Sud Radio (France) — Wikipédia

Sud Radio
Description de l'image Logo Sud Radio 2014.svg.
Présentation
Pays Drapeau de la France France
Siège social 41 rue du Capitaine-Guynemer
92400 Courbevoie
Propriétaire Drapeau de la France Fiducial Médias (Fiducial)
Slogan Parlons vrai (2018)
Langue Français
Statut Radio privée de Catégorie E
Site web www.sudradio.fr
Différents noms Andorradio (1958-1961)
Radio des Vallées d'Andorre (1961-1966)
Sud Radio (depuis 1966)
Historique
Création
Dates clés 1981 : la radio quitte Andorre et devient entièrement française
1986 : autorisation d'émettre sur la bande FM
1994 : la radio diffuse dans 22 départements du sud
2010 : amorçage du virage complotiste

2011 : passage en catégorie E
2013 : vente de la radio au groupe Fiducial
Diffusion hertzienne
AM  Non
FM  Oui
RDS  Oui
DAB+  Oui
Satellite  Oui
Diffusion câble et Internet
Câble  Oui
IPTV  Oui
Streaming  Oui
Podcasting  Oui

Sud Radio est une station de radio privée généraliste d'information générale, sociale et politique, économique, sportive et de débat, à dominante parlée et à vocation nationale. Station commerciale française de Catégorie E, elle est diffusée dans le sud de la France, ainsi qu'en région parisienne.

Originellement basée en Andorre afin de contourner la législation française qui interdisait les stations commerciales et privées jusqu'en 1981, elle exploite la modulation d'amplitude avant d'être autorisée à émettre sur le sol français à partir des années 1980. Sa stratégie de développement l'a amenée à posséder des studios à trois endroits différents : Andorre (Andorre-la-Vieille), Labège (en banlieue de Toulouse) et Paris depuis 2017.

Sud Radio est une filiale de Fiducial Medias. Elle est membre des Indés Radios et du Syndicat des radios indépendantes (SIRTI).

À partir des années 2010, Sud Radio est abondamment critiquée pour l'espace qu'elle accorde aux théories complotistes et aux idées d'extrême droite, et ce sans contradiction.

Historique[modifier | modifier le code]

1951-1966 : naissance d'une station périphérique[modifier | modifier le code]

En 1951, un habitant des Vallées d'Andorre, Stanislas Puiggros, impliqué dans la création de Radio Andorre, mais en délicatesse avec ses associés, propose au gouvernement français de lui vendre la licence d'exploitation radiophonique qu'il a trouvée dans sa corbeille de mariage et datant de 1935.

À la demande du président de la République française Vincent Auriol, des négociations chaotiques commencent avec les autorités andorranes pour la construction d'un émetteur. La mise en service se fait finalement le [1] et la station prend le nom d'Andorradio.

Le , un accord est signé avec le Conseil des Vallées d'Andorre, qui stipule que deux stations sont dorénavant autorisées à émettre depuis l'Andorre pour une durée de vingt ans. D'un côté Radio Andorre, plus tournée vers l'Espagne et l'international, et de l'autre côté une radio plus orientée vers la France, qui pour éviter toute confusion avec sa rivale change de nom. Andorradio devient la Radio des Vallées d'Andorre.

En 1966, Radio des Vallées d'Andorre devient Sud Radio. L'émetteur, situé en principauté d'Andorre au Pic Blanc, près du Pas de la Case, est modernisé et bénéficie d'une puissance d'émission plus importante (900 kW). Grâce à ce puissant émetteur, Sud Radio va devenir une station périphérique très écoutée dans le Sud-Ouest de la France : Aquitaine, Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon.

