Nissan Micra — Wikipédia

Nissan Micra
Image illustrative de l’article Nissan Micra

Appelé aussi Nissan March
Marque Nissan
Années de production Depuis 1982
Classe Citadine
Chronologie des modèles

La Micra, ou March au Japon, est une citadine produite depuis 1982 par le constructeur automobile japonais Nissan.

Présentation[modifier | modifier le code]

À la fin des années 1970, Nissan envisage d'élargir sa gamme en produisant une voiture compacte, plus petite que la Pulsar, afin de contrer la réussite de la Toyota Starlet. Osamu Ito, un ingénieur ayant travaillé pour Prince, est nommé à la tête du projet. L'enjeu est de créer une auto économique, facile à conduire et séduisante, avec suffisamment de place pour loger quatre adultes. Visant une carrière internationale, Nissan confie son dessin au réputé studio Italdesign-Guigiaro. En , après trois ans d'études, un prototype fonctionnel dénommé NX-018 est présenté à l'occasion du 24e Tokyo Motor Show. Le public découvre une auto attachante, très bien pensée, abritant sous son capot un petit moteur 1,0 L entraînant les roues avant. Initiative originale : dès la fin du salon, Nissan lance une vaste campagne nationale et propose aux Japonais de nommer eux-mêmes la voiture. L'engouement est au rendez-vous car, durant trois mois, les propositions arrivent par milliers. Après délibérations, Nissan tranche en faveur d'un nom percutant : March.

Micra K10 (1982 - 1992)[modifier | modifier le code]

Nissan March/Micra K10
Image illustrative de l’article Nissan Micra
Nissan Micra K10 Phase 3 (1989–1992)

Marque Nissan
Années de production 1982 - 1992
Phase 1 : 1982 - 1985
Phase 2 : 1985 - 1989
Phase 3 : 1989 - 1992
Classe Citadine
Usine(s) d’assemblage Japon
Moteur et transmission
Énergie Essence
Moteur(s) Essence :
1,0 L 50/57 ch
1,0 L 85 ch
1,2 L 57/60 ch
Position du moteur Transversale avant
Cylindrée 930 à 1 235 cm3
Puissance maximale 56 à 110 ch
Transmission Traction
Boîte de vitesses Manuelle à 4 ou 5 rapports ou
automatique
Masse et performances
Masse à vide 650 à 750 kg
Vitesse maximale 140 à 150 km/h
Châssis - Carrosserie
Carrosserie(s) Berline bicorps 3 ou 5 portes
Suspensions AV : type McPherson, barre stabilisatrice, Amortisseurs hydrauliques télescopiques
AR : poutre de torsion, Amortisseurs hydrauliques télescopiques
Direction à crémaillère
Freins AV : à disques
AR : à tambours
Dimensions
Longueur 3 735 mm
Largeur 1 560 mm
Hauteur 1 395 mm
Empattement 2 300 mm
Volume du coffre 235 dm3
Chronologie des modèles

Description[modifier | modifier le code]

Nissan livre en concessions japonaises ses premiers modèles en , dans un premier temps uniquement en 3 portes. En vraie citadine, la March dispose de mensurations contenues avec 3,785 m de long, 1,560 m de large et 1,395 m de haut.

Côté style, le design va à l'essentiel, et la K10 arbore des formes très cubiques. L'intérieur est quant à lui sobre et bien construit.

Le moteur, un 4-cylindres tout alu SOHC (un seul arbre à cames en tête) de 987 cm3 de 57 ch (au Japon), baptisé MA10S. Il est alimenté par un carburateur contrôlé par électronique (Nissan ECC). Il est accouplé à une boîte de vitesses manuelle à 4 ou 5 rapports, ou bien une automatique à 3 rapports.

Côté châssis, la K10 adopte une suspension indépendante de type MacPherson à l'avant et un essieu rigide à 4 tirants à l'arrière (formule très prisée par Nissan à l'époque). Les finitions sont au nombre de 4 au lancement de la Micra : March E (entrée de gamme), L (adaptée aux petites familles), S (fonctionnalité de l'habitacle accrue) et enfin la March G, le modèle haut de gamme. La série est complétée, par la Collet au printemps 83, et en septembre de la même année, par l'apparition d'une carrosserie 5 portes.

Début 1985, outre un subtil changement de calandre, Nissan lance la March Turbo, version sportive animée par un bloc turbo-compressé, sur base du 1,0 l. Le MA10ET, à injection électronique (ECCS) développe alors 85 ch. Elle dispose d'équipements spécifiques comme les antibrouillards avants intégrés au pare-chocs, un becquet arrière, une double sortie d'échappement, un tableau de bord à affichage numérique…

Arriveront ensuite de nouvelles déclinaisons, dont la Pumps, la Canvas Top, ou encore la i.z.

Une mise à jour des K10 est entreprise début 1989. Les phares, la calandre, les pare-chocs et l'habitacle sont modifiés.

