Rue du Pré-de-la-Bataille — Wikipédia

Rue du Pré-de-la-Bataille
Photographie numérique couleur d'une rue en enfilade.
Bas de la rue du Pré-de-la-Bataille en 2021.
Situation
Coordonnées 49° 26′ 45″ nord, 1° 04′ 38″ est
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Ville Rouen
Quartier(s) Pasteur-Madeleine
Début Avenue du Mont-Riboudet
Fin Rue Prosper-Soyer
Morphologie
Type Rue
Forme Linéaire
Longueur 390 m
Largeur 14 m
Superficie 5 460 m2
Histoire
Création
Anciens noms rue du Champ-de-Foire

Carte

La rue du Pré-de-la-Bataille est une voie publique de la commune française de Rouen. Située dans la partie ouest de la ville, elle appartient au quartier Pasteur-Madeleine. Rectiligne et longue de 390 m, elle est perpendiculaire à la rive droite de la Seine.

Son nom témoigne du souvenir d'un lieu d'une bataille médiévale survenue vers 934 entre les chefs normands Guillaume Longue-Épée et Riulf dans un pré à l'entrée de la ville. L'endroit, constitué de prairies, devient un lieu-dit dénommé Pré de la Bataille. Au XVIIIe siècle, il devient un champ de foire, longé par une rue, que le conseil municipal de Rouen décide de nommer en 1833 rue du Pré-de-la-Bataille.

Cet odonyme est très particulier ; en effet, l'esprit humaniste du XIXe siècle évoque parfois les valeurs médiévales mais ce n'est qu'exceptionnellement qu'il choisit un nom de lieu.

La rue double en longueur et s'urbanise durant le XIXe siècle ; plusieurs usines et ateliers s'y installent. Au XXIe siècle, la rue du Pré-de-la-Bataille est essentiellement bordée d'immeubles de bureaux et de commerces dans sa partie sud et majoritairement d'immeubles d'habitation dans sa partie nord. Une association homonyme y a son siège. Après avoir eu un rôle social important à la fin du XIXe siècle, elle est dévolue au XXIe siècle à l'insertion des personnes handicapées mentales.

Situation et accès[modifier | modifier le code]

La rue du Pré-de-la-Bataille est située à Rouen. Elle se trouve en lieu et place de l'ancien lieu-dit Pré de la Bataille, qui constitue plus tard une portion du faubourg Cauchoise[1]. Elle appartient désormais au quartier Pasteur-Madeleine[2].

Légèrement ascendante et parfaitement rectiligne, cette rue est longue de 390 m. Son orientation sud-sud-ouest - nord-nord-est la rend perpendiculaire à la rive droite de la Seine. Elle débute à l'intersection de l'avenue du Mont-Riboudet[N 1], qui est orientée comme le fleuve, et se termine rue Prosper-Soyer où elle forme un angle droit avec cette dernière[N 2]. Les voies qui la joignent lui sont perpendiculaires. Il s'agit de la rue Émile-Leudet, la rue de Constantine, la rue du Contrat-social et la rue Pillore[N 3].

Origine du nom[modifier | modifier le code]

Le nom de la rue du Pré-de-la-Bataille provient du lieu d'un affrontement survenu vers 934. Cette bataille se déroule dans un pré aux portes de la ville[3] entre les Normands de Guillaume Longue-Épée et ceux menés par Riulf, comte du Cotentin[4],[5].

Historique[modifier | modifier le code]

Bataille médiévale[modifier | modifier le code]

Vers 934[N 4], le chef des Normands de la Seine et comte de Rouen, Guillaume Longue-Épée, s'allie aux Francs par des mariages. Se constitue alors un parti contre l'étranger. Il est mené par Riulf — d'ascendance également scandinave —, comte du Cotentin, à la tête de quelques autres barons normands. À leurs yeux, le jarl contracte des mésalliances telles que des étrangers risquent de s'introduire à la Cour et au Conseil, ou de les dépouiller de leurs biens[6]. Guillaume Longue-Épée, encouragé par Anslech de Bricquebec, Bernard le Danois et Bothon, comte du Bessin, est alors contraint de s'opposer avec 300 soldats à une armée de plusieurs milliers d'hommes. Il les affronte dans un pré, au pied du Mont-aux-Malades et des murs de la ville de Rouen, et en ressort vainqueur[3],[7],[8],[6].

Émergence du lieu-dit[modifier | modifier le code]

Gravure noir et blanc d'un ouvrage. Chevalier couronné à cheval brandissant une longue épée sur un champ de bataille où se trouvent des soldats.
Guillaume Longue-Épée affronte Riulf sur le futur lieu-dit Pré de la Bataille. c. 1866.

Dès 1020-1029, Dudon de Saint-Quentin atteste des combats et témoigne de la présence d'un pré sur le lieu de la bataille : « Locus autem, in quo bellum mirabile fuit, dicitur usque in præsentem diem ad Pratum-Belli[9]. » (L'endroit même où eut lieu cette incroyable bataille est appelé encore aujourd’hui « Pré de la Bataille »[N 5].)

Un peu plus d'un siècle plus tard, en 1160-1170, Wace dans son Roman de Rou rapporte les faits et assure de la pérennité du nom du lieu où ils se sont déroulés :

« 

Mult en murut el champ a dolur e a hunte,
Tant en neia en Seigne, que nuls n'en set le cunte,
[…]
De treis cenz cheualiers, que Willeame mena,
Ceo fu la vertu Deu, vn sul mort n'i laissa,
[…]
Grant ioie out a Roem, quant Riulf fu matez,
[…]
Li prez de la bataille fu li lieu[s] apelez ;
Encor dure li nuns, ne fu puis remuez[10].

 »

« Beaucoup moururent de douleur et de honte sur le champ ;

Il s'en noya tant dans la Seine, que nul n'en sut le compte,
[…]
Des trois cents chevaliers, que Guillaume Longue-Épée mena,
Ce fut la volonté de Dieu, il n'y laissa aucun mort,
[…]
La joie fut grande à Rouen, quand Riulf fut vaincu,
[…]
Le lieu fut appelé le Pré de la Bataille ;

Encore de nos jours, il ne fut point changé[N 6]. »

Ainsi, à la suite de l'événement, ce pré devient un lieu-dit et prend le nom Pré de la Bataille durant plusieurs siècles[12],[13],[5],[14]. Il s'étend alors à l'ouest de Rouen, d'une part du pied des hauteurs de Saint-Gervais à la Seine, et de l'autre des remparts de Rouen à la vallée d’Yonville[15],[16],[N 7].

