Saint-Lions — Wikipédia

Saint-Lions
Saint-Lions
Mairie de Saint-Lions.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Castellane
Intercommunalité Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière
Maire
Mandat
Madeleine Isnard
2020-2026
Code postal 04330
Code commune 04187
Démographie
Population
municipale
39 hab. (2021 en diminution de 23,53 % par rapport à 2015)
Densité 3,4 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 59′ 10″ nord, 6° 24′ 01″ est
Altitude Min. 739 m
Max. 1 589 m
Superficie 11,55 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Riez
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Lions

Saint-Lions est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Le nom de ses habitants est Saint-Lionnais[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte élémentaire montrant les limites de la commune, les communes voisines, les zones de végétation et les routes
Saint-Lions et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).
La montagne de Mouchon, vue du village. Ses flancs sont très érodés, et elle est en partie recolonisée par la forêt.

Le village est situé à 800 m d’altitude[2].

Les communes limitrophes de Saint-Lions sont Clumanc, Moriez, Barrême et Saint-Jacques.

Environnement, géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune compte 475 ha de bois et forêts, soit 41 % de sa superficie[1].

La commune est couverte par deux ZNIEFF (Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique)[3].

Le périmètre de protection de la Réserve naturelle géologique de Haute-Provence couvre également la commune de Saint-Lions.

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

L'accès au village s'effectue par la route départementale 319.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

La gare la plus proche est celle de Barrême, desservie par le chemin de fer de la ligne de Nice à Digne. Cette ligne est aussi connue sous le nom de « train des Pignes » qui a deux arrêts sur la commune, à l’arrêt facultatif de Gévaudan et à la gare de Barrême. Elle est au carrefour des RN 202, RN 85 et RD 4085, qui est l’ancienne RN 85 départementalisée. RN 85 et RD 4085 font partie de la route Napoléon.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-Lions est exposée à trois risques naturels[4] :

  • feu de forêt,
  • inondation,
  • mouvement de terrain.

La commune de Saint-Lions n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[5] ; aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[5] mais le Dicrim existe depuis 2011[6].

Sismicité[modifier | modifier le code]

Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Barrême auquel appartient Saint-Lions est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[7], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[4].

Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]

Cours d'eau sur la commune ou à son aval[8] :

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 941 mm, avec 6,7 jours de précipitations en janvier et 5,1 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Mure-Argens », sur la commune de La Mure-Argens à 10 km à vol d'oiseau[11], est de 9,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 891,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 37,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −21,9 °C, atteinte le [Note 1],[12],[13].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[14]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom actuel du village apparaît pour la première fois en 1141 (sancti Leontio)[16],[17] ; il est nommé d’après le nom de saint Léonce ou Léon, évêque de Fréjus au IVe siècle[17] sous sa forme occitane, qui a été francisée par la suite[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le village s’appelait autrefois Dauphin, et faisait partie de la communauté voisine de Barrême. Son église est donnée à l’abbaye Saint-Victor de Marseille au XIIIe siècle, ou selon les interprétations, à l’église Notre-Dame de Thorame[18]. Il devient un fief des Villeneuve au siècle suivant jusqu’à la Révolution[2].

En , le hameau de Saint-Lyons demande son détachement de Barrême, et devient une commune à part entière en [19]. La société patriotique de la commune y est créée pendant l’été 1792[20]. Toujours durant la Révolution, pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Lions-d’Asse[21].

La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. Ce n’est qu’en 1837 que le cadastre dit napoléonien de Saint-Lions est achevé[22].

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

Tourisme[modifier | modifier le code]

Commerces[modifier | modifier le code]

Le principal employeur de la commune est Terre et traditions, dont l’activité est la transformation de produits organiques en amendements. Elle emploie 7 salariés[23],[24].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1791   Henri Pascal[25]   plus ancien maire connu
         
mai 1945   Ernest Isnard[26]    
         
mars 1983[27] En cours Madeleine Isnard[28],[29] PCF Agricultrice

Budget et fiscalité 2016[modifier | modifier le code]

En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[30] :

  • total des produits de fonctionnement : 58 000 , soit 1 321  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 55 000 , soit 1 245  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 19 000 , soit 432  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 16 000 , soit 367  par habitant.
  • endettement : 36 000 , soit 809  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 20,60 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 8,45 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 32,95 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 58,73 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 20,25 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014[31].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Saint-Lions était membre, jusqu'en 2016, de la communauté de communes du Moyen Verdon ; depuis le , elle fait partie de la communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Lions est une commune rurale[Note 2],[32]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[33],[34]. La commune est en outre hors attraction des villes[35],[36].

La communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le avec effet le , regroupe désormais 41 communes. Cet établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi)[37].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (84,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (28,1 %), zones agricoles hétérogènes (13,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (10,6 %), terres arables (2,7 %)[38].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

En 2021, Saint-Lions comptait 39 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2004, 2009, 2014, etc. pour Saint-Lions). Depuis 2004, les autres chiffres sont des estimations.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
189197186229181200193192187
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
159163164163137147129123112
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1108674755867534027
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
272320285032434335
2014 2019 2021 - - - - - -
504139------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)

L’histoire démographique de Saint-Lions est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure toute la première moitié du XIXe siècle. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de baisse de la population de longue durée. Dès 1901, la commune enregistre la perte de plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1821[41]. Le mouvement de baisse arrive à un plancher dans les années 1970. Depuis, la population oscille entre trente et cinquante habitants.

Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Comme de nombreuses communes du département, Saint-Lions se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, il possède déjà une école qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu[42]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[43], ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent Saint-Lions[44] ; ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de Saint-Lions sont régulièrement scolarisées.

Santé[modifier | modifier le code]

Les professionnels de santé (médecin, Kinésitherapeute, infirmiers...) sont à Barrême, Senez.

Cultes[modifier | modifier le code]

Culte catholique, Paroisse du Verdon : église Saint-Laurent[45].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L’église paroissiale est sous le vocable de Saint-Laurent[46], qu’elle a repris après la période d’occupation par les chanoines qui l’avait placée sous la titulature de Saint-Léonce[18] date du XVIIe siècle, avec des travaux au XIXe siècle. La nef, qui ne compte que deux travées, est voûtée d’arêtes[46].
    • Son mobilier comporte une cloche de 1580[47], ornée d’une scène de la Présentation de Jésus au peuple, qui est l’ancienne cloche communale de Barrême[47].
  • Fontaine-lavoir, avec trois bassins rond, rectangulaire et ovale.
  • Monument aux morts.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Roger Brunet, « Canton de Barrême », Le Trésor des régions, consultée le 9 juin 2013
  2. a et b Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
  3. ZNIEFF terrestres de type II
  4. a et b Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 15 août 2012
  5. a et b Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 97
  6. Document, base Dicrim, consultée le 15 août 2012
  7. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
  8. L'eau dans la commune
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Saint-Lions et La Mure-Argens », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « La Mure-Argens », sur la commune de La Mure-Argens - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Station Météo-France « La Mure-Argens », sur la commune de La Mure-Argens - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  14. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  16. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne)., § 28459, p 1626
  17. a et b Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-442-5), p. 61.
  18. a et b Daniel Thiery, « Saint-Lions », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2011, mis à jour le 23 décembre 2011, consulté le 15 août 2012
  19. J.-F. Cruvellier, Histoire de Barrême, Société scientifique et littéraire des Basses-Alpes, p. 95.
  20. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 296-297.
  21. Jean-Bernard Lacroix, « Naissance du département », in La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 113.
  22. Alexeï Laurent, « Paysages ruraux de la première moitié du XIXe siècle dans le sud-est des Basses-Alpes », in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, XVIIIe-XXIe siècle, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains : Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. (ISBN 978-2-86004-016-7), p. 10.
  23. Chambre de commerce et d'industrie des Alpes-de-Haute-Provence, [1], consultée le 20 septembre 2012
  24. Site officiel de Terre et traditions, consulté le 20 septembre 2012
  25. Cruvellier, op. cit., p 95
  26. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
  27. verdon-info, « Saint Lions : nouveau mandat pour Madeleine ISNARD », sur verdon-info.net, Actualites locales Moyen et Haut Verdon..., (consulté le ).
  28. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Saint-Jurs à Soleihas (sic) (liste 7), consulté le 10 mars 2013
  29. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
  30. Les comptes de la commune
  31. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  32. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  33. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  34. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  35. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  36. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  37. Communauté de Communes Alpes Provence Verdon « Sources de Lumière » : Lancement du PLUi du Moyen Verdon.
  38. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  41. Christiane Vidal, Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes de Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle, t. 21, (lire en ligne), chap. 85, p. 287.
  42. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
  43. Labadie, op. cit., p. 16.
  44. Labadie, op. cit., p. 18.
  45. Saint Lions (Église paroissIale) - 04 Saint Lions Barrême
  46. a et b Françoise Reynier, « Église paroissiale Saint-Laurent », notice no IA04000483, base Mérimée, sur pop.culture.gouv.fr (Plate-forme ouverte du patrimoine), Ministère de la Culture, (consulté le ).
  47. a et b Françoise Reynier, « Cloche », notice no IM04000797, base Palissy, sur pop.culture.gouv.fr (Plate-forme ouverte du patrimoine), Ministère de la Culture, (consulté le ).