Pour marquer le coup, Nissan dévoile ce qui est à ce jour la March de série la plus performante jamais construite : la Super Turbo. Derrière ce nom se cache un moteur combinant un compresseur et un turbocompresseur, une première au Japon. À bas et mi-régimes, le compresseur assure un couple très appréciable tandis qu'au delà, le HT10 prend la relève et crache sa fougue dans les cylindres.

Grâce à ce duo, le petit moteur MA09ERT (930 cm 3), surplombé en prime d'un échangeur air-air est capable de délivrer pas moins de 110 ch. Avec un poids total de 770 kg, le petit bolide est capable d'atteindre 180 km/h en pointe et abat le 0 à 100 km/h en 7,7 s. En plus des équipements présents sur la Turbo, elle gagne entre autres une entrée d'air sur le capot, des roues de 13 pouces, une barre anti-roulis à l'avant et à l'arrière, ainsi qu'un différentiel à glissement limité sur la boîte 5. Une version d'homologation en compétition, préparée par Nismo et Autech est également disponible (allègement, boîte courte…)

Au fil du temps, Nissan produira des séries spéciales (March G 50th anniversary, Turbo white Select…) de même que des véhicules atypiques reprenant la plate-forme des K10, parmi lesquels on retrouve la Be-1, la Pao ou encore la Figaro.

Les modèles destinés à l'exportation seront renommés Micra. Elles arriveront en Europe en 1983, en 3 puis 5 portes avec pour motorisations les 1,0 L (MA10 de 50 ch et MA10S de 54 ch), et s'ajoutera lors du restylage de 1989 un 1,2 l, le MA12S de 60 ch. Elles recevront des boîtes manuelles ou automatiques.

Le marché français propose les finitions GL, DX, L ou encore LX, ainsi que quelques séries spéciales, à l'instar des Canvas Top et Color.

La K10 est également vendue au Canada de 1984 à 1991, avec pour unique bloc le 1,2 l développant 56 ch.

Motorisations[modifier | modifier le code]

Moteur Cylindrée (cm3) Nombre de cylindres et architecture Puissance maximale (ch) Couple maximal (N m) Vitesse maximale (km/h) 0 à 100 km/h Disponibilité
Essence
1.0 (MA10S) 988 4 cylindres, 8 soupapes 50 / 55 73 / 76 140 / 145 15 s 4 / 14 s 6
1.0 (MA10S) 988 4 cylindres, 8 soupapes 57 78 nc nc Japon
1.0 (EK10FR) 988 4 cylindres, 8 soupapes, turbo 85 118 160 nc Japon
0.9 (MA09ERT) 930 4 cylindres, 16 soup., turbo + compresseur 110 130 180 7 s 7 phase 3, Japon
1.2 (MA12S) 1 235 4 cylindres, 8 soupapes 57 93 142 15 s 9 phase 3
1.2 catalysé (MA12S) 1 235 4 cylindres, 8 soupapes 60 92 142 15 s 9 phase 3

Galerie[modifier | modifier le code]

Micra K11 (1992 - 2003)[modifier | modifier le code]

Nissan March/Micra K11
Image illustrative de l’article Nissan Micra
Nissan Micra II phase 1

Marque Nissan
Années de production 1992 - 2007
Europe : 1992 - 2003
Phase 1 : 1992 - 1997
Phase 2 : 1997 - 2000
Phase 3 : 2000 - 2003
Classe Citadine
Usine(s) d’assemblage Sunderland
Moteur et transmission
Énergie Essence / Diesel
Moteur(s) Essence :
1,0 L 54 ch
1,3 L 75 ch
1,4 L 82 ch

Diesel :
1,5 L 57 ch
Puissance maximale 54 à 82 ch
Transmission Traction
Boîte de vitesses Manuelle à 5 rapports
Automatique CVT
automatique
Masse et performances
Masse à vide 775 kg
Châssis - Carrosserie
Carrosserie(s) Berline bicorps 3 ou 5 portes
Berline tricorps 4 portes
Coupé cabriolet 2 portes
Suspensions Av : type McPherson, barre stabilisatrice, Amortisseurs hydrauliques télescopiques
Ar : poutre de torsion, Amortisseurs hydrauliques télescopiques
Direction à crémaillère
Freins Av : à disques
Ar : à tambours
Dimensions
Longueur 3 720 mm
Largeur 1 585 mm
Hauteur 1 440 mm
Volume du coffre 200 dm3
Chronologie des modèles

La seconde génération de Micra est élue « Voiture européenne de l’année » en 1993, première voiture japonaise a remporté ce titre[1].

