Serres-Morlaàs — Wikipédia

Serres-Morlaàs
Serres-Morlaàs
La mairie de Serres-Morlaàs.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes du Nord-Est Béarn
Maire
Mandat
Pierre Bregegere
2020-2026
Code postal 64160
Code commune 64520
Démographie
Gentilé Serres-Morlanais
Population
municipale
842 hab. (2021 en augmentation de 9,35 % par rapport à 2015)
Densité 201 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 19′ 39″ nord, 0° 15′ 24″ ouest
Altitude Min. 245 m
Max. 349 m
Superficie 4,19 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Pau
(banlieue)
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pays de Morlaàs et du Montanérès
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Serres-Morlaàs
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Serres-Morlaàs
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Voir sur la carte topographique des Pyrénées-Atlantiques
Serres-Morlaàs
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Serres-Morlaàs
Liens
Site web https://www.serres-morlaas.fr

Serres-Morlaàs (prononcé [sɛʁ mɔʁlas] ; en béarnais Sèrra-Morlaàs ou Sèrre-Mourlaàs) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Serres-Morlanais[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune de Serres-Morlaàs se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 11 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à 2,9 km de Morlaàs[4], bureau centralisateur du canton du Pays de Morlaàs et du Montanérès dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Pau[2].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Morlaàs (2,0 km), Ouillon (2,6 km), Sendets (3,3 km), Andoins (3,4 km), Saint-Jammes (3,5 km), Maucor (3,8 km), Ousse (5,0 km), Buros (5,1 km).

Sur le plan historique et culturel, Serres-Morlaàs fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

Communes limitrophes de Serres-Morlaàs[7]
Morlaàs
Serres-Morlaàs
Sendets

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Serres-Morlaàs.

La commune est drainée par le Luy de Béarn, la Gouttere de Babachette, le Lannot et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 4 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Le Luy de Béarn, d'une longueur totale de 76,6 km, prend sa source dans la commune d'Andoins et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Luy à Gaujacq, après avoir traversé 30 communes[9].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 183 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bénéjacq à 15 km à vol d'oiseau[13], est de 13,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 244,1 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[17],[18],[19].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Serres-Morlaàs est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[20],[21],[22]. Elle appartient à l'unité urbaine de Pau, une agglomération intra-départementale regroupant 55 communes[23] et 204 037 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[24],[25].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[26],[27].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (69,4 %), zones urbanisées (25,1 %), zones agricoles hétérogènes (5,4 %), forêts (0,1 %)[28]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

  • Église ;
  • Marque Dehens ;
  • Labernade.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les routes départementales 38 et 538. On compte également une aire d'autoroute (A64) située à quatre kilomètres au sud de Serres-Morlaàs qui porte le nom du village.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Serres-Morlaàs est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[29]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[30].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Luy du Béarn. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993 et 2009[31],[29].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Serres-Morlaàs.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[32]. Aucune partie du territoire de la commune n'est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 3]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[33].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Serres-Morlaàs apparaît sous les formes Serre-Morlaas (1385[34], censier de Béarn[35]) et Serra-Morlas (vers 1540[34], réformation de Béarn[36]).

Serres : du béarnais serre « mamelon peu élevé, croupe de collines, colline souvent de forme allongée »[37] provenant d'un terme pré-indo-européen ou au moins prélatin serra « montagne allongée[38], crête en dos d'âne ».

Son nom béarnais est Sèrra-Morlaàs[39] ou Sèrre-Mourlaàs[40].

Histoire[modifier | modifier le code]

Paul Raymond[34] note qu'en 1385, Serres-Morlaàs comptait cinq feux et dépendait du bailliage de Pau.

La commune faisait partie de l'archidiaconé de Vic-Bilh, qui dépendait de l'évêché de Lescar et dont Lembeye était le chef-lieu[34].

Serres-Morlaàs est la terre natale de Emma Sarthou, mère de François Bayrou, candidat à la présidentielle de 2007. Son grand-père est un ancien maire du village.