Jusqu'en 1419, selon Jean Oursel, la porte du Pré existe telle que « par cette porte on alloi au Pré de la Bataille, pour les lavandières[19]. » Cette porte mène à des prairies au-dessous du couvent des Jacobins[19]. Le roi d'Angleterre, Henri V, victorieux après le siège de Rouen s'octroie en 1420 « un espace considérable qui étoit sur le bord de la Seine, à côté de la porte du Pré de la Bataille[20] » et y érige une tour dénommée Mal s'y frotte, premier élément du Vieil-Palais[20],[21],[22].

En 1520, le Pré de la Bataille et le clos Saint-Marc[N 8] sont tous les deux pressentis pour accueillir un hôpital[25]. En effet, les linges des pestiférés, comme ceux des autres malades, sont transportés au quai du Pré de la Bataille, où l'Hôtel-Dieu possède une lavanderie[26].

En 1731, il est fait mention d'une porte nommée Pré-de-la-Bataille. En réalité, ce n'est pas une porte de la ville mais une fausse porte[27],[28],[N 9].

Rue homonyme[modifier | modifier le code]

Carte postale en noir et blanc. Voitures attelées sur une place bordée de maisons et d'immeubles.
Une extrémité de la rue du Pré-de-la-Bataille vers 1905.

Ainsi, initialement, selon les cartes jusqu’au XVIIIe siècle, le lieu est celui de prairies. Le une partie devient le champ de foire aux boissons dévolu aux marchands de cidres et de poirés[30],[31]. Cet espace est mentionné par le conseil municipal de Rouen le 12 frimaire an X ()[32]. Ce n'est que sur un plan de 1817 qu'une voie dénommée rue du Champ-de-Foire borde sa longueur nord[33]. Il est possible qu'elle existe auparavant, ainsi que l'atteste le cadastre napoléonien ordonné en 1807[34], toutefois pour Rouen, le levé n'est pas daté[35]. Puis ce nom cède la place pour s'inscrire sur une nouvelle voie bordant la largeur nord[36].

Durant la même séance, ayant ainsi libéré une appellation, et le lieu restant dans la mémoire collective, le , le conseil municipal

« arrête, […] la rue longeant le champ de foire, depuis le boulevard du Mont-Riboudet jusqu'à son extrémité nord, d'après les plans de la ville, prendra le nom de rue du Pré-de-la-Bataille[36] […] »

Cette décision est remarquable car, ainsi que l'indique Pierre-Henri Billy, les odonymes « formés à l'époque contemporaine pour rappeler des lieux médiévaux, […] sont rarissimes, tels la rue du Pré-de-la-Bataille[37][…] ». Cela peut être expliqué par le fait que, selon François Guillet, « en Normandie, dès les années 1800, érudits et notables […] se lancent dans la construction d'un monument des origines provinciales […] ; loin de prendre fin avec la Restauration, cette quête des origines, où la recherche des traces du passé scandinave participe d'une archéologie des traditions provinciales, prend une intensité particulière pendant la première moitié du XIXe siècle[38]. ».

Puis, le , une délibération du conseil municipal prévoit de prolonger la rue à son extrémité nord, marquée par son intersection avec la rue du Champ-de-Foire[N 10], jusqu'à la rue Stanislas-Girardin[40]. Cependant le cette instance décide de ne mener qu'une partie du projet jusqu'à la rue du Chouquet[N 12]. En effet les propriétaires refusent une cession gratuite des terrains nécessaires[45],[46]. Ce n'est que sur une carte de 1848 qu'apparait une prolongation, mais à quelques mètres près, elle ne rejoint pas la rue Stanislas-Girardin[47]. Le , après une transaction financière, le conseil peut enfin décider de supprimer le rétrécissement situé avant la rue du Chouquet. Ceci permet une largeur égale sur toute la longueur[48]. Finalement en 1885 apparait sur une carte la prolongation complète qui permet de joindre le quai du Mont-Riboudet à la rue Stanislas-Girardin[49]. Ainsi la longueur de la rue passe de 235 à 470 m. Au moins en 1903, comme cela demeure en 2020, l'extrémité nord est condamnée. La rue se termine alors à angle droit avec la rue Prosper-Soyer[50].

Dans les années 1840, une petite place, à l'ouest des jardins de l'Hôtel-Dieu, rappelle aussi le souvenir de ce pré, mais elle n'est pas dénommée[51]. Cinquante ans plus tard, cette place est entièrement rattrapée par l'étalement urbain du faubourg Cauchoise au profit d'un nouveau quartier[15]. En 1891, la rue est empierrée[52].

Du au , trois jours avant sa libération par les Canadiens, Rouen subit des bombardements aériens visant à détruire les ponts sur la Seine. Au troisième jour, des bombes détruisent le bas de la rue du Pré-de-la-Bataille et touchent alors la retorderie[N 13] Baillard-Duboc-Hauville, l'usine de produits chimiques pour teinture, impression, blanchissage et tannage Deshayes et les teintureries Letourneur[54],[55].

Un nouveau numérotage des bâtiments de la rue est établi après-guerre[56].

Puis lors de la seconde moitié du XXe siècle, la rue du Pré-de-la-Bataille s'étend jusqu'au quai de Boisguilbert qui longe la Seine. Néanmoins en 2006, cette partie sud au-delà de l'avenue du Mont-Riboudet reçoit la dénomination rue René-Dragon en mémoire du résistant éponyme, ce qui lui fait perdre les 135 m acquis précédemment[57].

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire[modifier | modifier le code]

Cliché numérique couleur. Hôtel particulier du XIXe siècle.
Hôtel particulier[N 14], 61 rue du Pré-de-la-Bataille, en 2021.

