Rue de Vaugirard — Wikipédia

6e, 15e arrts
Rue de Vaugirard
Voir la photo.
La rue de Vaugirard vue depuis la Petite Ceinture.
Voir la plaque.
Situation
Arrondissements 6e
15e
Quartiers Odéon
Notre-Dame-des-Champs
Saint-Lambert
Necker
Début 44, boulevard Saint-Michel
Fin 1, boulevard Lefebvre
73, boulevard Victor
Morphologie
Longueur 4 360 m
Géocodification
Ville de Paris 9671
DGI 9624
Géolocalisation sur la carte : Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
Rue de Vaugirard
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La rue de Vaugirard, qui traverse les 6e et 15e arrondissements, est la plus longue voie de Paris intra-muros, avec 4 360 mètres de longueur[1], correspondant à quatre cent sept numéros d'immeubles.

Situation et accès[modifier | modifier le code]

La rue de Vaugirard part du boulevard Saint-Michel, au niveau de la place de la Sorbonne et se termine à la jonction des boulevards Victor et Lefebvre, à la porte de Versailles. Au-delà des boulevards des Maréchaux, elle est prolongée par l'avenue Ernest-Renan. La circulation sur chaussée y est à sens unique sud-nord sur la majeure partie de son tracé ; elle est à double sens sur la portion comprise entre la rue de Rennes et la place Paul-Claudel, derrière le théâtre de l'Odéon.

Accès

De la station Falguière à la station Porte de Versailles, la ligne 12 du métro suit le tracé de la rue de Vaugirard, selon cet ordre :

En outre, la station Saint Placide, sur la ligne 4, est sur le tracé de la rue. L'arrêt s'est également appelé Vaugirard à l'origine, du fait que les deux lignes appartenaient à des réseaux différents, mais il a rapidement changé de nom pour éviter la confusion.

Origine du nom[modifier | modifier le code]

Le nom de la rue fait référence à l'ancienne commune de Vaugirard, aujourd'hui intégrée à Paris. Il est une déformation de « val Gérard », en hommage à Gérard de Moret, abbé de Saint-Germain. Il contribua au XIIIe siècle à l'essor de ce qui était alors un hameau, qui s'est successivement appelé « Valgérard », « Vaulgérard » et enfin « Vaugirard[2] ».

Historique[modifier | modifier le code]

La rue est à l'origine une voie romaine reliant Lutèce à Autricum (Chartres)[3]. Au Moyen Âge, cette voie correspond à la route qui partait de l'enceinte de Philippe Auguste (au niveau de l'actuelle rue Monsieur-le-Prince) en direction du village de Vaugirard[4]. Jusqu'au XVIe siècle, ce chemin reste rural, mais la voie s'urbanise à partir de 1550[4]. Au XVIIe siècle, dans le contexte de la Contre-Réforme, on y construit notamment des couvents (Filles du Calvaire[4], religieuses du Précieux Sang[5], Carmes déchaussés[4]). Au début du XVIIe siècle, le palais du Luxembourg est bâti à l'emplacement d'un hôtel particulier du milieu du XVIe siècle appartenant à François de Piney, duc de Luxembourg. Dans les années 1780, le mur des Fermiers généraux est érigé (actuel boulevard Pasteur) et la barrière de Vaugirard est construite à l'entrée de la rue.

Elle est citée sous le nom de « rue de Vaugirard » dans un manuscrit de 1636 dont le procès-verbal de visite, en date du , indique qu'elle est « en aucuns endroitz nette, et en d'autres avons veu plusieurs boues et fanges ».

À la fin du XVIIIe siècle, le théâtre de l'Odéon est construit sur le terrain du jardin de l'hôtel du prince de Condé. Une loi du prévoit l'élargissement de la rue[4].

Juste avant la Révolution française, la rue de Vaugirard fait partie de la paroisse Saint-Sulpice. La paroisse continue au-delà du mur des Fermiers généraux sur la partie droite de la route de Vaugirard jusqu'aux environs de la rue Copreaux où commence la paroisse de Vaugirard. Du côté gauche de la route, le territoire dépend de la paroisse Saint-Étienne-du-Mont[6].

