René Puissesseau — Wikipédia
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Nom de naissance | Georges René Puissesseau |
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René Puissesseau, né le dans le 14e arrondissement de Paris et décédé le à Siem Reap[1], est un journaliste, grand reporter français de l’ORTF.
Biographie[modifier | modifier le code]
René Puissesseau dirige longtemps le service politique de France-Soir.
En 1957, il reçoit le prix Albert-Londres pour ses reportages réunis sous le titre Quelqu'un mourra ce soir aux Caraïbes.
Il participe ensuite au célèbre magazine télévisé Cinq colonnes à la une.
Il disparaît à 50 ans, au Cambodge à Siem Reap dans l'exercice de ses fonctions, tout comme Raymond Meyer (26 ans), cameraman. Alain Clément, le preneur de son, est le seul membre du trio à ne pas être victime des balles tirées à leur sortie du temple d'Angkor Vat.
Mémoire et postérité[modifier | modifier le code]
Le nom de René Puissesseau est inscrit sur le Mémorial des reporters de Bayeux[2], ainsi que sur le monument à la mémoire des trente-sept correspondants et journalistes tués ou portés disparus pendant la guerre du Cambodge entre 1970 et 1975, élevé à Phnom Penh en 2013[3].
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Archives en ligne de Paris 7e, année 1973, acte de décès no 316, cote 7D 279, vue 29/31.
- « La mairie de Bayeux et Reporters sans frontières inaugurent le mémorial des reporters | Reporters sans frontières », sur RSF, (consulté le )
- (en) AFP, « Memorial for Cambodia war journalists opened », sur Arab News, (consulté le )
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
- Journalistes, photographes et correspondants de guerre portés disparus ou tués en Indochine pendant la guerre du Viêt Nam : Claude Arpin - Francis Bailly - Gilles Caron - Marc Filloux - Sean Flynn - Henri Huet - Taizo Ichinose - Dana Stone