Olympique lyonnais (féminines) — Wikipédia
Nom complet | Olympique lyonnais |
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Surnoms | Les Fenottes |
Fondation | 2004 (acquisition de l'équipe du FC Lyon) |
Couleurs | Blanc, rouge et bleu |
Stade | Stade Gérard Houllier (1 524 places) |
Siège | Parc OL, 10 avenue Simone Veil, 69150 Décines-Charpieu |
Championnat actuel | Division 1 |
Propriétaire | YMK Holdings (52,9 %) Eagle Football Group (47,1 %) |
Président | Michele Kang |
Entraîneur | Sonia Bompastor |
Joueur le plus capé | Wendie Renard (469) |
Meilleur buteur | Eugénie Le Sommer (303) |
Site web | ol.fr |
National[1] | Championnat de France (16) Coupe de France (10) Trophée des championnes (3) |
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International[1] | Ligue des champions (8) |
Actualités
Dernière mise à jour : .
La section féminine de l'Olympique lyonnais est un club de football féminin français basé au Parc Olympique lyonnais à Décines-Charpieu (métropole de Lyon) et créé en 2004.
C'est le club le plus titré de l'histoire du championnat de France féminin : les Lyonnaises décrochent seize titres de championnes de France (dont quatorze consécutifs de 2007 à 2020, ainsi que quatre titres de champion en tant que FC Lyon avant l’acquisition des droits par l’OL féminin en 2004), dix coupes de France (et deux coupes de France en tant que FC Lyon), ainsi que huit titres de championnes d'Europe en 2011, 2012, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2022.
La section féminine de l'OL est le seul club européen à avoir remporté 8 fois la Ligue des champions ainsi qu'à avoir réalisé le triplé (championnat national, coupe nationale et Ligue des champions) sur deux saisons d'affilée (2015-2016 et 2016-2017, puis à nouveau 2018-2019 et 2019-2020).
Avec huit trophées européens (dont cinq consécutifs, seul le Real Madrid ayant réalisé cette performance chez les hommes), l’OL féminin est le club français de sport collectif, toutes disciplines confondues, qui possède le plus important palmarès européen.
Depuis les années 2010, Lyon a souvent été nommée l’équipe féminine la plus forte du monde[2] et a été citée comme un modèle pour le développement du football féminin en termes économiques et culturels[3].
L'équipe fanion du club participe au championnat de première division et évoluait, jusqu'en 2016, principalement sur le terrain no 10 de la Plaine des Jeux de Gerland à Lyon, à 400 mètres de l'ancien stade de l'équipe masculine.
Histoire[modifier | modifier le code]
FC Lyon (1970-2004)[modifier | modifier le code]
L'équipe féminine est créée en 1970 au sein du club omnisports du FC Lyon. À partir de 1977, l'équipe participe au championnat de France féminin relancé par la FFF en 1974. Le FC Lyon obtient son premier résultat marquant en atteignant les demi-finales en 1979, puis la finale en 1985. Après deux nouveaux échecs en demi-finales, les Lyonnaises décrochent leur premier titre national en 1991 face au VGA Saint-Maur. Deux ans plus tard, le FC Lyon remporte la première édition du championnat dans sa nouvelle version (poule unique de 12 équipes sans tournoi final), puis récidivent en 1995 et en 1998.
Lors de la saison 2001-2002, le challenge de France (coupe de France féminine) est créé, et le FC Lyon atteint la finale, perdue contre le Toulouse FC. Les Lyonnaises seront sacrées dès l'année suivante en battant Montpellier en finale, et conservent leur titre en 2004 face à l'US Compiègne[4].
Olympique lyonnais (depuis 2004)[modifier | modifier le code]
Création et montée en puissance (2004-2012)[modifier | modifier le code]
L'équipe est rattachée à l'Olympique lyonnais depuis l'été 2004. À noter que le FC Lyon possède à nouveau une section féminine depuis 2009. En 2007, pour la première fois, l'équipe championne de première division masculine est la même que l'équipe victorieuse de première division féminine. Le club réalise ainsi un doublé filles-garçons inédit. En 2008, le club se révèle sur le plan européen en atteignant la demi-finale de la Coupe UEFA, après avoir notamment éliminé le club anglais de l'Arsenal LFC. Lors de la saison 2007-2008, l'équipe termine invaincue, et ce toutes compétitions confondues malgré l'élimination en Coupe UEFA contre l'Umeå IK (1-1 au match aller et 0-0 au match retour). Cette saison voit également l'équipe réaliser son premier doublé coupe/championnat, soit exactement la même chose que chez les hommes.
La saison 2008-2009 est du même acabit, les Lyonnaises remportant le championnat avec 13 points d'avance sur les joueuses du Montpellier HSC, avec un match nul et 21 victoires en 22 journées. Elles sont éliminées en demi-finale de la Coupe UEFA par les futurs vainqueurs de la compétition, le FCR Duisbourg (4-2 sur l'ensemble des deux rencontres). La superbe saison des Lyonnaises est confirmée par la nomination de Lotta Schelin et de Louisa Necib au Trophée UNFP du football dans la catégorie « joueuse de l'année », prix finalement remporté par la jeune Française. En finale de la Ligue des champions 2009-2010, les Lyonnaises perdent aux tirs au but (0-0, 6 tab à 7) alors qu'elles avaient deux tirs au but d'avance, face au FFC Turbine Potsdam[5].
En 2011, elles remportent la Ligue des champions après une victoire (2-0) face à ces mêmes adversaires. Les Lyonnaises remportent la compétition en 2012 face au FFC Francfort (2-0) et conservent ainsi leur titre continental, ce qui constitue une première pour un club français. La même année, elles réalisent le premier triplé de l'histoire du football français en remportant également la coupe de France en s'imposant 2-1 face au Montpellier HSC et le championnat de France en s'imposant 3-0 lors de la dernière journée face au FCF Juvisy, qui était encore en course pour le titre. Du au , les Lyonnaises remportent à Saitama au Japon, la Mobcast Cup organisée par la ligue féminine japonaise, qui est un tournoi amical entre deux équipes japonaises, une équipe australienne et l'équipe française, ayant pour but de pousser la FIFA à organiser une coupe du monde des clubs similaire à celle des hommes.
Hégémonie européenne (2013-2022)[modifier | modifier le code]
Le , les Lyonnaises sont officiellement championnes de France pour la 7e fois consécutive et pour la 11e fois de leur histoire grâce à une victoire face à Vendenheim avant la fin de la saison. Au cours de ce championnat, elles gagnent chacun de leurs 22 matchs en inscrivant au total 132 buts pour 5 encaissés. Elles atteignent leur 4e finale consécutive de Ligue des champions, qui se solde par une défaite 1-0 face au VfL Wolfsburg. Les Lyonnaises remportent une 5e Coupe de France en battant l'AS Saint-Étienne par 3-1, le . En 2014, l'équipe s'adjuge un nouveau doublé Coupe-Championnat national mais est éliminée précocement de la Coupe d’Europe en 1/8e de finale par le club allemand du FFC Turbine Potsdam.
En 2015, l'équipe réussit son 5e doublé Coupe-Championnat, et 4e consécutif, mais a vu sa route en Ligue des champions se terminer en huitième de finale, éliminée par le PSG 1 à 0. En championnat, elles gagnent leurs 22 matchs, pour un record de buts marqués (147 et meilleure attaque), et six buts encaissés (meilleure défense). Le , les joueuses disputent le premier match de leur histoire au Parc Olympique lyonnais. Les Lyonnaises l'emportent ce soir-là 9-1 face à l'équipe tchèque du Slavia Prague, en 1/4 de finale aller de la Ligue des champions féminine de l'UEFA 2015-2016[6]. Le , c'est dans ce même Parc OL qu'est battu le record d'affluence pour un match de club de football féminin en France, avec 22 050 spectateurs présents pour assister à la victoire des Lyonnaises 7-0 sur le PSG, en 1/2 finale aller de la Ligue des champions[7]. Le , l'Olympique lyonnais remporte sa troisième Ligue des champions face au VfL Wolfsburg.