Les Hospitaliers[modifier | modifier le code]

La commune était un membre de la commanderie des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem de Caubin et Morlaàs[34].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires de Serres-Morlaàs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2008 Paul Cayrat    
2008 2020 Stéphane Pedeboy    
2020 En cours Pierre Brégégère    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Serres-Morlaàs fait partie de quatre structures intercommunales[41] :

  • la communauté de communes du Nord-Est Béarn  ;
  • le syndicat AEP de la région de Jurançon ;
  • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat mixte des transports urbains Pau - Porte des Pyrénées.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[43].

En 2021, la commune comptait 842 habitants[Note 6], en augmentation de 9,35 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
208197221256308295309314325
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
303319320279320317316301319
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
281278263233231230219200242
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
222282382525554639679685727
2017 2021 - - - - - - -
783842-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee à partir de 2006[45].)
Histogramme de l'évolution démographique

Serres-Morlaàs fait partie de l'aire urbaine de Pau.

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Église Saint-Martin de Serres-Morlaàs.

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Serres-Morlaàs présente un ensemble de demeures et de fermes[46] du XIXe siècle.

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Martin[47] fut construite au XIXe siècle. Elle recèle du mobilier[48], des objets[49] et des verrières[50] référencés à l'inventaire général du patrimoine culturel.

Équipements[modifier | modifier le code]

Transports urbains[modifier | modifier le code]

Serres-Morlaàs est desservie par le réseau de transports en commun de Pau.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pierre-Marie Théas

À Serres-Morlaàs vit la famille de Pierre-Marie Théas, évêque de Montauban, qui s'illustra durant la Seconde Guerre mondiale.

À la suite de la rafle du Vel d’Hiv, il fit notamment lire à la messe du 30 août 1942 une lettre, aujourd’hui déposée au Yad Vashem à Jérusalem :

« des hommes et des femmes sont traités comme un vil troupeau et envoyés vers une destination inconnue avec la perspective des plus grands dangers. Je proclame que tous les hommes, aryens ou non aryens, sont frères (...) que tous les hommes, quelle que soit leur race ou leur religion, ont droit au respect des individus et des États ».

Interné à Toulouse et Compiègne en 1944, il eut un rôle national à la Libération, faisant le lien entre le général de Gaulle et le pape.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Serres-Morlaàs » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Gentilé sur habitants.fr
  2. a b et c « Métadonnées de la commune de Serres-Morlaàs », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Serres-Morlaàs et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Serres-Morlaàs et Morlaàs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches de Serres-Morlaàs », sur villorama.com (consulté le ).
  6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  7. Carte IGN sous Géoportail
  8. « Fiche communale de Serres-Morlaàs », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  9. Sandre, « le Luy de Béarn ».
  10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Orthodromie entre Serres-Morlaàs et Bénéjacq », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Benejacq » (commune de Bénéjacq) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Benejacq » (commune de Bénéjacq) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  17. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Serres-Morlaàs », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « Liste des ZNIEFF de la commune de Serres-Morlaàs », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Liste des espaces protégés sur la commune de Serres-Morlaàs », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  22. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Unité urbaine 2020 de Pau », sur insee.fr (consulté le ).
  24. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  25. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  26. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pau », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  29. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Serres-Morlaàs », sur Géorisques (consulté le ).
  30. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  31. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  32. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  33. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  34. a b c d et e Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
  35. Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
  36. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  37. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 194), , 676 p. (ISBN 978-2-600-00133-5, lire en ligne), n° 22294..
  38. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6)..
  39. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF] (consulté le ).
  40. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
  41. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  42. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  43. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  44. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  46. [1][2][3] Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur les demeures et fermes anciennes
  47. Ministère de la Culture, base Mériémée - Notice sur l'église Saint-Martin
  48. [4][5] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'église Saint-Martin
  49. [6][7] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les objets de l'église Saint-Martin
  50. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur les verrières de l'église Saint-Martin

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :