Paschal Grousset — Wikipédia

Paschal Grousset
Fonction
Député de Paris
Seine
-
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Cimetière du Père-Lachaise, Tombe de Paschal Grousset (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Jean-François Paschal GroussetVoir et modifier les données sur Wikidata
Pseudonymes
Docteur Flavius, André Laurie, Philippe Daryl, Léopold Virey, Tiburce Moray, Tiburce MordayVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Autres informations
A travaillé pour
Lieu de détention
signature de Paschal Grousset
Signature
Vue de la sépulture.

Paschal Grousset, né le à Corte (Corse) et mort le à Saint-Mandé[1] — connu également sous les pseudonymes Docteur Flavius, André Laurie, Philippe Daryl, Léopold Virey et Tiburce Moray —, est un journaliste, homme politique et écrivain français.

Il a une formation variée et une vie très mouvementée. Il participe notamment de façon active à la Commune de Paris, avant de devenir député sous la Troisième République.

Biographie[modifier | modifier le code]

Né en Corse, Jean-François Paschal Grousset vécut un temps à Grisolles, village de Tarn-et-Garonne d'où sa famille est originaire. Il devient bachelier après des études secondaires au lycée Charlemagne à Paris. Il étudie ensuite la médecine durant 4 ans, est reçu au concours d’externat en 1865 puis abandonne et se tourne alors vers le journalisme ; il signe ses articles du pseudonyme Philippe Daryl.

La politique[modifier | modifier le code]

Grousset est un opposant résolu au régime impérial (non sans quiproquo, beaucoup le considérant à ses débuts comme bonapartiste, puisque corse). Il devient rédacteur en chef de La Marseillaise d'Henri Rochefort.

L'affaire Victor Noir[modifier | modifier le code]

Son journal prend part à une polémique assez forte entre deux journaux corses. S'estimant diffamé dans un article signé par Pierre-Napoléon Bonaparte, cousin de Napoléon III, Grousset lui envoie ses collaborateurs Victor Noir et Ulric de Fonvielle pour convenir d'une réparation par les armes. La rencontre de Noir et de Bonaparte tourne mal ; Noir est assassiné. Bonaparte est condamné par la Haute Cour de justice à payer des dommages et intérêts. Les journalistes de La Marseillaise Henri Rochefort, Wilfrid de Fonvielle, Olivier Pain et Grousset, eux sont condamnés pour outrage envers l'Empereur durant le procès et emprisonnés à la prison Sainte-Pélagie.

La Commune[modifier | modifier le code]

Malgré ses opinions, il s’engage durant la guerre de 1870. Au moment de la Commune de Paris, il commence une troisième carrière d'homme politique. Le , il est élu membre du Conseil de la Commune par le XVIIIe arrondissement puis est désigné comme délégué aux relations extérieures ; il n'a guère de succès à ce poste et Henri Rochefort dit de lui: « Il avait plus d'extérieur que de relations »[2]. Son engagement politique et son travail dans le journalisme le conduisent à s’occuper des problèmes relatifs à l’enseignement. Il est également membre de la commission exécutive. Il vote pour la création du Comité de Salut public.

Après l'écrasement de la Commune, il est condamné à la déportation en Nouvelle-Calédonie où il arrive en 1872. Il s’en échappe en 1874 en compagnie d'Henri Rochefort, Olivier Pain, Achille Ballière et François Jourde. L'épisode est le sujet du tableau d'Édouard Manet, L'Évasion de Rochefort.

Il rejoint l'Australie puis se réfugie en Angleterre où il enseigne. Il rentre en France lors de l’amnistie de 1880.

La députation[modifier | modifier le code]

En 1893, il devient député socialiste indépendant du 12e arrondissement de Paris et le reste jusqu’à sa mort. Il vote la loi de séparation des Églises et de l'État en 1905. Il est l'auteur de plusieurs mesures favorables aux milieux les plus démunis. On lui doit notamment l'électrification de plusieurs musées et librairies parisiens et leur ouverture tardive ; il espérait par là amener les masses populaires à la culture. Si Grousset est profondément socialiste dans ses idées, il n'est pas pour autant internationaliste, l'engagement à gauche s'inscrivant pour lui dans un cadre avant tout patriotique.

La littérature[modifier | modifier le code]

André Laurie[modifier | modifier le code]

Écrivain pour la jeunesse sous le pseudonyme d'André Laurie, il débute en proposant à l'éditeur Hetzel deux ébauches de romans qui, remaniés par Jules Verne, donneront : Les Cinq Cents Millions de la Bégum et L'Étoile du sud.