1966-1981 : radio périphérique depuis l'Andorre[modifier | modifier le code]

En 1981, la concession de Sud Radio arrive à échéance, les autorités andorranes décident de fermer l'émetteur du Pic Blanc[2]. La même année, le monopole d'État accordé à Radio France, à la fin de la Deuxième Guerre mondiale, pour la radiodiffusion depuis la France, est abrogé par le gouvernement dirigé par Pierre Mauroy, selon la volonté du président François Mitterrand. afin de répondre à la promesse du candidat socialiste de libéralisation des ondes, Sud Radio obtient en l'autorisation d'émettre depuis l'émetteur de Gauré (non loin de Toulouse) sur la même fréquence : c'est-à-dire 367 mètres ondes moyennes, soit 819 kHz[3].

1981-1994 : station régionale française[modifier | modifier le code]

En , Sud Radio reçoit l'autorisation d'émettre sur la bande FM française[4].

L'année suivante, les laboratoires pharmaceutiques Fabre prennent le contrôle de Sud Radio avec, à leurs côtés, des investisseurs régionaux[5]. En 1989, Sud Radio prend le contrôle, à hauteur de 75 %, de la radio Wit FM alors détenue en totalité par le club de football des Girondins de Bordeaux[6].

En 1994, Sud Radio développe sa zone de diffusion, couvrant désormais 22 départements du sud de la France. Le chiffre d'affaires du groupe passe la barre des 100 millions de francs en 1995. En 1997, le programme de Sud Radio est diffusé dans le bouquet radio de Canal Satellite[7]. En 1998, les activités médias des laboratoires Fabre sont regroupées sous l'entité Sud Communication[8].

1994-2010 : émergence d'une radio à vocation nationale[modifier | modifier le code]

Dès l'année 2000, toutes les émissions de la station sont diffusées en numérique. En 2001, le CSA attribue quatre nouvelles fréquences à Sud Radio en Auvergne-Limousin (Brive, Ussel, Mauriac et Le Puy-en-Velay). En , Sud Communication vend Sud Radio et Wit FM à Sudporters, holding codétenue par le groupe Start, les stations Alouette et Scoop, et par le fonds FEDERI[9]. Après RMC en 2000, pour la seconde fois en France une radio périphérique historique est reprise par un pool de radios créées après la libéralisation des ondes, en 1981[10]. Une nouvelle grille est lancée l'année suivante avec le nouveau format « Show et Info ».

En 2008, Sud Radio déménage ses studios à Labège, près de Toulouse, et installe un correspondant permanent à Marseille. Un émetteur permet la couverture de l'agglomération de Marseille-Aix-en-Provence, soit un bassin d'audience potentielle de plus de 1,3 million de personnes.

En 2009, un plan de sauvegarde de Sud Radio est prononcé par le tribunal de commerce.

2010-2011 : passage de la radio en catégorie E[modifier | modifier le code]

En , le CSA sélectionne Sud Radio en catégorie E à Clermont-Ferrand et à Limoges.

En , le CSA sélectionne Sud Radio en catégorie E à Paris sur la fréquence 99.9 FM. Elle commence à émettre en Île-de-France le sous le nom de Sud Radio Plus.

Le même mois, sur le modèle de sa concurrente RMC, la radio se lance dans une nouvelle grille de programmes en privilégiant la parole donnée aux auditeurs et souhaite exploiter la fin du « politiquement correct ». Un nouveau slogan apparaît alors : « Ouvrez-la ! »[11]. La radio enregistre dès lors les arrivées de Robert Ménard, Guillaume Tatu (ex Beur FM), Pascal Bataille (ex Nostalgie), Karim Hacène (ex Europe 1) et le retour de Gilles Tessier qui avait officié en 2010 aux commandes du jeu « Duel Gagnant »[12].

2011 : polémique à la rentrée[modifier | modifier le code]

Le , la radio organise un débat afin de recueillir l'avis de ses auditeurs sur les circonstances de la libération de Dominique Strauss-Kahn, après son incarcération pour viol sur une femme de chambre à New-York. Au cours de deux émissions dédiées au sujet, Cardoze-Mazet, liberté de parole et Ménard en liberté, plusieurs auditeurs font part en direct de leur théorie concernant le « lobby juif » ou « l'argent des Juifs », avec les réactions timides voire complaisantes de certains journalistes animant l'émission. Si Michel Cardoze s'indigne des propos antisémites, son co-animateur Éric Mazet, lui, insiste complaisamment sur le sujet[13].

Quant à l'émission Ménard en liberté présentée par le journaliste et homme politique Robert Ménard, elle connait aussi des dérapages d'auditeurs, notamment l'un qui qualifie honteusement Nafissatou Diallo, la femme de chambre violée par DSK, de « négresse » attirée par l'argent « comme toutes les femmes ». L'auditeur raciste et sexiste ajoute à cela un proverbe sur les violences conjugales qu'il attribue à tort aux Algériens. Robert Ménard s'indigne des propos tenus par cet auditeur, qui les assume totalement[14].

Le , le Conseil supérieur de l'audiovisuel décide de mettre en demeure Sud Radio pour « propos discriminatoires »[15]. Sud Radio met aussitôt à pied Éric Mazet[16], remplacé dès le par Laurence Peraud pour animer la tranche 16 h - 18 h aux côtés de Michel Cardoze. Un article de fond des Inrockuptibles sur l'affaire dévoile que « Au fil des années, la radio est passée d’une cinquantaine à une grosse dizaine de journalistes »[17].

Ces polémiques conduisent les Chevaliers du Fiel, duo d'humoristes stars, à quitter la radio. « Le différend porte sur l'état d'esprit de la nouvelle ligne éditoriale de la radio, à savoir une libre antenne avec les dérapages que cela induit. On est contre le fait qu'il se dise n'importe quoi à l'antenne. Artistiquement, cette ligne n'est pas tenable et nous ne voulons pas assumer », explique Éric Carrière au journal La Dépêche du Midi[18].

2011-2013 : processus de vente de la radio[modifier | modifier le code]

Au printemps 2012, après avoir constaté et admis son échec dans le domaine de la radio généraliste, Jean-Éric Valli décide de vendre Sud Radio. Au mois de novembre, des négociations exclusives avec Marc Laufer (ex-directeur général de NextRadioTV) sont ouvertes pour le rachat de la station[19].

Le , Sud Radio Groupe annonce avoir mis un terme aux négociations avec Marc Laufer[20], ce dernier ayant modifié « substantiellement et unilatéralement l'offre qui lui avait permis d'entrer en négociations exclusives ». Marc Laufer se dit toujours « intéressé par le dossier », alors qu'en parallèle et selon le Figaro, Bernard Tapie, avec La Dépêche du Midi, pourrait participer à l'appel à candidature[21].

Le , le CSA valide finalement la cession de la radio au groupe Fiducial[22].

Le , la vente de Sud Radio à Fiducial medias par Sud radio groupe pour un montant de 7 millions d'euros est validée par le CSA[9].

A cette occasion, Fiducial Médias a pris l'engagement de « renforcer et préciser les stipulations conventionnelles relatives à la part maximale du temps d’antenne consacrée à la musique au regard des autres programmes, notamment d’information et de divertissement, ainsi qu’à la place accordée au rugby dans les programmes, et pour la convention de catégorie B du service Sud Radio, aux horaires de diffusion des informations et rubriques du programme régional »[9].

2013-2016 : nouvelle approche éditoriale[modifier | modifier le code]

Une attention particulière est portée au rugby afin que ce sport, historiquement lié à Sud Radio, soit valorisé et soutenu à l'antenne[23],[24].

En , Bruno Dubois rejoint Sud Radio en qualité de directeur de l'antenne[25]. Le , Patrick Roger devient le directeur général de la radio. La nouvelle grille, lancée le , est marquée par l'arrivée de Brigitte Lahaie, de 14 h à 16 h, après son départ de RMC, ainsi que de Valérie Expert, André Bercoff, Jacques Pessis, Jean-Luc Petitrenaud, Philippe Verdier, Alain Marty ou Nathalie Shraen-Guirma. Les émissions sont produites depuis les studios parisiens et réalisées depuis les studios toulousains durant toute la saison 2016-2017 — seuls les flashs et journaux sont produits à Toulouse.

2017 : la radio devient totalement parisienne[modifier | modifier le code]

Le , Sud Radio diffuse à 19 h son dernier journal depuis ses locaux de Toulouse. Dès lors, plus un seul salarié ne travaille à cet endroit, des licenciements ayant été prononcés[26],[27].

Positionnements et controverses[modifier | modifier le code]

À partir de 2011, puis en 2019, la radio est accusée de pencher fortement vers l'extrême droite et de soutenir des théories complotistes, ce qui lui vaut des controverses de la part de différents observateurs et médias, comme Acrimed, Conspiracy Watch, L'Obs, France-Soir[28],[29].

Selon la journaliste et humoriste belge Charline Vanhoenacker, les médias français sont complaisants avec l'extrême droite et banalisent les idées de Marine Le Pen, « surtout ceux comme Sud Radio dont les théories d’Alain Soral sont le fonds de commerce »[30],[31]. Selon le mensuel CQFD, la radio diffuse des « discours identitaires féroces » et banalise les idées d'extrême droite : André Bercoff, noyau dur de la radio et « collaborateur des sites fachosphériques », « distille à longueur d’ondes les thèses favorites de l’extrême droite »[32],[33]. En 2017, Christian Latouche, propriétaire et dirigeant de Fiducial, perd un procès en diffamation contre Pierre Haski, directeur de la publication de Rue89, à la suite d'un article rapportant que « (ses) idées politiques radicales flirtent avec celles de l’extrême droite »[34],[35].

Le , Rokhaya Diallo porte plainte contre une auditrice de la station qui avait proféré des injures racistes à son encontre, lors de l'émission Les Vraies voix, sans que Philippe Bilger, Céline Pina, le psychologue Jean Doridot, présents lors de l'émission, ni le présentateur Philippe Rossi n'interviennent pour réagir et condamner les propos tenus. Au contraire, Philippe Bilger, ironisant, déclare : « Attention, Danièle Obono va vous tomber dessus ». Le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) indique s'être saisi de l'affaire[36].

Sud Radio est également controversée pour sa couverture de la pandémie de Covid-19. Selon le magazine Capital, elle « donne largement la parole aux « rassuristes » qui minimisent l’épidémie et ses conséquences ». La plateforme YouTube retire ainsi une vidéo de décembre 2020 pour diffusion d'informations médicales inexactes, fausses ou trompeuses, lors d'une interview de Christian Perronne[37] — invité régulier de la station — et menace de supprimer le compte de la radio[38].

Pendant la pandémie, Sud Radio participe à la « diffusion du covido-complotisme » en relayant le « monde parallèle » de la désinformation composé de « complotistes » et de médecins et scientifiques controversés ou « rassuristes », tels Christian Perronne et Louis Fouché, ainsi que la généticienne Alexandra Henrion-Caude, désavouée par l'Inserm[39],[40]. En avril 2021, en raison du relais par la radio de nombreuses théories complotistes, YouTube supprime certaines vidéos dans le cadre de la lutte contre les escroqueries ou les fausses informations, et menace de supprimer totalement la chaîne YouTube de Sud Radio pour diffusion de fausses informations[38],[41],[42],[43],[44].

En 2022, Sud Radio embauche Jean-Jacques Bourdin après son éviction de BFM Radio et de RMC après des accusations d'agression sexuelle[45].

En 2023, l'Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (ARCOM) adresse à la radio une nouvelle mise en demeure, cette fois en raison des propos racistes tenus l'année précédente à l'antenne dans l'émission d'André Bercoff[46] sans contradiction de l'interviewer et même « en approuvant une partie des propos tenus » par l'écrivain d'extrême droite identitaire Renaud Camus[40].

En mars 2023, Libération constate que l'ensemble des intervenants d'André Bercoff proviennent des milieux d'extrême-droite ou complotistes[40].

1 ans plus tard, elle est également accusée avec le groupe Bolloré de favoriser les relais pro-russes du Kremlin dans la guerre en Ukraine qui se déroule depuis le 24 février 2022[47].

Identité de la station[modifier | modifier le code]

Logos[modifier | modifier le code]

Slogans[modifier | modifier le code]

  • « Apprendre et comprendre » (2014)
  • « Prenez la parole » (2017)
  • « Parlons vrai » (2018)

Groupements[modifier | modifier le code]

Sud Radio est membre des Indés Radios et du Syndicat des radios indépendantes (SIRTI)[48].

Équipes[modifier | modifier le code]

Programmation[modifier | modifier le code]

De janvier à , Claude Hemmer dirige les programmes de Sud Radio. Puis, sous la direction de Didier Maïsto, le rédacteur en chef Christophe Bordet pilote la grille et les orientations éditoriales[49],[50].

Sud Radio consacre alors une part importante de son antenne au sport[51].

À partir de l'hiver 2019-2020, Sud Radio devient le nouveau partenaire radio du e-Trophée Andros, 31e édition de la course automobile qui passe au tout électrique[52].

Diffusion[modifier | modifier le code]

La zone de diffusion de Sud Radio en FM couvre 31 départements, issus des six régions suivantes : Nouvelle-Aquitaine, Auvergne-Rhône-Alpes, Occitanie, Île-de-France , Provence-Alpes-Côte d'Azur, Corse et Monaco[53]. Elle est également diffusée en DAB+ dans les principales grandes villes.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Histoire de Sud Radio : 1958 », sur 100ansderadio.free.fr
  2. https://museus.ad/fr/monuments/sud-radio
  3. http://www.radioscope.fr/dossier/sud-andorre/index.htm
  4. https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000006428646/2024-03-16
  5. Le Monde, « Sud-Radio vendue au groupe Fabre », Le Monde,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  6. « SchooP », sur schoop.fr (consulté le ).
  7. Le Monde, « RADIOS SATELLITES Des stations venues du ciel », Le Monde,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  8. (en) « Régie publicitaire de SUD Radio », sur urgencemedia.com (consulté le ).
  9. a b et c « Cession des stations Sud Radio et Wit FM à la société Sudporters », sur Conseil supérieur de l'audiovisuel,
  10. Sud Radio dans l'orbite des indépendants, sur Stratégies.fr
  11. Le Nouvel Observateur, Robert Ménard polémiquera bientôt sur Sud Radio, 22 juillet 2011
  12. Radio Actu, Sud Radio - La station met en place sa grille de rentrée et recrute Pascal Bataille, 17 août 2011
  13. Emmanuel Berretta, « « DSK et les juifs », le CSA examine le cas de Sud Radio », Le Point, .
  14. Emmanuel Berretta, « Affaire DSK : quand les auditeurs de Sud Radio dérapent », Le Point, .
  15. « « Lobby juif » : le CSA met en demeure Sud Radio », Le Monde, .
  16. Emmanuel Berretta, « DSK et les juifs » : Le CSA sanctionne Sud Radio pour « propos discriminatoires », Le Point, .
  17. « Sud radio: le dangereux business de l'auditeur en colère », Les Inrockuptibles, .
  18. « Toulouse. Les Chevaliers du Fiel claquent la porte de Sud Radio », La Dépêche du Midi, .
  19. « Sud Radio sur le point d'avoir trouvé un repreneur », Le Monde, .
  20. BFM TV, Marc Laufer ne rachètera pas Sud Radio, 14 février 2013
  21. Enguérand Renault, « Sud Radio convoitée par Tapie et La Dépêche », Le Figaro, .
  22. L'Opinion.fr - L'invisible Christian Latouche rachète Sud Radio et fait grossir son groupe de presse 8 septembre 2013
  23. « “Je ne veux pas de journalisme militant à l'antenne”, Didier Maïsto, président de Fiducial Médias (Sud Radio) », sur Télérama, (consulté le )
  24. Frédéric Brulhatour, « Le grand retour du rugby sur Sud Radio », sur La Lettre Pro de la radio, .
