René Follet — Wikipédia

René Follet
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René Follet, dit Ref, né le à Woluwe-Saint-Lambert (province de Brabant) et mort le à Bruxelles (région de Bruxelles-Capitale), est un illustrateur et dessinateur de bande dessinée belge. L'œuvre de René Follet s'inscrit dans la lignée de celle de Pierre Joubert.

Biographie[modifier | modifier le code]

Débuts[modifier | modifier le code]

René Follet naît le à Woluwe-Saint-Lambert, une commune bruxelloise[1]. Vers la fin de la Seconde Guerre mondiale, René Follet est inscrit au collège Saint-Michel de Bruxelles.

Grâce à un professeur jésuite auprès de qui il étudie, et qui connaît le créateur de Tintin par Le Petit Vingtième, il a l'occasion de rencontrer pour la première fois Hergé, qui lui donne des conseils et le rassure sur ses capacités à dessiner.

À l'âge de quinze ans, alors que René Follet est encore scolarisé, un ami de son père le met en relation avec une petite agence de publicité. Follet lui fournit les crayonnés pour une série d'une soixantaine de chromos destinés à illustrer le roman de Robert Louis Stevenson L'Île au trésor, sixième album de La bibliothèque du chocolat Aiglon. Ces chromos, qui se trouvaient dans les emballages des tablettes de chocolat, étaient collectionnées par les enfants puis collées dans un album. Simultanément, il illustre des récits d'aventure et de guerre pour le magazine OK.

Les publications scoutes[modifier | modifier le code]

Il dessine également pour Plein Jeu, revue des scouts de Belgique dirigée par Jean-Jacques Schellens ; cette revue a fait débuter de nombreux dessinateurs belges : Franquin, Mitacq, Peyo, Will et c'est dans Le Boy-Scout belge, le prédécesseur de Plein Jeu, qu'Hergé créa en 1926 Les Aventures de Totor, C. P. des Hannetons.

René Follet travaille aussi pour Scouts de France, la revue dont Pierre Joubert est l'illustrateur attitré. En 1956, sous le titre Reflets d’histoire sur la loi scoute, il illustre sous son pseudonyme de Ref, les différents articles de la Loi scoute, tout au long des douze pages du calendrier des scouts Baden-Powell de Belgique. Par l'intermédiaire de Joubert, il dessine également au profit des Éditions Alsatia dans la collection « Signe de Piste » ; collaboration qui sera renouvelée dans les années 1980 avec le Nouveau Signe de Piste.

Il s'inscrit dans la lignée de dessinateurs attachés au scoutisme, prenant la relève de l’illustrateur belge Pierre Ickx, qui a inspiré Pierre Joubert, créateur des couvertures de la fameuse collection « Signe de Piste », mais aussi de MiTacq, le dessinateur de La Patrouille des Castors[2].

La bande dessinée chez Tintin et Spirou[modifier | modifier le code]

En 1949, à quelques mois d'intervalle, il commence à fournir des dessins parallèlement pour les hebdomadaires belges rivaux Tintin[3] et Spirou[4]. Ces premiers travaux sont des illustrations pour du rédactionnel, des contes, ou encore des nouvelles, mais très vite apparaissent les premières planches de bandes dessinées, d'abord sous le pseudonyme de « Ref », puis sous son véritable nom.