Après l'annexion de Vaugirard à Paris par la loi du , la grande rue du village de Vaugirard est annexée officiellement le [7]. La rue de Vaugirard et la grande rue de Vaugirard fusionnent le [8] pour donner une rue de plus de quatre kilomètres de long. Le village de Vaugirard s'est développé le long de sa grande rue et ce n'est qu'au début du XIXe siècle que la commune se développe, du fait notamment de l'urbanisation de la rue Lecourbe en avant de la barrière de Sèvres[9]. Au moment du rattachement de Vaugirard à Paris, la rue est presque entièrement bâtie entre l'ancienne barrière de Vaugirard et la porte de Versailles[10].

Au début du XXe siècle, la rue est prolongée vers l'est pour rejoindre le boulevard Saint-Michel, passant le long du lycée Saint-Louis, débouchant en face de la Sorbonne (mais ce court prolongement représente moins de 1 % de la longueur totale de la rue)[11]. Elle a son autre extrémité à la porte de Versailles.

Le 29 mai 1918, durant la Première Guerre mondiale, un obus lancé par la Grosse Bertha explose au no 313 rue de Vaugirard[12]. D'autres obus tombent, le au no 146, le au no 353 bis.

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire[modifier | modifier le code]

À la porte de Versailles, la rue de Vaugirard est à proximité immédiate du parc des expositions et du Palais des sports. Elle longe :

Entre le boulevard Saint-Michel et le boulevard Pasteur : la rue de Vaugirard historique[modifier | modifier le code]

Devant le palais du Luxembourg, siège du Sénat.
L'ancienne École mutuelle, au no 85. Bas-relief d'Aimé Millet (1850).
  • No 1 : le général John Armstrong, Jr., ambassadeur des États-Unis en France, habita en 1810 dans l'édifice qui se trouvait à cette hauteur[13].
  • No 3 bis : le comédien André Falcon vit soixante ans dans cet immeuble. Une plaque lui rend hommage.
  • No 4 : le poète Paul Verlaine fréquenta cet hôtel de 1889 à 1894. Une plaque lui rend hommage.
  • No 8 : l'écrivain norvégien Knut Hamsun vit et travaille dans cet immeuble entre 1893 et 1895. Une plaque lui rend hommage.
  • No 9 : en 1855, adresse de l'imprimerie Charles Lahure (ancienne maison Crapelet) pour le Sénat et la Cour de cassation[14]. Ensuite, une école élémentaire puis, depuis 2020, la Cité Audacieuse[15].
  • No 10 : Émile Zola habite un temps un logement au sixième, à la terrasse donnant sur le jardin du Luxembourg, un des multiples domiciles parisiens successifs de cet écrivain durant l'existence précaire de sa jeunesse[16].
  • No 13 : ancien jeu de paume, racheté par François de La Guérinière et son associé Jean-François de Colmenil, qui le transforment en manège d'équitation. École ouverte aux jeunes nobles qui fermera en 1733 pour s'installer 6, rue de Tournon.
  • No 14 : le peintre Diogène Maillart (1840-1926) avait un atelier à cette adresse en 1870[17].
  • No 15 : entrée du palais du Luxembourg, classé aux monuments historiques depuis 1862[18].
  • No 20 : en juin 1899, une antéfixe, ornement décorant le bord d’un toit dans l’Antiquité, est découverte à la hauteur de ce no  lors de fouilles conduites par l’inspecteur du département de la Seine, Charles Magne. Celle-ci est aujourd’hui conservée au musée Carnavalet[19]. Une partie de l’immeuble relève du patrimoine immobilier affecté au Sénat[20].
  • No 22 : adresse de décès de l'imprimeur Joseph Tastu en 1849. Emplacement, en 1885, de La Librairie artistique de l'éditeur Henri Launette[21].
  • Nos 26-36 : une partie de l’immeuble relève du patrimoine immobilier affecté au Sénat[20].
  • No 32 : Jean Anouilh et Monelle Valentin y habitèrent entre 1932 et 1939[22].
  • No 36 : en 1793, Jean-François-Thérèse Chalgrin y installa une des seize plaques en marbre dans lesquelles était gravé le mètre étalon. À l'origine, celle-ci devait être posée rue de Tournon. Dans cet immeuble se trouvait l’imprimerie Béthune et Plon. C'est ici que l'imprimeur éditeur Joseph Tastu (1787-1849) installe son imprimerie en 1821[23], en compagnie de son épouse Amable Tastu (1795-1885), écrivaine.
  • No 37 : les comtesse hongroises Blanche et Emma Teleki y vécurent ; une plaque leur rend hommage.
  • No 41 bis (démoli) : domicile parisien du comte de Montlosier (1755-1838)[24].
  • Nos 40 et 42 : embouchure de la rue Servandoni, précédemment rue des Fossoyeurs.
    Face à cette rue fut fondé, en 1622, le premier couvent parisien de bénédictines de Notre-Dame du Calvaire dit « couvent des filles du Calvaire[25] ». Pour le distinguer du second couvent de Notre-Dame du Calvaire parisien, érigé en 1634 dans le quartier du Marais, il est aussi désigné sous les noms de « couvent du Petit-Calvaire[26] » et, plus rarement, sous celui de « couvent du Petit-Luxembourg ». Établi sous la haute protection de Marie de Médicis, à l'instigation du père Joseph (1577-1638), le couvent des filles du Calvaire de la rue de Vaugirard était attenant à la façade ouest de l'hôtel particulier dit Petit Luxembourg[27], dans l’enceinte même des terres acquises par la reine mère (actuel jardin du Luxembourg) pour la construction du palais du Luxembourg (achevé en 1625).
  • No 46 : immeuble relevant du patrimoine immobilier affecté au Sénat[20].
  • No 47 bis : l'historien Albert Sorel y est mort en 1906 ; deux plaques lui rendent hommage.
  • No 48 : le compositeur Jules Massenet meurt dans cet immeuble le . Une plaque lui rend hommage.