Il ne semble pas exister d'écrits propres à l'architecture « pas très pittoresque[59] » de cette rue. Elle est à proximité de l'Hôtel-Dieu, inscrit aux monuments historiques[60], donc dans un périmètre réglementé par l'architecte des bâtiments de France[61]. Néanmoins, son urbanisation, et celle des rues voisines, est parfois qualifiée d'« anarchique ». Afin de réduire les nombreux îlots de chaleur et sachant qu'un important domaine foncier se libère, le conseil municipal du établit un périmètre d'étude comprenant la rue. Cette mesure administrative lui permet de mieux contrôler le développement local[62],[63].

Les bâtiments qui bordent la rue du Pré-de-la-Bataille sont pour sa partie sud essentiellement dévolus à des bureaux et des activités commerciales alors qu'au-delà de la rue de Constantine, qui en marque la moitié, il s'agit plutôt de petits immeubles[64]. Le seul élément très différent est un hôtel particulier[N 14] au no 61, face à la rue du Contrat-Social. Sa façade, en retrait de l'alignement des immeubles voisins du fait de la présence d'une grande cour d'honneur fermée par une grille, s'inspire d'éléments antiques comme cela est en vogue au début du XIXe siècle[65]. Il se peut qu'il s'agisse de l'ancien no 27, demeure d'Ernest Manchon[66] alors à la tête d'une importante manufacture transférée de la rue de Tanger à la rue de Constantine[67].

Industries disparues[modifier | modifier le code]

Carte postale noir et blanc. Façades de plusieurs bâtiments appartenant à une même usine. Grande cheminée tronquée par la prise de vue. Devant le vaste portail d'entrée, un groupe probablement d'employés.
Retorderie de cotons de Baillard, Duboc et Hauville.

La révolution industrielle fait de Rouen une ville tournée vers l'industrie textile[68], où des usines s'élèvent, comme dans le quartier du Pré de la Bataille[69]. Créée dans les années 1850, la filature de coton Mottet devenue Mottet et Bertrand reprise par Baillard, Duboc & Hauville, a une emprise importante dans la rue ainsi qu'en témoigne la carte dressée par la Société des plans monumentaux de France[70]. Ses bâtiments, alors situés au no 7, se caractérisent par une des plus hautes cheminées des quartiers ouest. Celle-ci est conçue par l'architecte Charles Fleury en 1864. L’entreprise ne survit pas au bombardement d'[71].

Les établissements de teinturerie-blanchisserie Louis Letourneur viennent s'installer au no 3 bis en 1878[72]. Ils s'avèrent très importants tant par leurs activités que par leur étendue dans la rue. Ils comptent plusieurs succursales dans le département. À la suite du bombardement d', ils sont transférés route de Lyons-la-Forêt[73]. Ils ne cessent leurs activités qu'en [74].

Associations[modifier | modifier le code]

Depuis 1897[75], l'association Assistance par le travail de Rouen, fondée en 1892[76], y possède son siège. Elle a pour but de donner un travail provisoire ou de faire obtenir un travail régulier aux nécessiteux sans emploi, suppléant ainsi les ateliers municipaux supprimés en 1881[77],[78],[79]. Considérée comme une « œuvre privée d'assistance facultative[80] », elle est reconnue d'utilité publique depuis 1898[78]. Dans un travail détaillé relatif aux œuvres sociales rouennaises, Yannick Marec constate que la tension entre l'assistance publique à Rouen — qualifiée de « système rouennais[N 15] » — et la bienfaisance privée, n'empêche pas une complémentarité entre les deux réseaux. L'Assistance par le travail de Rouen y prend activement part à la fin du XIXe siècle[79],[81]. Devenue l'association Le Pré de la Bataille, cette association loi de 1901[82] est un établissement et service d'aide par le travail (ESAT) qui œuvre auprès de personnes en situation de handicap mental[83]. Elle possède aussi dans cette rue, au no 37, une maison de la fin du XIXe siècle[84].

Évolution du lieu de la bataille vers un lieu-dit et finalement une rue et une association homonymes
Plan bistre de la partie d'une ville et de ses environs.
À l'ouest des remparts de Rouen, le Pré de la Bataille en 943, selon une carte du XIXe siècle.
Plan d'une ville.
Rue du Pré-de-la-Bataille portée sur un plan de Rouen en 1838.
Cliché numérique couleur. Rue bordée d'immeubles d'habitation de trois étages du XXe siècle en enfilade.
Haut de la rue du Pré-de-la-Bataille en 2021.
Cliché numérique couleur. Devant une maison de la fin du XIXe siècle et un immeuble du XXe siècle de trois étages stationnent deux voitures rouges.
Les n°37 et 39 occupés par l'association Le Pré de la Bataille en 2021.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Le début de la rue du Pré-de-la-Bataille a pour coordonnées 49° 26′ 39″ N, 1° 04′ 32″ E.
  2. La fin de la rue du Pré-de-la-Bataille a pour coordonnées 49° 26′ 50″ N, 1° 04′ 43″ E.
  3. La rue du Pré-de-la-Bataille, et celles qui la joignent, ont pour coordonnées 49° 26′ 45″ N, 1° 04′ 38″ E.
  4. Selon Orderic Vital, la date varierait de 933 à 935. Jules Lair préfère conclure en exprimant l'opinion que la révolte de Riulf se déroule en 934[6].
  5. Traduction libre.
  6. Traduction libre aidée par (xno + fr) Wace, Frédéric Pluquet (éd. scientifique) et al., Le Roman de Rou et des ducs de Normandie, Édouard Frère, [11].
  7. La vallée d'Yonville, retrouvée sur la carte de Cassini no 25 dénommée Rouen publiée en 1757[17], est une dénomination employée encore à la fin du XIXe siècle mais depuis tombée en désuétude. Il s’agit d'une zone marécageuse à l'ouest de Rouen jouxtant le Cailly. Depuis cette époque, l'urbanisation le canalise et le recouvre[18].
  8. Le clos Saint Marc, qui semble exister depuis au moins 1047, n'est mentionné qu’en 1731. Une place, qui n'occupe qu'une partie de son étendue primitive, est créée en 1829[23]. Elle devient la place Saint-Marc[24].
  9. Une fausse porte est ainsi définie : « Fausse porte, dans une place de guerre, porte destinée pour faire des sorties, ou pour recevoir du secours en cas de siège[29]. »
  10. Le , la rue du Champ-de-Foire devient le début de la rue de Constantine[39].
  11. La dénomination rue Martial — non pas rue Martiale — se trouve dans le Journal de Rouen en 1827[42].
  12. À noter qu'une voie est décrite par le conseil communal mais non dénommée en 1828[41],[N 11]. Il s'avère qu'en 1829 — poursuite de la transaction — elle s'appelle rue Martiale[43]. Il semble qu'il s'agisse au moins d'une partie de ce prolongement[44].
  13. Une retorderie est un atelier où deux ou plusieurs fils sont assemblés pour en faire un seul[53].
  14. a et b Pour désigner le no 61, le terme hôtel particulier est retenu plutôt que maison de maître en partant de l’hypothèse qu’il s'agit de l’ancien no 27 désigné alors comme tel par les annonces notariales[58].
  15. Selon Marec, le « système rouennais », surtout actif lors de la fin du XIXe siècle, repose sur la création d'« une commission unique [qui] regroupe la gestion des bureaux de bienfaisance et les hospices civils dans leurs activités et leur financement[79] ».

