Observatoire de la violence éducative ordinaire — Wikipédia

Observatoire de la violence éducative ordinaire
Histoire
Fondation
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Sigle
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Forme juridique
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Autres organisations fonctionnant par adhésion volontaireVoir et modifier les données sur Wikidata
Siège
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Organisation
Fondateur
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SIREN

L'Observatoire de la violence éducative ordinaire, ou OVEO dans sa forme courte, est une association française, fondée par Olivier Maurel en 2005. Son objet est de lutter contre la maltraitance des enfants, en particulier les violences éducatives ordinaires.

Présentation[modifier | modifier le code]

L'association se fait notamment connaître par sa campagnes Stop VEO (ou StopVEO) en direction des parents, contre les violences verbales envers les enfants[1],[2],[3].

L'OVEO s'oppose également à la pratique de la fessée, maintenant une recension en matière législative, des différents pays abolitionnistes[4].

En 2015, L'OVEO fait partie des (nombreuses) associations impliquées dans la réalisation du rapport AEDE (700 p.)[5].

Son fondateur[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. « « Les mots qui blessent n’aident jamais un enfant à grandir » », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « campagne initiée par l’Observatoire de la violence éducative ordinaire (OVEO) et Stop VEO »

  2. « Allo maman bobo : « Ce que tu peux être nul ! » », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  3. Catherine Mallaval, « Violences verbales sur les enfants : drames de piques », sur Libération (consulté le )
  4. « Autorisé en France, fesser un enfant est interdit dans 44 pays », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  5. « Agir ensemble pour les droits de l’enfant - Résumé du rapport AEDE », Journal du droit des jeunes, vol. 345346, no 5,‎ , p. 69–77 (ISSN 2114-2068, DOI 10.3917/jdj.345.0069, lire en ligne, consulté le )

Liens externes[modifier | modifier le code]