Rions — Wikipédia

Rions
Rions
La mairie (nov. 2012).
Blason de Rions
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes Convergence Garonne
Maire
Mandat
Vincent Joineau
2020-2026
Code postal 33410
Code commune 33355
Démographie
Gentilé Rionais
Population
municipale
1 500 hab. (2021 en diminution de 4,46 % par rapport à 2015)
Densité 141 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 39′ 52″ nord, 0° 21′ 03″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 117 m
Superficie 10,65 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de l'Entre-Deux-Mers
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Rions
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Rions
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Rions
Liens
Site web www.rions.fr/

Rions (prononcé [ʁijɔ̃s]) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Située sur la rive droite de la Garonne entre Cadillac et Langoiran dans la zone AOC des premières côtes de Bordeaux, la commune, qui fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, se trouve à 30 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 17 km au nord-ouest de Langon, chef-lieu d'arrondissement et à 4,5 km au nord-ouest de Cadillac-sur-Garonne, ancien chef-lieu de canton[Note 1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes en sont Paillet au nord-ouest, Villenave-de-Rions au nord-nord-ouest sur environ 300 mètres, Cardan au nord, Soulignac au nord-nord-est sur environ 600 mètres, Escoussans au nord-est, Laroque à l'est et Beguey au sud-est ; sur la rive gauche de la Garonne se trouvent Podensac au sud et Virelade à l'ouest.

Communes limitrophes de Rions
           Villenave-de-Rions
Paillet
Cardan Soulignac          
Escoussans

Virelade    Rive gauche

                                        de la
Rions Laroque
Garonne                    

Podensac
Béguey

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 1 065 hectares ; son altitude varie de 2 à 117 mètres[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est arrosée par la Garonne et son affluent la Barboue. Une partie de Île de Raymond était située sur le territoire de la commune.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 839 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Sauternes à 15 km à vol d'oiseau[5], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 859,6 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Rions est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (73,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (65 %), forêts (13,9 %), terres arables (8,7 %), eaux continentales[Note 4] (7,6 %), zones urbanisées (4,7 %), prairies (0,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

L'accès à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) le plus proche est le no 2, dit de Podensac, qui se situe à 9,5 km vers le sud-ouest.

L'accès no 1, dit de Bazas, à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 31 km vers le sud-sud-est.

Les gares SNCF les plus proches sont celles de Podensac et de Cérons sur la ligne Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine, toutes deux distantes de 5,5 km et sur la rive gauche de la Garonne. Sur la même ligne mais offrant plus d'opportunités de liaisons, la gare de Langon se situe à 16 km par la route vers le sud-est.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Rions est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Garonne et la Barboue. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1999, 2009 et 2014[17],[15].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des éboulements, chutes de pierres et de blocs et des tassements différentiels[18]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Rions.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 752 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 752 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1990, 1991, 2003 et 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la ville vient du mot latin Riuncium[21] qui signifie « bâti sur le roc » ; ce nom est d'ailleurs sculpté sur le frontispice de la mairie.

En gascon, la graphie du nom de la commune est identique.

Ses habitants sont appelés les Rionais[22].

Histoire[modifier | modifier le code]

En 1295, la ville est assiégée et prise par Charles de Valois[Note 5] comte de Valois qui rase les défenses existantes. Édouard III d'Angleterre reprend la cité en 1313[23] et autorise Guillaume Seguin, seigneur de Rions, à entourer la ville de remparts[24]. Rions devient ainsi un des fortins anglais de Guyenne.

