-Bart », Comparative Literature Studies, vol. 22, no 3,‎ 394-412 (19 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Elizabeth B. House, « Artist and the Art if Living : Order and Disorder in Toni Morrison's Fiction », Modern Fiction Studies, vol. 34, no 1,‎ , p. 27-44 (18 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Anthony J. Berret, « Toni Morisson's », CLA Journal, Vol. 32, No. 3,‎ , p. 267-283 (17 pages) (lire en ligne),
  • Jacky Martin, « From Division to Sacrificial Reconciliation in Toni Morrison's Novels », Obsidian II, vol. 5, no 2,‎ , p. 80-99 (20 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Ashraf H. A. Rushdy, « "Rememory": Primal Scenes and Constructions in Toni Morrison's Novels », Contemporary Literature, vol. 31, no 3,‎ , p. 300-323 (24 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Edward Guerrero, « Tracking "The Look" in the Novels of Toni Morrison », Black American Literature Forum, vol. 24, no 4,‎ , p. 761-773 (13 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Malin LaVon Walther, « Out of Sight: Toni Morrison's Revision of Beauty », Black American Literature Forum,, vol. 24, no 4,‎ , p. 775-789 (15 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Timothy B. Powell, « Toni Morrison: The Struggle to Depict the Black Figure on the White Page », Black American Literature Forum, vol. 24, no 4,‎ , p. 747-760 (14 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Catherine Rainwater, « Worthy Messengers: Narrative Voices in Toni Morrison's Novels », Texas Studies in Literature and Language, vol. 33, no 1,‎ , p. 96-113 (18 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Elissa Schappell & Claudia Brodsky Lacour, « Toni Morrison, The Art of Fiction No. 134 », Paris review n°128,‎ (lire en ligne),
  • Chrysavgi Papagianni, « Justine Baillie, Toni Morrison and Literary Tradition: The Invention of an Aesthetic », European Journal of American Studies,‎ (lire en ligne),
The Bluest Eye[modifier | modifier le code]
  • Jacqueline de Weever, « The Inverted World of Toni Morrison's "The Bluest Eye" and "Sola" », CLA Journal, vol. 22, no 4,‎ , p. 402-414 (13 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Marco Portales, « Toni Morrison's "The Bluest Eye ": Shirley Temple and CHolly », The Centennial Review, vol. 30, no 4,‎ , p. 496-506 (11 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Thomas H. Fick, « Toni Morrison's "Allegory of the Cave": Movies, Consumption, and Platonic Realism in "The Bluest Eye" », The Journal of the Midwest Modern Language Association, vol. 22, no 1,‎ , p. 10-22 (13 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Jane Caputi, « "Specifying" Fannie Hurst: Langston Hughes's "Limitations of Life," Zora Neale Hurston's Their Eyes were Watching God, and Toni Morrison's the Bluest Eye as "Answers" to Hurst's Imitation of Life », Black American Literature Forum, vol. 24, no 4,‎ , p. 697-716 (20 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire)
  • « The First Reviews of Every Toni Morrison Novel, from "The Bluest Eye" to" God Help the Child" », Book Marks Review,‎ (lire en ligne),
Sula[modifier | modifier le code]
  • Diane Matza, « Zora Neale Hurston's Their Eyes Were Watching God and Toni Morrison's Sula: A Comparison », MELUS, vol. 12, no 3,‎ , p. 43-54 (12 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Vashti Crutcher Lewis, « African Tradition in Toni Morrison's Sula », Phylon (1960-), vol. 48, no 1,‎ , p. 91-97 (7 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Joseph H. Wessling, « Narcissism in Toni Morrisin's "Sula" », CLA Journal, vol. 31, no 3,‎ , p. 281-298 (18 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Maxine Lavon Montgomery, « A Pilgrimage to the Origins: The Apocalypse as Structure and Theme in Toni Morrison's Sula », Black American Literature Forum, vol. 23, no 1,‎ , p. 127-137 (11 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Cedric Gael Bryant, « The Orderliness of Disorder: Madness and Evil in Toni Morrison's Sula », Black American Literature Forum, vol. 24, no 4,‎ , p. 731-745 (15 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Monika Hoffarth-Zelloe, « Resolving the Paradox?: An Interlinear Reading of Toni Morrison's "Sula" », The Journal of Narrative Technique, vol. 22, no 2,‎ , p. 114-127 (14 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
Song of Solomon[modifier | modifier le code]
  • A. Leslie Harris, « Myth as Structure in Toni Morrison's Song of Solomon », MELUS, vol. 7, no 3,‎ , p. 69-76 (8 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire)