Références[modifier | modifier le code]

  1. Alexandre Lesguilliez, Lettres sur la ville de Rouen : ou Précis de son histoire topographique, civile, ecclésiastique et politique, depuis son origine jusqu'en 1826, Rouen, imp. d'Émile Periaux fils aîne, , 604 p., in-8o (BNF 30802756, lire en ligne), « Lettre treizième », p. 218-221.
  2. Insee, « Rouen. Plan d'assemblage [des] grands quartiers : IRIS/44. Voies routières. Voies ferrées. Voies fluviales. Grands quartiers », carte Iris no 0404 (quartier Pasteur-Madeleine), sur docplayer.net, (consulté le ), vue 23/44.
  3. a et b François Neveux, La Normandie des ducs aux rois : Xe au XIIe siècle, Rennes, Ouest-France, , 611 p., 21 cm (ISBN 2-7373-0985-9, BNF 36705506, présentation en ligne), 1 - Essor du duché et expansion normande (911-1066), chap. 1 (« La fondation »), p. 35.
  4. Ernest d'Hauterive, « Intermédiaire des chercheurs et curieux de Normandie », Revue catholique d'histoire, d'archéologie et littérature de Normandie, Caen ; Évreux, s.n., vol. 35,‎ , p. 166 (ISSN 1245-6241).
  5. a et b Jean Dubuc, Histoire chronologique de la Normandie et des Normands : des origines à 1204, Marigny, Eurocibles, coll. « Inédits et introuvables » (no 15), , 576 p., 22 cm (ISBN 978-2-914541-30-5), chap. IV (« Guillaume Longue-Épée »), p. 156.
  6. a b et c Jules Lair, Étude sur la vie et la mort de Guillaume Longue-Épée, duc de Normandie, Paris, Éditions Picard, , 84 p., in-folio (BNF 30721265, lire en ligne Inscription nécessaire), chap. VI (« Révolte des barons normands »), p. 23-24.
  7. Pierre Bouet, « Dudon de Saint-Quentin et le martyre de Guillaume Longue-Épée », dans Pierre Bouet (dir.), François Neveux (dir.) et al., Les saints dans la Normandie médiévale (colloque de Cerisy-la-Salle (26-29 septembre 1996)), Caen, Presses universitaires de Caen, coll. « Colloques de Cerisy », , 334 p. (ISBN 978-2-8413-3104-8, 2-8413-3104-0 et 2-8413-3808-8, OCLC 1000427070, lire en ligne), Sainteté et pouvoir, p. 239.
  8. Augustin Labutte (préf. Henri Martin), Histoire des ducs de Normandie : jusqu'à la mort de Guillaume le Conquérant, Paris, Furne, Jouvet et Cie, , XII-368 p., in-8o (BNF 30706315, lire en ligne Inscription nécessaire), chap. II, p. 66-72.
  9. (la + fr) Dudon de Saint-Quentin et Jules Lair (critique et notes), De moribus et actis primorum Normanniae ducum [« Des mœurs et des actions des premiers ducs de Normandie »], Caen, Impr. F. Le Blanc-Hardel, , nouvelle éd., 317 p., in-4° (lire en ligne), Dudonis Sancti Quintini de moribus et actis primorum Normanniæ ducum, « Liber tertius », p. 191.
  10. (xno + de) Wace et Hugo Andresen (notes), Maistre Wace’s Roman de Rou et des Ducs de Normandie : Nach den Handshriften von Neuem herausgegeben [« Roman de Rou et des ducs de Normandie de maître Wace réédité à partir du manuscrit »], vol. 1 : I und II Theil, Heilbronn, Gebr. Henninger, , XCVI-238 p., 2 vol. ; 20 cm (lire en ligne), partie I, « Die Handshrift », p. 92-93 v. 1492-1493, v. 1496-1497, v. 1514, v. 1516-1517.
  11. (xno + fr) Wace, Frédéric Pluquet (éd. scientifique), Eustache-Hyacinthe Langlois (annotateur), Charles-Jean-François Hénault (annotateur) et Auguste Le Prévost (annotateur) (ill. Eustache-Hyacinthe Langlois), Le roman de Rou et des ducs de Normandie : publié pour la première fois d'après les manuscrits de France et d'Angleterre, vol. 1, Rouen, Édouard Frère, , XXII-[2]-414, 2 vol. ; in-8o (BNF 31611679, lire en ligne), « Ci fénist le Roman de Rou et Comenche de Guillaume Congue Espée, Son fils, qui fu Duc de Normendie », p. 112-114 v.  2239-2240, v.  2243-2244, v.  2261, v.  2263-2264.
  12. François de Beaurepaire, « Aux origines de la toponymie urbaine : les anciens noms de rues de Rouen » (Domaine d'oïl), Nouvelle revue d'onomastique, Paris, Société française d’onomastique, nos 27-28,‎ , p. 58 (e-ISSN 2647-8463, lire en ligne, consulté le ).
  13. [Jean-Benoît] Cochet, La Seine-Inférieure historique et archéologique : époques gauloise, romaine et franque (fac-sim. de la 2e éd. de : Paris : E. Derache, 1866), Saint-Pierre-de-Salerne, Le Portulan, (1re éd. 1864), 616 p., 28 cm (lire en ligne), Arrondissement de Rouen. Cantons de Rouen. Rouen, chap. 8 (« Rouen historique et chrétien »), p. 149.
  14. Théodore Licquet, Rouen, son histoire, ses monumens, son commerce, ses grands hommes : Guide nécessaire pour bien connaître cette capitale de la Normandie ; suivi de notices sur Dieppe, Elbeuf, Le Havre, Bolbec, Tancarville, Lillebonne, Caudebec, Saint-Wandrille, Jumiége et les endroits les plus remarquables du département de la Seine-Inférieure, Rouen, Édouard Frère, (1re éd. 1827), 427 p. (BNF 30817093, lire en ligne Inscription nécessaire), Rouen, « Anciens châteaux forts », p. 197.
  15. a et b David Ferrand (préf. Alexandre Héron avec notes et glossaire), La Muse normande : publié d'après les livrets originaux, 1625-1653, et l'Inventaire général de 1655, vol. 2, Rouen, impr. E. Cagniard, coll. « Société rouennaise de bibliophiles » (no 33-37), , 4305 p., 5 vol. ; in-8o (lire en ligne), Notes et éclaircissements, « Neuvième partie », p. 356-357.
