Société des avions Michel Wibault — Wikipédia

Société des Avions Michel Wibault
Création 1919
Disparition 1934
Fondateurs Michel Wibault
Siège social Billancourt
Drapeau de la France France
Activité Construction aéronautique
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Wibault 3

La Société des Avions Michel Wibault a été créée en 1919 par Michel Wibault (1897-1963)[1]. Ses ateliers de construction étaient installés à Billancourt.

Historique[modifier | modifier le code]

Dans les années 1920, Wibault installe une usine de production d'hydravions à Bouguenais, dans la région nantaise.

En 1931 Michel Wibault s'associe avec les Chantiers de Penhoët localisés à Saint-Nazaire. La société est ainsi renommée Wibault-Penhoët[2].

En 1934, Wibault-Penhoët est absorbée par la société Breguet[3]. En 1936, l'industrie aéronautique est nationalisée : les ateliers Breguet présents en Loire-Atlantique sont fusionnés au sein de la SNCAO.

Types d'appareils produits[modifier | modifier le code]

Avions produits par Wibault[4]
Type Année Rôle
1 1918 Chasseur
2[5] 1921 Bombardier
3[6] 1923 Chasseur
7[7] 1924 Chasseur
8 "Simoun"

[8]

1926 Chasseur
9[9] 1926 Chasseur
10[10] 1926 Chasseur
12 "Sirocco"[11] 1926 Chasseur
72[12] 1928 Chasseur
73 1927 Chasseur dérivé du 72 réalisé pour le Paraguay
74 1930 Chasseur embarqué sur porte-avions
75 1930 avion de reconnaissance embarqué sur porte-avions dérivé du 74
121 "Sirocco"[13] 1926 Reconnaissance
122[14] 1928 Chasseur
123 1927 Reconnaissance
124 1929 Observation
125 1930 Reconnaissance
130 "Trombe"[15] 1928 Chasseur
170 "Tornade"[16] 1928 Chasseur
210[17] 1929 Chasseur
220[18] 1930 Reconnaissance
240 1933 Hydravion Transport
260[19] 1930 Reconnaissance
280T[20] 1930 Transport civil
282T[21] 1931 Transport civil
283T[22] 1934 Transport civil
313 1932 Chasseur
360T5[23] 1931 Transport civil
362 1933 Transport civil
365[24] 1933 Transport civil
366 1934 Transport civil
367 1934 Transport civil
368 1937 Avion de records

Références[modifier | modifier le code]

