Titus Verginius Tricostus Caeliomontanus (consul en -448) — Wikipédia

Titus Verginius Tricostus Caeliomontanus
Fonctions
Consul
avec Spurius Herminius Coritinesanus Aquilinus
Sénateur romain
Consul
Biographie
Naissance
Décès
Lieu inconnuVoir et modifier les données sur Wikidata
Époque
République romaine archaïque (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Famille
Verginii Tricosti (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Père
Mère
InconnueVoir et modifier les données sur Wikidata
Gens
Statut

Titus Verginius Tricostus Caeliomontanus est un homme politique romain du Ve siècle av. J.-C., consul en 448 av. J.-C.

Famille[modifier | modifier le code]

Il est membre de la branche des Verginii Tricosti de la gens Verginia. Il pourrait être le fils d'Aulus Verginius Tricostus Caeliomontanus, consul en 469 av. J.-C., ou de Spurius Verginius Tricostus Caeliomontanus, consul en 456 av. J.-C., ces derniers étant frères.

Biographie[modifier | modifier le code]

En 448 av. J.-C., il est consul avec Spurius Herminius Coritinesanus[a 1],[a 2]. Tous deux sont des patriciens modérés, qui maintiennent la paix intérieure avec les plébéiens après la crise politique des décemvirs, et n'ont pas à mener de guerre extérieure[a 3],[1].

C'est durant son consulat que le tribun de la plèbe Lucius Trebonius Asper propose au vote la Lex Trebonia qui prévoit que les élections des tribuns doivent se poursuivre jusqu'à l'élection du collège au complet[1],[a 4].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  • Sources modernes :
  1. a et b Broughton 1951, p. 50.
  • Sources antiques :
  1. Diodore de Sicile, Histoire universelle, XII, 11
  2. Denys d'Halicarnasse, Antiquités romaines, XI, 51
  3. Tite-Live, Histoire romaine, III, 65
  4. Tite-Live, Histoire romaine, III, 65, 3-4

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Auteurs antiques[modifier | modifier le code]

Auteurs modernes[modifier | modifier le code]

  • (en) T. Robert S. Broughton, The Magistrates of the Roman Republic : Volume I, 509 B.C. - 100 B.C., New York, The American Philological Association, coll. « Philological Monographs, number XV, volume I », , 578 p.

Voir aussi[modifier | modifier le code]