  16. Théodore Licquet et Georges-Bernard Depping (introd.), Histoire de Normandie, depuis les temps les plus reculés jusqu'à la conquête de l'Angleterre en 1066 : précédée d'une introduction sur la littérature, la mythologie, les mœurs des hommes du Nord, vol. 2, Édouard Frère, , 455 p., 2 vol. in-8o (lire en ligne), « Table générale des noms d'hommes, de familles et de lieux mentionnés dans cet ouvrage », p. 423.
  17. « Vallée d’Yonville » sur Géoportail (consulté le 23 février 2021)..
  18. Henri Fouquet, Histoire civile, politique et commerciale de Rouen, depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours, vol. 2, Rouen, Métérie ; Augé, , 934 p., 2 vol. ; 25 cm (lire en ligne), partie 2, chap. XXVI (« Topographie. Vieux Rouen »), p. 883-884.
  19. a et b Jean Oursel, Les beautez de la Normandie, ou L'origine de la ville de Rouen : Contenant tout ce qui est de plus ancien et de plus considérable dans ladite ville, et dans toutes les autres de la province, bourgs et villages. Avec les foires et marchés qui s'y tiennent chaque jour de la semaine (transcription moderne du titre : Les beautés de la Normandie, ou L'origine de la ville de Rouen), Rouen, Veuve de Jean Oursel, , [16]-261-[1 bl.-4] p., [1] f. de pl. dépl. (plan), in-12 (BNF 31045521, lire en ligne), « Les accroissements de la ville de Rouen », p. 20-21.
  20. a et b Aubin Louis Millin de Grandmaison, Antiquités nationales : ou Recueil de monumens pour servir à l'histoire générale et particulière de l'Empire françois, tels que tombeaux, inscriptions, statues, vitraux, fresques, etc. ; tirés des abbayes, monastères, châteaux et autres lieux devenus domaines nationaux, vol. 2, M. Drouhin, , 497 vues, 5 vol. ; in-4 (BNF 33998709, lire en ligne), partie V, chap. XX (« Le Vieux palais à Rouen »), p. 4 (vue 390).
  21. E. H. Langlois, « Note sur les anciennes forteresses de Rouen : particulièrement sur celle appelé le Vieux-Château », Bulletin de la Société libre d'émulation du commerce et de l'industrie de la Seine-Inférieure, Rouen, imp. F. Baudry « Séance publique de la Société libre d'émulation de Rouen »,‎ , p. 103 (lire en ligne, consulté le ).
  22. Charles Le Carpentier, Itinéraire de Rouen : ou Guide des voyageurs dans cette ville et ses environs, Rouen, Les principaux libraires, , 3e éd. (1re éd. 1816), 232 p., in-12 (BNF 30764015, lire en ligne), Anciens châteaux de Rouen, « Château du Vieux-Palais », p. 130.
  23. Charles de Beaurepaire, « Notice sur le clos Saint-Marc », Précis analytique des travaux de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Rouen, Rouen, A. Picard « Année 1906-1907 »,‎ , p. 156, 182-183 (lire en ligne, consulté le ).
  24. Jean-Dominique Lavazais (dir. publication), « Du clos à la place Saint-Marc, histoire d’un mythe urbain à Rouen » Accès payant, sur www.paris-normandie.fr, Paris-Normandie, Rouen, Société normande d'information et médias, (e-ISSN 2495-1056, consulté le ).
  25. Marc Boulanger, La peste à Rouen et les hôpitaux chargés de la combattre, Rouen, Amis des monuments rouennais, coll. « Connaître Rouen » (no 7), , 35 p., 25 cm (ISBN 978-2-86743-123-4), L'Hôtel-Dieu du Lieu de Santé, « Le choix d'un nouvel emplacement », p. 23.
  26. Gustave Panel (introduction), Le Lieu de Santé de Rouen (titre original : Récit de ce qui s'est passé en l'establissement des hospitaux de saint Louis et de S. Roch de la ville de Roüen, pour les malades et convalescents de la peste, avec la description particulière et la figure de tous les bastimens commencés en l'année 1654), Rouen, imprimerie L. Gy (réimpr. 1905), LXXV-28 p., in-8o (BNF 33459553), « Introduction », p. X.
  27. François Farin, Histoire de la ville de Rouen divisée en six parties, vol. 2, Rouen, Louis du Souillet, , 6 vol. ; in-12 (OCLC 503790845, BNF 30418663, lire en ligne), partie 6, « Religieux de l'ordre de saint Dominique », p. 39 col. 2.
  28. Académie des sciences, belles-lettres et arts de Rouen, Précis analytique des travaux de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Rouen : pendant l'année 1859-1860, Rouen, P. Periaux, , 400 p. (ISSN 1154-7707, BNF 34437660, lire en ligne), Mémoires dont l'Académie a ordonné l'impression dans ses actes, « Premières transformations du territoire », p. 206.
  29. Émile Littré, « Dictionnaire de la langue française » (Dictionnaires d'autrefois), sur artflsrv02.uchicago.edu : The ARTFL Project (site conjoint à l’ATILF, au CNRS, et à l'ETS de l’Université de Chicago), Chicago, Université de Chicago, 1872-1877 (consulté le ), Porte. 4.
  30. Patrice Quéréel, « XXe siècle : « Patrimoine populaire » : un oxymore ? », Études normandes, Rouen, L'association Études normandes « 50e année », no 1 « Patrimoine. Tourisme. Développement »,‎ , p. 99 col. 1-2 (ISSN 0014-2158, BNF 34348599, DOI 10.3406/etnor.2001.1409, lire en ligne, consulté le ).