Selon Simone Vierne, il aurait « abandonné » de la même manière sous le poids de l'endettement une de ses œuvres à Jules Sandeau, Madeleine[3]. Toutefois cette supposition reste extrêmement douteuse, puisque l'ouvrage en question paraît en 1848[4] (Grousset aurait alors eu 4 ans).

Vient ensuite L'Épave du Cynthia (1885), roman qui est cette fois-ci cosigné avec Verne. On sait aujourd'hui que ce roman a été écrit entièrement par Grousset.

Il va s'affirmer grâce à la série des Vies de collège dans tous les pays et à ses Romans d'aventure toujours édités chez Hetzel, en particulier : L'Héritier de Robinson (1884), Le Capitaine Trafalgar (1886), Les Exilés de la Terre (1887), De New York à Brest en sept heures (1889), Le Secret du mage (1890), Le Rubis du grand Lama (1892), Atlantis (1895), Le Maître de l'abîme (1905) et Spiridon le muet (1909) qui lui vaut le prix Nocturne 2009. On lui doit également une traduction de L'Île au trésor de Robert Louis Stevenson.

Philipe Daryl[modifier | modifier le code]

Il a aussi signé sous le pseudonyme de Philippe Daryl le roman Wassili Samarin (1886) qui, en réalité, a été écrit par son ami Robert Caze. Ce roman était paru auparavant en feuilleton dans le journal Le Temps du au , sous le pseudonyme de Tiburce Moray.

Tiburce Moray et Robert Caze[modifier | modifier le code]

Il semble en l’occurrence qu’il ait utilisé ici son ami Robert Caze pour écrire ce roman, d’après Charles-Joseph Gigandet dans les Actes de la société jurassienne d'émulation de 1916, p. 59-61 : « Wassili Samarin, signé Tiburce Moray, paraissant dans Le Temps, vers 1884, si je me rappelle bien. Je me mis par hasard à parcourir ce feuilleton et fus très intrigué en voyant que l'action se passait à Berne et à Porrentruy en reconnaissant l'exactitude des descriptions. Quelque temps après, étant allé voir Robert Caze dans son appartement de la rue Rodier, je lui fis part de la chose. Pour toute réponse, il tira du meuble où s'entassaient ses manuscrits et ses plans de romans, un gros cahier rempli de sa claire, régulière, élégante écriture. C'était Wassili Samarin ! Pourquoi Philippe Daryl a omis ensuite de faire mention de son collaborateur dans le volume paru chez Hetzel ? Je l'ignore ».

Virgile Rossel nous en apprend un peu plus dans La Semaine littéraire du  : « En attendant, il (...) s'attelait de nouveau à son interminable roman, Dimitri Koulcheff qui parut plus tard en feuilleton dans le Temps puis, en volume, sous une autre signature que la sienne et sous un titre différent (Wassili Samarin). Remanié ou non ? Je l'ignore ».

L'éducation physique[modifier | modifier le code]

Philippe Daryl, l'observateur du sport[modifier | modifier le code]

Ses articles sur le sport et l'éducation, publiés dans le journal Le Temps sous le pseudonyme de Philippe Daryl, ainsi que son ouvrage La Renaissance physique (1888), proposent une vision communarde des pratiques physiques opposée à la vision "versaillaise" des pratiques sportives. Il souhaite valoriser les plus faibles et les plus en difficulté ainsi que le plus grand nombre de pratiquants contrairement au modèle sportif qui valorise le champion et le plus petit nombre. Il écrit pourtant un tome de l'Encyclopédie des sports (1892) consacré aux jeux de balles et de ballons et est l'un des principaux artisans de l'introduction du football en France [5]. Il cherche cependant davantage à promouvoir les jeux français que les sports anglais qu'il discrédite dans plusieurs de ses articles.

Il s'est aussi intéressé au canotage et au sport tout nouveau pour l'époque du yachting à voile dont le grand champion et promoteur était le peintre Gustave Caillebotte. Il écrit divers articles dans la revue Le Yacht, publie un livre qui constitue en 1890 un point sur l'"état de l'art" dans ce domaine[6](ce livre a été numérisé et est consultable en ligne). Il se livre même à un exercice de "yachting fiction" en envisageant ce que pourrait être un voilier de course de la jauge "un tonneau" du CVP (une création de Caillebotte) en 1990, cent ans plus tard. Même si dans cet exercice il se montre moins prophétique que Jules Verne (la "jauge Caillebotte" fut éphémère), il pressent néanmoins le rôle futur des nouveaux matériaux légers: Son voilier du futur a une coque et des espars en "Ixium", un métal fictif dont les caractéristiques (légereté, résistance, flexibilité) sont à très peu près celles des composites en fibre de carbone, utilisés sur les actuels voiliers de haute performance.

