Ravières — Wikipédia

Ravières
Ravières
Vue de l'église de Ravières.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Yonne
Arrondissement Avallon
Intercommunalité Communauté de communes Le Tonnerrois en Bourgogne
Maire
Mandat
Bruno Letienne
2020-2026
Code postal 89390
Code commune 89321
Démographie
Population
municipale
719 hab. (2021 en diminution de 10,57 % par rapport à 2015)
Densité 33 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 44′ 07″ nord, 4° 13′ 43″ est
Altitude Min. 179 m
Max. 293 m
Superficie 21,85 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Tonnerrois
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Ravières

Ravières est une commune française située dans le département de l'Yonne, en région de Bourgogne-Franche-Comté. Elle est traversée par le canal de Bourgogne.

Géographie[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par l'Armançon et le canal de Bourgogne selon un axe nord-sud. L'Armançon est barré d'un seuil-déversoir en limite du village de Nuits, qui créé un bassin et une petite cascade. Le canal possède sur la commune un petit port au sud-ouest du bourg et une écluse (no 76) au nord du bourg sur la route d'Ancy-le-Franc.

Le ruisseau de Plainefaux, canalisé dans sa partie traversant le centre-bourg, se jette dans La Petite Rivière, un bras secondaire de l'Armançon, en limite du village.

La plaine à l'ouest du bourg, entre le canal et l'Armançon, est inondée chaque année en hiver, les infrastructures ferroviaires qui la traversent sont adaptées en conséquence (talus et ballast surélevé, ponts pour le passage de l'eau).

Villages, hameaux, lieux-dits, écarts[modifier | modifier le code]

Aucun hameau sur le territoire communal en sus du bourg de Ravières.

Quatre écarts :

- La Malassise (ferme sur le plateau dit des Accins, en limite nord-est de la commune) ;

- La Chapoline (ferme très proche de la précédente, ancien Fief) ;

- Les Larris aux Curés (dans le bois des Brousses) ;

- Les Perrets (entre le canal et les coteaux qui longent le canal au nord du bourg, incluant une maison et un chalet après l'écluse en direction de Chassignelles).

Autres lieux-dits, non habités :

- Les bois : bois de Champoux ; bois des Brousses (incluant l'essart Pion) ; bois communal de Ravières (incluant la Grande Réserve au nord de la RD210 et la Petite Réserve au sud ; la Grande Ligne, la Ligne Ferrée et la ligne des Trois Fayards sont les sentes historiques du bois) ; le Sart (un petit bois contigu à l'ouest du précédent) ; bois du Petit Mont Main et du Grand Mont Main (sur des buttes séparées du Sart par la RD953) ; Garle (partie du bois de Garle sur le territoire communal de Ravières)

- Dans la plaine inondable cultivée à l'ouest du territoire communal : Prairiot (au nord de la voie ferrée entre la Petite Rivière et l'Armançon), les Noues (au sud de la voie ferrée entre la Petite Rivière et l'Armançon), la Lice (entre la Petite Rivière et le canal), Moloise (entre l'Armançon et le canal au nord) et les Laumes (entre le canal et les carrières au sud du bourg)

- Sur les plateaux cultivés au nord du bourg : Sous Pont, la Forêt (ancienne ferme disparue), la Fourtière, Prestalon, la Creusotte et Molle Vau

- Les coteaux : Bardin (coteau boisé d'un des plateaux au nord du bourg), la Côte aux Loups (boisée, du côté des carrières au sud du bourg)

- Les combes : Varenne (où la combe du ruisseau de Plainefaux se raccorde au bourg) ; la combe Joubart et la Vallée aux Biches (qui rejoignent la précédente) ; la combe aux Épousées (sous les carrières au sud du bourg) ; à noter que la RD210 est dite la Rufosse dans la combe cultivée en bas et dite Côte du Boulin dans la partie boisée de la combe en haut.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Chassignelles Stigny Jully Rose des vents
Nuits N Verdonnet
(Côte-d'Or)
Asnières-en-Montagne
(Côte-d'Or)
O    Ravières    E
S
Cry

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 826 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cruzy_sapc », sur la commune de Cruzy-le-Châtel à 14 km à vol d'oiseau[3], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 845,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −21 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Ravières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (47,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (47,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47,6 %), terres arables (36,9 %), zones agricoles hétérogènes (10,2 %), zones urbanisées (2,8 %), mines, décharges et chantiers (2,5 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire[modifier | modifier le code]

Appelé Ribarias au VIIIe siècle puis Raverias au XIIe siècle, parfois Rabiera.