  • Philip M. Royster, « Milkman's Flying: The Scapegoat Transcended in Toni Morrison's "Song of Solomon" », CLA Journal, vol. 24, no 4,‎ , p. 419-440 (22 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • James W. Coleman, « Beyond the Reach of Love and Caring : Black Life in Toni Morrison's "Song of Solomon" », Obsidian II, vol. 1, no 3,‎ , p. 151-161 (11 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Joyce Ann Joyce, « Structural and Thematic Unity in Toni Morrison's "Song of Solomon" », CEA Critic, vol. 49, nos 2/4,‎ hiver 1986 - été 1987, p. 185-198 (14 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Harry Reed, « Toni Morrison, "Song of Solomon" and Black Cultural Nationalism », The Centennial Review,, vol. 32, no 1,‎ , p. 50-64 (15 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Theodore O. Mason, Jr., « The Novelist as Conservator: Stories and Comprehension in Toni Morrison's "Song of Solomon" », Contemporary Literature, vol. 29, no 4,‎ , p. 564-581 (18 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Ralph Story, « An Excursion into the Black World: The "Seven Days" in Toni Morrison's Song of Solomon », Black American Literature Forum, vol. 23, no 1,‎ , p. 149-158 (10 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Dolan Hubbard, « In Quest if Authority : Toni Morrison's "Song of Solomon" and the Rhetoric of the Black Preacher », CLA Journal, vol. 35, no 3,‎ , p. 288-302 (15 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Gay Wilentz, « Civilizations Underneath: African Heritage as Cultural Discourse in Toni Morrison's Song of Solomon », African American Review, vol. 26, no 1,‎ , p. 61-76 (16 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
Tar Baby[modifier | modifier le code]
  • Peter B. Erickson, « Images of Nurturance in Toni Morrison's "Tar Baby" », CLA Journal, vol. 28, no 1,‎ , p. 11-32 (22 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire)
  • James Coleman, « The Quest for Wholeness in Toni Morrison's Tar Baby », Black American Literature Forum, vol. 20, nos 1/2,‎ printemps-été 1986, p. 63-73 (11 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Lauren Lepow, « Paradise Lost and Found: Dualism and Edenic Myth in Toni Morrison's "Tar Baby" », Contemporary Literature, vol. 28, no 3,‎ , p. 363-377 (15 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Susan Corey Everson, « Toni Morrison's "Tar Baby": A Resource for Feminist Theology », Journal of Feminist Studies in Religion, vol. 5, no 2,‎ , p. 65-78 (14 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
Beloved[modifier | modifier le code]
  • Jewell Parker Rhodes, « Toni Morrison's Beloved: Ironies of a "Sweet Home" Utopia in a Dystopian Slave Society », Utopian Studies, vol. 1, no 1,‎ , p. 77-92 (16 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Barbara Offutt Mathieson, « Memory and Mother Love in Morrison's "Beloved" », American Imago, vol. 47, no 1,‎ , p. 1-21 (21 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article,
  • Brian Finney, « Temporal Defamiliarization in Toni Morrison's "Beloved" », Obsidian II, vol. 5, no 1,‎ , p. 20-36 (17 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Barbara Schapiro, « The Bonds of Love and the Boundaries of Self in Toni Morrison's "Beloved" », Contemporary Literature, vol. 32, no 2,‎ , p. 194-210 (17 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
  • Giulia Scarpa, « Narrative Possibilities at Play in Toni Morrison's Beloved », MELUS, vol. 17, no 4,‎ hiver 1991-1992, p. 91-103 (13 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
Jazz[modifier | modifier le code]
  • Richard Pearce, « Toni Morrison's "Jazz": Negotiations of the African American Beauty Culture », Narrative, Vol. 6, No. 3,‎ , p. 307-324 (18 pages) (lire en ligne)
  • Anthony J. Berret, « Toni Morrison's Literary Jazz », CLA Journal, vol. 32, no 3,‎ , p. 267-283 (17 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire),
Paradise[modifier | modifier le code]
  • Marni Gauthier, « The Other Side of "Paradise": Toni Morrison's (Un)Making of Mythic History », African American Review, vol. 39, no 3,‎ , p. 395-414 (20 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
A Mercy[modifier | modifier le code]
  • Geneva Cobb Moore, « A Demonic Parody: Toni Morrison's "A Mercy" », The Southern Literary Journal, vol. 44, no 1,‎ , p. 1-18 (18 pages) (lire en ligne Inscription nécessaire). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
Francophones[modifier | modifier le code]