En 1951, Spirou lance Les Histoires vraies de l'oncle Paul. Le temps d'une petite dizaine de récits, René Follet y met notamment en images Le Radeau de la Méduse, La Tranchée des baïonnettes, Mozart. Certains de ces courts récits seront publiés dans les recueils reprenant les meilleures histoires. Dans Tintin ensuite, Follet dessine des récits authentiques en quatre planches, l'équivalent maison des Belles histoires de l'oncle Paul, ainsi que des petites histoires complètes, dont le western Rocky Bill sur un scénario d'Yves Duval. En 1968, il dessine S.O.S. Bagarreur , une histoire maritime dont le scénario est de Maurice Tillieux et qui paraît dans Spirou. En 1974, il crée Ivan Zourine sur un scénario de Jacques Stoquart dans Tintin, c'est sa première série à suivre[5]. En 1977, il participe au Trombone illustré (supplément de Spirou nos 2032 et 2051) en illustrant deux contes courts de Fredric Brown (Le Condamné) et de Shin Ichi Hoshi (Bokko-chan). Entre 1985 et 1987, Spirou publie à nouveau les douze épisodes de 10 planches chacun de la série Les Zingari, créée sur un scénario d'Yvan Delporte pour Le Journal de Mickey[6] et précédemment publiés dans ce magazine entre 1971 et 1973[7].

Les crayonnés pour Mitacq et Vance[modifier | modifier le code]

Mitacq[modifier | modifier le code]

Au début des années 1960, Mitacq dessine deux séries de front, La Patrouille des Castors dans Spirou, et une nouvelle série plus adulte lancée dans Pilote, Jacques Le Gall. Pour arriver à tenir ce rythme de production très soutenu de deux planches par semaine, Mitacq fera régulièrement appel à René Follet, moins surchargé que lui, qui l'aidera en réalisant des crayonnés de planches.

Cette collaboration commence vers 1963, avec la 4e aventure de Le Gall, La Déesse noire[8], se poursuit avec la seconde moitié du 5e album, Le Secret des templiers[9], et enfin en 1966 avec le 6e et dernier Le Gall, Les Naufrageurs, où les vingt premières pages sont cosignées Follet + Mitacq[10]. L'encrage final de Mitacq sur ces différentes planches crayonnées ne gommera pas totalement le travail de Follet. Son style, les poses et attitudes des personnages, les visages restent reconnaissables malgré le travail de mise à l'encre.

Lorsque la série Jacques Le Gall cesse, jugée trop classique pour la nouvelle formule du journal Pilote, Mitacq lance alors, dans Le Journal de Spirou, Stany Derval, reporter de télévision. Pour Le Trésor de Montorgueil, première histoire de Derval, parue en 1968, Follet réalise quelques crayonnés[11]. En 1973 sur Les Galops de l'enfer, il cosigne à nouveau avec Mitacq les planches 7 à 10, et 12 à 33[12].

William Vance[modifier | modifier le code]

René Follet et Vance ont habité longtemps le même quartier de Bruxelles, à Uccle, jusqu'à ce que ce dernier parte s'installer en Espagne. Leur collaboration commence dans les années 1970, sur les séries Bob Morane, Bruno Brazil, puis plus tard ce sera Bruce J. Hawker et les deux premiers volumes de Marshal Blueberry. Follet fournit des crayonnés, des esquisses, des études préparatoires pour certaines cases. Vance va retravailler ces crayonnés, changer la composition, le cadrage, ce qui uniformise le style graphique de l'album, mais fait disparaître l'apport de Follet : contrairement aux collaborations avec Mitacq, ces collaborations ne seront jamais mentionnées dans les albums.

Les romans illustrés et les collaborations extérieures[modifier | modifier le code]

Romans[modifier | modifier le code]