Ravières était un fief fortifié du comté de Tonnerre.

L'enceinte fortifiée qui l'entourait a été rasée en 1591 ainsi que la maison forte située au centre, mais le village possède encore des traces de cette époque (fin XVe, début XVIe) : maisons anciennes et vestiges de l'enceinte.

Au XVIIe siècle, les Clermont étaient marquis de Cruzy et seigneurs de Ravières.

Les villages de Ravières et Nuis (renommé depuis Nuits-sur-Armançon) apparaissent déjà reliés par une route viabilisée sur la carte de Cassini de 1750.

Économie et tourisme[modifier | modifier le code]

L'exploitation de carrières, acheminant la pierre via le canal, était commune dans ce pays de la pierre blanche et participait grandement à l'économie locale. Il reste des dizaines de vestiges de carrières sur le territoire communal et deux sont encore exploitées La scierie de pierres est elle aussi encore en activité (Rocamat, au sud du bourg le long du canal de bourgogne).

La commune ne possède pas de gros employeur ni de commerce de destination mais possède encore (au ) divers commerces de proximité en activité, majoritairement regroupés autour de la mairie : une supérette, une boulangerie, un restaurant, une galerie d'art, un coiffeur, une agence postale, un tabac-presse, une agence bancaire, un studio d’enregistrement.

Un point presse-bazar, une pharmacie, une boucherie et un bar ont fermé au cours des années 2010-2020. La rue principale (rue Camille Rizier) présente diverses cellules commerciales vacantes.

Il existe une petite activité touristique, essentiellement estivale et liée à la rivière Armançon, au port du canal de Bourgogne, aux sites de la commune (voir plus bas) et à ceux des environs (notamment les châteaux de Rochefort, de Nuits et d'Ancy-le-Franc situés dans les communes voisines), qui font du village une halte pour les plaisanciers et les cyclotouristes.

« Ravières en scène », un festival gratuit d'apéro-concerts lancé en 2015 et se déroulant les vendredis soir de juillet et août sur la place de l'Hôtel-de-ville, participe à l'attractivité locale en été.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs de Ravières
Période Identité Étiquette Qualité
1789 1790 Pierre-Nicolas LAMARRE    
1790 1790 Louis Turreau de LINIERES    
1790 1791 Pierre FORESTIER    
1791 1792 Pierre MEAT    
1792 1794 Henri-Julien DUPOTET    
1801 1808 Pierre FORESTIER    
1808 1811 Pierre MEAT    
1812 1816 Pierre FORESTIER    
1816 1837 Edme DAUPHIN    
1837 1843 Rémy ROBIN    
1843 1846 Jean-Pierre Napoléon MIGNARD    
1846 1852 Jules AUDIBERT    
1852 1855 Eugène DAUPHIN    
1855 1858 Jules Audibert    
1858 1876 Joseph Rizier    
1876 1881 Alphonse de CHAPPEDELAINE    
1881 1896 Gustave Alexandre DÉPORT    
1896 1925 Camille RIZIER    
1930 1936 Charles DEPORT    
1930 1936 Claude Jules LOMBARD    
1937 1958 Roger Thoral Aucun Docteur
1958 1965 Démissionnaire en juillet 1965 Henri Bailly Aucun Chef d'entreprise
1965   Jean Gouot Aucun  
      Aucun  
  mars 2001 Jean Truchy   Chef d'entreprise
mars 2001 mars 2008 Gilles Busseau Aucun  
mars 2008 avril 2014 Jean-Claude Gouot Aucun  
2014, 2020 En cours Bruno Letienne   Ouvrier Qualifié

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[15].

