Sara Stridsberg — Wikipédia

Sara Stridsberg
Sara Stridsberg en 2012.
Fonction
Fauteuil 13 de l'Académie suédoise
-
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata (51 ans)
SolnaVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités
Autres informations
Membre de
Académie suédoise (-)Voir et modifier les données sur Wikidata
Personne liée
Sara Danius (collègue)Voir et modifier les données sur Wikidata
Distinctions
Œuvres principales
Drömfakulteten (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

Sara Stridsberg, née le à Solna, est une écrivaine et traductrice suédoise.

Biographie[modifier | modifier le code]

Son premier roman, Happy Sally, évoque Sally Bauer, la première Scandinave à avoir traversé la Manche à la nage.

En 2007, elle reçoit le grand prix de littérature du Conseil nordique pour son deuxième roman Drömfakulteten, une fiction évoquant Valerie Solanas, l'auteur du SCUM Manifesto, que Stridsberg a traduit en suédois.

En 2010 elle est invitée aux "assises internationales du roman" à Lyon, organisées par le journal Le Monde[1].

Elle en 2016 membre de l'Académie suédoise, elle démissionne en 2018 pour protester contre une agression sexuelle au sein de l'institution[2].

Œuvres[modifier | modifier le code]

Essai[modifier | modifier le code]

  • Juristutbildningen ur ett genusperspektiv , 1999
  • Det är bara vi som är ute och åker, 2002

Romans pour adultes[modifier | modifier le code]

Théâtre[modifier | modifier le code]

  • Valerie Solanas ska bli president i Amerika, 2006 - Valérie Jean Solanas va devenir Présidente de l'Amérique, 2010 (ISBN 9782234064027)
  • Medealand, 2009 - traduit en français sous le titre Medealand par Marianne Ségol-Samoy, Paris, L'Arche, 2011
  • Nelly Sachs kommer aldrig fram till havet , 2017
  • Dissekering av ett snöfall, 2012 - traduit en français sous le titre Dissection d'une chute de neige par Marianne Ségol-Samoy, Paris, L'Arche, 2021 (ISBN 9782381980256)

Nouvelles[modifier | modifier le code]

  • American Hotel, 2014

Romans pour enfants[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Parmi les écrivains invités... », Le Monde, no 2128,‎ 20 main 2010 (lire en ligne, consulté le )
  2. Marie-José Sirach, « Christine, la reine qui ne voulait pas être roi », sur humanite.fr, l'Humanité, (consulté le ).

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :