Sonate K. 270 — Wikipédia
Sonate K. 270 ut majeur — , 116 mes. ⋅ K.269 ← K.270 → K.271 ⋅ L.458 ← L.459 → L.460 ⋅ P.480 ← P.481 → P.482 ⋅ F.217 ← F.218 → F.219 — ⋅ V 4 ← Venise V 5 → V 6 ⋅ VI 22 ← Parme VI 23 → VI 24 ⋅ III 28 ← Münster III 29 → III 30 |
La sonate K. 270 (F.218/L.459) en ut majeur est une œuvre pour clavier du compositeur italien Domenico Scarlatti.
Présentation[modifier | modifier le code]
La sonate K. 270, en ut majeur, dont aucune des sources n'indique de mouvement, répète la formule rythmique
pendant toute l'œuvre, avec de grands déplacements à la main gauche[1].
Le manuscrit principal est le numéro 5 du volume V de Venise (1753), copié pour Maria Barbara ; les autres sont Parme VI 23, Münster III 29 et Vienne E 27[2].
- Parme VI 23.
- Venise V,5.
- Venise V,5 (fin de la première partie).
Interprètes[modifier | modifier le code]
La sonate K. 270 est défendue au piano, notamment par Michelangelo Carbonara (2010, Brilliant Classics), Carlo Grante (2012, Music & Arts, vol. 3) et Sergio Monteiro (2019, Naxos, vol. 23) ; au clavecin par Scott Ross (1985, Erato)[3], Richard Lester (2001, Nimbus, vol. 2) et Pieter-Jan Belder (Brilliant Classics).
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Chambure 1985, p. 203.
- Kirkpatrick 1982, p. 467.
- Victor Tribot Laspière, « Au Château d’Assas, sur les traces de Scott Ross et de Scarlatti », sur France Musique, (consulté le )
Sources[modifier | modifier le code]
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- Ralph Kirkpatrick (trad. de l'anglais par Dennis Collins), Domenico Scarlatti, Paris, Lattès, coll. « Musique et Musiciens », (1re éd. 1953 (en)), 493 p. (ISBN 978-2-7096-0118-4, OCLC 954954205, BNF 34689181).
- Alain de Chambure, « Domenico Scarlatti : Intégrale des sonates — Scott Ross », Erato (2564-62092-2), 1985 (OCLC 891183737).