La Ligue nationale d'éducation physique contre les idées reçues[modifier | modifier le code]

En , il crée la Ligue nationale d'éducation physique qui, globalement, rejette la compétition sportive en la considérant comme politiquement et moralement néfaste. Il s'oppose ainsi frontalement à Jules Simon qui a créé en juin de la même année un Comité pour la propagation des exercices physiques. En effet, si Grousset est favorable à la pratique des sports en tant qu'hygiène de vie, il rejette toute idée de compétition, au profit d'un idéal de fraternisation et d'éducation populaire. Cela le place, à tous les égards (tant en politique qu'au niveau de l'idéal sportif), totalement à l'opposé d'un Pierre de Coubertin[7]. Grousset, le vieux et Coubertin, le jeune, se détestent réciproquement. Coubertin écrit dans une correspondance avec Philippe Tissié : Ce « Monsieur Paschal Grousset qui est un homme que je méprise et avec lequel je ne veux point avoir de rapports »[8].

Publications[modifier | modifier le code]

Collaboration aux journaux et aux revues[modifier | modifier le code]

  • 1867, La Gazette de Paris
  • 1867 à 1869, Le Figaro
  • 1867 - 1869, L'Étendard
  • 1869 à 1870 et 1877, La Marseillaise
  • 1869 à 1870 et 1880, Le Rappel
  • 1870, Le Peuple
  • 1870, La Marseillaise
  • 1871, La Bouche de fer
  • 1871, L'Affranchi, journal des hommes libres
  • 1871, La Nouvelle République
  • 1879 à 1880, Le Mot d'Ordre
  • 1879 à 1905, Le Magasin d'Éducation et de Récréation
  • 1880, La Justice
  • 1880, La Lanterne
  • 1892, La Bouche de fer, politique et littéraire, nouvelle série
  • 1895, La Revue illustrée
  • 1902 à 1907, Le Globe-Trotter

Paschal Grousset, la politique et l'exil[modifier | modifier le code]

  • Strasbourg, Boulogne, Présidence, Coup d'État, Empire, non publié, 1868
  • Castagnary, P. Grousset, Ranc, F. Sarcey, Bilan de l'année 1868, politique, littéraire, dramatique, artistique et scientifique, 1868
  • Le rêve d'un irréconciliable, Paris, Madre, 1869
  • La régence de Décembostein, vaudeville politique en cinq actes, Paris, Madre, 1869
  • Les origines d'une dynastie, le coup d'État de brumaire au VIII, Paris, A. Le Chevalier, 1869
  • Les grands procès politique, - La conspiration du général Malet d'après les documents authentique, Paris, A. Le Chevalier, 1869
  • Le 26 octobre, Paris, Madre, 1869
  • P. Grousset, F. Jourde, Quatre mille Français en Océanie, in Le courrier de l'Europe, 1874
  • P. Grousset, F. Jourde, Les condamnés politiques en Nouvelle-Calédonie, récit de deux évadés, Genève, Imprimerie Ziegler, 1876
  • L'affaire Dreyfus et ses ressorts secrets : précis, éd Godet et Cie, Paris, 1898. Gallica
    • L'Affaire Dreyfus, le mot de l'énigme, Paris, Stock, 1899
  • Les leçons du 18 mars et Discours sur la tombe de Verdure, in A. Ballière, La déportation de 1871. Souvenir d'un évadé de Nouméa, Paris, Charpentier, 1899

Philippe Daryl, d'ailleurs et du sport[modifier | modifier le code]