  25. Brulhatour, « Sud Radio : Bruno Dubois nommé directeur d'antenne », La Lettre Pro de la Radio & des Médias - La Puissance du Média Radio,‎ (lire en ligne, consulté le )
  26. « Sud Radio ferme définitivement ses locaux à Toulouse », sur technic2radio.fr, (consulté le ).
  27. Fabrice Valéry, « Pendant l’été, Sud Radio a quitté Toulouse : une dizaine de licenciements », Médias d'ici,‎ (lire en ligne, consulté le )
  28. « Sud Radio : Robert Ménard offre une tribune à Meyssan », sur Conspiracy Watch, (consulté le ).
  29. « Le complotiste Étienne Chouard animera une émission sur Sud Radio », France-Soir, (version du sur Internet Archive).
  30. « Les Terriens », ONPC, Radio France : Charline Vanhoenacker se lâche dans une interview au « Parisien », Les Inrockuptibles, (consulté le ).
  31. Benoît Daragon, « Charline Vanhoenacker : « Être premier, c’est le début des emmerdes » », Le Parisien, (consulté le ).
  32. « Sur Sud Radio, André Bercoff relance la théorie complotiste sur Mamoudou Gassama », L'Obs, (consulté le ).
  33. Jean-Sébastien Mora, « Depuis le nord, Sud Radio émet vers l'extrême droite », sur Acrimed, (consulté le )
  34. « Christian Latouche, l’homme qui a fait peur aux journalistes de L’Expansion », sur nouvelobs.com, L'Obs, (consulté le )
  35. « L’homme d’affaires Christian Latouche perd son procès contre Rue89 », sur nouvelobs.com, (consulté le )
  36. « Le CSA saisi après des injures racistes contre Rokhaya Diallo sur Sud Radio », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. « Réanimation, tests PCR, hydroxychloroquine : plusieurs déclarations du Pr Perronne sont fausses ou trompeuses », sur AFP Factuel, (consulté le ).
  38. a et b Jamal Henni, « Sud Radio dans le collimateur de YouTube », Capital, (consulté le ).
  39. « Vrai ou Fake : voyage dans la galaxie des complotistes en temps de Covid », sur France Info, (consulté le ).
  40. a b et c Maxime Macé et Pierre Plottu, « André Bercoff, le complotisme à micro ouvert », sur Libération (consulté le )
  41. « Covid-19. La chaîne YouTube de Sud Radio menacée de suppression ? », Ouest-France, .
  42. « Chronique des médias - Hold-up sur l’infodémie », sur Radio France internationale, (consulté le ).
  43. « Covid-19 : une surmortalité « relativement faible » même chez les plus de 65 ans, vraiment ? », sur LCI, (consulté le ).
  44. Jamal Henni, « Renaud Camus, Étienne Chouard… ces polémistes qui remplissent les caisses de Sud Radio », Capital, (consulté le )
  45. Sacha Nelken, « Evincé de BFM et RMC après des accusations d’agression sexuelle, Jean-Jacques Bourdin rebondit à Sud Radio », sur Libération (consulté le )
  46. « Carton jaune du régulateur à Sud Radio pour des propos racistes dans l'émission d'André Bercoff », sur LEFIGARO, (consulté le )
  47. https://www.liberation.fr/politique/la-russie-a-ses-medias-en-france-20240315_EHISPHIRXRGHJOHGDE45GO2PWE/
  48. « Les Indés Radios au 1er décembre 2019 », sur les indesradios.fr (consulté le ).
  49. « Sud Radio est de retour », La Lettre Pro de La Radio, no 60,‎
  50. Jean-Charles Verhaeghe, « Sud Radio est de retour », sur lalettre.pro.
  51. « Sud Radio - « Rugby et Compagnie » revient sur la station », Radioactu,‎ (lire en ligne).
  52. Brulhatour, « Sud Radio nouveau partenaire du trophée Andros », sur lalettre.pro, (consulté le ).
  53. « Fréquences », sur Sud Radio (consulté le )

Annexes[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]