Régiment d'Hohenlohe (Restauration) — Wikipédia

Soldat suisse et soldat du régiment d'Hohenlohe (en bleu) en 1826.

Le Régiment d'Hohenlohe (en allemand : Regiment Hohenlohe) est un régiment de soldats étrangers servant la France sous la Restauration.

En 1816, le 2e régiment étranger de la Grande Armée qui est devenu « Légion étrangère royale », prend le nom de « Légion d'Hohenlohe » du nom de son chef, le prince Louis Aloy de Hohenlohe-Waldenburg-Bartenstein.

En 1821, il devient le régiment d'Hohenlohe. Ce régiment est dissous le , en même temps que les régiments suisses. Ce licenciement est dû à leur fidélité au roi Charles X[1].

À sa création, la Légion étrangère reprend à son compte une partie des traditions de l’unité. Vers 1830, la cadence du pas des régiments de l’Ancien Régime est lente, en particulier au régiment d'Hohenlohe, ancêtre de la Légion[2]. Cette tradition va ensuite être conservée, donnant ainsi le « pas Légion » bien connu.

Références

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