  • Divers
    • Récits de Grande-Bretagne et d'Irlande,, in Le Temps, Non publié en volume, 1877
    • The picture amateur's handbook and dictionary of painters, London, Crosby Lockwood and Co. 1877
    • Le land Warrant, d'après Edward Eggleston, in Le Temps, Non publié en volume, 1880
    • A dictionary of painters and handbook for picture amateurs, London, Weales rudimentary series, 1883
    • L'aveu de Lilian, in Le Temps, non publié en volume, 1883 (roman)
    • Préface de Gordon C.G., Lettres de Gordon à sa sœur, écrites du Soudan, Paris, Hetzel, 1884
    • Préface de Monin E., La santé par l'exercice et les agents physiques, Paris, Doin, 1889
    • Le yacht, Paris, May et Mottéroz, 1890 https://archive.org/
    • Préface de Ville L., La lutte française, Paris, Librairie Mondaine, 1891
    • Histoire de deux enfants de Londres - Aventure nautique - Les bavardages de Fanny, Paris, Colin, 1891
  • La vie partout
    • La vie publique en Angleterre, Paris, Hetzel, 1884
    • Signe Meltroë, mœurs berlinoises, Paris, Hetzel, 1884 (roman).
    • En yacht, Paris, Hetzel, 1885
    • Le monde chinois, Paris, Hetzel, 1885
    • Wassili Samarin, Paris, Hetzel, 1886 (roman)
    • La petite Lambton. scènes de la vie parisienne, Paris, Hetzel, 1886 (roman)
    • A Londres, notes d'un correspondant français, Paris, Hetzel, 1887
    • Les Anglais en Irlande, Paris, Hetzel, 1888
    • Renaissance physique, Paris, Hetzel, 1888
  • Direction de publication de l'Encyclopédie des Sports
    • L'équitation moderne, Paris, May et Mottéroz, 1892
    • La vélocipédie pour tous, Paris, May et Mottéroz, 1892
    • Les jeux de balle et de ballon, football, paume, law-tennis, Paris, May et Mottéroz, 1894
    • Le sport de l'aviron, Paris, May et Mottéroz, 1895

André Laurie, le romancier[modifier | modifier le code]

  • du collège et de l'aventure
    • La vie de collège en Angleterre, Paris, Hetzel, 1881
    • Mémoires d'un collégien / Un lycée de département, Paris, Hetzel, 1882
    • Une année de collège à Paris, Paris, Hetzel, 1883 (suite de Mémoires d'un collégien)
    • Histoire d'un Écolier Hanovrien, Paris, Hetzel, 1884
    • L'héritier de Robinson, Paris, Hetzel, 1884
    • Tito le florentin, Paris, Hetzel, 1885
    • À Laurie, Jules Verne L'Épave du Cynthia, Paris, Hetzel, 1885
    • Capitaine Trafalgar, Paris, Hetzel, 1886
    • Autour d'un lycée japonais, Paris, Hetzel, 1886 (illustré de 26 dessins du Japon de Félix Régamey)
    • Le bachelier de Séville, Paris, Hetzel, 1887
    • Les Exilés de la terre / Sêléné Company Limited, Paris, Hetzel, 1888, composé de :
      • Le nain de Rhadamèh, Paris, Hetzel, 1888.
      • Les naufragés de l'espace, Paris, Hetzel, 1888
    • Mémoires d'un Collégien russe, Paris, Hetzel, 1889
    • De New-York à Brest en sept heures, Paris, Hetzel, 1889
    • Le secret du mage, Paris, Hetzel, 1889
    • Axel Ebersen, le gradué d'Upsala, Paris, Hetzel, 1891
    • Le Rubis du Grand Lama, Paris, Hetzel, 1892
    • Un Roman dans la Planète Mars in La revue illustré, 1895 ; éditions Des barbares..., 2007
    • Atlantis, Paris, Hetzel, 1895
    • L'écolier d'Athènes, Paris, Hetzel, 1896
    • Gérard et Colette, Paris, Hetzel, 1897
    • L'oncle de Chicago, mœurs scolaire en Amérique, Paris, Hetzel, 1898
    • Le Filon de Gérard, Paris, Hetzel, 1900
    • Colette en Rhodésie, Paris, Hetzel, 1901
    • À travers l'université de l'Orient. Le tours du monde d'un bachelier, Paris, Hetzel, 1901
    • Le secret du volcan in Le Globe-Trotter, 1902-1903
    • L'escholier de la Sorbonne, Paris, Hetzel, 1903
    • Le toit du monde, aventure sur l'Himalaya, in Le Globe-Trotter, 1902-1904
    • Le Géant de l'Azur, Paris, Hetzel, 1904
    • Le maître de l'abîme, Paris, Hetzel, 1905
    • Un semestre en Suisse, Paris, Hetzel, 1905
    • L'obus invisible, in Le Globe-Trotter, 1905
    • Paris à Tombouctou, Hetzel non publié, 1905
    • Spiridon le Muet, in Le Globe-Trotter, 1906-1907 ; Rouff, 1908 ; éditions Des Barbares..., 2008
  • le traducteur
    • cap. Mayne Reid, Le Chef au bracelet d'or, Paris, Hetzel, 1880
    • cap. Mayne Reid, La Terre-de-Feu, dernière œuvre de Mayne Reid, Paris, Hetzel, 1885
    • R. L. Stevenson, L'Île au trésor, Paris, Hetzel, 1885
    • R. Haggard, La découverte des mines de Salomon, Paris, Hetzel, 1888
    • cap. Mayne Reid, Aventures de chasse et de voyage, Paris, Hetzel, 1893
  • Signé Jules Verne, les œuvres d'A. Laurie vendu à Hetzel