À l'époque, les hebdomadaires de bandes dessinées publient encore régulièrement des romans qui s'étalent parfois sur plusieurs mois, et qui sont illustrés tour à tour par les différents dessinateurs du journal : pour Tintin, ce sont plus d'une dizaine de romans qui sont ainsi illustrés entre 1952 et 1960. Pour son premier roman, René Follet prend la suite de Paul Cuvelier sur le western Texas Slim d'Artigues. Suivent notamment deux romans sur des scénarios de Jean-Michel Charlier, Samouraïs du soleil noir et surtout Tempête à l'Ouest, une histoire de cow-boys, dont l'intrigue sera réutilisée quelques années plus tard par Charlier pour les premiers albums de la série Blueberry. Enfin chez Casterman, il illustre des romans et des biographies pour les collections « Tous frères », « Les Albums de l'âge d'or » et « Le Rameau vert ». Follet illustre seulement deux romans pour Spirou, sur des scénarios d'Yves Legros (Xavier Snoeck) : en 1953, Les Compagnons de l'Amazonie, et en 1966, Aile rouge contre Étoile Bételgeuse. En 1962, il collabore à une autre publication des éditions Dupuis, Bonnes Soirées, et y réalise, sous le pseudonyme de Ref, des illustrations pour des nouvelles et des romans (dont Le Comte de Monte Cristo en 48 fascicules, en collaboration avec Jijé). En 1953, il retrouve Jean-Jacques Schellens, devenu entre-temps directeur littéraire des éditions Marabout, et il illustre des romans pour leur nouvelle collection destinée aux adolescents : « Marabout Junior ». Pour les éditions Hachette, il illustre des livres éducatifs sur l'apprentissage de la langue française. Pour Claude Lefranc, il crée des bandes dessinées et illustre des livres sur Les Aventures d'Edmund Bell de John Flanders.

Caravane[modifier | modifier le code]

À partir d', le bimestriel Vivante Afrique, la revue des Pères blancs missionnaires, inclut dans ses pages un nouveau supplément couleur destiné aux plus jeunes : « Caravane ». Ces pages contiennent à chaque numéro, une ou deux histoires ayant pour cadre l'Afrique : L'Évêque volant, Son enfant va mourir, La Chasse au porc-épicetc. Follet va y réaliser pendant plusieurs années des dizaines de numéros, avec de superbes illustrations pleines pages en couleur, pour la couverture ainsi que pour la triple page centrale. Parmi les albums, on peut trouver Le Docteur Lumière (à propos du Père Jean-Louis Goarnisson), Casterman, Paris, 1960, dont le Père blanc Armand Duval est l'auteur.

Le marché néerlandais[modifier | modifier le code]

Pep[modifier | modifier le code]

De 1964 à 1970, Follet collabore régulièrement à un nouvel hebdomadaire néerlandais de bande dessinée, Pep. Il y réalise des illustrations pour des récits, dont deux illustrations de romans de Jack London : L'Appel de la forêt et Pittah le loup gris.

Eppo[modifier | modifier le code]

Ensuite de 1975 à 1982, il travaille pour l'hebdomadaire néerlandais Eppo. Follet y crée Steven Severijn qui reste à ce jour sa plus longue série de bande dessinée puisqu'elle compte neuf albums, scénarisés successivement par Yvan Delporte, Jacques Stoquart et Gérard Soeteman. Les trois premiers albums sont publiés par Glénat, et les six derniers sont restés longtemps inédits en français, jusqu’à la parution de l’intégrale de la série par les éditions BD Must en [13]. Il s'agit de De dertiende valk (Le Treizième faucon), De jacht van de E-5 (la Mission du E-5), De dochter van de grootvorst (La Fille du grand-duc), Rozen voor Mata Hari (Des roses pour Mata-Hari), De cirkel der gerechtigheid (Le Cercle de justice) et Cowboys en maffia (Cowboys contre mafia). Steven Severijn s'arrête lorsque Follet se rend compte du peu de succès que la série rencontre auprès du public.

Décès[modifier | modifier le code]

René Follet meurt le à Bruxelles à l'âge de 88 ans[14].

Œuvres[modifier | modifier le code]

Publications[modifier | modifier le code]

Pour une bibliographie complète, le lecteur peut se référer à la monographie due à Jozef Peeters, René Follet, un rêveur sédentaire[15].

Illustrations[modifier | modifier le code]

René Follet a réalisé de nombreuses couvertures et illustrations pour des aventures de Bob Morane, ainsi que pour l'intégrale de Bob Morane, publiés par les éditions Ananké et Lefrancq[16].