Le , le Président du club Jean-Michel Aulas a annoncé le recrutement de la grande star américaine du football, Alex Morgan. Âgée de 27 ans au moment de la signature, elle a signé un contrat de six mois avec le club des Gones. Surnommée « David Beckham Féminin », Alex Morgan intégrera l'OL dès le début du mois de . L'internationale américaine, qui évoluait jusqu'à présent au sein du club d'Orlando en Floride, percevra donc un salaire de 25 000 euros par mois au club rhodanien[8]. Le , l'Olympique lyonnais remporte sa quatrième Ligue des champions contre le Paris Saint-Germain[9].
Le , la section remporte son cinquième titre européen, le troisième consécutif face au VfL Wolfsburg (4-1 après prolongations)[10]. Grâce à cette nouvelle victoire, les Fenottes réalisent un double record : plus grand nombre de titres européens (cinq) et plus grand nombre de titres européens consécutifs (trois). Le , la joueuse norvégienne Ada Hegerberg est élue premier Ballon d'or féminin France Football de l'histoire[11],[12]. Le , le club remporte un treizième championnat de D1 féminine d'affilée[13]. Le , les joueuses récupèrent la Coupe de France, qui leur avait échappé l'année précédente, pour un nouveau doublé ; elles battent en finale le LOSC 3-1.
La saison 2019-2020 est perturbée par la pandémie de Covid-19, qui obligera les différents championnats européens à décaler l'épilogue de leur saison à la période d'été. Le , l'Olympique lyonnais annonce l'organisation d'un tournoi amical nommé Trophée Veolia féminin[14], qui se déroule les et au Groupama Stadium en compagnie de trois autres équipes, qui sont Montpellier HSC, Juventus FC et le PSV Eindhoven[15]. Le , l'Olympique lyonnais remporte sa neuvième Coupe de France[16] en battant le Paris Saint-Germain aux tirs au but (4-3). En remportant cette Coupe de France, l'Olympique lyonnais fête également un 30e titre à son palmarès[17]. Le , l'équipe féminine remporte une septième Ligue des champions, sa cinquième consécutive, en battant Wolfsburg sur le score de 3-1.
Le printemps 2021 marque un coup d'arrêt puisque les Lyonnaises sont éliminées par le PSG en quart de finale de la Ligue des champions féminine 2020-2021[18]. L'équipe termine d'ailleurs la saison sans le moindre trophée[19]. Le club lyonnais réagit alors en remplaçant Jean-Luc Vasseur par Sonia Bompastor en tant qu'entraîneure principale de l'équipe féminine[20]. Ce choix se révèle payant. Malgré une attaque moins prolifique que par le passé en championnat, Sonia Bompastor parvient à insuffler une nouvelle dynamique à son équipe en intégrant de jeunes joueuses comme Selma Bacha et Melvine Malard, qui deviennent toutes les deux des titulaires fréquentes[19].
Les Lyonnaises renouent avec le succès puisque le , elles remportent la Ligue des champions féminine 2021-2022, la huitième Ligue des champions de l'histoire du club, en battant en finale le FC Barcelone (3-1)[21]. La section remporte le 15e titre de champion de France de son histoire le sur la pelouse du Paris Saint-Germain, qui le lui avait subtilisé en 2021, grâce à un but de l'Américaine Catarina Macario inscrit dès la troisième minute de jeu.
Rachat par Michele Kang (depuis 2023)[modifier | modifier le code]
Le , le club annonce la vente de la majorité des parts (52 %) de la section féminine à la femme d'affaires américaine Michele Kang par l'intermédiaire de YMK Holdings[22]. Jean-Michel Aulas reste président du club jusqu'à l'issue de la saison. La section est dorénavant jumelée avec la franchise NWSL du Washington Spirit, également détenue par l'Américaine[23].
Galerie[modifier | modifier le code]
- Effectif lors de la saison 2014-2015.