Description[modifier | modifier le code]

À la suite du grand succès rencontré par la K10, Nissan décide d'apporter à sa citadine phare une refonte complète. Pour cette deuxième génération, la March profite des designers de la marque qui lui dessinent des formes plus amicales. Elle perd dans l'opération 40 mm en longueur mais gagne légèrement en largeur et hauteur afin d'accroître son habitabilité. L'empattement également est allongé de 60 mm. Début 1992, au moment de sa commercialisation japonaise, Nissan offre le choix parmi deux nouveaux moteurs à deux arbres à cames 16 soupapes à injection : le CG10DE (998 cm3) de 58 ch, et le CG13DE (1 274 cm3) de 79 ch. Une architecture sophistiquée et encore rare sous le capot des citadines de l'époque. Côté transmissions, on retrouve une classique boîte 5 manuelle, une automatique à 4 rapports, ainsi qu'une inédite CVT. C'est en effet sur la March que Nissan inaugure sa toute première boîte à variation continue. Toujours très légère (entre 750 kg et 840 kg selon motorisation et carrosserie). On retrouve comme sur la K10 une suspension indépendante (type McPherson) à l'avant, tandis que le train arrière se dote désormais d'un ensemble à 5 tirants. La gamme hérite des finitions i.Z et i.z-f, découvertes sur la génération précédente, complétée par les modèles Sharp (diesel) A, C et G. Pour l’équipement, la direction assistée est désormais de série, tandis que certaines versions bénéficient des vitres électriques, de la fermeture centralisée ou encore de la climatisation. Comme auparavant, le toit ouvrant fait partie des nombreuses options, et un différentiel à glissement limité est même proposé sur les 1,3 L. Petit à petit, de nouvelles finitions verront le jour avec les séries Flat (bémol), Austrada et G, puis l'airbag conducteur sera installé de série. Fin 95, les K11 recevront une légère mise à jour esthétique.

Un restylage plus profond est opéré en  : les March se parent de nouveaux phares, feux, capot et répétiteurs de clignotants ; l'habitacle est aussi remanié et la dotation de série est enrichie (ABS, airbags conducteur et passager…). La Collet à moteur 1 litre fait aussi son retour. Quelques mois plus tard, Nissan présente en concessions sa nouvelle March Cabriolet (munie d'une capote souple électrique).

À la fin de l'année 1999, la K11 recevra une dernière mise à jour esthétique (optiques retravaillées) Le CG10DE en profite pour grappiller 2 ch, le CG13DE est remplacé par un CGA3DE (1 348 cm3) de 85 ch ; les boîtes de vitesses sont améliorées (E-ATx auto 4 rapports et Hyper CVT). Une 4 roues motrices est ajoutée, en même temps qu'une version break, la March Box, et une version avec un coffre.

Tout au long de cette génération, Nissan introduira des séries limitées des plus diverses (V3 award, White limited, Casual limited…) et élaborera en collaboration avec Autech des March au style rétro, à l'apparence très particulière. Ce sera le cas des Tango, Bolero, Rumba et Polka.

Cette fois-ci fabriquées en Grande-Bretagne dans l'usine de Sunderland, les Micra européennes débarqueront dès fin 1992 avec des motorisations identiques aux versions japonaises, avec dans un premier temps le 1,0 Lde 55 ch et le 1,3 L de 75 ch. Lors du restylage de 1998, un 1,5 litre diesel PSA (TUD) de 57 ch est ajouté alors que le CG10DE réévalué à 60 ch, et le 1,4 L CGA3DE de 82 ch accompagneront le lifting de 2000. Ils seront associés à une boîte 5 manuelle ou CVT.

En France, on découvrira les finitions LX, SLX, Deluxe, Lagoon ou Cypia, parmi d'autres. Des séries spéciales verront également le jour, comme les Coutures, Côté sud ou les Star-Cup (équipées d'un kit carrosserie « sportif », similaire aux versions Austrada japonaises ou SR anglaises).

Cette génération de Micra sera élue voiture de l'année en 1993, une première en Europe pour une voiture japonaise.

Motorisations[modifier | modifier le code]

Moteur Cylindrée (cm3) Nombre de cylindres et architecture Puissance maximale (ch (kW)) Couple maximal (N m) Vitesse maximale (km/h) 0 à 100 km/h Disponibilité
Essence
1.0 998 4-cylindres, 16 soupapes 54 (40) 79 150 16 s 4
1.3 1 275 4-cylindres, 16 soupapes 75 (55) 103 170 12 s 0
1.4 1 348 4-cylindres, 16 soupapes 82 (60)
Diesel
1.5 D 1 527 4-cylindres, 8 soupapes 57 (42) 95 146 18 s 7

Galerie[modifier | modifier le code]

Micra K12 (2002 - 2010)[modifier | modifier le code]

Nissan March/Micra K12
Nissan Micra
Nissan Micra III phase 1

Marque Nissan
Années de production 2002 - 2010
Phase 1 : 2002 - 2005
Phase 2 : 2005 - 2010
Classe Citadine
Usine(s) d’assemblage Drapeau du Japon Japon
Sunderland Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni
Moteur et transmission
Énergie Essence / Diesel
Moteur(s) Essence :
1,0 L 65/68 ch
1,2 L 65/80/90 ch
1,4 L 88/98ch
1,6 l 110 ch