Plan de Rions en 1330
Dessin de Léo Drouyn (1865)

En 1327, le seigneur de Rions, Guillaume Seguin, sans descendance, devenu aveugle, ne peut plus assurer la défense de son château. Il faut pour cela un homme jeune et en pleine possession de ses moyens. Le , Guillaume Seguin donne en fief à Bérard Ier de Vayres, de la famille d'Albret, la seigneurie de Rions et les droits qu'il possède dans les paroisses avoisinantes. Les deux hommes sont cousins germains, la mère de Guillaume, Mathe d'Albret, étant la sœur du père de Bérard, Amanieu VII d'Albret, ce qui justifie la donation. Guillaume Seguin conserve en viager l'usufruit des revenus de la seigneurie et Bérard règle ses dettes. Après le décès de Guillaume Seguin, Bérard entre effectivement en jouissance de ces revenus[25].

Sur la fin de la guerre de Cent Ans, en 1451, soit deux ans avant la bataille de Castillon, la cité tombe aux mains des troupes françaises et se soumet au roi Charles VII[26].

À la Révolution, la paroisse Saint-Seurin de Rions forme la commune de Rions[27].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1874 1900 Comte Ferdinand Cardez   Négociant en vins, châtelain de Jourdan
         
1913 1941 Albert Dufourg[Note 6]    
       
1983 1989 Jacques Guillot de Suduiraut   Viticulteur, châtelain de Jourdan
       
mars 2001 mars 2014 Jean Despujols    
2014 mai 2020 Jean-Claude Bernard MoDem Retraité Fonction publique
mai 2020 En cours Vincent Joineau[28]    
Les données manquantes sont à compléter.

Le , devant la volonté de Jean-Claude Bernard, maire de Rions, de mettre au vote deux délibérations visant à vendre le bâtiment du Cercle populaire de Rions, plus de 150 personnes viennent manifester lors du Conseil municipal leur attachement à ce haut-lieu patrimonial de la commune et leur volonté de le garder public. La foule ayant envahi la mairie, le maire cède et annule les deux délibérations. Le maire propose un débat dans la foulée du conseil municipal. En dépit d'échanges fermes et cordiaux, le maire, esseulé, campe sur ses décisions. Depuis lors, le conflit demeure entre le maire remettant en cause la légitimité d'initiatives d'habitants et ces derniers, las d'être méprisés par la municipalité.

Pour faire taire l'opposition, il bannit de la page facebook de la mairie près d'une quinzaine de Rionnais.

En 2019, la campagne électorale oppose le maire sortant à Vincent JOINEAU. Son opposant, Vincent JOINEAU, emporte largement les élections municipales du 15 mars 2020.

Refusant de reconnaître sa défaite, le candidat battu, fait un recours devant le tribunal administratif, qu'il perd. Il est condamné à verser 1000 euro au nouveau maire. Refusant de reconnaître cette nouvelle défaite, il multiplie les procédures judiciaires et déclarations outrancières et harcèle le Conseil municipal. Au cours du mandat, il multiplie les plaintes et les recours qu'il perd à chaque fois. En 2022, il est condamné à verser des dommages et intérêts à la commune de Rions pour recours excessif et injustifié.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

