Point de passage frontalier — Wikipédia

Un point de passage frontalier (PPF, en abrégé ; border crossing point, en anglais) est un lieu situé sur une frontière où le franchissement de cette frontière est autorisé par les autorités compétentes. Bien que situés à l'intérieur du pays, des aérodromes ou aéroports, des ports maritimes et gares ferroviaires peuvent aussi être reconnus comme points de passage frontaliers.

Europe[modifier | modifier le code]

En Europe, le terme point de passage frontalier est défini dans l'article 2, paragraphe 8 de l'Accord de Schengen[1].

Belgique[modifier | modifier le code]

La Belgique compte six points de passage des frontières aériennes[2] et six points de passage de la frontière maritime[3]. S'y ajoutent huit points de passage ferroviaires vers les Pays-Bas, deux vers l'Allemagne, quatre vers le Luxembourg et huit vers la France[réf. nécessaire].

France[modifier | modifier le code]

En France, les points de passage frontaliers sont au nombre de 119 (122 en été) depuis 2021[4],[5] :

Les contrôles sont répartis entre la Police aux frontières (PAF) et la Douane (DGDDI)[6],[7].

L'aéroport de Quimper-Bretagne est un PPF depuis 2012, uniquement de début mai à début septembre, pour permettre la liaison saisonnière Quimper/Londres[8]. L'aéroport de La Môle - Saint-Tropez, de par son trafic aérien international en été, est à nouveau un PPF depuis 2017 mais uniquement du au [9]. L'aéroport du Castellet est également un PPF depuis 2018 mais uniquement durant la période du Grand Prix de France de Formule 1[10].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]