Premier Amour (film, 1959) — Wikipédia

Premier Amour
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Carla Gravina et Geronimo Meynier dans une scène du film
Titre original Primo amore
Réalisation Mario Camerini
Scénario Agenore Incrocci
Furio Scarpelli
Ettore Scola
Leo Benvenuti
Piero De Bernardi
Mario Camerini
Musique Angelo Francesco Lavagnino
Acteurs principaux
Pays de production Drapeau de l'Italie Italie
Genre Comédie dramatique
Durée 102 minutes (h 42)
Sortie 1959

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

Premier Amour (Primo amore) est un film italien de Mario Camerini sorti en 1959.

Synopsis[modifier | modifier le code]

Les premières expériences collectives et sentimentales d'un groupe de lycéens romains.

Fiche technique[modifier | modifier le code]

Distribution[modifier | modifier le code]

À noter[modifier | modifier le code]

  • Primo amore est le deuxième volet d'une trilogie consacrée à l'adolescence chez Mario Camerini ; les deux autres films étant Vacanze a Ischia (1957) et Via Margutta (1960). On pourra constater que Camerini n'est pas seul, à cette époque en Italie, puisque ses collègues Dino Risi et Alberto Lattuada évoquent eux aussi la jeunesse; l'un dans sa propre trilogie débutée avec Poveri ma belli en 1956, alors que l'autre observe la naissance du sentiment amoureux chez des adolescentes (Guendalina en 1957 et I dolci inganni en 1960).
  • Carla Gravina, débutante au générique de Guendalina, tient ici son premier grand rôle : elle n'a que 17 ans. Elle retrouve Raf Mattioli (Giovani mariti de Bolognini), présent dans le film de Lattuada.
  • On remarque aussi la collaboration des scénaristes Age et Scarpelli, grandes figures de la comédie à l'italienne, ainsi que celle d'Ettore Scola.
  • Primo amore avait beaucoup plu au futur premier ministre démocrate-chrétien Giulio Andreotti, ancien sous-secrétaire délégué aux questions cinématographiques (1947-1953). Celui-ci lui adressa à Camerini une lettre de félicitations dans laquelle il écrivit ceci : « Vous avez su aborder d'une main légère des thèmes extrêmement délicats, en situant ainsi le récit à un niveau quasi poétique, sans pour autant perdre de vue l'attrait pour le public, ni le pouvoir de le distraire. »[1]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Lettre du 27/01/1959, publiée in : Mario Camerini, Éditions du Festival international du film de Locarno, 1992.

Liens externes[modifier | modifier le code]