- Effectif lors de la saison 2016-2017.
- Effectif lors de la saison 2017-2018.
- Célébration du 6e titre européen en 2019.
Identité du club[modifier | modifier le code]
Logos[modifier | modifier le code]
Le premier logo de la section, lors de sa création en 2004, reprend celui de l'Olympique lyonnais créé en 1996 et qui marque une nouvelle évolution dans le graphisme de l'emblème du club. Celui-ci retrouve une forme de blason avec chef, c'est-à-dire une bande supérieure horizontale. Celle-ci est de couleur rouge avec en fond et sur deux lignes la mention « Olympique lyonnais » en lettres capitales de couleur or.
La partie inférieure teinte en bleue est superposée des lettres OL bordées d'un liseré or et de fond blanc. Le lion caractéristique de la ville de Lyon est inséré dans la lettre O en couleur or. Une petite évolution à ce blason a été effectuée en 2006. Elle concerne la mention « Olympique lyonnais » de la partie supérieure. La couleur or est remplacée par des caractères blancs.
- 2004-2006
- 2006-2022
- Depuis 2022
Couleurs[modifier | modifier le code]
À la suite de la création de la section en 2004, les joueuses arborent le même maillot que leurs homologues masculins. Historiquement, la couleur des maillots domiciles de l'Olympique lyonnais est le blanc. Les premières années et jusqu'en 1961 le maillot blanc est recouvert d'un liseré en forme de « V » formé de deux bandes rouge et bleue[24], qui sont les couleurs de la ville de Lyon.
Domicile | |||||||||||||||||||
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Extérieur | ||||||||||||||||||||
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Autre | |||||||||||||||||||||
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Équipementiers et sponsors[modifier | modifier le code]
Période | Equipementier | Sponsor |
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2004-2005 | Umbro | aucun |
2005-2009 | Renault Trucks | |
2009-2010 | Leroy Merlin | |
2010-2011 | Adidas | |
2011-2012 | Leroy Merlin / Citroën | |
2012-2017 | April / GDF Suez Engie | |
2017-2020 | April / Sword | |
2020-2023 | Mastercard / Sword | |
2023-2024 | Mastercard |
À ses débuts en 2004, la section féminine est liée avec l'équipementier Umbro[25], à l'instar de la section masculine. Initialement prévu jusqu'en 2007, le club prolonge son contrat avec l'équipementier jusqu'à juin 2010[26]. Cependant, le , le club annonce avoir trouvé un accord avec l'équipementier Adidas, pour un contrat courant sur dix saisons à compter de la saison 2010-2011[27] ; ce contrat est estimé entre 8 et 10 millions par an et concerne toutes les sections du club.
Après une première saison sans sponsor apparent, les lyonnaises arborent un maillot sponsorisé par Renault Trucks jusqu'en juin 2009. Les trois saisons suivantes, les féminines sont spécifiquement sponsorisées par Leroy Merlin ainsi que par Citroën en 2011-2012 pour les matchs de coupe.
Depuis la saison 2012-2013, les lyonnaises arborent un maillots floqué April pour les matchs de Division 1. Pour les matchs de Ligue des champions, un partenariat est conclu avec GDF Suez (puis Engie) pour une durée de cinq saisons de 2012 à 2017. Depuis 2017, c'est le Groupe Sword qui sponsorise les matchs européens. En septembre 2020, Mastercard devient le principal sponsor de la section pour les matchs de Division 1[28].
En 2022, l'équipe féminine de l'Olympique Lyonnais fait polémique pour le sponsoring dont elle bénéficie de la part d'Herbalife, une société spécialisée dans la vente multiniveau de compléments alimentaires dans le viseur de la Miviludes déjà condamnée en France et à l'étranger pour ses pratiques commerciales[29]. À partir de la saison 2023-2024, Sword ne sponsorise plus les matchs de Ligue des champions au profit de Mastercard, après six années de collaboration.