  31. H[enri] Geispitz, « Notice sur l'ancien magasin au tabac », Bulletin des amis des monuments rouennais, Rouen, Société des amis des monuments rouennais,‎ , p. 68-69 (ISSN 0337-7113, BNF 34376617, lire en ligne, consulté le ).
  32. Ville de Rouen. Conseil municipal, Analyse des procès-verbaux des séances du au  : publiée en exécution de la délibération du , vol. I : 1800-1840, Rouen, (imp. Julien Lecerf), , 479 p., 4 vol. ; in-fol. (BNF 34143572, lire en ligne), « An X », p. 2 col. 2.
  33. Lafosse (éd. scientifique), J. G. Heliot et Hyacinthe Boutigny (Blondeau graveur), Carte topographique de la ville et des faubourgs de Rouen, levée, dressée et dessinée par MM. J.G. Héliot et Hthe. Boutigny, géomètres-architectes, sous la direction de M. Lafosse, architecte de la ville. Dédiée à Monsieur le maire de Rouen, Paris, Ch. Piquet, , 1 : 10 000 ; 950 × 590 mm (lire en ligne [jpg]), numéro 419 [perpendiculaire à la rive droite de la Seine, en regard de la pointe nord de l'île Le Petit Gay].
  34. Commune de Rouen (Archives départementales de la Seine-Maritime — dépositaire), Plans du cadastre napoléonien (cotes 3P3/3686 et 3P3/3691), Rouen, Commune de Rouen, [loi 1807], 842 p., échelle 1/500 ; 120 × 100 mm (lire en ligne), Rouen, « Section M ou 12 », p. 2e, 7e feuilles.
  35. André Raulin, Corinne Tuncq (responsable) et Vincent Maroteaux (dir.), 3 P : Fonds du cadastre (répertoire numérique détaillé), Rouen, Archives départementales de la Seine-Maritime, , 402 p. (lire en ligne [PDF]), chap. 3 P 3 (« Plans »), p. 373.
  36. a et b Ville de Rouen. Conseil municipal, Analyse des procès-verbaux des séances du au , vol. I, op. cit. (lire en ligne), « 1833 », p. 319 col. 2.
  37. Pierre-Henri Billy, « La réception du Moyen Âge dans l'odonymie contemporaine en France », dans Oliviu Felecan (dir.) et al., Actele Conferinţei Internaţionale de Onomastică : Ediţia a II-a - Onomastica în spațiul public actual. Baia Mare, 9-11 mai 2013 [« Actes de la Conférence internationale d'onomastique nom et dénomination : Deuxième édition - Onomastique dans l'espace public actuel - Baia Mare, du 9 au 11 mai 2013 »] (conférence plénière), Mega, Oliviu Felecan, , 1115 p., 24 cm (ISBN 978-6-0654-3176-8 et 6-0654-3176-1, lire en ligne [PDF]), 3. Toponyms (hydronyms, oikonyms, odonyms), p. 232.
  38. François Guillet, « Le Nord mythique de la Normandie : des Normands aux Vikings de la fin du XVIIIe siècle jusqu'à la Grande Guerre » (dans 2e partie : De l'image mentale à la définition d'un concept : le Nord dans le discours savant), Revue du Nord : Revue d'histoire et d'archéologie des universités du Nord de la France, Villeneuve-d'Ascq, Association Revue du Nord, nos 360-361 « L'invention du Nord de l’Antiquité à nos jours : De l'image géographique au stéréotype régional »,‎ 2005 / 2-3, p. 459 (ISSN 0035-2624, e-ISSN 2271-7005, DOI 10.3917/rdn.360.0459, lire en ligne Inscription nécessaire, consulté le ), via Cairn.info.
  39. « Conseil municipal de Rouen : séance du  », Journal de Rouen : et des départements de la Seine-Inférieure et de l'Eure, Rouen, imp. Léon Brière, no 46,‎ , B col. 3 (ISSN 2430-8242, lire en ligne [jpg], consulté le ).
  40. « Prolongement des rues Stanislas-Girardin et du Pré-de-la-Bataille », Journal de Rouen : et du département de la Seine-Inférieure, Rouen, imp. D. Brière, no 270,‎ , p. 1 col. 4 (ISSN 2430-8242, e-ISSN 2505-1911, BNF 44432236, lire en ligne [jpg], consulté le ).
  41. Ville de Rouen. Conseil municipal, Analyse des procès-verbaux des séances du au , vol. I, op. cit. (lire en ligne), « 1828 », p. 218 col. 1-2.
  42. « Biens et maisons à vendre ou à louer », Journal de Rouen : et du département de la Seine-Inférieure, Rouen, imp. J. Duval, no 229,‎ , p. 4 col. 1 (ISSN 2430-8242, e-ISSN 2505-1911, BNF 44432236, lire en ligne [jpg], consulté le ).
  43. Grillon, « Rapport au conseil [municipal] », Fiche détaillée no 6346 des Archives nationales (cote du rapport : registre F21*2524, dossier no 483, p. 315), sur www.inha.fr, Paris, Institut national d'histoire de l'art, (consulté le ).
  44. « Publications légales », Journal de Rouen : et du département de la Seine-Inférieure, Rouen, imp. D. Brière, no 278,‎ , p. 4 col. 4 (ISSN 2430-8242, e-ISSN 2505-1911, BNF 44432236, lire en ligne [jpg], consulté le ).
  45. Ville de Rouen. Conseil municipal, Analyse des procès-verbaux des séances du au  : publiée en exécution de la délibération du , vol. II : 1841-1870, Rouen, (imp. Julien Lecerf), , 508 p., 4 vol. ; in-fol. (BNF 34143572), « 1841 », p. 9 col. 2.
  46. Jean, Plan routier de la ville et faubourgs de Rouen avec ses environs (carte), Paris, Jean, , 55,5 × 76,5 cm, sur flle 61,5 × 91 cm ; échelle : [ca 1:8 400] (lire en ligne), [Rive droite de la Seine, pointe nord de l'île Le Petit Gay].