Plaque rendant hommage à Édouard Branly qui, dans cet ancien couvent des Carmes, a découvert la radioconduction (1888-1890).

Entre le boulevard Pasteur et la porte de Versailles : ancienne grande rue de Vaugirard[modifier | modifier le code]

La rue de Vaugirard (visible au fond) longe la place Geneviève-de-Gaulle-Anthonioz où se trouvent deux fontaines Wallace.
No 213.
Bâtiment commercial à la façade Art déco au 272, rue de Vaugirard.
  • No 279 : ateliers de Jean Barillet (1912-1997), maître verrier français, fils de Louis Barillet[63].
  • No 285 : appartement de Michel Foucault de 1970 à sa mort en 1984[64].
  • No 289 : le philosophe Michel Foucault y vécut ; une plaque lui rend hommage.
  • No 297 : le dramaturge et scénariste Steve Passeur (1899-1966) y habite lors de son mariage avec Renée Passeur en 1934[65]
  • No 310 : chapelle des sœurs de la Charité dominicaines de la Présentation de la Sainte-Vierge de Tours. Emplacement de l'ancien orphelinat Saint-Charles, créé en 1854 par l'abbé Bayle pour recueillir les enfants devenus orphelins à la suite des premiers pandémies de choléra. Un panneau Histoire de Paris, placé vers le no 397 de la rue, sous le viaduc de la Petite Ceinture du 15e, le rappelle.
  • No 340 : emplacement, en 1843, lors de sa fondation, de l'ouvroir de Notre-Dame-de-la-Miséricorde, atelier de travail créé à l'initiative des dames de l'Œuvre des prisons et confié aux sœurs de Marie-Joseph pour soutenir et loger des jeunes filles sortant de la prison de Saint-Lazare après y avoir purgé leurs peines et qui montraient de bonnes dispositions[66].
Ancien cinéma de quartier, 349, rue de Vaugirard.

Divers[modifier | modifier le code]