Diesel :
1,5 L 65/68/82/86 ch
Transmission Traction
Boîte de vitesses Manuelle à 5 rapports
Automatique CVT
Masse et performances
Masse à vide 965 à 1 120 kg
Émission de CO2 119 à 154 g/km
Châssis - Carrosserie
Carrosserie(s) Berline bicorps 3 ou 5 portes
Coupé cabriolet 2 portes
Châssis Renault Clio III
Nissan Cube
Nissan Micra III
Nissan Note
Suspensions Av : type MacPherson, barre stabilisatrice, Amortisseurs hydrauliques télescopiques
Ar : poutre de torsion, Amortisseurs hydrauliques télescopiques
Direction assistée à crémaillère
Freins Av : à disques
Ar : à tambour
Dimensions
Longueur 3 715 mm
Largeur 1 660 mm
Hauteur 1 540 mm
Empattement 2 430 mm
Chronologie des modèles

Description[modifier | modifier le code]

Après un parcours sans fautes, la K11 passe le flambeau à la nouvelle génération, dont les premières commandes au Japon sont honorées au début de l'année 2002. Le véhicule est lancé en France en janvier 2003[2]. Le look de l'auto a beaucoup évolué, conjuguant désormais tendance rétro et style moderne. Par ses formes rondouillettes et ses phares proéminents, la Nissan dégage une forte identité, accentuée par les teintes extérieures et intérieures originales. La clientèle visée se veut donc plus jeune. Elle se révèle à nouveau moins longue que sa devancière, mais plus large et moins haute, avec un empattement qui passe à 2 430 mm. Pour la première fois, à la suite de l'alliance Renault-Nissan de 1999, elle emprunte une plate-forme élaborée conjointement avec le constructeur français. Elle hérite alors d'un essieu arrière à barre de torsion. Sur le plan des moteurs, la citadine a ce coup-ci droit à trois nouveaux blocs de série CR, comprenant un 997 cm3 (CR10DE) de 68 ch, un 1 240 cm3 (CR12DE) de 90 ch et enfin 1 386 cm3 (CR14DE) de 98 ch. Dans un premier temps, la boîte CVT n'est pas reconduite, seules restent la manuelle 5 rapports et l'automatique E-ATx.

La gamme des modèles est simplifiée et comprend dorénavant les 10b, 12c et 14e ; tandis que les équipements de sécurité sont une nouvelle fois améliorés (certaines finitions disposent de 6 airbags de série). Naturellement, ainsi dotées, les March prennent de l'embonpoint et affichent un poids compris entre 870 kg et 950 kg. Une pléthore d'options sont disponibles, parmi lesquelles l'intelligent Key, permettant d'ouvrir, démarrer et arrêter l'auto sans sortir la clef de sa poche. Comme à son habitude, Nissan ne tardera pas à apporter des nouveautés à ses modèles. La première de celles-ci : une transmission 4 roues motrices ingénieuse, disponible sur les 1,4 litre, baptisée e-4WD. Il s'agit en fait d'un moteur électrique entraînant les roues arrière lorsqu'une perte d'adhérence du train avant est détectée, un système léger qui offre l'avantage de fonctionner sans avoir recours à un différentiel arrière ou un arbre de transmission. À l'été 2003, alors qu'est introduite la March 14s à la finition sportive (calandre spécifique, spoiler avant et arrière, roues de 15 pouces...), le bloc 1 litre est supprimé de la gamme.

Les March passent par la case lifting en , date marquée par la disparition de la carrosserie trois portes, le marché japonais étant essentiellement porté sur les carrosseries à 4 ou 5 portes, quel que soit le gabarit. La 12SR, préparée par Autech, jusque-là considérée comme une série spéciale, intègre le catalogue standard. Jouissant d'un châssis suggestif, cette « hot hatch » de 960 kg animée par un CR12DE préparé (pistons, arbre à cames, admission et échappement...) de 110 ch s'impose alors comme une sérieuse rivale à la Toyota Vitz RS (Yaris TS en Europe). Dans un même temps, la gamme est remaniée et fait une place au HR15DE (1 498 cm3) délivrant 109 ch. Celui-ci, codéveloppé avec Renault, dispose du CVTC (distribution variable en continu) et est accouplé à une boîte Xtronic CVT.

À l'été 2007, les March sont remises au goût du jour et, courant 2008, afin de rebooster les ventes, le constructeur réintroduit sa finition Collet, plus sobrement équipée et donc moins coûteuse.

Les séries limitées de la K12 seront nombreuses au Japon (V Selection, +Conran, 25th Happiness...) et Autech poursuit sur sa lancée avec de nombreux kits néo-rétro comme la Rafeet ou la Bolero.