Couvertures[modifier | modifier le code]

Bandes dessinées[modifier | modifier le code]

En albums[modifier | modifier le code]
En revues[modifier | modifier le code]

Collectifs[modifier | modifier le code]

Artbooks[modifier | modifier le code]

  •  : Du crayon au pinceau, Association des Amis de René Follet, éditions Fabard
  • Hommages aux grands de la bd, Association des Amis de René Follet, novembre 2015
    Scénario, dessin et couleurs : René Follet - (ISBN 978-2-9550728-1-3),
    Cet artbook propose une immersion dans le travail de René Follet, et présente des hommages rendus aux grands de la bande dessinée. Avec humilité, humour, et talent, près de 70 illustrations et dessins rendent hommage à 29 auteurs majeurs (Jacobs, Franquin, Vance, Will, Deliège, Gibrat, Roba, Pratt, Gir, …).
  • Mouvements, Fabard coll. « Spirou - Sélection », novembre 2016
    Scénario, dessin et couleurs : René Follet - (ISBN 978-2-9550728-2-0).

Affiches[modifier | modifier le code]

Discographie[modifier | modifier le code]

  • Pochette du CD Bob Morane, Le Masque de jade, éditions Big Beat Records/Lombard, collection « la BD en CD » ;
  • 2006 : pochette du CD : Jean-Sébastien Bach, Triptyque par l'ensemble La Cetra d'Orfeo[27] ;
  • 2007 : pochette du CD : Folias, Folies Baroques par l'ensemble La Cetra d'Orfeo[27].

Expositions[modifier | modifier le code]

Réception[modifier | modifier le code]

Prix et récompenses[modifier | modifier le code]

Postérité[modifier | modifier le code]

Selon Patrick Gaumer[33] : « Reconnu par ses pairs comme l’un des plus importants dessinateurs réalistes, à l’instar de Paul Cuvelier ou Jijé, dont il adopte le dynamisme et le savoir-faire, René Follet reste néanmoins injustement méconnu du grand public. ».

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Follet, René - biographie © Des ronds dans l'O - bibliographie », sur BD Gest' (consulté le ).
  2. Didier Pasamonik, « Décès de René Follet, un dessinateur vigoureux et un grand illustrateur », ActuaBD,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  3. Bernard Coulange, « Follet René (Ref) dans Tintin », sur bdoubliees.com (consulté le ).
  4. Bernard Coulange, « Follet René (Ref) dans Spirou », sur bdoubliees.com (consulté le ).
  5. Un demi-siècle d’aventures t. 2 : 1970 - 1996, p. 33.
  6. Bernard Coulange, « Follet René dans Journal de Mickey », sur bdoubliees.com (consulté le ).
  7. Gilles Ratier, « René Follet, le flamboyant… (2ème partie) », sur BDzoom, (consulté le ).
  8. Tout Mitacq t. 13, Jacques Legall, le randonneur de l'aventure p. 56, Une aventure aux indes, éd. Dupuis 1996
  9. Tout Mitacq t. 14, Jacques Legall, Les trésors cachés p. 135, Le Secret des templiers, éd. Dupuis 1997.
  10. Tout Mitacq t. 13, Jacques Legall, le randonneur de l'aventure p. 104 à 106, Un travail à quatre mains, éd. Dupuis 1996.
  11. Tout Mitacq t. 9, Stany Derval, à la recherche de l'insolite p. 4, Dupuis, 1994.
  12. Tout Mitacq t. 9, Stany Derval, à la recherche de l'insolite p. 102, Dupuis, 1994.
  13. Gilles Ratier, « L’intégrale de «Steve Severin» de René Follet en 9 albums noir et blanc, à paraître en septembre chez BD Must ! », sur BDzoom, (consulté le ).
  14. Jacques Schraûwen, « René Follet : la disparition d'un dessinateur exemplaire et exceptionnel ! », sur RTBF, (consulté le ).
  15. Jozef Peeters, René Follet : Un rêveur sédentaire, Charleroi, L'Âge d'or, , 175 p. (ISBN 978-2-9600464-6-5 et 2-9600464-6-3).
  16. À propos de Bob Morane et de Signe de piste, entretiens de Pierre Joubert, René Follet, Emmanuel Lepage, William Vance et Henri Vernes, par Stephan Caluwaerts et Michel Jacquemart, éditions Nautilus, 2001.
  17. René Follet (int. par Jean-Pierre Fuéri), « Pleins Feux sur Follet », BoDoï, no 57,‎ , p. 10.
  18. « Les Amis de Buddy Longway », sur BD Gest' (consulté le ).
  19. « Pétition », sur BD Gest (consulté le ).
  20. « L'Oiseau de la paix », sur BD Gest' (consulté le ).
  21. « La B.D. du défi », sur BD Gest' (consulté le ).
  22. « Animaux a(d)mis », sur BD Gest' (consulté le ).
  23. « Images du scoutisme - 50 ans de calendrier FSC », sur BD Gest' (consulté le ).
  24. « Boule et Bill font la fête », sur BD Gest (consulté le ).
  25. « Walthéries », sur BD Gest' (consulté le ).
  26. a et b Bruno Lemaître, « René Follet - biographie, bibliographie, photo, manifestations, affiches », OpaleBD,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. a et b « Discographe », sur lacetradorfeo.com (consulté le ).
  28. a et b « René Follet ou le goût de l'aventure », sur Rouge-Cloître, (consulté le ).
  29. « René Follet - Festival bd BOUM de Blois 2015 », sur surlapointedupinceau.be, (consulté le ).
  30. a et b (en) « René Follet (b. 1931) - Awards », sur Grand Comics Database (consulté le ).
  31. a et b Yanis Miguelanne, « La B.D. en deuil : René Follet nous a quitté », Brussels Star,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. « « Les Voyages d’Ulysse » d’Emmanuel Lepage (avec Sophie Michel & René Follet) : Grand Prix de la Critique ACBD 2017 ! », sur BDzoom, (consulté le ).
  33. Dictionnaire mondial de la bande dessinée 2010, p. 328.