  • « Vaugirard » est aussi l'ancienne appellation de l'École nationale de photographie et cinématographie, aujourd'hui, École nationale supérieure Louis-Lumière.
  • La rue Vaugirard fait partie des emplacements à acheter dans l'édition française du jeu de Monopoly.
  • Une partie de l'action de l'album S.O.S. Météores de Blake et Mortimer se déroule au n°69 bis. Néanmoins, les dessins du porche d'entrée reprennent l'entrée du n°58[75].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. L'avenue Daumesnil fait 6 270 mètres au total mais seulement 3 400 mètres dans Paris intra-muros, son extension étant dans le bois de Vincennes, rattaché administrativement au 12e arrondissement de Paris, mais au-delà des limites historiques de la ville.
  2. Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, Éditions de Minuit, p. 601-609.
  3. [PDF] « Carte de la Lutèce gallo-romaine (IIIe siècle »), sur l'Atlas historique de Paris.
  4. a b c d et e Félix et Louis Lazare, Dictionnaire administratif et historique des rues de Paris et de ses monuments, Éditions Maisonneuve & Larose, 1855, p. 658 [lire en ligne].
  5. Ibid., p. 398 [lire en ligne].
  6. Jean Junié, Plan des paroisses de Paris avec la distinction des parties éparses qui en dépendent dressé par J. Junié, ingénieur géographe de Monseigneur l’Archevêque et géomètre des Eaux et forêts de France en 1786, service des Travaux historiques de la Ville de Paris, 1904 ([lire en ligne]).
  7. Adolphe Alphand (dir.), Adrien Deville et Émile Hochereau, Ville de Paris : recueil des lettres patentes, ordonnances royales, décrets et arrêtés préfectoraux concernant les voies publiques, Paris, Imprimerie nouvelle (association ouvrière), (lire en ligne), « Classement de rues dans la zone annexée à Paris », p. 338.
  8. Ibid., p. 381.
  9. Vaugirard sur l'Atlas historique de Paris.
  10. Cadastre révisé des communes annexées (1830-1850), commune de Vaugirard, tableau d'assemblage Toutes sections, échelle 1/10000, cote CN/203.
  11. Le prolongement a été ouvert en 1911 (décret du 23 janvier 1908).
  12. Excelsior du 9 janvier 1919 : Carte et liste officielles des obus lancés par le canon monstre et numérotés suivant leur ordre et leur date de chute
  13. « Lieux de mémoire américains à Paris », sur usembassy.gov (consulté le ).
  14. Œuvres complètes de Casimir Delavigne, 1855, p. 558.
  15. « La cité audacieuse, un lieu unique pour les femmes », paris.fr, mise à jour le 1er mars 2023.
  16. Paul Alexis, Émile Zola. Notes d’un ami, chapitre V : « La lutte littéraire », sur Wikisource.
  17. Ministère des Beaux-Arts, Salon de 1870, Paris, 1870, p. 238.
  18. « Palais du Luxembourg, actuellement Sénat », notice no PA00088653, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  19. Gilbert-Robert Delahaye, « Masques humains et Sainte Face sur les antéfixes de l’Antiquité et du Haut Moyen Ȃge », Data Persée.
  20. a b et c « Règlement du Sénat et instruction générale du bureau », Sénat, 1er novembre 2021.
  21. Cent dessins de maîtres, Paris, H. Launette, 1885.
  22. Bernard Beugnot, Chronologie, in Jean Anouilh, Théâtre – I, Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade (2007) p. XLVI (ISBN 978-2070115877).
  23. « Tastu, Joseph (1787-1849) », sur idref.fr (consulté le ).
  24. Henri Dulac, Almanach des 25000 adresses des principaux habitans de Paris pour l’année 1835, 1835.
  25. Voir par exemple le plan de Turgot (1739).
  26. La Clef du cabinet des princes de l’Europe ou recuëil historique & politique sur les matières du tems, tome 85, impr. André Chevalier, janvier 1772, p. 153 (en ligne)
  27. Photographie des vestiges de l’ancien couvent des filles du Calvaire vus depuis le jardin du Luxembourg, prise vers 1903/1920 par Eugène Atget (en ligne) sur le site gallica.bnf.fr.
  28. « Paris, hôtel Guistel, 58, rue de Vaugirard (VI arr.) », Institut national d’histoire de l’art (INHA).
  29. « Hôtel Guistel, 58, rue de Vaugirard, 6ème arrondissement, Paris », Paris Musées.
  30. « La mort d’Hugues Le Roux », Le Petit Journal, , sur RetroNews.
  31. (en) « Zelda and Scott in Paris », American Girls Art Club in Paris.
  32. « Boucherie ancienne », notice no PA00088492, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. « Couvent des Carmes (ancien) », notice no PA00088501, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. Henri Dumesnil, Aimé Millet, souvenirs intimes, Paris, Lemerre, 1891, p. 12.