En Europe, les Micra disposent de blocs 1,2 litre de 65 et 80 ch ; 1,4 L de 88 ch et un 1,5 L turbo-diesel (Renault dCi K9K) de 65 et 82 ch (lancés en mai 2003)[2], en boîte manuelle ou automatique. Quelle que soit la version, ces autos seront très bien équipées (ABS, climatisation, radio CD...). Lors du léger restylage de 2005, Nissan sortira de ses cartons la tonique 160 SR, dotée d'un 1,6 litre (HR16DE) de 110 ch et gratifié de suspensions sport et d'un antipatinage intégré à l'ESP. Plus discrète en apparence que les SR japonaises malgré ses jantes de 16 pouces, elle passe néanmoins de 0 à 100 km/h en moins de 10 s.

À la fin de l'année, la Micra C+C (coupé-cabriolet avec un toit rigide) apparait au catalogue. Construite en Angleterre, elle sera exportée au Japon (en toute petite quantité) peu de temps après. Les Micra européennes reçoivent ensuite une mise à jour de blocs turbo diesel et un nouveau restylage.

Motorisations[modifier | modifier le code]

La Nissan Micra K12 est équipée de motorisations essence et diesel, 4 cylindres en ligne, montées transversalement.

Moteur Cylindrée (cm3) Nombre de cylindres et architecture Puissance maximale (ch (kW)) Couple maximal (N m) Vitesse maximale (km/h) 0 à 100 km/h Disponibilité
Essence
1.0 (CR10DE) 988 4 cylindres, 16 soupapes 65 (48) 90
68 (50) 96 Japon
1.2 (CR12DE) 1 240 65 (48) 110 154 15 s 7
80 (59) 167 13 s 9
90 (66) 121 Japon
1.4 (CR14DE) 1 386 88 (65) 128 172 11 s 9
98 (72) 137 Japon
1.6 (HR16DE) 1 598 110 (81) 153 183 s 8
Diesel
1.5 dCi 1 461 4 cylindres, turbo 65[3] (48) 160 155 17 s
68 (50) 156
4 cylindres, turbo intercooler 82[4] (60) 185 170 12 s 9
86 (63)
1.5 dCi Euro V 86 (63) 200 171 11 s 9

Galerie[modifier | modifier le code]

Micra K13 (2010-2017)[modifier | modifier le code]

Nissan March/Micra K13
Image illustrative de l’article Nissan Micra
Nissan Micra K13 Phase I

Appelé aussi Nissan Micra Active
Marque Nissan
Années de production 2010 -
Europe : 2010 - 2017
Phase 1 : 2010 - 2013
Phase 2 : 2013 - 2017
Classe Citadine
Moteur et transmission
Énergie Essence / Diesel
Moteur(s) Essence :
1,2 L 80/98 ch

Diesel :
1,5 L 86 ch
Position du moteur Transversale avant
Cylindrée 1 198 cm3
Puissance maximale 98 ch
Couple maximal 142 N m
Transmission Traction
Boîte de vitesses Manuelle à 5 rapports
Automatique CVT
Masse et performances
Masse à vide 985 à 1 055 kg
Émission de CO2 95 à 125 g/km
Châssis - Carrosserie
Carrosserie(s) Berline bicorps 5 portes
Suspensions Av : type MacPherson, barre stabilisatrice, Amortisseurs hydrauliques télescopiques
Ar : poutre de torsion, Amortisseurs hydrauliques télescopiques
Direction assistée à crémaillère
Freins ABS, EBD, ESP, NBAS
Av : à disques
Ar : à tambour
Dimensions
Longueur 3 780 mm
Largeur 1 665 à 1 675 mm
Hauteur 1 515 mm
Empattement 2 450 mm
Voies AV/AR 1 460 à 1 470 mm  / 1 465 à 1 475 mm
Volume du coffre 265 (1 131) dm3
Chronologie des modèles

Description[modifier | modifier le code]

Commercialisées au Japon dès , les nouvelles March sont assemblées en Thaïlande et non dans l'usine japonaise d'Oppama, afin de réduire les coûts de fabrication. Les modèles européens sont produits en Inde, où, une fois rebadgée, la Micra devient aussi Pulse chez Renault. La Chine et le Mexique produisent également des Micra pour d'autres marchés. En plus de la boîte CVT, une manuelle à cinq rapports est proposée sur le 1,2 litre de 80 ch.

Disponible uniquement en cinq portes au Japon, elle accueille un moteur 3 cylindres CVTC à 12 soupapes. Comme les blocs des K11 et K12, ce 1 198 cm3 compact est DOHC et délivre ici 79 ch. Il est accouplé à une boîte Xtronic CVT de nouvelle génération. Sur la balance, les K13 oscillent entre 940 kg et 1 040 kg.

Au rayon des finitions, Nissan propose les 12S (standard), 12x et 12 g (« tout confort ») ; ces deux dernières pouvant être associées à la transmission e-4WD. elles seront complétées en 2011 par les modèles Enchanté et 12S-V Package. On découvre notamment en termes d'équipement un système stop-and-start, l'allumage automatique des feux. Les Micra disposent entre autres de six airbags, de l'ESP de série, alors qu'un radar de recul et un système d'aide au créneau sont disponibles sur certaines finitions. Parmi celles-ci, on retrouve la Visa, Acenta, Tekna, ou encore Lolita Lempicka, déjà présente sur la K12.