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Livres[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Périodiques[modifier | modifier le code]

  • Jean-Pol Stercq, « La Galerie-photo de Tintin », Tintin, Le Lombard, no 38,‎ .
  • Thierry Tinlot, « Follet : Le Feu sacré », Les Cahiers de la BD, no 88,‎ , p. 37-39.
  • René Follet (interviewé par Christelle et Bertrand Pissavy-Yvernault), « René Follet : un artiste à nu », La Lettre de Dargaud, Dargaud, no 25,‎ , p. 16-17
  • René Follet (interviewé par Frank), « L'invité de Frank : René Follet », DBD, no 3 (cahier no 2),‎ , p. 44-48.
  • René Follet (interviewé par Fabien Tillon), « Follet pasteurisé », Bodoï, LZ Publications, no 88,‎
  • Jean-Pierre Fuéri, « La Galerie des illustres », Spirou, Dupuis, no 3739,‎ .
  • Emmanuel Lepage, « L'hommage d'Emmanuel Lepage », dBD, no 143,‎ , p. 32-33.

Articles[modifier | modifier le code]

  • Gilles Ratier, « René Follet, le flamboyant… (première partie) », BDzoom,‎ (lire en ligne).
  • Gilles Ratier, « René Follet, le flamboyant…(2ème partie) », BDzoom,‎ (lire en ligne).
  • Gilles Ratier, « Hommage à René Follet », BDzoom,‎ (lire en ligne).

Association des Amis de René Follet - AARF[modifier | modifier le code]

  • En , à l'initiative d'une poignée de collectionneurs, l'association des Amis de René Follet est créée, elle a un triple objectif : diffuser l’œuvre de René Follet — par l'édition de livre —, promouvoir le talent de cet artiste en organisant des expositions et de fédérer les amateurs.
    Francis Matthys, « René Follet, illustrateur né », La Libre Belgique,‎ (lire en ligne, consulté le ).


Liens externes[modifier | modifier le code]