Palmarès et records[modifier | modifier le code]
Palmarès[modifier | modifier le code]
Depuis 2004, le palmarès de l'équipe féminine de l'Olympique lyonnais comporte seize Championnats de France, dix Challenges ou Coupes de France, trois Trophées des championnes, huit Ligues des Champions de l'UEFA et une Coupe du monde non officielle des clubs. Les tableaux suivants listent le palmarès du club dans les différentes compétitions officielles (au niveau national, international, régional) ainsi que le palmarès individuel de la section.
Compétitions internationales | Compétitions nationales |
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Compétitions internationales amicales | |
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Équipes réserves | Distinctions |
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Meilleures buteuses par saison[modifier | modifier le code]
Ce tableau présente les meilleures buteuses de l'Olympique lyonnais à l'issue de chaque saison (toutes compétitions confondues) depuis le rattachement du FC Lyon lors de la saison 2004-2005. L'internationale norvégienne, Ada Hegerberg, est la seule joueuse à avoir franchi la barre symbolique des cinquante buts sur une saison (toutes compétitions confondues) en 2015-2016 et 2017-2018.
Saison | Joueuse | Buts |
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2004-2005 | Séverine Cr.-Laplantes | 16 |
2005-2006 | Sandrine Brétigny | 13 |
2006-2007 | Sandrine Brétigny | 48 |
2007-2008 | Sandrine Brétigny | 32 |
2008-2009 | Kátia da Silva | 37 |
2009-2010 | Kátia da Silva | 21 |
2010-2011 | Eugénie Le Sommer | 28 |
2011-2012 | Lotta Schelin | 38 |
2012-2013 | Lotta Schelin | 38 |
2013-2014 | Lotta Schelin | 23 |
2014-2015 | Lotta Schelin | 41 |
2015-2016 | Ada Hegerberg | 54 |
2016-2017 | Eugénie Le Sommer | 29 |
2017-2018 | Ada Hegerberg | 53 |
2018-2019 | Ada Hegerberg | 29 |
2019-2020 | Ada Hegerberg | 23 |
2020-2021 | Nikita Parris | 15 |
2021-2022 | Catarina Macario | 23 |
2022-2023 | Signe Bruun | 10 |
Statistiques et records[modifier | modifier le code]
Le tableau ci-dessous présente les principaux records et statistiques de la section féminine de l'Olympique lyonnais dans les trois compétitions officielles depuis 2004.
Records en Championnat de France D1 | Autres records |
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L'équipe première est restée invaincue en première division entre le (défaite face au FCF Juvisy 2-0) et le (défaite 0-1 face au Paris Saint-Germain), soit une succession de 87 matchs de championnat sans aucune défaite (83 victoires et 4 matchs nuls)[37]. Toutes compétitions confondues, elle est restée invaincue en matchs officiels dans le temps réglementaire entre le et le , soit 122 matchs. En effet, sur cette période, elle a uniquement concédé des défaites lors des séances de tirs au but en finale de la Ligue des champions 2009-2010 face au FFC Turbine Potsdam, en demi-finale de Challenge de France 2009-2010 face au Paris Saint-Germain et en quart de finale de Challenge de France 2010-2011 face au FCF Juvisy. Le VfL Wolfsburg a mis fin à cette invincibilité en battant Lyon 1-0 en finale de la Ligue des champions 2012-2013 après deux saisons entières sans aucune défaite.
L'équipe première est restée invaincue à domicile entre le (défaite face au FCF Juvisy 0-1) et le (défaite 0-1 face au Paris Saint-Germain)[38]. Toutes compétitions confondues, l'équipe première est restée invaincue à domicile entre le (défaite face au FCF Juvisy 0-1 en championnat de France) et le (défaite 1-2 face au FFC Turbine Potsdam en Ligue des champions).
L'équipe première conserve sa cage inviolée du au , soit 16 matchs d'affilée toutes compétitions confondues. La série est plus importante si on ne tient compte que du championnat, avec 17 matchs entre le et le .
L'équipe a effectué à 11 reprises l'épreuve des tirs au but :
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Records en Challenge ou Coupe de France | |
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Records en Ligue des champions | |
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