À l'automne 2011, une version DIG-S (direct injection gasoline supercharger) est ajoutée au catalogue. Elle est dotée du 1,2 litre retravaillé (cycle de Miller) à injection directe combiné à un compresseur type Roots débrayable. Baptisé HR12DDR, il développe 98 ch et permet à la Micra d'atteindre 180 km/h. Une K13 au look sportif est vendue aux Pays-Bas, bénéficiant de l'expressive version SR.

La Micra reçoit un premier restylage en 2013, qui la rapproche de l'identité de marque des autres modèles Nissan.

Elle reste commercialisée sur certains marchés après la présentation de la Micra de cinquième génération, cette dernière étant prioritairement destinée à l'Europe et à l'Afrique du Sud. Par exemple, en Afrique du Sud, la Micra IV reste commercialisée sous l'appellation Micra Active aux côtés de la Micra V. Au Canada, la Micra de quatrième génération reste disponible dans les concessions canadiennes jusqu'en 2020[5].

En 2021, elle n'est plus commercialisée qu'au Mexique. Elle reçoit dans le pays un important restylage accompagné d'une mise à jour technologique[6].

Motorisations[modifier | modifier le code]

La Nissan Micra K13 a été lancée avec une motorisation à essence à 3 cylindres en ligne, déclinée en version atmosphérique ou avec un compresseur permettant, en Europe, d'afficher 95 g de CO2/km. Le 1,5 L diesel n'est plus disponible que sur le marché indien.

Contrairement à la génération précédente qui était construite au Japon et en Grande-Bretagne, cette quatrième Micra est produite en Inde, en Chine, en Thaïlande, et au Mexique.

Moteur Cylindrée (cm3) Nombre de cylindres et architecture Puissance maximale (ch (kW)) Couple maximal (N m) Vitesse maximale (km/h) 0 à 100 km/h Disponibilité
Essence
1.2 1 198 3 cylindres, 12 soupapes 80 (59) 110 170 13 s 7 2010
1.2 boîte CVT 161 14 s 5
1.2 3 cylindres, 12 soupapes, compresseur 98[7] (72) 142 183 11 s 3 2011
Diesel
1.5 dCi (K9K) 1 461 4 cylindres, 8 soupapes 86[8] (63) 200 171 11 s 9 2009

Inde

Finitions[modifier | modifier le code]

  • Design Edition

Galerie[modifier | modifier le code]

Renault Pulse[modifier | modifier le code]

Renault Pulse
Image illustrative de l’article Nissan Micra

Marque Renault
Années de production 2013 - 2017
Classe Citadine
Moteur et transmission
Énergie Essence / Diesel
Moteur(s) Essence :
3 cylindres 1.2 74 ch

Diesel :
4 cylindres T-dies. 65 ch
Cylindrée 1 198 cm3
Puissance maximale 65 à 74 ch DIN
Transmission Traction
Boîte de vitesses Manuelle à 5 rapports
Masse et performances
Masse à vide 970 à 1 050 kg
Consommation mixte 5.5 L/100 km
Dimensions
Longueur 3 810 mm
Largeur 1 670 mm
Hauteur 1 530 mm

La Renault Pulse est une petite voiture lancée par Renault en Inde et vendue uniquement en Inde. Basée sur la Micra K13, elle est construite à l'usine de Nissan en Inde à Chennai, mais se distingue par un avant et un arrière légèrement modifiés.

Comme la Renault Scala, la Pulse cesse d'être produite en 2017 à cause de ventes insuffisantes[9].

Micra K14 (2017-2022)[modifier | modifier le code]

Nissan Micra (K14)
Nissan Micra

Marque Nissan
Années de production 2017 - 2022
Phase 1 : 2017 - 2020
Phase 2 : 2020 - 2022
Classe Polyvalente
Moteur et transmission
Énergie Essence / Diesel
Moteur(s) Essence :
0.9 L 90 ch
1.0 DIG-T 75/100/117 ch
1.0 IG-T 92 ch

Diesel :
1.5 D 90 ch
Cylindrée 999 à 1 461 cm3
Puissance maximale 71 et 117 ch DIN (52 et 86 kW)
Couple maximal 95 à 220 N m
Transmission Traction
Boîte de vitesses Manuelle à 5 ou 6 rapports
CVT (Xtronic)
Masse et performances
Masse à vide 1 045 à 1 070 kg
Vitesse maximale 184 et 195 km/h
Accélération 0 à 100 km/h en 10,9 à 9,9 s
Émission de CO2 103 à 115 g/km
Châssis - Carrosserie
Carrosserie(s) Berline 5 portes
Châssis Nissan Note II
Nissan Micra IV
Dimensions
Longueur 3 999 mm
Largeur 1 743 mm
Hauteur 1 455 mm
Empattement 2 525 mm
Voies AV/AR 1 510 mm  / 1 520 mm
Volume du coffre 300 dm3
Chronologie des modèles

Pour le salon international de l'automobile de Genève 2015, Nissan présente un show car de citadine qui préfigure la Micra V et le nouveau design des futurs modèles. Son nom est Sway[10].