En 2021, la commune comptait 1 500 habitants[Note 7], en diminution de 4,46 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4201 4201 5201 2841 3161 2971 1641 2001 190
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1721 2401 2531 3541 4391 3551 2711 3121 257
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2901 3181 2141 1471 0371 1451 087927825
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
8809419891 2721 3791 4401 5181 5141 581
2015 2020 2021 - - - - - -
1 5701 5091 500------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Une épitaphe romaine en marbre, datée du , actuellement déposée au Musée d'Aquitaine de Bordeaux. Elle porte l'inscription :TITVLVM BENE QUI/ESCENTI IN PACEM IV/LIANO QVI RECES/SIT VII K(A)L(ENDAS) IVNIAS/TATIANO CONSVLE : Inscription en l'honneur de Julianus qui repose bien en paix et mourut le 7 des calendes de juin sous le consulat de Tatien.
  • Église Saint-Seurin, construite au XIIe siècle en style roman, classée au titre des monuments historiques en 1908[33].
  • Enceinte de Rions bâtie en 1330 par Guillaume Seguin, seigneur de Rions, classée au titre des monuments historiques en 1862[24], et dont restent aujourd'hui :
    • la tour du Lhyan, imposante entrée sud de la ville, restaurée en 1881,
    • la Citadelle, tour carrée datée du XIVe siècle, dressée face à la Garonne et vestige d'un ensemble défensif important,
    • les remparts du flanc ouest de la cité, attenants à la Citadelle et au pied desquels se trouve la grotte dite Charles VII et sa source où le roi serait venu se reposer et se désaltérer après la bataille de Castillon[34],
    • la tour du Guet dans une petite rue à l'arrière de l'église Saint-Seurin,
    • deux fossés parallèles séparés par une étroite langue de terre surmontée d'un chemin de ronde, à proximité de la tour du Lhyan.
  • Halle dite « aux petits pois[34] », du XVIIIe siècle, à l'angle de la rue Lavidan et de la rue des Remparts
  • Le Monastère du Broussey constitue la première refondation de l'ordre des Carmes déchaux après la Révolution française, le  ; le monastère abrite une communauté de frères carmes et une communauté de sœurs du Carmel apostolique Notre-Dame de Bethléem[35].
  • Cercle populaire de Rions, café associatif créé au XIXe siècle par des habitants de la commune. Tombé en déshérence au cours des années 1990, le bâtiment est racheté par la Communauté de communes du vallon de l'Artolie en 2013. Trois ans plus tard, des habitants de Rions obtiennent l'accord de la Communauté de communes pour réhabiliter le café associatif dans une partie des locaux. En 2018, le maire de Rions, Jean-Claude Bernard, décide unilatéralement de fermer le bâtiment pour raison de sécurité. Il refuse aux habitants et bénévoles du Cercle toute alternative à la fermeture. Il reconnait au cours de l'été 2018 sa responsabilité dans le délitement de l'animation sociale du bourg.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes

Les armes de Rions se blasonnent ainsi :

Taillé, au premier d'or aux deux vaches de gueules passant l'une sur l'autre, au second d'or aux trois pals de gueules.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 30,3 km pour Bordeaux, 11,1 km pour Langon et 2,6 km pour Cadillac. Données fournies par lion1906.com, consulté le 19 novembre 2012.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Charles de Valois est le fils du roi de France Philippe le Hardi et d'Isabelle d'Aragon, le frère de Philippe le Bel et le père de Philippe IV qui succédera aux célèbres rois maudits.
  6. Nom d'une avenue à proximité de la mairie
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Rions et Sauternes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Sauternes » (commune de Sauternes) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Sauternes » (commune de Sauternes) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Rions », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Rions », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. Le Patrimoine des Communes de la Gironde, p. 476.
  22. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 17 novembre 2011.
  23. Rions, période antérieure à 1789 sur le site du tourisme de la Vallée du Ciron, consulté le 17 novembre 2012.
  24. a et b « Classement de l'enceinte de Rions », notice no PA00083702, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 23 novembre 2012.
  25. Jean Bernard Marquette, Les Albret. L'ascension d'un lignage gascon (XIe siècle - 1360), Pessac, Ausonius, coll. « Scripta Mediaevalia » (no 18), , 702 p. (ISBN 9782356130389), p. 182-184.
  26. Le Patrimoine des Communes de la Gironde, p. 477.
  27. Historique des communes, p. 44, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 10 avril 2013.
  28. « Welcome to nginx! », sur cafeyn.co (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « Classement de l'église Saint-Seurin », notice no PA00083701, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 23 novembre 2012.
  34. a et b Le Patrimoine des Communes de la Gironde, p. 478.
  35. Le Monastère du Broussey sur le site du monastère, consulté le 5 octobre 2019.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Aude Guiheneuc et Rémy Toulouse, Le Patrimoine des Communes de la Gironde, t. 1, Paris, Éditions Flohic, , 816 p. (ISBN 2-84234-125-2)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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