  1. ↑ « jetb.net/4710.html »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
  2. ↑ LES PIONNIERS DE L'AVIATION - MICHEL WIBAULT
  3. ↑ [https://www.letelegramme.fr/ar/viewarticle1024.php?aaaammjj=20051125&article=11061975&type=ar Aéronautique. Une grande histoire en Loire-Atlantique © Le Télégramme https://www.letelegramme.fr/ar/viewarticle1024.php?aaaammjj=20051125&article=11061975&type=ar#sdmzd0pXPqm5kKKf.99]
  4. ↑ « Avions Wibault - Aviation française », sur aviafrance.com (consulté le ).
  5. ↑ « Les avions Wibault », L'Aéronautique, no 30,‎ , p. 476-477 (lire en ligne)
  6. ↑ « Les avions Wibault », L'Aéronautique, no 30,‎ , p. 477 (lire en ligne) ; « L'avion 3C-1 Michel Wibault », L'Aéronautique, no 43,‎ , p. 420 (lire en ligne)
  7. ↑ « L'avion M. Wibault 7C 1 », L'Aéronautique, no 67,‎ , p. 101-103 (lire en ligne) ; « L'avion M. Wibault 7C 1 », L'Aéronautique, no 67,‎ , p. 108 (lire en ligne); « Le monoplan métallique Wibault », L'Aéronautique, no 73,‎ , p. 213 (lire en ligne) ; « Trains d’atterrissage et systèmes amortisseurs », L'Aéronautique, no 91,‎ , p. 412 (lire en ligne) ; « Société anonyme des avions Michel Wibault », L'Aéronautique, no 109,‎ , p. 198 (lire en ligne) ; « Répertoire commercial, Avions Michel Wibault, Avion Wibault 70 C 1 », L'Aéronautique, nos 122-123,‎ , p. 24 (lire en ligne)
  8. ↑ « Le biplace métallique Wibault 8 C-2 », L'Aéronautique, no 85,‎ , p. 215 (lire en ligne) ; « Avions militaires biplaces et multiplaces », L'Aéronautique, no 106,‎ , p. 80 (lire en ligne)
  9. ↑ « Le Wibault 9, totalement métallique », L'Aéronautique, no 80,‎ , p. 20 (lire en ligne)
  10. ↑ « Avions militaires biplaces et multiplaces », L'Aéronautique, no 106,‎ , p. 80 (lire en ligne)
  11. ↑ « Le biplace de chasse et de reconnaissance Wibault 12 C 2 », L'Aéronautique, no 101,‎ , p. 331 (lire en ligne) ; « Avions militaires biplaces et multiplaces », L'Aéronautique, no 106,‎ , p. 80 (lire en ligne)
  12. ↑ « Aviation militaire. Monoplace de chasse. Wibault-Penhoet 72 », L'Aéronautique, no 151,‎ , p. 419 (lire en ligne) ; « Tenue d'un avion métallique dans une collision en vol », L'Aéronautique, no 160,‎ , p. 296 (lire en ligne)
  13. ↑ « Société anonyme des avions Michel Wibault », L'Aéronautique, no 109,‎ , p. 198 (lire en ligne) ; « Répertoire commercial, Avions Michel Wibault, Avion Wibault 121 », L'Aéronautique, nos 122-123,‎ , p. 25 (lire en ligne)
  14. ↑ « Wibault 122 Napier », L'Aéronautique, no 107,‎ , p. 114 (lire en ligne)
  15. ↑ « Le Wibault léger "Trombe" », L'Aéronautique, no 106,‎ , p. 79 (lire en ligne)
  16. ↑ « L'avion monoplace Wibault 170 C1 », L'Aéronautique, no 109,‎ , p. 211 (lire en ligne) ; « Société anonyme des avions Michel Wibault », L'Aéronautique, no 109,‎ , p. 198 (lire en ligne)
  17. ↑ « Le monoplace léger Wibault 210 C-1 », L'Aéronautique, no 120,‎ , p. 142-143 (lire en ligne)
  18. ↑ « Le bimoteur de reconnaissance Wibault 220 R.N. 3 », L'Aéronautique, no 134,‎ , p. 244-246 (lire en ligne)
  19. ↑ « Croquis de structure du Wibault 260 R. 2 », L'Aéronautique, no 139,‎ , p. 488 (lire en ligne)
  20. ↑ « Le trimoteur de transport Wibault 280 T. 10 », L'Aéronautique, no 139,‎ , p. 487-488 (lire en ligne)
  21. ↑ « Le monomoteur Wibault-Penhoet 282 T.13 », L'Aéronautique, no 163,‎ , p. 398 (lire en ligne) ; « Transport aérien. Trimoteur. Wibault-Penhoet 282 T.13 », L'Aéronautique, no 163,‎ , p. 392 (lire en ligne) ; « Chantiers aéronautiques Wibault-Penhoet », L'Aéronautique, no 175,‎ , p. 314 (lire en ligne)
  22. ↑ « Éléments de structure du Wibault-Penhoet 283 », L'Aéronautique, no 175,‎ , p. 315 (lire en ligne) ; « Chantiers aéronautiques Wibault-Penhoet », L'Aéronautique, no 175,‎ , p. 314 (lire en ligne) ; « Éléments du Wibault 283 T.12 », L'Aéronautique, no 187,‎ , p. 294 (lire en ligne)
  23. ↑ « Le Wibault-Penhoet 360 t.5 », L'Aéronautique, no 151,‎ , p. 418 (lire en ligne) ; « Nouveaux appareils français de moyenne puissance. Le Wibault-Penhoet 360 T.5 », L'Aéronautique, no 153,‎ , p. 53 (lire en ligne)
  24. ↑ « Le monomoteur Wibault-Penhoet 365 T.7 », L'Aéronautique, no 163,‎ , p. 398 (lire en ligne) ; « Transport aérien. Monomoteur. Wibault-Penhoet 365 T.7 », L'Aéronautique, no 163,‎ , p. 392 (lire en ligne)

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