La cinquième génération de Micra est finalement révélée à l'occasion du Mondial de l'automobile de Paris 2016. Contrairement aux générations précédentes qui étaient destinées à une centaine de pays, celle-ci s'adresse principalement à l'Europe et à quelques rares autres marchés tels que l'Afrique du Sud, Israël, la Turquie et le Maroc. Elle profite de l'alliance Renault-Nissan pour être produite à l'usine Renault de Flins[11].

La Micra reprend les moteurs de la Renault Clio IV[12], mais contrairement à la croyance populaire, elle n'est pas basée sur cette dernière. Comme la Note II, la Micra K14 reprend en effet la plate-forme "V" de la Micra K13, largement retravaillée[13],[14],[15],[16].

La Micra de cinquième génération est uniquement disponible en version cinq portes. Elle voit ses dimensions revues à la hausse : elle gagne 17 cm en longueur et 7,7 cm en largeur, ce qui en fait le modèle le plus large de sa catégorie[17]. Lors de sa présentation, la presse spécialisée salue le design plus dynamique qu'auparavant, la qualité de fabrication de l'intérieur en nette hausse et le niveau d'équipement fourni[11],[12].

Phase 2[modifier | modifier le code]

Un léger restylage de la Micra est présenté le [18].

La fabrication s'arrête en décembre 2022[19] et le modèle est retiré de la gamme mi-2023[20].

Motorisations[modifier | modifier le code]

À son lancement en , la Micra est disponible en deux motorisations fournies par Renault : un diesel de 1,5 L et un trois cylindres turbocompressé de 0,9 L développant tous deux 90 ch. Afin de répondre aux nouvelles normes antipollution, le 0,9 litre est remplacé en 2019 par un 3 cylindres 1,0 litre répondant à la norme Euro 6d Temp, disponible en trois puissances (71, 100 et 117 ch).

Logo de Nissan Nissan Micra
IG-T 90 IG 71 IG -T 92 / 100 DIG-T 117 dCi 90
Disponibilité 2017 - 2018 2019 - 2021 2019 - 2021
2021 -
2019 - 2021 2017 - 2019
Moteur 3-cylindres en ligne essence 4-cylindres en ligne diesel
Admission Turbocompressé Atmosphérique Turbocompressé
Cylindrée (cm3) 898 999 1 461
Puissance fiscale (CV) 4 4 5 6 6 5
Puissance maximale ch (kW) 90 (66) 71 (52) 100 (74)
92 (67)
117 (86) 90 (66)
au régime de : (tr/min) 5 500 6 300 5 000 5 250 4 000
Couple maximal (N m) 140 95 160 144 180 220
au régime de : (tr/min) 2 250 3 500 2 750 2 000 1 750 à 3 750 1 750
Boîte de vitesses Manuelle 5 rapports CVT variation continue Manuelle 6 rapports Manuelle 5 rapports
Transmission Traction
Vitesse maximale (km/h) 175 158 184 N.C. 195 179
0-100 km/h (s) 12,1 16,4 10,9 13,0 9,9 11,9
Consommation (L/100 km) 5,6/3,7/4,4 6,4/4,7/5,3 5,6/3,9/4,5 5,7/4,4/4,9 6,1/4,2/5,0 4,8/3,6/4,1
Émissions de CO2 (g/km) 99 121 103 111 114 107
Masse à vide (kg) 1 053 1 045 1 135 N.C. 1 170 1 140
Capacité du réservoir (L) 41
Norme environnementale Euro 6c Euro 6d Temp

Finitions[modifier | modifier le code]

  • Visia
  • Visia Pack
  • Acenta
  • Business Edition
  • N-Connecta
  • Tekna
  • N-Sport

Séries limitées[modifier | modifier le code]

  • Made in France, 2017 (500 exemplaires[21])
  • Made in France, 2018 (400 exemplaires[22])
  • Made in France, 2019 (1 000 exemplaires[23])
  • N-Tec, 2020 (1 200 exemplaires[24])
  • Made in France, 2020 (1 000 exemplaires[25])
  • Enigma, 2021 (500 exemplaires[26])
  • Kiiro, 2022 (400 exemplaires[27])

Galerie d'images[modifier | modifier le code]

La March/Micra et le sport[modifier | modifier le code]

Tout au long de sa carrière, la March/Micra a été plébiscitée pour courir en sport automobile. De nombreux pilotes, amateurs comme professionnels, l'ont d'ailleurs retenue pour faire leurs premières armes en compétition. Lancées en 1984 au Japon, les désormais célèbres courses « one-make » (mono modèles) de la March Cup ont été un formidable vivier de nouveaux talents. Les K10 ont également été malmenées sur des pistes difficiles de rallyes nationaux et internationaux, et ont même eu droit à leur version Super Silhouette. Conduite à l'époque par Masahiko Kondo, cette March hors norme a fait parler d'elle grâce à son style radical et son bloc E15 (1 487 cm3) de 160 ch / 17,5 mkg.