  47. J. de Gordillo Ybanès, Gratin (graveur) et J… Schwaerzlé (graveur), Plan de la ville de Rouen et de ses environs (carte), , 1 plan en 3 flles ; 91,5 x 157 cm, chaque flle 97 x 171 cm ; échelle : ca 1:5 100 (lire en ligne), Flle 1 no 26 [rive droite de la Seine, pointe nord de l'île Le Petit Gay].
  48. Ville de Rouen. Conseil municipal, Analyse des procès-verbaux des séances du au  : publiée en exécution de la délibération du , op. cit., vol. II, « 1869 », p. 447 col. 2.
  49. Louis-François Thuillier (dessinateur), Guides et itinéraires Joanne : Rouen (carte), Paris, Hachette, , 1 flle ; 26 x 20 cm (lire en ligne), B2.
  50. Journal de Rouen, Plan de Rouen, édité pour l'Almanach de Rouen (carte), Rouen, impr. du Journal de Rouen, , 1 flle : en coul. ; 51 x 35 cm ; Échelle : 1:12 000 (lire en ligne), [Rive droite de la Seine, en regard de la pointe de flèche indiquant le sens du courant].
  51. Jean, Plan routier de la ville et faubourgs de Rouen avec ses environs (carte), Paris, Jean, , 55,5 × 76,5 cm, sur flle 61,5 × 91 cm ; échelle : [ca 1:8 400] (lire en ligne), [Prolongement fictif du nord de la rue du Pré-de-la-Bataille vers la jonction de la rue de Bas et la rue des Grosses-Pierres].
  52. « Conseil municipal de Rouen : séance du  », Journal de Rouen : et des départements de la Seine-Inférieure et de l'Eure, Rouen, imp. Léon Brière, no 59,‎ , p. 2 col. 3 (ISSN 2430-8242, BNF 44432236, lire en ligne [jpg], consulté le ).
  53. Isabelle Jeuge-Maynart (dir. publication), « Langue française : Dictionnaire de français » (Larousse en ligne), sur www.larousse.fr, Paris, Société éditions Larousse (consulté le ), retordage.
  54. Gontran Pailhès et Yvon Pailhès (avant-propos) (préf. Pierre Varenne), Rouen et sa région pendant la guerre 1939-1945 (reprod. en fac-sim. éd. H. Defontaine, 1949), Luneray, Éditions Bertout, , 309 p., 21 cm (ISBN 2-8674-3180-8, lire en ligne), « Août 1944 », p. 245.
  55. Thierry Chion, Rouen 1940-1944 : Pompiers sous les bombes, Ysec Medias, , 160 p. (ISBN 2-8674-3180-8), « Les dernières flammes, juin-août 1944 », p. 143.
  56. « Rues de Rouen : Adresses par ordre alphabétique de noms avec classement intérieur par numéros pairs et impairs », Annuaire de Rouen et de son agglomération, Rouen, s.n. « 131e année de l'Annuaire fondé en 1832 par Desisles Brière et 212e année de l'Annuaire fondé en 1751 par Étienne-Vincent Machuel »,‎ , p. 1398 col. 3-4 (BNF 34472699).
  57. Conseil municipal, « Délibération 0-7 du vendredi  : Rapport au conseil municipal. Voie publique. Dénomination. Rue Montagne et rue Dragon », sur rouen.fr, Rouen, Ville de Rouen, (consulté le ).
  58. « Étude de Me Gence : À vendre à l'amiable », Journal de Rouen, Rouen, Imprimerie du Journal de Rouen « 164e ; 165e ; 168e années », nos 284 ; 52 ; 160,‎ 11 octobre 1925 ; 21 février 1926 ; 9 juin 1929, p. 9 col. 5 ; p. 8 col. 10 ; p. 10 col. 9 (ISSN 2430-8242, e-ISSN 2505-1911, BNF 44432236, lire en ligne [jpg], consulté le ).
  59. Laurence Catel, Rouen : Histoire et patrimoine : 15 circuits à découvrir en baskets !, Tours, Éditions Sutton, , 183 p., 23 cm (ISBN 978-2-8138-1386-2, BNF 46620706), « Des Vikings aux ducs de Normandie (10 km) », p. 115.
  60. Notice no PA00100840, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  61. Philippe Defawe, « Les collectivités locales se mobilisent pour la construction d'un foyer pour personnes handicapées à Rouen », sur lemoniteur.fr, Le Moniteur, Groupe Moniteur, (consulté le ).
  62. Christophe Hubard (photogr. Stéphanie Péron/Paris-Normandie), « La ville de Rouen se dote d'une nouvelle arme pour stopper l'urbanisation galopante : Politique » Accès payant, sur www.paris-normandie.fr, Paris-Normandie, Rouen, Société normande d'information et médias, (e-ISSN 2495-1056, consulté le ).
  63. Christophe Hubard, « À Rouen, des centaines de maisons des quartiers Ouest protégées de l’appétit des promoteurs » Accès payant, sur paris-normandie.fr, Paris-Normandie, Rouen, Société normande d'information et médias, (e-ISSN 2495-1056, consulté le ).
  64. Rue du Pré-de-la-Bataille sur Google Street View.
  65. 61, rue du Pré-de-la-Bataille sur Google Street View.
  66. Commune de Rouen (Archives départementales de la Seine-Maritime — dépositaire), Dénombrement de l'année 1881 : Liste nominative des habitants de la commune de Rouen, Canton 5 (cote 6M0325), Rouen, Commune de Rouen, , 842 p. (lire en ligne), « Rue du Pré-de-la-Bataille », p. 617.
  67. Jean-Jacques Pinel de Golleville, Histoire de 140 familles : Témoignages de 70 descendants. 2 siècles d'industrie à Rouen, s.l., s.n., , 440 p., 30 cm (OCLC 800617525), « Famille Manchon », p. 241.
  68. Dominique Auzias et Jean-Paul Labourdette, Seine-Maritime : 2020/2021, Paris, Petit Futé, coll. « Guides département », (ISBN 978-2-3050-4830-7), Découverte, « Histoire ».
  69. Henri Fouquet, Histoire civile, politique et commerciale de Rouen, depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours, op. cit., vol. 2 (lire en ligne), chap. XXVII (« Topographie. Rouen nouveau »), p. 914.