En 2021, la commune comptait 719 habitants[Note 3], en diminution de 10,57 % par rapport à 2015 (Yonne : −2,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0791 1951 1391 1291 1721 2411 2261 3131 426
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2671 2831 3671 3481 3861 4831 4691 4541 577
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5501 6321 6421 4201 4531 4201 3071 1701 229
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 1951 2701 1921 062975965889878843
2017 2021 - - - - - - -
736719-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[17].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Pantaléon de Ravières, classée en 1913[18]. État de conservation considéré comme Bon par l'Observatoire du Patrimoine Religieux (ORP).
  • Hôtel de ville construit en 1821
  • Nombreuses maisons des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles.
  • Lavoir de 1829, avec 7 ouvertures, dont la restauration s'est achevée en 2018.
  • Maison bourgeoise appartenant aux héritiers de la famille Davout.
  • Vestiges d'un château XVIe ayant appartenu à la famille des Clermont.
  • Ermitage Deon puis Chapelle funéraire Saint-Roch, Saint Alexandre fin XVIIIe/début XIXe, ou chapelle Davout, car elle abrite la sépulture de cette famille. Sans usage cultuel. État de conservation considéré comme Bon par l'Observatoire du Patrimoine Religieux (ORP).
  • Ancien colombier seigneurial du XVIIIe sur la place Edme Dauphin, transformé en habitation.
  • Écluse no 76 du canal de Bourgogne.
  • Monument aux morts.
  • Plusieurs calvaires.
  • Nombreuses carrières.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Charles-Antoine Bridan (1730-1805), sculpteur né à Ravières et mort à Paris, professeur de l'Académie Royale de Peinture et de Sculpture. Une plaque commémorative est visible sur l'un des côtés de l'hôtel de Ville. Au delà de ses œuvres visibles à Paris, Chartres, Versailles ou Aix-en-Provence, certaines de ses réalisations peuvent être découvertes à proximité de Ravières : le calvaire de Moulin-en-Tonnerrois (calvaire en bois édifié en 1766, classé monument historique et protégé par un édicule en pierre), médaillon sculpté dans l'ancien hôpital de Tonnerre représentant François César Le Tellier (décédé en 1781, ce petit fils du conte de Tonnerre avait souhaité que Bridan réalise son mausolée dont il ne reste aujourd'hui que ce médaillon, visible à gauche du tombeau des Louvois). Une sculpture en pierre de Saint Roch dans l'église saint Pantaléon de Ravières, lui serait hypothétiquement attribuée en tant qu’œuvre de jeunesse.
  • Louis Nicolas Davout, maréchal (1770-1823)
  • Louis Alexandre Edme Davout ( - Étivey, province de Bourgogne-Franche-Comté - Ravières (Yonne)), général de brigade français, frère du maréchal.
  • Chevalier d'Éon, bien qu'il soit né à Tonnerre, à quelques kilomètres de là.
  • Pantaléon Barthelon de Ravières, poète. Il naquit à Ravières et fut recteur du collège de la ville. Du Verdier est le seul biographe qui en ait parlé. Tout porte à sembler qu'il ne jouissait pas d'une grande réputation de son vivant et ses ouvrages furent vraisemblablement oubliés après sa mort. Ses productions consistent en près de trois cents distiques, d'abord composés en latin et qu'il traduisit ensuite en quatrains François. Certains se démarquent par les traits satiriques qu'ils renferment ou par leur but moral.
  • Cécile Simonnet, cantatrice d'opéra, s'est retirée à Ravières où elle est morte (1863-1921).

Galerie[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Ravières et Cruzy-le-Châtel », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Cruzy_sapc », sur la commune de Cruzy-le-Châtel - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Cruzy_sapc », sur la commune de Cruzy-le-Châtel - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  15. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  18. « Église Saint-Pantaléon de Ravières », notice no PA00113798, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.