  35. « École (ancienne) », notice no PA00088506, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. Archives de Paris, carton: 6 AZ 1375
  37. « Les lieux hugoliens, no 9 », victorhugo2002.culture.fr.
  38. « Ferdinand Glaize, architecte », sur lartnouveau.com (consulté le ).
  39. « 95, rue de Vaugirard », sur pss-archi.eu.
  40. « À travers Paris », Le Figaro, 5 avril 1902, p. 1.
  41. Jacques Hillairet, Les 200 cimetières du Vieux Paris, Paris, Édition de Minuit, , Page 177.
  42. « Chapelle Notre-Dame-des-Anges) », notice no PA00088498, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. a et b Panneau Histoire de Paris, 104 rue de Vaugirard.
  44. Étienne Sassi, Marthe Orant, 1874-1957 - L'amour passionné de la peinture, Éditions Van Wilder, 1989.
  45. « Accueil | Forum 104 », sur www.forum104.org (consulté le )
  46. Félix et Louis Lazare, Dictionnaire administratif et historique des rues de Paris et de ses monuments, Paris, 1844, p. 44 (livre numérique Google).
  47. « Le monastère de la Visitation et sa vacherie, unique à Paris, bientôt victimes d’une opération de densification », sppef.fr, 1er septembre 2020.
  48. Claire Bommelaer, « Le monastère de la Visitation au cœur d'une polémique patrimoniale parisienne », Le Figaro, encart « Le Figaro et vous »,‎ 16-17 janvier 2021, p. 31 (lire en ligne).
  49. Sarah Belouezzane et Laurent Telo, « Le monastère de la Visitation, à Paris, au cœur d’une bataille entre le diocèse, Gérard Depardieu et des défenseurs du patrimoine », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  50. Françoise Woimant, Marie-Cécile Miessner et Anne Mœglin-Delcroix, Estampes et livres d'artistes, B.N.F., 1992, p. 111.
  51. « Le Centre Quaker à Paris », sur quakersenfrance.org (consulté le ).
  52. « Draeger (firme) » sur data.bnf.fr.
  53. Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris.
  54. Gravure du moulin de la Pointe sur le chemin de Vaugirard, www.parisenimages.fr.
  55. Procès-verbal de la Commission municipale du Vieux Paris, 1898, 7.djvu/29.
  56. Page consacrée à l'ancienne brasserie Moritz, didier93.chez-alice.fr.
  57. Michel Périn, « Naissance dans le XVe d’une multinationale, la Thomson », Vaugirard-Grenelle, Paris, Société historique et archéologique de Paris XVe, no 4,‎ (résumé).
  58. Brigitte Hermann et Sophie-Marguerite, Paris 15e. Balades et bonnes adresses, Paris, Christine Bonneton éditeur, , 224 p. (ISBN 9782862534923), p. 125.
  59. Solenn de Royer, « Rue de Vaugirard, le vaisseau fantôme de LR », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  60. Lucien Lambeau, Histoire des communes annexées à Paris - Vaugirard, Paris, Ernest Leroux, Éditeur, , page 398.
  61. « La surélévation de cet immeuble parisien déclenche la fronde des voisins », sur Le Figaro (consulté le ).
  62. Elodie Soulié, « Cet immeuble devrait grimper… de 8 étages ! », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  63. « Entre autres œuvres… », notice no IA41000038, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  64. « Foucault et le XVe arrondissement », sur www.paris15histoire.com.
  65. Acte no 642 (vue 18/31), registre des mariages de l'année 1934 pour le 7e arrondissement sur le site des Archives de Paris.
  66. Eugène Pottet, Histoire de Saint-Lazare, Babelio, coll. « XIX », 26 janvier 2016 lire en ligne.
  67. Brigitte Hermann, Sophie-Marguerite, Paris 15e. Balades et bonnes adresses, Paris, Christine Bonneton, , 224 p. (ISBN 9782862534923), p. 12.
  68. « Aviatic Bar », notice no PA00086643, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  69. « Savez-vous pourquoi il y a des immeubles plats à paris ? On vous raconte l’histoire de ces bâtiments extraordinaires qui ressemblent à des restes de décors de cinéma ! », sur Zig Zag Paris (consulté le )
  70. « Culture : L’histoire des immeubles plats de Paris ! », sur Paris secret, (consulté le )
  71. Brigitte Hermann et Sophie-Marguerite, Paris 15e. Balades et bonnes adresses, Paris, Christine Bonneton éditeur, , 224 p. (ISBN 978-2-86253-492-3), p. 15.
  72. « Collège des jésuites de l'Immaculée Conception (ancien) », notice no PA00086661, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  73. Lycée autogéré de Paris, www.l-a-p.org.
  74. N. M., « Le lycée autogéré renaitra de ses cendres… », Le Monde libertaire, no 1360,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  75. « SOS Météores : Blake et Mortimer "en vrai" ».

Annexes[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Lien externe[modifier | modifier le code]