  70. Société des plans monumentaux de France (H. Rollet (graveur), Administration des Plans monumentaux de France (publ.)), Nouveau plan de Rouen monumental, industriel et commercial (carte), Rouen, Schneider Fres, 18.., 91 × 71 cm (lire en ligne).
  71. Guy Pessiot, Rouen photos inédites, vol. 2, Rouen, Éditions des Falaises, coll. « Patrimoines vivants », , 2e éd. (1re éd. 1980), 288 p., 3 vol.; 18 × 25 cm (ISBN 978-2-8481-1253-4), « L'album de l'architecte Charles Fleury (1858-1868) », p. 25.
  72. « Publications légales », Journal de Rouen : et des départements de la Seine-Inférieure et de l'Eure, Rouen, imp. Léon Brière, no 181B,‎ , p. D col. 8-9 (ISSN 2430-8242, lire en ligne [jpg], consulté le ).
  73. Guy Pessiot et Jacques Tanguy, Rouen photos inédites 1850-2000, Rouen, Éditions des Falaises, coll. « Patrimoines vivants », , 288 p., 18 × 25 cm (ISBN 978-2-848-11081-3), p. 118-119.
  74. République française, « 76 Seine-Maritime », Bulletin officiel des annonces civiles et commerciales, Paris, Direction de l'information légale et administrative, - B - Modifications diverses et radiations d’établissements « Cinquante cinquième année », no 38 B,‎ , annonce no 2036 (ISSN 0298-2978, lire en ligne, consulté le ).
  75. « Chronique locale » (l'Assistance par le travail), Journal de Rouen : et des départements de la Seine-Inférieure et de l'Eure, Rouen, imp. Léon Brière, no 163,‎ , B col. 3-4 (ISSN 2430-8242, e-ISSN 2505-1911, BNF 44432236, lire en ligne [jpg], consulté le ).
  76. « Chronique locale » (l'Assistance par le travail à Rouen), Journal de Rouen : et des départements de la Seine-Inférieure et de l'Eure, Rouen, imp. Léon Brière, no 357,‎ , B col. 2-3 (ISSN 2430-8242, e-ISSN 2505-1911, BNF 44432236, lire en ligne [jpg], consulté le ).
  77. Édouard Cormouls-Houlès (préf. Léon Bourgeois), L’assistance par le travail (texte remanié de : thèse de doctorat : Droit : Toulouse : 1910), Paris, Arthur Rousseau, , (447 vues) 870, 25 cm (lire en ligne [PDF]), chap. IX (« L'assistance par le travail chez l’homme et la femme adultes valides en France »), p. 430-432 (vues 227-228).
  78. a et b République française, « Décret qui reconnait comme établissement d’utilité publique l'association dite Association par le travail, de Rouen », Bulletin des lois de la République française : 1e semestre de 1899 contenant les décrets d’intérêt local ou particulier, Paris, Imprimerie nationale, xII, vol. LVIII « Partie supplémentaire », no 3289,‎ , p. 186-189, article no 55879 (lire en ligne, consulté le ).
  79. a b et c Jean-Claude Caron, « Yannick Marec, Bienfaisance communale et protection sociale à Rouen (1796-1927). Expériences locales et liaisons nationales » (compte rendu de lecture), Revue d'histoire du XIXe siècle. Société d'histoire de la révolution de 1848 et des révolutions du XIXe siècle, Marseille, OpenEdition Journals « Le temps et les historiens Actes de la journée d'étude du , Archives nationales », no 25,‎ , p. 220 (ISSN 1265-1354, DOI 10.4000/rh19.440, lire en ligne, consulté le ).
  80. Yannick Marec (préf. Maurice Agulhon), Bienfaisance communale et protection sociale à Rouen, 1796-1927 : expériences locales et liaisons nationales, vol. 2 (Issu de thèse de doctorat de Lettres : Paris 1 : 1999 ; publiée par le Comité d'histoire de la sécurité sociale), Paris, La Documentation française : Association pour l'étude de l'histoire de la sécurité sociale, , 1362 p., 2 vol. ; 24 cm (ISBN 2-11-004772-0, BNF 38853604), chap. 8 (« Assistance publique et bienfaisance privée à Rouen à la fin du XIXe siècle (I) : la question de leur complémentarité »), p. 717.
  81. Caroline Varlet, « Yannick Marec, Bienfaisance communale et protection sociale à Rouen (1796-1927) » (compte rendu), Histoire & Mesure, Paris, Éditions de l'EHESS, vol. XIX, nos 1-2,‎ (ISSN 0982-1783, lire en ligne [PDF], consulté le ).
  82. République française, « Associations loi du  : Le Pré de la Bataille » (compte), sur www.journal-officiel.gouv.fr, Journal officiel des associations et fondations d’entreprise, Paris, Direction de l'information légale et administrative, (ISSN 0753-2156, consulté le ).
  83. ESAT-EA (Établissements et services d’aide par le travail – Entreprises adaptées de la métropole Rouen Normandie), « Pré de la Bataille », sur www.esat-ea.fr (consulté le ).
  84. 37, rue du Pré-de-la-Bataille sur Google Street View.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Nicétas Périaux, Aurélien Coudurier (coordinateur mise en ligne et correcteur), Hélène Chéron (correcteur), Gwendoline Jouenne (correcteur) et Martine Rouleau (correcteur), Dictionnaire indicateur et historique des rues et places de Rouen : revue de ses monuments et de ses établissements publics (rééd. numérique de l'éd. A. Le Brument, 1870), Bernay, Gérard Monfort, (réimpr. 1972) (1re éd. 1870), 672 p. (lire en ligne [htlm]), « Pré-de-la-Bataille (rue du) », p. 496-497.

Articles connexes[modifier | modifier le code]