La génération K11 fut elle aussi largement utilisée en course, avec notamment le Micra Challenge et la Nissan Star Cup en Europe dans les années 1990. Une version 4 roues motrices et directrices sera même engagée au trophée Andros entre 1997 et 1998, motorisée par un VQ30DE (v6 de Nissan Maxima QX)de 420 ch / 43,8 mkg Des versions similaires courent encore en rallycross ou autocross. Autech, qui en plus de produire des modèles originaux, a également construit l'étonnante Mid-11, avec un SR20VE de 204 ch / 21 mkg en position centrale arrière.

Les K12 sont aussi très appréciées en compétition, particulièrement au Japon. De nombreux préparateurs se sont penchés sur ces petites Nissan, certains tuners proposeront des pièces performances (Impul et ses kit compresseurs par exemple) ou des véhicules complets (Nismo S-tune) RML a aussi élaboré une K12 survoltée nommée Micra R, qui accueille dans son coffre un QG20DE de 265 ch issu d'une primera de BTCC, avant de prendre le nom de Micra 350SR, une fois le moteur remplacé par un V6 VQ35DE de 350Z développant 310 ch.

Aujourd'hui, c'est au tour des K13 de courir dans le championnat one-make de Nissan.

Galerie[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Robin San Vicente, « Nissan Micra. Triple anniversaire pour la citadine japonaise en 2022 », L'Argus,
  2. a et b « Voitures Neuves 2004 », L'Argus, no Hors-Série,‎
  3. Fiche technique Nissan Micra 65 ch diesel auto-selection.com
  4. Fiche technique Nissan Micra 82 ch diesel auto-selection.com
  5. « Exclusif : la Nissan Micra nous quitte », sur rpmweb.ca (consulté le )
  6. « Entre deux margaritas, la Nissan Micra survit au Mexique », sur rpmweb.ca (consulté le )
  7. Fiche technique Nissan Micra 98 ch essence auto-selection.com
  8. Fiche technique Nissan Micra 86 ch diesel auto-selection.com
  9. « Renault India discontinues Pulse and Scala », sur Autocar India (consulté le )
  10. « Salon de Genève 2015 : Nissan Sway Concept », sur Autonews, (consulté le )
  11. a et b Alexandre Bataille, « Nissan Micra 5 : franco-japonaise », Caradisiac, (consulté le ).
  12. a et b Julien Jodry, « Nouvelle Nissan Micra : Infos, photos et Vidéo de la japonaise made in France (Mondial de l’Auto 2016) », sur www.auto-moto.com, (consulté le ).
  13. « Nissan Micra : faut-il encore l'acheter ? », sur Auto moto : magazine auto et moto, (consulté le )
  14. « Nissan Micra 5 : laquelle choisir ? (moteurs, finitions, tarifs) », sur Auto moto : magazine auto et moto, (consulté le )
  15. « Nissan Micra IG-T: La Clio nippone "made in France" », sur Challenges, (consulté le )
  16. (en-GB) « All New Nissan Micra: The Revolution has Begun », sur Official Great Britain Newsroom, (consulté le )
  17. Etienne Roville, « Nissan Micra 2017 : dans la cour des grands », sur www.larevueautomobile.com, (consulté le ).
  18. « Nouvelle Nissan Micra (2021) : Les prix du restylage », Auto News,
  19. (es) « El Nissan Micra se despide del mercado tras 39 años, a la espera de su sucesor eléctrico que llegará en 2025 », sur Motor.es, (consulté le )
  20. « Nissan : Fin de la vie pour la Micra », sur The Automobilist, (consulté le )
  21. Julien Sarboraria, « Nissan Micra Made in France : une série limitée à 500 exemplaires », L'Argus,
  22. Léo Mingot, « Prix Nissan Micra 2018. Retour de la série limitée Made in France », L'Argus,
  23. Mathieu Demeule, « La Nissan Micra de nouveau en série limitée "Made in France" », Auto Plus,
  24. Florent Ferrière, « Nissan : série spéciale N-TEC pour les Micra, Qashqai et X-Trail », sur Caradisiac.com,
  25. Florent Ferrière, « Nissan Micra : nouvelle version de la série spéciale Made in France », Caradisiac,
  26. Paul Niocel, « Nissan Micra Enigma (2021) : Une citadine sombre et chic en série limitée », Auto News,
  27. Florent Ferrière, « Nissan Micra : nouvelle série spéciale Kiiro » Accès libre, sur caradisiac.com, (consulté le )

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]