Pseudonymes, encore[modifier | modifier le code]

  • Léopold Virey
    • Madame de Léojac, Paris, Bureau du Figaro, 1869
  • Tiburce Morey
    • Un ménage royal, Paris, Degorce-Cadot, 1882
    • Wassili Samarin, in Le Temps, 1882-1883, non publié en volume sous ce pseudonyme

Autres[modifier | modifier le code]

  • Le Rocambole no 51, André Laurie, été 2010.
  • Piero Gondolo della Riva. De qui est Franceville ?, Revue Jules Verne 7, 1999, p. 43-47.
  • Bernard Noël, Dictionnaire de la Commune, Flammarion, collection Champs, 1978.
  • Xavier Noël, Philippe Daryl (André Laurie), Revue Jules Verne no 37, Centre international Jules Verne, 2013, p. 85-105.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Acte de décès à Saint-Mandé, n° 136, vue 36/103.
  2. F.X. Testu, Le Bouquin des Méchancetés, Paris, Robert Laffont, 2014, ve rochefort.
  3. Simone Vierne, « L'authenticité de quelques œuvres de Jules Verne », Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, vol. 73, no 3,‎ , p. 454 (note n°14) (lire en ligne)
  4. Gustave Vattier, Galerie des Académiciens : Portraits littéraires et artistiques, vol. 3, Amyot, (lire en ligne), « M. Jules Sandeau », p. 58 (note de bas de page)
  5. « Paschal Grousset, Philippe Tissié et les lendits », sur FranceOlympique.com (consulté le ).
  6. Philippe Daryl, Le yacht : histoire de la navigation maritime de plaisance, Paris : Ancienne Maison Quantin, Libraries-Imprimeries Reunies, (lire en ligne)
  7. Mystique de « gauche » et mystique de « droite », en éducation physique en France sous la Troisième République par Gleyse Jacques, Dominique Jorand, Céline Garcia et le Centre de recherches sur la formation, l’éducation et l’enseignement - Université Montpellier 3, Stadion 2001, samedi 2 novembre 2002
  8. Jean Durry, « Tissié et Coubertin » [PDF], sur archive.wikiwix.com (consulté le ), p. 78

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Alain Braut et al, Colloque pour le centenaire de Paschal Grousset, Actes du colloque, éditions Des barbares, 2009.
  • Pierre-Alban Lebecq, Paschal Grousset et la Ligue Nationale de l'Éducation Physique, L'Harmattan, coll. « Espaces et Temps du Sport », , 292 p.
  • Pierre-Alban Lebecq, « Une œuvre politique éclairée par la science. Paschal Grousset (1844-1909) et l'éducation physique », Sciences sociales et sport, no 5,‎ , p. 87-117 (lire en ligne).
  • Pierre-Alban Lebecq, Paschal Grousset. Sport et Education Physique a la Française. 1888-1909, Riveneuve, 2013.
  • Pierre-Alban Lebecq, Paschal Grousset. Éducation et littérature pour la jeunesse, REIMS Cedex, Presses Universitaires Reims, , 344 p. (ISBN 978-2-37496-115-6)
  • Xavier Noël, Paschal Grousset. De la Commune de Paris à la Chambre des députés, de Jules Verne à l'olympisme, Les Impressions Nouvelles, 2010, 408 pages, nombreuses illustrations. (ISBN 978-2-87449-087-3)

Documentaire[modifier | modifier le code]

  • Jean-Luc Robert et Jean-Michel Gerber, Paschal Grousset explorateur du futur (3/6 de la série Les aventuriers de la République), la chaine Histoire, 2004.

Notices biographiques[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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